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4,25

sur 2738 notes
J'ai découvert Maxime Chattam avec sa nouvelle : "Carnage" (ma chronique ici) et je n'avais pas spécialement été emballée. Puis il a sorti "Que ta volonté soit faite". Beaucoup ont été très déçu de cette histoire qui était loin d'être à la hauteur de ses précédents écrits. J'ai donc choisi de continuer ma découverte de l'auteur avec ce livre et franchement, j'ai adoré ! du début à la fin, et surtout la fin ! Cela n'a vraiment pas été une déception pour moi, et bien au contraire. (ma chronique ici)
Du coup, cette semaine, un marathon Thriller-Policier était organisé sur Facebook, et j'ai donc choisi de lire "La conjuration primitive" en lecture commune avec Caroline Verdelivre et avec Riz Deux-Zz.

Comment noter ce livre ? 20/20 ? Non le dernier que j'ai noté 20/20 c'était "Purgatoire des Innocents" de Karine Giebel (ma chronique ici) et j'avais vraiment, vraiment eu un gros coup de coeur pour ce livre. Il m'avait fallu un certain temps pour le digérer, et puis il m'a longtemps accompagné dans mes pensées et mes rêves. Ce livre m'avait vraiment vidée, psychologiquement, je n'avais même pas pu le lire d'une traite, me sentant obligée de faire une pause à la moitié du livre tellement je n'en pouvais plus. J'avais vraiment découvert tout une palette de sentiments à la lecture de ce livre. Et même si je vais longtemps me rappeler de ce livre, psychologiquement, il n'a pas eu le même impact que "Purgatoire des innocents ". Ce sera du coup un 19/20 pour Monsieur Chattam.

Pour ce qui est de l'histoire, il s'agit donc d'une équipe de Gendarmerie, qui traquent un pédophile, un Fantôme, et une Bête ... Qui commettent leur crime , très différent les uns des autres, mais en signant le meurtre avec un - *e - gravé dans la chair de leur victime.


Pour vous en dire un chouya plus, la Bête dévore ses victimes, il aurait une mâchoire énorme, difforme, et les violes puis les déchiquette, en emportant plus d'un kilo de leur chair avec lui. Et enfin, il signerait son carnage avec un *e gravé au couteau dans la chair de sa victime. Mais pourquoi ses victimes ont-elles l'air explosé de l'intérieur ? Que fait-il exactement avec ses victimes ? Et cette mâchoire ? Un fidèle compagnon ? Ses propres dents ? Est-il difforme ?

Quant au Fantôme, lui n'a peur de rien, il laisse ADN et empreintes, car il sait très bien qu'il n'est pas connu des services de police, et pareil, il viole et étrangle ses victimes, puis lorsqu'elles commencent à mourir, ce sadique les raniment par massage cardiaque pour pouvoir à nouveau les torturer et les violer, jusqu'à qu'il ne puisse plus les réanimer. Quelle horreur, quel sadique, ce type, il me file la nausée. Lui est beaucoup plus sur de lui, il s'introduit chez ses victimes sans que jamais personne ne remarque sa présence. Lui aussi signe ses crimes d'un - *e - gravé dans leur chair. Mais qui sont ces deux monstres ? Se connaissent-ils ? Et s'ils se renvoyaient la balle et faisaient un concours ?

Petit à petit, d'autres meurtres seront commis au nom de - *e - . Mais encore faudrait-il savoir ce que représente cet astérisque et cette lettre ? Une secte ? Une sorte de religion ? La religion du mal, oui, c'est évident.

On découvre donc une équipe de gendarmes vraiment soudés, que j'ai grandement apprécié. En effet, après 6 ans de Gendarmerie, j'ai trouvé très agréable de retrouver une vraie équipe soudée, un colonel qui encourage et soutient ses troupes ... Mais ça, ça c'était AVANT !! Ou uniquement dans les livres hein !! Parce que dans la réalité, c'est vulgairement " Marche ou Crève ". Bref, Alexis, jeune Gendarme Célibataire qui vit que pour son métier, Ludivine, super Women, femme forte et déterminée, Segnon le grand black et papa de service, et le fameux Colonel Aprikan que j'ai franchement adoré !

