AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Jack Reacher tome 20 sur 24
EAN : 9782702161494
368 pages
Calmann-Lévy (19/09/2018)
3.6/5   69 notes
Résumé :
Prendre des coups, tomber amoureux et, accessoirement, triompher du dark web : voilà ce qui attend Jack Reacher à Mother’s Rest.
Bienvenue au pays des Grandes Plaines !

Mais pourquoi cette ville s’appelle-t-elle « Mother’s Rest » ? C’est la question qui pousse Jack Reacher à descendre de son train, au beau milieu de la nuit, dans cette bourgade de l’Oklahoma perdue au milieu de vastes champs de blé.
À la gare, une très belle femme sem... >Voir plus
Que lire après Jack Reacher, tome 20 : Bienvenue à Mother's RestVoir plus
NYPD Red, tome 1 : Tapis rouge par Patterson

NYPD Red

James Patterson

3.77★ (705)

6 tomes

Les égouts de Los Angeles par Connelly

Harry Bosch

Michael Connelly

3.82★ (68102)

27 tomes

Bouddha par Cussler

Oregon

Clive Cussler

3.72★ (1237)

16 tomes

Relic (Superstition) par Preston

Inspecteur Pendergast

Douglas Preston

3.83★ (16544)

22 tomes

Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
3,6

sur 69 notes
5
1 avis
4
4 avis
3
3 avis
2
1 avis
1
0 avis
« Ce que j'aime Lee Child »
Aaaahhh non, pour une fois, ce n'est pas moi qui le dis, c'est Haruki Murakami sur la 4ème de couv'!
Et pour une fois que quelque chose est vrai sur une 4ème de couv', je ne vais pas bouder mon plaisir!

Après une escapade parisienne avec La cible était française, retour aux States!

Bienvenue à Mother's Rest!

Le repos éternel de la mère attendra un peu de digérer ce vingtième volet des voyages de Jack Reacher, hein!

Un petit bled entouré de silos à grain, des champs à perte de vue, quelques bâtiments, une route rectiligne et une gare. On ne peut faire plus épuré pour une gentille petite ville.
C'est la curiosité qui pousse Reacher à s'arrêter. D'où provient ce nom, Mother's Rest? Mais on le sait tous, la curiosité est un vilain défaut et Reacher, à défaut de trouver l'origine du nom de cette petite ville, se retrouve entraîné dans la recherche d'un privé, Keever.
Mother's Rest est le dernier endroit d'où il a donné des nouvelles, le dernier endroit où il a été vu.

Aucun indice. Il avait juste appelé une collègue en renforts, Chang, ancienne du FBI devenue détective également.
En renforts de quoi? Chang et Reacher partent de zéro et, laborieusement, avec un solide esprit de déduction, pas mal d'imagination aussi, ils vont à la pêche et remontent peu à peu la ligne. Et Mother's Rest cache bien son jeu. Et dans cet endroit perdu où les portables ne captent rien de rien, c'est pourtant dans le Web profond qu'il faudra plonger pour trouver la solution de l'énigme.

Mais c'est bête, je ne peux en dire plus, je ne peux évoquer le thème de cette « solution » sans éventer le mystère. C'est ballot, vous allez devoir lire le roman! Tout ce que je peux vous dire, c'est que si Lee Child applique la même excellente recette à chacun de ses romans, il n'aborde jamais, mais jamais-jamais, les mêmes thèmes et sait se renouveler à chaque fois!

Quand la 4ème de couv' annonce que Reacher va prendre des coups, c'est vrai. Il va sacrément dérouiller jusqu'à en perdre certaines de ses facultés physiques, mais le mental est tellement fort que ce n'est pas cela qui va l'arrêter!

Quand la 4ème de couv' nous promet un Reacher amoureux… euh… faut pas pousser là! Notre Reacher est un solitaire et il n'est pas plus amoureux que d'habitude! Une charmante partenaire, Chang, à la hauteur de ses activités, efficace dans l'enquête, chaleureuse pour les longues nuits et piii c'est tout!

