Jacques Burko/5
1 notes
Résumé :
Jaques Burko, né à Varsovie en 1933, doit à ses exils la maîtrise de langues qui l’ouvrent à diverses cultures, mais aussi une infinie nostalgie. Traduire des poètes polonais et russes l’inscrit dans le terreau français. Assumer à partir de 2005 la responsabilité de la collection « Poésie » des éditions Buchet/Chastel qui donne voix en France à des poètes du monde entier, sera pour lui un bonheur.
Depuis son installation à Paris (1949), le français est sa lan... >Voir plus
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Je te parle, mon ami,
Je me blesse le cœur, et tes yeux souriants me regarde sans voir et te yeux attentifs, mais peut-être ailleurs me font douter de tout et je ferme les miens.
Nous sommes maladroits jusque dans la tendresse et tous les farouches et nus à la blessure et depuis le gout des premières amertumes nous apprenons ensemble la double solitude.
Je crois mon ami quand tu dis que tu m'aimes, je te crois mon ami j'en ai la gorge nouée.
Les choses que l'on désire ne sont jamais les même, et les choses qu'on a ne sont jamais assez...
Je te regarde vivre tu respire doucement
Pourquoi ne peut-on pas aimer comme on respire?
Pourquoi faut-il parler au lieu de dire?
Pourquoi ne pas s'aimer sans crier ses les serments?
Je me blesse le cœur, et tes yeux souriants me regarde sans voir et te yeux attentifs, mais peut-être ailleurs me font douter de tout et je ferme les miens.
Nous sommes maladroits jusque dans la tendresse et tous les farouches et nus à la blessure et depuis le gout des premières amertumes nous apprenons ensemble la double solitude.
Je crois mon ami quand tu dis que tu m'aimes, je te crois mon ami j'en ai la gorge nouée.
Les choses que l'on désire ne sont jamais les même, et les choses qu'on a ne sont jamais assez...
Je te regarde vivre tu respire doucement
Pourquoi ne peut-on pas aimer comme on respire?
Pourquoi faut-il parler au lieu de dire?
Pourquoi ne pas s'aimer sans crier ses les serments?
Je te parle, mon ami,
Je me blesse le cœur, et tes yeux souriants me regarde sans voir et te yeux attentifs, mais peut-être ailleurs me font douter de tout et je ferme les miens.
Nous sommes maladroits jusque dans la tendresse et tous les farouches et nus à la blessure et depuis le gout des premières amertumes nous apprenons ensemble la double solitude.
Je crois mon ami quand tu dis que tu m'aimes, je te crois mon ami j'en ai la gorge nouée.
Les choses que l'on désire ne sont jamais les même, et les choses qu'on a ne sont jamais assez...
Je te regarde vivre tu respire doucement
Pourquoi ne peut-on pas aimer comme on respire?
Pourquoi faut-il parler au lieu de dire?
Pourquoi ne pas s'aimer sans crier ses les serments?
Je me blesse le cœur, et tes yeux souriants me regarde sans voir et te yeux attentifs, mais peut-être ailleurs me font douter de tout et je ferme les miens.
Nous sommes maladroits jusque dans la tendresse et tous les farouches et nus à la blessure et depuis le gout des premières amertumes nous apprenons ensemble la double solitude.
Je crois mon ami quand tu dis que tu m'aimes, je te crois mon ami j'en ai la gorge nouée.
Les choses que l'on désire ne sont jamais les même, et les choses qu'on a ne sont jamais assez...
Je te regarde vivre tu respire doucement
Pourquoi ne peut-on pas aimer comme on respire?
Pourquoi faut-il parler au lieu de dire?
Pourquoi ne pas s'aimer sans crier ses les serments?
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