Bref, on s'attache vraiment aux personnages, on vit la traque avec eux, les arrestations, l'enquête, tout quoi ... Maxime nous retranche dans nos peurs, nos craintes, et fait en sorte que nous aimions ça. Il nous met clairement le trouillomètre à zéro, et franchement, un peu d'adrénaline, ça ne fait pas de mal.

Le livre est très bien construit, en trois parties : Lui : Alexis, Elle : Ludivine, Eux : les monstres ! Chaque fin de chapitre nous donne envie de connaitre le suivant. Je n'ai pas trouvé de longueur et je suis rentrée dans l'histoire dès le début.

Vous l'aurez donc compris, je vous le R E C O M M A N d'E !!!

Lien : http://libebook81.blogspot.f..
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Maxime Chattam poursuit son étude du mal. Après sa trilogie remarquée où, par l'intermédiaire de Joshua Brolin, il dépouillait les recoins les plus sombres de l'âme humaine sur le territoire Américain. Il décide de démarrer son récit à Paris. Peu importe, le mal n'a pas de frontières.

La section criminelle de Paris va avoir affaire à plusieurs meurtres commis par différentes personnes mais portant la même signature, un *e inscrit sur les lieux des crimes comme seul indice. Intriguant.
Alexis, Ludivine et Segnon sont dans l'impasse devant ce réseautage sordide. Ils décident de faire appel à un profiler renommé pour les sortir de l'impasse.

Joshua Brolin, Guy de Timée et maintenant Richard Mikelis, c'est dire si l'auteur use de ses personnages sombres, intelligents et dotés d'une capacité d'adaptation à l'horreur pour nourrir son appétit de compréhension du mal.

Pour étoffer son intrigue, il décide de nous présenter un (possible) réseau de psychopathes mais cela ne m'a pas empêché de remarquer des redondances avec ses oeuvres précédentes dans la construction du récit, dans la description des scènes de crimes et dans l'analyse générale du morbide.

Malgré tout, le talent de narration de Chattam surpasse le reste et on est obligé de tourner les pages de plus en plus vite pour comprendre ou il veut nous emmener et, encore une fois, le final ne m'a pas déçu.

Cet auteur mérite son succès, on sent le passionné derrière les mots et c'est très agréable. Un talent sincère pour nous embarquer dans ses interrogations qui semble être obsédante pour l'auteur! Une obsession qu'il transmet sans mal à ses personnages et qui leurs apportent une profondeur. Bref, encore un excellent thriller tout à fait recommandable pour ceux qui désireraient sentir ce fameux frisson qui parcoure l'échine au fil des pages... Attention aux âmes sensibles car l'auteur n'y va pas de main morte... si je peux oser l'expression!

Heureusement qu'il coupe de ce climat sanguinolent avec sa saga "autremonde" qui prouve par ailleurs tout l'étendu de sa palette d'écrivain.
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"la conjuration primitive" est l'association d'êtres du genre humain en marge de la société, qui par leurs déviances se regroupent pour que l'on reconnaisse leur statut de sociopathe, psychopathe, pédophiles, violeur, cannibales et autres "freaks" que produit notre société décadente. Sur ce postulat, Maxime Chattam battit son intrigue policière avec malheureusement quelques maladresses stylistiques.
L'écriture est claire et limpide. Mais il y a quelques surenchères dans l'horreur des crimes qui poussent parfois à l'invraisemblance et au sensationnalisme.
C'est toute fois un grand moment de bonheur à lire car on est happé par le rythme et l'intensité des évènements.
L'auteur nous emmène à la réflexion suivante, que le bien et le mal sont bien une affaire de point de vue, selon de quel coté nous nous plaçons.
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Ma dernière incursion chez Maxime Chattam, Que ta volonté soit faite, avait été plutôt mitigée.
Comme je ne suis pas rancunière, je décidai de lui redonner une chance avec La conjuration primitive. Bien m'en a pris.