Et quand la 4ème de couv' nous révèle qu'accessoirement, Reacher va triompher du Darknet, là, je pouffe!
Dans quel roman a-t-on déjà vu Reacher en parfait petit geek? Naaan, il sait demander de l'aide quand l'enquête le pousse dans des domaines d'expertise qui lui sont totalement étrangers et il va ainsi nous permettre de découvrir la fange du Web sombre et l'autre, le Web profond!
Reacher est un solitaire mais il sait aussi intégrer une équipe pour arriver à ses fins, comme à Mother's Rest! Et cette équipe, centrée sur Chang, Reacher et Westwood, le journaliste, ne vont pas modérer leurs efforts ni lésiner sur les moyens pour prendre Mother's Rest à l'assaut (aaah la scène chez le dealer… fallait oser, même si ce n'est pas la première fois que Reacher applique cette méthode pour se renflouer!).

La recette est toujours délectable: des revirements de situation, de l'action, une enquête mystérieuse qui se dévoile peu à peu, l'esprit cartésien d'un ancien militaire qui ne s'encombre d'aucun superflu et… un humour caustique qui pimente les dialogues!

Oups, j'avais oublié de vous faire le rituel rappel de qui est mon chouchou! le voici, Reacher est un ancien de la Police Militaire américaine, mesure plus d'un mètre quatre vingt dix, blond aux yeux bleus, avec toute la rigueur d'une vie passée dans l'armée et une conception pure de la justice, telle que la loi ne peut pas forcément l'appliquer, tout en muscles mais pas mal aussi dans le crâne. Il a quitté l'armée car elle ne pouvait plus rien lui apporter et depuis, il vadrouille au gré de ses envies. Mais il semble être un aimant à problèmes… sûrement à cause de la jalousie que sa liberté suscite… allez savoir! L'esprit vif et les muscles affûtés, Jack Reacher est un loup solitaire peu prolixe, se contentant d'un confort spartiate mais… faut pas le chercher!

En conclusion, pour ne pas changer, une lecture addictive que j'ai dévorée en deux soirées! Une série qui ne s'essouffle pas, à mon sens, et un personnage toujours aussi charismatique et attachant. Et après une incursion dans son intimité familiale avec La cible était française, c'est un Reacher tout en maîtrise qui vous accompagne à Mother's Rest.
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
Commenter  J’apprécie          100
Jack Reacher fait du tourisme. C'est son droit. Il choisit donc de visiter un patelin de l'Oklahoma perdu au milieu d'un océan de champs de blé et nommé Mother's Rest. Pourquoi s'arrêter là ? Parce que ce nom intrigue notre héros qui a de toute évidence troqué sa passion du combat à la brosse à dents au profit de la toponymie. Mais le hasard – quel sacré farceur, celui-ci – fait que justement, au moment même ou Reacher descend de son train, il rencontre une séduisante détective à la recherche d'un collègue qui a disparu récemment à Mother's Rest sans laisser de traces. Et comme la population locale se montre peut encline à répondre à ses questions – sur la disparition du détective et sur l'origine du nom de la bourgade – Jack Reacher décide de prolonger son séjour au grand dam d'une organisation de gens très méchants qui, bien entendu, n'ont rien trouvé de mieux à faire que de s'installer à un endroit où Reacher a décidé de jouer les inspecteurs du Guide du Routard.
Le grand mystère de Bienvenue à Mother's Rest ne concerne en fait pas la disparition du détective Keever, mais plutôt celle du second degré de Lee Child qui, depuis quelques temps, semble s'être volatilisé. C'est d'autant plus dommage qu'il s'agissait d'une des deux seules raisons de lire les romans de Lee Child, l'autre étant le côté réjouissant des combats inégaux que Reacher gagnait immanquablement grâce à sa formidable capacité d'analyse des forces en présence (à savoir lui – un colosse et un génie – et généralement une bande d'abrutis pas fichus de comprendre le danger que peut représenter une Oral B Pro Expert à poil souple placée entre les mains d'un ancien militaire rompu au combat au corps à corps).
Ce que propose donc Lee Child, ce sont les ingrédients habituels de sa série : une intrigue tirée par les cheveux, quelques scènes de bagarre et d'exécutions sommaires (fallait pas embêter Jack), une ou deux scènes de sexe tirée du manuel du bon auteur de roman Harlequin et d'interminables descriptions des actions de Jack Reacher. C'est-à-dire que lorsque son héros décide d'ouvrir un lavabo, Lee Child se sent obligé de nous faire un cours de plomberie et un autre de mécanique des fluides. Et comme dans cet épisode, Jack Reacher prend beaucoup l'avion, on n'ignore plus rien de la manière dont on peu réserver un vol intérieur aux États-Unis (tips : il vaut mieux avoir une carte Gold / attention aux billets open, parfois les vols sont complets). On a une pensée émue pour Elsa Maggion, la traductrice, qui a dû à certains moments avoir l'impression de traduire les conditions générales de vente d'American Airlines. Les ingrédients habituels, donc, à l'exception de ceux qui permettaient d'épicer l'ensemble et en particulier ce recul et cet humour qui ont pendant un certain temps permis de faire des aventures de Jack Reacher des séries B particulièrement amusantes.
Rien n'empêche Lee Child de continuer ainsi. On présume qu'il dispose d'un lectorat qui y trouve son compte. de notre côté, on envisage d'arrêter.

