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sur 32176 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Bouquin lu et étudié en cours... Mais quel calvaire. Je n'ai pas accroché à l'histoire, à la façon que Camus écrit, aux descriptions. Bref, j'ai souffert du début à la fin.
Je trouve qu'il y a trop de choses de cacher dans cette histoire. Il faut trop réfléchir. Bien sûr, on peut lire cet ouvrage sans réfléchir mais j'aime comprendre l'auteur. J'aime savoir pourquoi il a écrit. Ici, si je dois réfléchir, cela devient trop complexe et je m'y perds.
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C'est très fade ... un personnage très passif, on me dira que c'est le but du roman, je dirai qu'il n' a y eu aucune analyse constructive, aucun débat profond, ou simplement pas de dénouement !
Je n'ai pas "accroché" car sa lecture n'a déclenché aucune passion littéraire en moi...
Ce n'est tout simplement pas mon genre de livre ...
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Grand auteur, certes, mais quel horreur !!!
L'étranger était le tout premier livre que j'ai lu de cet auteur et malheureusement je n'ai pas accroché. C'est long, long, très long. Camus a très bien développé la théorie de l'absurde.
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Quelle déception !
Je m'attendais à un chef-d'oeuvre. Pas du tout. Je n'ai pas aimé le style d'écriture. Je me suis ennuyée. Je me demande pourquoi il fait partie des références de la littérature française.
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Commentaire destructif, bien entendu ! Car je déteste "L'étranger". Ce n'était pas le premier livre de Camus que je lisais. Auparavant j'avais apprécié "Le Mythe de Sysiphe" et surtout "L'homme révolté" pour le panorama proposé sur la philosophie de la "révolte". Pourquoi je déteste ce livre ? Parce que tout ou presque est invraisemblable. Un Français tue un "Arabe" qui a sorti un couteau et il est condamné à mort en Algérie. Invraisemblable au point d'en être ridicule. N'importe quel avocat aurait plaidé la légitime défense et Meursault serait sorti du tribunal comme un héros. Ensuite le meurtre lui-même. C'est connu les Arabes se baladent sur les plages avec des couteaux (pour égorger) et les Français avec des armes à feu et on n'adresse pas la parole à un être inférieur, c'est connu. A aucun moment le nom de l'"Arabe" n'est donné : ce n'est pas un individu, il n'a pas de personnalité. Raciste Meursault ? Par indifférence, au moins certainement. Et voilà un auteur dont les prises de position contre la peine de mort sont connues et bienvenues et qui nous concocte un roman avec un meurtre et une condamnation à mort. Et plutôt qu'un plaidoyer contre le peine de mort, on a droit à ceci :
"J'avais vécu de telle façon et j'aurais pu vivre de telle autre. J'avais fait ceci et je n'avais pas fait cela. Je n'avais pas fait telle chose alors que j'avais fait cette autre. Et après? C'était comme si j'avais attendu pendant tout le temps cette minute et cette petite aube où je serais justifié. Rien, rien n'avait d'importance et je savais bien pourquoi."
Ah bon, il aurait pu ne pas commettre son meurtre ? Ah oui, le soleil, la soif, le couteau étincelant... oui, oui, il aurait pu vivre de telle autre façon. Vraiment ?
Bref, un plaidoyer pour l'irresponsabilité et la vanité de toute chose. Rien n'a(vait) d'importance ? C'est une manière très simple de justifier le nihilisme. On croirait aussi lire du Saint Augustin. Et son mépris pour la vie.
Tellement interloqué par la lecture de ce roman, j'ai voulu croire que ce livre était une exception et je me suis mis à lire "La chute". Misère ! Rien n'a d'importance donc, mais cela n'empêche pas de se torturer l'esprit à propos de ce que le héros aurait pu faire. "Et après ?"
Camus a été "justifié" le 4 janvier 1960. Il n'a vraisemblablement pas eu le temps de s'en rendre compte.

C'est terrible ce que l'absence de père a eu comme conséquences tant pour Camus que pour Nietzsche.
Ou l'appel du nihilisme.
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Une vision partiale d'un monde mal connu, résumé à un soleil de plomb et à des côtes de rêve.

Le meurtre n'est là que pour donner plus de sens à la vie; c'est lui qui la met en vedette sinon elle serait inerte, sans ténacité, amorphe.

Camus parle d'un personnage en en omettant un autre; le français, tueur, est devenu "densité" dans une histoire, somme toute, de crime, et l'arabe, victime, in fine, est devenu "insignifiance", irréalité, non réalité où en tout cas, une réalité banale.

