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4,3

sur 11535 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Jane Eyre fait partie des romans incontournables de la littérature anglaise : ultra classique, tant par sa trame narrative linéaire que par son cadre traditionnel de l'Angleterre victorienne, il doit figurer dans toutes les bibliothèques.
L'histoire racontée est celle d'une jeune orpheline à l'enfance malheureuse, qui évolue dans différents lieux où elle reçoit une éducation, se met au service des autres, pour, un jour, faire une rencontre qui la hissera vers le haut de la société : c'est presque le destin de l'esclave devenue maîtresse.
Bien sûr, l'héroïne est bonne, dévouée, bien éduquée, elle mérite son ascension sociale.
Un tel roman pourrait paraître trop convenu, long et ennuyeux. Qu'est-ce qui, donc, me pousse à continuer ma lecture sans la moindre lassitude ? Sans doute l'évolution de l'héroïne dans l'espace d'une Angleterre rurale: ses fuites, ses retours, ses errances, en font un personnage paradoxalement très moderne , quoique terriblement conventionnel dans son rapport aux autres, et particulièrement aux hommes et à ses supérieurs.
Un très bon roman, que j'ai relu avec plaisir. Inutile de le recommander car nous l'avons tous lu un jour ou l'autre ...
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Des romans "classiques" écrits par les soeurs Brontë (on songe bien sûr également aux "Hauts de hurlevent", de la plume d'Emily), celui-ci est à mon sens le plus accessible. Et aussi un beau roman à faire lire dans l'enfance car le dépaysement est garanti dans tous les sens du terme (notamment historique et géographique même si l'action ne se déroule pas si loin de chez nous), une analyse psychologique très fine - mais non pesante - des personnages et, surtout, mine de rien un thème féministe, celui d'une jeune fille que sa naissance destinait tout au plus à devenir gouvernante mais qui, davantage encore par son intelligence et son esprit que sa beauté, parviendra à s'élever et se faire aimer par celui qu'elle aura choisi. Et celui qu'elle aura choisi ne sera pas que le "beau prince" fortuné mais aussi un personnage ténébreux, sensible et ayant besoin d'être "sauvé" par Jane. Un bien beau roman dont on se souvient encore en esquissant un sourire bien des années après l'avoir lu...
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Tout d'abord avant de lire cette critique, il faut savoir que je ne suis pas du tout adepte de ce genre de littérature et la lecture des Hauts de Hurlevent de la frangine m'avait pas mal refroidie (peut-être dû au fait que j'avais une très vieille édition, très mal traduite), c'est donc avec un peu d'appréhension que j'ai ouvert ce pavé.
Et bien, j'ai été agréablement surprise, l'écriture de Charlotte Brontë est vraiment agréable, on retrouve bien évidemment le style 19ème siècle anglais et donc toute une narration très sophistiquée et assez pesante, mais l'auteure a su dès les premières pages aiguisait ma curiosité et faire en sorte que je veuille savoir ce qui va arriver à notre pauvre Jane Eyre, petite fille orpheline, maltraitée par sa tante, haïe par ses cousines et qui en plus n'a pas la chance d'être jolie, par contre, elle a le très gros avantage d'être remarquablement intelligente et perspicace.
L'histoire de cette fillette qui deviendra adulte au fur et à mesure de la lecture est touchante, les personnages sont tous très bien présentés et très crédibles, l'auteure nous épargne les interminables descriptions qui ralentissent quelques fois la lecture de certains classiques, j'ai donc passé un agréable moment de lecture et je ne regrette pas du tout l'audace que j'ai eu en ouvrant ce livre.
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Jane Eyre c'est un roman, 13 films (dont le premier en 1910) et au moins autant d'adaptations pour la télévision, bref c'est un monument du romantisme et c'est bien pour cela que je n'avais pas envie de le lire. Je craignais la romance fleur bleue, du Walt Disney sans la musique. Je ne me suis pas dit une seconde que si ce roman avait traversé les années avec autant de succès c'est qu'il devait quand même y avoir quelque chose des larmes et des bisous. Cet autre chose, c'est le regard exigent de Charlotte Brontë. Une plume nette et sans fioriture qui décrit la société anglaise du XIXième siècle. Les goûts d'une époque, la rigidité de l'éducation à l'anglaise, l'arrogance de la "haute société", les héritages et les déshéritages, les voyages "au long court" des premiers grands commerçants et les effroyables pensionnats pour jeunes filles qui défraient encore la chronique aujourd'hui.