Lien : http://www.encoredunoir.com/..
Commenter  J’apprécie          70
Avis de lecture croisé avec La cible était française du même auteur publié en octobre 2018 sur mon blog :

Je suis clairement à la bourre pour lire toutes les nouveautés que je voudrais dévorer, et je suis encore plus en retard sur la rédaction de ces petites chroniques… Pour rattraper mon retard sur les titres obtenus auprès des éditeurs par le biais de NetGalley, je me suis donc plongé dans des titres « anciens » avant de me précipiter comme à chaque fois sur les nouveautés. Et là, parmi la liste de tous ces bouquins qui me faisaient de l'oeil, j'avais laissé La Cible était française, un bouquin de Lee Child, l'auteur – entre autres – de la saga Jack Reacher, que j'adore lire et voir adaptée au cinéma (mais si, avec Tom Cruise, vous savez !).

Ni une ni deux, je profite d'une météo automnale pendant mes vacances en Corse avec ma liseuse pour rattraper mon retard, et je me lance dans ce premier bouquin sorti l'été précédent. Reacher rend service à ses anciens employeurs militaires pour traquer un tireur d'élite qui a tenté d'assassiner le Président français à plus de mille trois cent mètres, heureusement protégé par une toute nouvelle vitre blindée. À quelques jours de la tenue du G8 à Londres, les services de sécurité sont sur les dents, et lorsqu'une liste d'auteurs potentielle circule, on appelle Reacher pour s'occuper de l'américain qu'il avait déjà mis en prison par le passé.

Le bouquin était top, j'ai adoré la façon dont l'intrigue s'est lentement épaissie, et ce moment où les gentils ne semblent plus tellement l'être est toujours aussi jubilatoire lorsqu'on ne l'avait pas vu venir. À peine la dernière page tournée, je découvre qu'un nouveau titre de la saga Jack Reacher vient de paraître chez Calmann-Lévy, aussi j'en profite pour solliciter Bienvenue à Mother's Rest auprès de l'éditeur, afin de pouvoir rester encore un peu plus avec Reacher.

