Mon arc me murmurait, comme il le fait parfois, de vous tuer. Et quand, à l'aube, je l'ai vu descendre la colline avec ces pistolets de lâche dans les mains, mes flèches m'ont supplié de pouvoir goûter son sang. Mais j'ai rejeté l'idée de meurtre et je me suis fait humble, me haïssant beaucoup plus à cause de mes mauvaises manières et du saké.