Le récit est écrit à la première personne. C'est Jane qui raconte sa vie. Cette jeune orpheline qui au départ n'a dans son jeu que des mauvaises cartes va faire montre d'une incroyable droiture et obstination pour se sortir des impasses dans laquelle les adultes veulent la mettre. Placée dans un affreux pensionnat par une tante maltraitante, elle va devenir institutrice, puis entrer au château de Thornfield pour devenir la gouvernante de la fille d'un aristocrate Edward Rochester. Il a 20 ans de plus qu'elle, il est sombre, vif, intelligent. On pressent la suite de l'histoire mais la Jane Eyre inventée par Charlotte Brontë n'est pas écrasée par le choix des autres, c'est une femme énergique, insoumise et révoltée contre les injustices. On imagine que pour son époque et son milieu, cela tenait presque du féminisme. Son héroïne n'a personne pour la tuteurer, elle se construit par elle-même et saura prendre sa place dans le monde envers et contre tous.
J'ai pris un réel plaisir à lire ce roman qui tient la place légitime de "classique" dans la littérature anglaise.
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Cette critique va porter sur deux versions différentes de Jane Eyre. La première version est une version papier, traduction de Marion Gilbert et Madeleine Duvivier. La deuxième est une traduction de Mme Lesbazelle-Souvestre, version numérique. Bon, je vous explique : J'avais commencé à lire la version papier de Jane Eyre et puis, 2 jours avant de partir en vacances, on m'offre une liseuse pour mon anniversaire. du coup, j'ai téléchargé Jane Eyre (fort heureusement gratuit !) pour ne pas emporter le livre en vacances. Sauf que… ce n'était pas la même traduction. Mais tant pis.

Personnellement, j'ai adoré. Je connaissais déjà l'histoire depuis longtemps. J'en ai même vu l'adaptation cinématographique (enfin plusieurs, celle avec Charlotte Gainsbourg, celle de la BBC de 2006, ma préférée et enfin la toute dernière version sortie en 2011). Comment dire donc que je suis fan ? Mieux, je suis amoureuse de Monsieur Rochester (surtout lorsqu'il est incarné par Toby Stephens). J'aime cette histoire d'amour qui semble impossible au dernier abord. Ce n'est pas la première fois que je lis le livre, et j'ai tout autant apprécié ma lecture. Je mets néanmoins un bémol : j'ai trouvé le passage où Jane se trouve chez Saint John un peu longuet.

Concernant l'écriture, je ne dirais pas grand-chose étant donné que j'ai pu lire 2 traductions différentes. Néanmoins, dans l'une comme dans l'autre, j'ai apprécié cette écriture assez fluide, qui tranche de nos classiques français. (Les traductions de classiques anglais sont beaucoup plus abordables !). J'ajouterai cependant une précision, j'ai préféré la traduction numérique, elle m'a semblé à la fois plus développée et plus digeste que la traduction papier. J'ajouterai cependant, que ma version papier est apparu (après comparaison avec la version numérique) comme incomplète. En effet, certain passages sont manquants. Est-ce dû à la traduction où à l'édition ? Toujours est-il que c'est dommage, j'espère n'avoir pas raté trop de choses dans la première partie du roman.

Pour conclure, quelque soit la traduction de ce roman, je ne peux que vous conseiller ce roman. Vous verrez, l'histoire de Jane est tellement… touchante !
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Grâce au confinement, j'ai ENFIN pris le temps de découvrir Jane Eyre. Et même si ce roman semble être la lecture de beaucoup d'ado, alors qu'à cette période j'était tout à fait allergique aux classiques, je l'ai parfaitement apprécié en tant qu'adulte. Mais je comprends à présent pourquoi celles et ceux qui ont franchi le pas à cet âge ne l'ont pas trouvé rébarbatif et l'ont même souvent encensé.


L'écriture est fluide. Les tournures anciennes lui donnent une jolie musicalité qui rythme l'histoire. Et l'auteur a la délicatesse de nous épargner toute longueur inutile, lorsqu'elle peut abréger son récit sans que notre compréhension n'en pâtisse. On sent que l'auteur, ou plus précisément la narratrice, écrit pour ses lecteurs : Elle s'adresse très ouvertement à eux, les fait s'interroger, tente de les toucher, de les intriguer, aussi. C'est donc une lecture très vivante.


Pour l'ambiance, le paysage est planté dans la campagne anglaise, avec ses manoirs qui font rêver, leurs habitants et leurs moeurs bien établies que l'on tente toujours de contourner. Côté personnages, les rapports entre classes sociales et - surtout - une grande et belle histoire d'amour pimentent l'histoire. Mais Charlotte BRONTE n'oublie pas non-plus ce soupçon de gothique un peu flippant, pour le mystère et le suspense (les fantômes, les incendies, les tentatives de meurtre.)… Enfin, quelques réflexions sur la famille, la justice, la moralité, le mérite, la religion et le mariage parsèment le tout pour lui donner de la profondeur et maintenir notre intérêt.