Ce second titre est un peu différent, on se retrouve perdu dans les étendues de maïs aux États-Unis, à la gare de Mother's Rest, comptoir céréalier s'étant trouvé sur le chemin de Reacher, qui s'est arrêté intrigué par le nom de cette ville. Il ne sera pas déçu du voyage, car la ville et ses habitants lui paraissent très rapidement suspects, comme s'ils avaient tous quelque chose à cacher. Il y rencontrera Michelle Chang, une ancienne agent du FBI devenue détective privée, qui cherche en vain son collègue Keever après qu'il lui ai demandé de rappliquer illico-presto. L'ambiance est radicalement différente de la Cible était française, car Reacher n'est en mission pour personne d'autre que lui-même et son besoin de rétablir la justice. Dans ce bouquin, pas de barbouzerie, pas de militaires, juste des gens d'apparence ordinaire, pourtant pas très clairs avec un secret à protéger, quitte à tenter d'éliminer les étrangers de passage qui se montrent un peu trop curieux. Je ne dévoilerai rien du reste de l'intrigue, si ce n'est que c'est clairement gore, comme dans un bon polar de R.J. Ellory.
Lien : https://www.hql.fr/combo-jac..
Commenter  J’apprécie          70
Jack Reacher n'a vraiment pas de chance. il rentre de France, où se passait sa dernière aventure, il se promène à nouveau dans tous les états d'Amérique, et découvre une petite bourgade de l'Oklahoma au nom évocateur – ce n'est pas la seule ville à avoir un nom bizarre, et s'il vivait ses aventures en France, peut-être se questionnerait-il sur l'origine de nom de communes telles que le pont qui penche ou Tilleul Dame Agnès.
Mais le plus américain des héros crée par un anglais est bien en Oklahoma, et il entend bien satisfaire sa curiosité. Seulement… les habitants ne sont pas très loquaces, comme si la question ne leur avait jamais été posée. Chacun offre bien une explication, si ce n'est qu'elle est bidouillée à la minute pour satisfaire la curiosité de ce fouineur qu'est Jack Reacher, ce voyageur sans bagage.
Et pourtant, il voyagera encore plus que prévu dans ce nouveau volume de ses aventures, parce qu'il rencontre une ancienne agent du FBI, reconvertie en détective, qui est elle-même à la recherche de son partenaire, disparu dans cette charmante bourgade. Sauf qu'elle n'a rien, pas même les motifs qui ont guidé ces pas vers ce village quasiment hors du temps, où les téléphones portables ne passent pas.
Jack Reacher va morfler – un peu, beaucoup. Si l'entraînement militaire est toujours opérationnel, comme s'il restait toujours ce policier militaire, prêt à toutes les éventualités, les adversaires eux aussi sont entraînés, et n'ont aucun scrupule : « Espérer le mieux, se préparer au pire » est le mantra de Jack dès que la phase des combats commence. Il n'est pas seul, certes, mais l'allié dont il a besoin, en plus de Chang, est un spécialiste du net (Jack et la technologie, sauf militaire, cela fera toujours deux), pas des combats – et la violence a une forte tendance à faire irruption dans la vie de personnes très ordinaires, qui s'attendaient à tout sauf à avoir une arme, voire plusieurs braquées sur elles.
Se pose aussi dans ce livre la question que d'autres ne posent pas aussi implicitement : quand a-t-on le droit de tuer ? Si, quand sa vie ou celle de personnes sans moyen de se défendre est directement en jeu, la question ne se pose pas, il n'en est pas le cas… autrement. Reacher tranche, forcément, à chacun, ensuite, de se faire son opinion, comme Chang est amenée à le faire.
D'autres questions se posent au fil de l'intrigue, qui emmène Jack de la campagne à la ville – celle dont on ne montre pas vraiment les quartiers déshérités. Les intrigues des romans de Lee Child sont ancrées dans un réel social, pour ne pas dire, parfois, une misère sociale. Je voudrais simplement ne pas trop en dévoiler.
Bienvenue à Mother's Rest est une enquête qui devrait plaire aux inconditionnels de l'auteur et de son héros fétiche.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
Commenter  J’apprécie          70
Pour ne pas déroger à ses habitudes, l'ancien major Jack Reacher tombe par hasard sur une affaire au cours de ses pérégrinations. Et comme il ne peut fermer les yeux et passer son chemin, il s'implique volontiers dans cette nouvelle enquête. Cette fois-ci, il se retrouve dans une petite ville, perdue au milieu des champs, dont le nom l'intrigue : « Mother's Rest ». Dans cet endroit reculé, il va partir à la recherche d'un homme qui semble avoir disparu. Alors que l'enquête paraît n'être qu'une banale histoire locale au départ, elle l'emmener sur la piste d'un trafic beaucoup plus conséquent.

