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- The Air he breathes, de Brittany Cherry - Hugo New Romance
- The Deal, d'Elle Kennedy - Hugo New Romance
- Letherae Carnet 1 T2, Morgan Malet - Peuple de Mü
- Les pluies, de Vincent Villeminot - Edition Fleurus
- Bad, de Jay Crownover - Edition Harlequin
- La maison des hautes falaises, de Karen Viggers - Editions Escale
- Brasier, de Brandon sanderson - J'ai lu
- Leaving Amarillo, de Casey Quinn, - Editions Harlequin
- L'impasse temps, de Dominique Douay - Helios
- Une autre idée du bonheur, de Marc Levy - Pocket
- le vieux qui lisait des romans d'amour - Luis Sepulvuda- Editions Points
- Comment bien rater ses vacances, Anne Percin
- le jour du lion de Nicolas Cluzeau
- Un Mari récalcitrant, de Cassandra O'Donnell - J'ai lu
- Les mouettes, de Sandor Maray - Livre de poche
- Touch de Danielle Guisano
- L'héritière de Jeanne A Debats- Actu SF
- Witcher, (Sorceleur T0 & 1) Milady
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Hélène
Nicolas Cluzeau/5
11 notes
Résumé :
Le Pirée, mars 1774 ; La frégate française Scylla embarque une cargaison précieuse : de l'or, des armes, deux mystérieuses passagères pour l'Amérique, ainsi qu'un cadeau des Turcs pour son capitaine, Eric van Stabel, la vieille lame d'un corsaire algérien.
Le voyage commence sous de funestes auspices : deux navires de guerre anglais prennent en chasse le Scylla, et l'un des matelots du vaisseau français meurt dans d'étranges circonstances. Et comme si... >Voir plus
Le voyage commence sous de funestes auspices : deux navires de guerre anglais prennent en chasse le Scylla, et l'un des matelots du vaisseau français meurt dans d'étranges circonstances. Et comme si... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6)
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Aventures maritimes depuis le Pirée jusqu'aux amériques avec combat, bien gagné contre 2 frégates anglaises. Une description dantesque d'un combat entre 3 navires avec des détails nous plaçant au coeur du combat. Un intérêt particulier s'ajoute à ce récit, une enquête policière pour retrouver des coupables de crimes faisant partie de l'équipage. Au fil du récit le vocabulaire de la marine pour décrire les différentes arties d'un voilier nous est bien expliqué, avec un lexique en fin de livre. Passionante histoire.
Quel plaisir, quelle aventure, que cela fait du bien en ce moment, de larguer les amarres et partir à travers la Méditerranée sur une frégate au XVIIIᵉ siècle. Ce moment de lecture qui sent bon l'air salin, nous le devons à Nicolas Cluzeau et son excellent roman, un mélange entre polar historique et récit d'aventure.
Nous sommes donc, précisément en 1774, un navire de guerre, une frégate française, la Scylla s'apprête à partir du principal port d'Athènes avec une cargaison un peu spéciale, de l'or, des armes en quantité et deux mystérieuses passagères qui viennent rejoindre deux centaines de marins.
À peine la Scylla a-t-elle pris la mer, que les ennuis commencent, les premiers d'une longue série. La frégate est prise en chasse par deux navires de guerre anglais et un jeune matelot est retrouvé mort. le capitaine van Stabel chargera deux jeunes lieutenants de mener l'enquête à bord, ce qui déliera les langues, nous apprenant par exemple qu'à chaque fois que le navire français quitte un port, une femme est retrouvée morte, atrocement mutilée.
Nicolas Cluzeau, avec ce récit au grand large, nous offre un huis clos dans lequel évoluent de nombreux personnages, qui nous font voyager et nous offrent de magnifiques combats navals, dignes du film Master and Commander. Ce mélange des genres entre polar, histoire et aventure fait que ce récit plaira au plus grand nombre.
Je remercie les éditions du 38 pour ce service presse et félicite cet auteur que je ne connaissais pas, mais dont la plume me donne envie de découvrir ses autres romans.
Lien : https://imaginoire.fr/2020/1..