Jane Eyre, puisqu'il s'agit de son histoire, est finalement une héroïne assez moderne. Orpheline mal aimée de sa famille d'accueil, elle s'élèvera dans un pensionnat sévère qui lui permettra de devenir gouvernante chez un maître riche et tourmenté. Mais alors qu'il est prêt à braver les interdits pour officialiser leur amour, un mystérieux fantôme du passé va violemment ressurgir pour les en empêcher, amenant avec lui mille questions pour le lecteur : sur la moralité, mais aussi sur les faits eux-mêmes. Contrainte de renoncer à son amour pour le moment, Jane n'aura de cesse de le retrouver mais elle devra, en attendant, grandir toute seule, subvenir à ses besoins, ainsi que soumettre ses sentiments à l'épreuve du temps et des tentations.


J'avais adoré l'ambiance sombre des Hauts de Hurlevent de sa soeur Emily, que j'avais dévoré ; ce roman a le même genre d'atmosphère, mais l'histoire d'amour est peut-être plus touchante encore, dans sa pureté ou sa simplicité.


« Vaut-il mieux réduire son prochain au désespoir que d'enfreindre une simple loi humaine, alors que la transgression ne nuirait à aucun homme ? »
Qu'en pensez -vous ? Vous avez 4 heures ! ;-)
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Jane Eyre - Charlotte Brontë

Juste quelques lignes pour dire que j'ai beaucoup apprécié ce roman. C'est une très belle histoire d'amour. C'est une ode à la nature et à la vie à la campagne. Jane, est un personnage volontaire, petite fille elle est tenace et refuse l'injustice, devenue adulte elle sera fidèle en amour et en amitié et saura pardonner à ceux et celles qui l'auront pourtant malmenée.
J'ai trouvé ce roman très romantique, de plus l'exemplaire que j'ai emprunté dans ma médiathèque est illustré de dessins en noir et blanc ou en couleurs, ce qui a ajouté une petite touche rétro à ma lecture.
Je recommande vraiment la lecture de ce livre, l'écriture est simple et belle. Vraiment un très très bon moment de lecture
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Un "roman pour jeune fille", Jane Eyre ? Certes non ! Jane Eyre est un grand roman, celui d'une femme qui cherche sa voie à travers les cruautés d'une vie qui l'a fait devenir orpheline à peine née, recueillie par une tante et ses enfants qui la déteste. On verra Jane se dresser contre l'injustice, étudier pour échapper à la misère, rencontrer un drôle de hobereau dont elle va s'éprendre avant de découvrir le terrible secret qui pèse sur les épaules de cet homme. Ce livre, où l'on ne s'ennuie jamais, nous décrit une Angleterre du début du XIXeme avec ses "castes" bien délimitées. La préface nous apprend que l'histoire recèle beaucoup de détails autobiographiques. On y rencontre même 2 autres soeurs Brontë, Emily et Anne. Il n'est jamais trop tard pour découvrir (ou redécouvrir) ce beau roman !
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J'avais lu ce roman il y a quelques années et bizarrement je ne l'avais pas spécialement apprécié. Suite à cette relecture je me demande pourquoi j'avais eu ce sentiment. Quoi qu'il en soit, me voilà réconciliée avec ce classique de la littérature britannique.

Dans ce roman, on sent bien que Charlotte a mis beaucoup d'elle-même dans Jane Eyre et beaucoup de son expérience et des gens qu'elle connaît ou a connu dans les autres personnages. Comme elle, Jane Eyre est une orpheline qui passe par le pensionnat avant d'être institutrice et gouvernante. L'auteure en profite pour aborder de nombreux thèmes et dénoncer certaines injustices. L'enfance de Jane Eyre chez sa tante puis au pensionnat de Lowood est l'occasion de découvrir la maltraitance infantile qui pouvait exister à cette époque.

Les personnages sont tous très riches mais parfois un peu extrêmes et manichéens. On a d'un côté des personnages qui apparaissent comme de véritables brutes insensibles : la tante qui détestera Jane toute sa vie, le cousin et les cousines de Jane qui sont des exemples d'égoïsme ou encore la jeune Miss Ingram particulièrement orgueilleuse et dédaigneuse de ceux qui n'appartiennent pas à son monde. C'est ainsi l'occasion pour Charlotte de dénoncer le comportement et les idées de certaines personnes issus des catégories sociales supérieures. de l'autre côté, on a l'amie d'école de Jane ou les soeurs Rivers qui apparaissent comme des modèles sans défaut. Jane est plus complexe puisqu'elle apparaît à la fois timide et réservée mais aussi audacieuse et obstinée dans ses choix.

Ce roman est surtout l'histoire d'un amour passionné que se voue les deux personnages principaux : Jane Eyre et Edward Rochester. Cet amour défie les conventions sociales à cause de la différence d'âge et de milieu et il résiste aux nombreuses et terribles difficultés qui se présentent.