Comme à l'accoutumée, l'intérêt de ces aventures repose sur les fortes épaules de Jack Reacher. Personnage atypique, faisant preuve de ténacité et de pragmatisme, il arrive toujours à démêler les fils de l'intrigue. Malgré son grand calme, il n'est jamais avare de gifles et autres fusillades. Avec quelques touches d'humour, il est donc l'aventurier par excellence que l'on adore suivre et pour lequel on s'enthousiasme, malgré son caractère renfrogné.

Cette mission est particulière parce que notre héros va dévoiler quelques failles. Lui, le roc insensible, va souffrir physiquement et avoir un coup de coeur pour une femme. Il va donc nous apparaître beaucoup plus humain et encore plus attachant.

Lee Child garde sa marque de fabrique dans la manière d'aborder les thèmes de ses histoires. En effet, il ne survole jamais son sujet, il s'investit en profondeur. Avec toutes les informations dont il nous abreuve dans cet épisode, on ressort du livre avec des connaissances approfondies du Dark Web. C'est intéressant mais parfois un peu lassant, tant il développe les informations et va au fonds des choses.

Cette dernière aventure de Jack Reacher est donc réussie au niveau du contenu. Elle est passionnante même si le rythme est un peu lent à certains moments. Je ne pense pas que ce soit le meilleur tome mais c'est toujours un plaisir de retrouver ce personnage… alors si vous ne connaissez pas encore, foncez, parce que moi j'en redemande !
Lien : http://leslivresdek79.com/20..
Commenter  J’apprécie          80

Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Trois hommes. Le procureur du comté de Maricopa aurait sans doute qualifié leur délit de violation de domicile. (...) Les flics utiliseraient le terme de criminels. Leurs avocats celui de clients. Les politiques de racaille. Les criminologues de sociopathes. Les sociologues d'incompris.
La 110e de la police militaire de morts en sursis.
Commenter  J’apprécie          60
Il se cachait derrière une histoire bidon. C’est peut-être une ruse qu’il a apprise. Ne pas perdre de temps à nier maladroitement, au contraire, fournir tout de suite une explication plausible. Certains peuvent se sentir flattés. Ceux qui voulaient devenir des stars du football. Qui ne le voudrait pas ? Peut-être que ça leur monte à la tête et que ça résout le problème. Et par-dessus le marché, il s’est arrangé pour me donner moins que mon âge. Ce qui est flatteur aussi, j’imagine.
Commenter  J’apprécie          20
- Vous avez un annuaire de la localité? reprit Reacher.
- Pour quoi faire?
- Le poser en équilibre sur ma tête et travailler mon maintien.
- Hein?
- Je cherche un numéro. À quoi d'autre peut servir un annuaire?
Commenter  J’apprécie          50
– Il se trouve que je ne suis pas payé.
– Alors pourquoi vous vous démenez?
– Parce qu’il y a un type qui se croit très malin.
– Et vous l’êtes plus. Vous devez le prouver?
– Je n’ai pas à le prouver. Je veux le prouver. De temps à autre, Par respect. Pour les gens qui sont vraiment malins. On devrait accorder de la valeur aux principes.
Commenter  J’apprécie          10
Il est riche, sans doute. Les gens aussi minces sont riches, en général. Nous vivons une époque étrange. Les pauvres sont gros et les riches, minces. On n’a jamais connu ça avant.
Commenter  J’apprécie          20

Videos de Lee Child (15) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Lee Child
Ken Follett, Kate Mosse, Jojo Moyes et Lee Child à Sciences Po pour The Friendship Tour
autres livres classés : thrillerVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (167) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2868 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..