Kateb Yacine disait, à juste titre, dans une critique dans ce sens, que Camus, contrairement à un Faulkner, n'a presque pas évoqué l'Arabe, le mort; quand ce dernier, dans ses romans et dans un sud - auquel il appartient corps et âme - aux relents racistes, donne quand même aux personnages noirs de ses histoires une dimension autrement plus complexe, évoqués avec force sentiments, " il est, disait-il, au corps à corps avec ses personnages".

De ce point de vue, Faulkner a été plus "sérieux" et moins alambiqué que Camus.

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J'ai lu ce livre du 13/02/2016 au 20/02/2016.
Je n'ai pas du tout apprécié cette lecture, j'ai eu beaucoup de mal à le finir.
Pourquoi ? Tout simplement parce que les phrases sont de ce type : Je ris. Je pleure. Je regarde la télé. Donc d'une simplicité déconcertante.
Mais ce que j'ai détesté par dessus tout est que le personnage principal s'en fiche, passif. Par exemple : Marie lui demande s'il l'aime. Il fait non pourtant il la désire. Ou pire quand elle lui demande s'il veut l'épouser. Il répond comme tu veux que ce soit toi ou une autre, aucune importance (en gros c'est ça)
Je sais que c'est le but de l'absurdité de Camus mais clairement ce n'est pas mon truc.
Le seul point positif est le nombre de pages (184) et le cadre spatio-temporel, c'est tout.
En tout cas je ne lirais pas une autre fois ce livre après chacun est libre de faire ce qu'il veut.
Je sais que c'est le but de l'absurdité de Camus mais clairement ce n'est pas mon truc.
Le seul point positif est le nombre de pages (184) et le cadre spatio-temporel, c'est tout.
En tout cas je ne lirais pas une autre fois ce livre après chacun est libre de faire ce qu'il veut.

Ma note : 2/10
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Désolée j'y arrive pas avec ce livre...

Cette oeuvre est tellement célèbre, que c'est un classique à notre époque.
https://miniehouselook.wordpress.com/2015/07/22/letranger-albert-camus/
Lien : https://miniehouselook.wordp..
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L'étranger était une lecture obligatoire en littérature 3 au cégep.
Je n'avais sans doute pas la capacité intellectuelle pour l'apprécier, mais il m'a laissé indifférente. La pièce de théâtre que j'ai vu ensuite m'a au contraire diverti et m'a aidé à comprendre le roman qui était si lourd à l'époque.
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Albert Camus, célèbre pour ses idées existentialistes et ses réflexions profondes sur l'absurdité de la vie, nous offre ici une oeuvre qui, malheureusement, semble se noyer dans ses propres prétentions. "La Peste" se présente comme une exploration métaphorique de l'oppression et de l'isolement, mais elle échoue lamentablement à captiver ou à susciter un réel intérêt.

L'histoire se déroule dans la ville fictive d'Oran, frappée par une épidémie de peste bubonique. Camus utilise cette situation désespérée comme un fond pour explorer les réactions humaines face à la mortalité et à la souffrance. Cependant, au lieu de créer des personnages complexes et nuancés, Camus nous livre un assortiment de stéréotypes plats. le docteur Rieux, le protagoniste, est aussi fade que du pain sans levain, avec des réflexions existentielles qui semblent plus artificielles que profondes.

De plus, l'écriture de Camus, souvent encensée pour sa simplicité et sa clarté, se révèle ici terne et monotone. Les dialogues sonnent faux, dépourvus de toute authenticité émotionnelle, et les descriptions de la ville en quarantaine se répètent de manière lassante, créant un ennui persistant chez le lecteur.

Le plus grand péché de "La Peste" est peut-être son manque total de suspense ou d'excitation. Malgré les circonstances tragiques, l'histoire avance à un rythme de tortue, sans aucun pic d'action ou de tension. On a l'impression que Camus essaie désespérément d'insuffler une profondeur philosophique à chaque page, mais le résultat est une lecture laborieuse et dénuée de toute passion.

En résumé, "La Peste" d'Albert Camus est un exemple de prétention littéraire, un livre qui se prend beaucoup trop au sérieux sans jamais parvenir à toucher le coeur ou l'esprit de son public. Si vous recherchez une exploration authentique de l'existentialisme ou de la condition humaine, il vaut mieux chercher ailleurs.
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