La petite fille de Monsieur Linh

Encore un livre au bout duquel je n'irai pas. Il m'a pourtant été vivement recommandé.
Une écriture belle et une histoire poétique mais j'ai deviné la fin dès le début et je m'ennuie dans cette histoire qui n'apporte pour moi qu'un effet de style.

C'est très bien écrit , c'est empli de bons sentiments et c'est à peu près tout . Pas mal de clichés également sur l 'Asie du sud-est et ses habitants . Ce n'est pas un mauvais roman c'est juste une vision occidentale de l'exil asiatique alors que les témoignages de gens comme Kim Thúy ou Duong Thu Huong sont tellement plus poignants .
C'est très court heureusement .

De mon point de vue, ce livre n'a pas grand intérêt.
L'histoire n'a rien d'extraordinaire, il s'agit d'une histoire de réfugié un peu plate et sans envergure écrite dans un style simple, voire simpliste. En toute franchise, j'ai même trouvé l'intrigue ennuyeuse et "bobo". Aucune prise de risque formelle ou idéologique, l'auteur ne se mouille à aucun moment.


Je pense que ce livre réjouira les personnes aimant les lectures sans prise de tête, courtes, qui dépeignent avec romantisme la condition de "migrant" fuyant la guerre. J'aime les choses un peu plus corsées en ce qui me concerne.

On m'a offert ce livre, que j'ai donc lu jusqu'au bout... mais avec quelle peine ! J'étais obligée de prendre sur moi et de faire des pauses pour supporter le style - l'absence de style - de cet auteur. Écrire un livre au présent n'est pas facile. Ici c'est loupé à mon avis. La chute récompense une lecture poussive, mais ne suffit pas à donner du corps à l'intrigue ni aux personnages.

Philippe Claudel "La petite fille de monsieur Linh" - éd Stock, 2005

Grande déception. Un récit larmoyant, mièvre, pour faire pleurer Margot dans les chaumières.

Un vieillard réfugié vietnamien se lie d'amitié avec un vieil homme français sans qu'ils n'aient besoin de se parler puisqu'ils ne comprennent pas la langue de l'autre. Séparés, ils se retrouvent dans le dernier chapitre, où l'on découvre que la petite fille de M. Linh était ... (rien de tel que de lire le texte pour connaître la fin !)

J'ai beaucoup apprécié «les âmes grises» et trouvé génial «le rapport de Brodeck», mais là, je suis vraiment déçu. Bof et re-bof.

Quel ennui ce livre! Quel ennui! Rien n'accroche. Ni les personnages fades et auxquels on ne croit pas une seconde, ni l'histoire qui n'en est même pas une! Qui peut croire qu'on enferme les gens âgés qui ne font de mal à personne dans des hôpitaux dans lesquels on les priverait de vêtements et de droit de sortie? Pas en France en tout cas....
Quel style dépouillé jusqu'à l'indigence!
J'ai failli jeter ce livre à la poubelle, de rage d'avoir perdu deux heures! En tout cas, Monsieur Linh ne m'a pas séduite.....

Encore une déception ! Je n'ai pas du tout cru à cette histoire, et le style ne suffit pas à retenir le lecteur. C'est très court, donc ça se lit très vite, mais on sent venir la fin dès le départ... Encore un livre que l'on m'avait conseillé avec enthousiasme : je n'ai pas compris pourquoi.

Je vais être à contre courant mais toujours est-il que je n'ai pas vraiment aimé. Ok l'histoire d'amitié est belle mais le style est abominable et je n'ai rien compris à la fin ^^

J'ai dut le lir epour le lycée. Je n'ais pas vraiment aimé mais j'ai apreciez la complicité entre le gros homme et monsieur Lihn malgré la barière de la langue !
La chute est trés inatendus!

Impression mitigée. Roman gentil d'un gentil vieux paumé dans un monde hostile? Peut-être. Roman sur l'amitié au delà des mots, avec ce gros Bark qu'il ne comprend pas (mais qu'en fait il est le seule à comprendre, bien sûr). Roman sur l'exil, la terre quittée alors qu'on l'aimait et l'hostilité du monde moderne, inconnu, de la ville tentaculaire. Roman de l'amour filial, cette petite fille adorée et inventée, qui raccroche au pays quitté, à la famille, à une vie perdue. On y croyait, naïvement, comme Monsieur Linh, jusqu'à la révélation finale, au moment de la mort, de la mort heureuse, au moment du retour de l'amitié. Bref, un roman de "bons sentiments" qui entraîne fatalement le jugement fatal et peut-être injuste : "On ne fait pas de la littérature avec des bons sentiments". J'ai pensé, en lisant cette petite histoire, à un petit prince qui aurait vieilli, et dont la rose aurait été une poupée. Bof.