Dans son salon, Alice joue avec ses petites chattes Dinah la blanche et Kitty la noire. Elle regarde dans le miroir et imagine comment est la maison qui se trouve de l'autre côté : la pièce semble identique, cependant tout est à l'envers. Et derrière la porte ? A quoi ressemble le jardin ? Allons voir...
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Encore une fois, Alice rêve et décide de traverser le miroir de son salon.
De l'autre côté, elle s'aventure dans un monde merveilleux d'étrangetés et d'absurdités. Animaux, conversations, comportements, Alice ne reconnaît rien des choses auxquelles elle est habituée.
Carroll précisera que la petite fille avance dans l'histoire comme dans un jeu d'échecs. Je n'ai pas vérifié, j'avoue même avoir vite perdu la visualisation de l'itinéraire d'Alice sur son échiquier imaginaire, et ceci ne m'a pas empêché d'admirer avec quel panache,
Lewis Carroll suit le fil de son récit. N'oublions pas que
Lewis Carroll, ou plutôt Charles Lutwidge Dodgson, a inventé des histoires pour des enfants, au cours de promenades. Ce n'est que plus tard, qu'il les rédigea. Je salue la richesse de son invention.
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