Je n'adhère pas totalement au style Chattam. Dans l'ensemble, son écriture est fluide et se lit aisément. Mais il lui arrive par-ci, par-là de choisir des termes un peu trop grandiloquents (notamment concernant les regards) qui ne collent pas avec l'ensemble et donnent un côté artificiel aux phrases en question. Après, c'est son style et il fait ce qu'il veut.

Au niveau de l'intrigue, le romancier se montre d'une redoutable efficacité. Les mécanismes narratifs se mettent en placent progressivement, m'empêchant souvent de reposer mon livre. Un vrai "tourne-page". Il plonge sa plume dans l'encre la plus noire pour nous offrir une histoire où le sordide et la monstruosité humaine ne connaissent plus de limite. Il vaut mieux avoir le coeur, l- et le moral! - bien accrochés pour parvenir au bout de ce thriller terrifiant et dérangeant.
On ressent en effet un profond malaise à la lecture des théories décrites par Chattam, théories qui sous-tendent son oeuvre pour ce que j'ai pu en lire jusqu'ici.

Ces réflexions contextuelles forment la partie qui m'interpelle le plus, à vrai dire. Au-delà des nécessités de l'histoire et des ressorts propres au genre, Maxime Chattam aborde la question de l'état de notre civilisation humaine par le biais de la criminologie. Il n'est certes pas le seul puisque le roman policier en général permet de définir un contexte sociétal souvent juste.
Mais Chattam s'avance peut-être plus en tentant de ressortir une théorisation du Mal à travers son univers romanesque. Je dis peut-être car je n'ai pas assez de données sur son oeuvre et sur ses congénères pour me montrer pleinement affirmative. En tout cas, faits divers et actualités un peu partout dans le monde viennent hélas enrichir ses propos...

Il met en scène des personnages très intéressants avec des caractères différents, des forces et des failles qui les rendent crédibles. Difficile d'observer le profileur Mikelis sans penser à la citation de Nietzsche sur l'abîme. C'est véritablement à une mise en abîme que Chattam invite Alexis Timée (tiens, un nom qui me parle...), Ludivine et consorts.