J'ai beaucoup aimé cette jeune femme, féministe avant l'heure, qui saura s'opposer aux choix que les hommes tentent de lui imposer. Sa fougue, sa passion et ses idéaux lui permettront de choisir son destin et de gagner son indépendance. Une belle réussite pour l'époque !
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Voici un roman extrêmement célèbre, maintes fois commenté, résumé et adapté au cinéma. Pourtant, en inconditionnelle des Brontë, je ne résiste pas au plaisir de poster une critique -un peu longue!- sur ce sujet.

Au début de l'histoire, Jane est une petite orpheline élevée par sa tante, Mrs Reed. Enfant rebelle et solitaire, elle subit de nombreuses brimades, surtout de la part de ses cousins. Pour se débarrasser de la fillette, Mrs Reed décide de l'envoyer dans un pensionnat, et pas n'importe quel pensionnat: Lowood est connu pour son austérité et pour la sévérité de ses maîtres. Jane y reçoit un enseignement solide, mais y elle affermit surtout sa volonté, ainsi que ses principes moraux. Pour décrire cette institution, Charlotte s'est beaucoup inspirée de Cowan Bridge, la sordide école fréquentée par les soeurs Brontë.
Lorsqu'elle quitte le pensionnat vers l'âge de 18 ans, Jane n'a aucune expérience de la vie; mais sa force de caractère et sa droiture vont l'aider à surmonter toute sorte d'épreuves. Forte de son instruction et son talent pour le dessin, Miss Eyre trouve un emploi de gouvernante à Thornfield-Hall, un sombre château gardé par Mrs Fairfax. Elle est chargée d'éduquer Adèle, une petite française pupille du maître des lieux. La tâche serait aisée s'il n'y avait pas cette présence maléfique qui rôde sans cesse dans la propriété. Des hurlements, un incendie volontaire et des apparitions nocturnes: voilà de quoi agrémenter le séjour d'une jeune gouvernante!

Peu après son arrivée, Jane fait la connaissance d'Edward Rochester, le propriétaire du château. Ce gentleman ténébreux adopte d'abord envers Jane une attitude railleuse et déstabilisante. Mais peu à peu il s'adoucit. Tout l'intérêt du roman réside dans cette relation entre Jane et Rochester: elle est humble, sans beauté ni fortune mais possède beaucoup d'esprit et de principes; il est quadragénaire, plutôt laid, riche et se livre à la débauche pour oublier un passé douloureux. Pourquoi ces deux êtres qu'en apparence tout oppose en viennent-ils à s'aimer? Et surtout comment finissent-ils par se déclarer cet amour improbable? Les conventions, mais aussi leurs personnalités respectives rendent la tâche ardue! Une fois ces obstacles surmontés, rien n'est acquis, car un terrible secret assombrit l'existence de Rochester et rend tout mariage impossible.

Jane va alors fuir l'homme qu'elle aime et commencer une nouvelle vie auprès de la famille Rivers. Sous une fausse identité, "Miss Eliot" se consacre désormais à l'enseignement et à la religion. Elle est épaulée par St. John Rivers, un jeune pasteur plein d'ambition. Mais lorsque celui-ci propose à Jane de l'épouser pour partir en mission aux Indes, la jeune fille comprend qu'elle ne peut oublier son premier amour. Peu après, elle croit entendre comme dans un rêve les appels désespérés de Rochester. Entre temps, la jeune fille a appris qu'elle hérite la fortune de son oncle et devient socialement l'égale de Rochester. Jane décide donc de retourner à Thornfield-Hall, pour retrouver celui qu'elle aime. Que va-t-il y trouver après un an d'absence?

Je n'en révélerai pas davantage quant à l'histoire elle-même pour ne pas gâcher le suspense. "Jane Eyre" est en tout cas un excellent roman, d'une grande finesse psychologique. Il est intéressant de comparer Edward Rochester aux autres personnages masculins des Brontë: son côté sombre le rapproche quelque peu de Heathcliff, le héros de "Hurlevent", mais la noirceur de ce dernier reste sans égale dans la littérature! La force de "Jane Eyre" réside surtout dans son personnage féminin et dans la qualité de l'écriture, mais j'ai aussi apprécié le climat fantastique qui imprègne le récit. Pour construire son intrigue, l'auteure utilise quelques ressorts du roman populaire anglais: l'histoire est en effet pimentée par des retournements de situation et par des scènes effrayantes dignes d'un roman gothique. Mais le roman de Charlotte Brontë possède bien plus de profondeur. A la fois roman d'apprentissage, réflexion sociale et morale, histoire d'amour et récit terrifiant, "Jane Eyre" est une oeuvre difficile à classer, si ce n'est parmi les chefs d'oeuvre!
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