En conclusion, La conjuration primitive offre une lecture palpitante (et inquiétante), ainsi que matière à réfléchir sur la violence et plus généralement sur l'atavisme du Mal. de quoi se dézinguer le moral en deux temps, trois mouvements! Et pourtant, j'en redemande!
Masochisme littéraire, quand tu nous tiens...
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Que dire après la lecture de ce livre qui vous laisse, encore une fois, dans la tourmente de savoir quoi lire après ça!!! Dur dur de passer derrière...
Dans un premier temps, l'histoire commence limite comme un roman à l'eau de rose, si si j'vous jure...bon façon Chattam quand même, faut pas deconner non plus 😉
Et puis tout d'un coup....patatra, c'est le drame!!!et l'auteur se rappelle à vos bons souvenirs en vous embarquant dans son monde et vous n'en ressortirez qu'une fois la dernière ligne lue. Donc, pour ceux qui seraient choqués par la partie "romanesque" du début....accrochez- vous aux rideaux et choyez les bien, vous n'êtes pas prêt de les lâcher.
Tout s'enchaîne à un rythme d'enfer, sans mauvais jeu de mot, dès l'instant où vous serez plongés dans l'histoire. Moi j'en ai battu des records d'apnée à force de plonger dans ce roman, lol.
Rien ne vous sera épargné et l'un des moments phares pour moi se situe au milieu du roman environ où je ne m'attendais vraiment pas à ça ( ma femme m'a demandé affolée se qui se passait quand j'ai crié "Naaaaannnnnn......". Vous comprendrez si vous le lisez 😉.)
Petit conseil, si vous en avez la possibilité et si ce n'est pas déjà fait, lisez la trilogie du mal avant de lire celui-ci.... Là aussi, vous comprendrez en lisant l'histoire.
En tout cas, pour les amateurs du genre, Maxime Chattam ne déçoit pas, en tout cas pas moi et nous transporte dans son monde de malins d'une plume de Maître.
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Un Chattam au pitch énorme, international même, resucée des "Racines du Mal" de Maurice Dantec en beaucoup moins ambitieux et réussi. Chez Dantec, on frise le chef-d'oeuvre, ici on a affaire à un faiseur sympathique.
Le manteau a l'air trop grand pour Maxime qui sous couvert de sortir 2 bouquins par an ne pousse pas son concept jusqu'au bout (bon ok j'extrapole). Facilité ? Fainéantise ? Appât du gain ? Besoin égotique d'assurer une sur-présence ? On ne se plaindrait pas de ce dernier point tant il (l'auteur) est l'un des orfèvres français de la littérature policière horrifique et fantastique. Déjà un de ses maîtres.
Pour durer, il faudra néanmoins aller plus loin chercher au fond de ses tripes et de ses ambitions. Les enjeux et les descriptions, certes crues et gores, accentuent le mal-être, essentiel à la plongée dans le mal et inhérent au genre mais elles masquent l'intensité du propos.
La noirceur est là mais à l'état de brouillon, de clichés, elle est contournée d'un doigt qui n'ose s'enfoncer dans la plaie béante. Chattam décrit le mal et la violence de notre société actuelle mais ne clique pas sur les boutons de façon viscérale pour nous la faire ressentir au plus profond. Ce qui était le cas dans sa trilogie du mal.
Néanmoins, on ne peut pas lui reprocher les cohérences et la pertinence de ses analyses sur l'ensemble de son oeuvre, ce bouquin y compris. C'est un de ses plus grands talents, on saluera l'auteur sensitif.

Une maturation de quelques mois n'aurait pas nuit à l'ensemble pour nous proposer une approche plus approfondie.

Pourtant il n'en manque pas de qualités ce livre.
Comme à son habitude, Chattam nous propose une galerie de personnages humains bien ancrés dans leur époque, attachants, pour qui l'on frémit et s'inquiète. Les twists sont nombreux et impossibles à percevoir (la marque d'un grand) et enrichissent le bouquin au fur et à mesure de notre progression.
On regrettera cependant l'absence d'une figure archétypale à haïr ; ce mal impalpable, insidieux manque d'une figure consistante pour l'incarner mais ceci étant le postulat du livre (le mal est partout et indivisible), ce choix est évident et s'explique.

La meilleure partie (celle qui rehausse fortement la note finale) se situe dans les 50 dernières pages qui en méritaient bien 200 de plus tant l'intrigue est excitante ici.
Action, suspense, lutte haletante contre la mort, Chattam nous rejoue ici une version de western moderne et nous secoue à chacune des pages tournées. On se surprendra à crier tout haut dans son salon ou dans le métro des "ohhhh" puis des "ahhhhh" de surprise, d'angoisse et oui, oui, de plaisirs béats.
Et Dieu que cette fin inattendue remonte le niveau de plusieurs crans ! Au fond, il est fort ce Chattam. Allez je rehausse encore la note.

Bonus de l'auteur : Des clins d'oeil à ses précédents ouvrages ce qui tend à accentuer la mythologie créée par l'auteur et donner une cohérence à l'ensemble de son univers. On saluera donc notamment l'apparition surprise et éclair mais bienvenue d'un des personnages de "La Trilogie du Mal" qui reste pour l'instant une des pièces maîtresses de l'auteur. Et pour ne pas rester sur cette semi-déception (semi-réussite ?), à quand la suite Max ??? 3,5/5
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Je ne rejoindrai pas l'avis général sur ce roman aux critiques si positives. J'apprécie pourtant les thrillers de Chattam mais celui-ci, pas du tout.
Une brigade spéciale de la gendarmerie enquête sur des crimes particulièrement violents, de natures très différentes mais tous reliés par le symbole « *e ». Comment expliquer ce lien ?
Je n'ai trouvé ni originalité, ni personnages attachants, ni intrigue digne de ce nom. L'auteur décortique (avec délectation ?) les scènes de crimes que cela en devient écoeurant car, à mon avis, dénué d'intérêt. Les personnages m'ont fait penser à des acteurs de série B : plats et vides d'émotions. Ils sont juste des « physiques » sans aucune présence. Et je n'ai ressenti aucune tension, aucun crescendo qui pousse à tourner les pages avec hâte.
Bref, je n'ai vraiment pas été convaincue. Dommage.
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Quel plaisir de retrouver Maxime Chattam dans ce thriller très noir. Dès les premières pages, l'auteur nous plonge dans l'horreur de crimes qui ont tous un point commun : *e marqué sur les victimes ou près d'elles. Il apparaît très vite qu'un seul homme ne peut pas être le bourreau. Les trois gendarmes principaux (Alexis, Ludivine et Segnon) s'occupant de l'enquête font appel à un ancien criminologue, Mikelis, ayant pris sa retraite pour leur permettre d'avancer dans leurs recherches. Et les découvertes effroyables qu'ils font sont une plongée dans l'âme humaine, un des sujets préférés de Chattam!
Ce thriller est à la fois captivant et terrifiant. Au grè des meurtres, l'auteur nous méne, bien sûr, en France, mais aussi en Ecosse, en Europe de l'est et au nord du Canada pour un final explosif. Rebondissements, horreur et scénes d'actions sont les maîtres-mots de la conjuration primitive où les différents protagonistes n'ont aucune immunité et peuvent être tués à n'importe quel moment!
Les chapitres courts et la fluidité de l'écriture séduisent tout de suite le lecteur qui est happé par ce récit assez oppressant. La nature de l'Homme et un pan de la Seconde Guerre Mondiale souvent oublié sont traités de manière effrayante mais aussi très réaliste.
Il est difficile d'en écrire plus sans révéler l'histoire…

En résume, Maxime Chattam nous livre un thriller efficace et pesant dans la continuité de sa Trilogie du Mal (un petit clin d'oeil à la fin de la conjuration primitive apparaît pour notre plus grand bonheur) qui réjouira de nombreux lecteurs. N'hésitez pas un instant!

Lien : http://mapetitebibliotheque...
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Un roman très sombre, très dur, mais qu'il m'a été quasiment impossible de lâcher. La psychologie des personnages est fort bien travaillée, tant celle des enquêteurs que celle des coupables ; l'ambiance noire et angoissante est très bien construite, j'ai été absolument prise dans le récit comme une mouche dans une toile d'araignée, impossible de m'en dépêtrer!

Bref, un excellent roman pour tout lecteur ayant le coeur bien accroché, parce qu'il faut avouer que certaines scènes sont abominables.
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Maxime Chattam fait partie de mes auteurs préférés mais ce roman est resté longtemps dans ma PAL, certainement car j'avais un peu peur de replonger dans un roman aussi noir que la trilogie de l'âme du mal.

En effet, on suit l'enquête d'une brigade de gendarmerie et d'un profiler sur plusieurs meurtres dans différents pays mais signés par le même symbole.

Les personnages sont bien décrits et on suit leur enquête avec impatience. le personnage de Ludivine Vancker est intéressant et je comprends qu'il y ait d'autres romans avec elle comme personnage principal. Je lirais peut être ces romans mais je suis quand même contente d'avoir une conclusion à cette histoire.

L'enquête nous plonge dans la psychologie des sociopathes et tueurs en série et fait froid dans le dos. Je n'avais pas d'ailleurs vu venir la fin et celle ci nous fait vraiment espérer que tout ce roman n'est que de la fiction.
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