Nous sommes donc, précisément en 1774, un navire de guerre, une frégate française, la Scylla s'apprête à partir du principal port d'Athènes avec une cargaison un peu spéciale, de l'or, des armes en quantité et deux mystérieuses passagères qui viennent rejoindre deux centaines de marins.
À peine la Scylla a-t-elle pris la mer, que les ennuis commencent, les premiers d'une longue série. La frégate est prise en chasse par deux navires de guerre anglais et un jeune matelot est retrouvé mort. le capitaine van Stabel chargera deux jeunes lieutenants de mener l'enquête à bord, ce qui déliera les langues, nous apprenant par exemple qu'à chaque fois que le navire français quitte un port, une femme est retrouvée morte, atrocement mutilée.
Nicolas Cluzeau, avec ce récit au grand large, nous offre un huis clos dans lequel évoluent de nombreux personnages, qui nous font voyager et nous offrent de magnifiques combats navals, dignes du film Master and Commander. Ce mélange des genres entre polar, histoire et aventure fait que ce récit plaira au plus grand nombre.
Je remercie les éditions du 38 pour ce service presse et félicite cet auteur que je ne connaissais pas, mais dont la plume me donne envie de découvrir ses autres romans.
Lien : https://imaginoire.fr/2020/1..
J'avais acheté ce roman il y a deux ans pour mon père, qui l'a dévoré. Au début du mois, je le lui ai emprunté. Et j'ai adoré aussi ! Lame de corsaire est une incroyable plongée en arrière, au gré du vent et des vagues parfois terribles.
J'avoue m'être un peu perdue au début avec les termes techniques (je ne suis pourtant pas novice !), mais l'auteur a constitué une annexe très précise sans pour autant détailler à l'extrême (jusqu'à ce qu'on n'y comprenne plus rien, quoi). J'ai donc pu rattraper mon retard plutôt vite et avec assez d'aisance pour savourer entièrement le texte. Une intrigue policière (un meurtre) au beau milieu de la mer. Des cadavres, des rebondissements, des batailles navales (j'adore les batailles navales sauf en jeu). Il y a de l'humour, de l'action, un bon jeu entre les personnages (oui, un bon jeu, comme dans les séries TV tellement on s'imagine bien les scènes grâce aux descriptions de l'auteur). J'ai apprécié les protagonistes, de la femme hautaine qui s'achète un semblant de coeur en cours de route à l'amoureux transit qui cherche ses mots.
Ce roman est criant de vérité et donc dur dans le réalisme. Je l'ai dévoré en trois soirées. Trois soirées de pur bonheur !
Seul point négatif que je soulèverai ici (mais je ne suis pas experte dans le domaine de la science légale) : c'est le côté police scientifique en plein 1774. J'ai tiqué à deux reprises, tant ça me paraît inconcevable que de telles déductions aient pu être faites à l'époque (je ne vous dirai pas à quels endroits, évidemment : chronique sans spoilers, comme toujours).
Lien : http://tmblr.co/ZrL3su1D1t2j4
J'avoue m'être un peu perdue au début avec les termes techniques (je ne suis pourtant pas novice !), mais l'auteur a constitué une annexe très précise sans pour autant détailler à l'extrême (jusqu'à ce qu'on n'y comprenne plus rien, quoi). J'ai donc pu rattraper mon retard plutôt vite et avec assez d'aisance pour savourer entièrement le texte. Une intrigue policière (un meurtre) au beau milieu de la mer. Des cadavres, des rebondissements, des batailles navales (j'adore les batailles navales sauf en jeu). Il y a de l'humour, de l'action, un bon jeu entre les personnages (oui, un bon jeu, comme dans les séries TV tellement on s'imagine bien les scènes grâce aux descriptions de l'auteur). J'ai apprécié les protagonistes, de la femme hautaine qui s'achète un semblant de coeur en cours de route à l'amoureux transit qui cherche ses mots.
Ce roman est criant de vérité et donc dur dans le réalisme. Je l'ai dévoré en trois soirées. Trois soirées de pur bonheur !
Seul point négatif que je soulèverai ici (mais je ne suis pas experte dans le domaine de la science légale) : c'est le côté police scientifique en plein 1774. J'ai tiqué à deux reprises, tant ça me paraît inconcevable que de telles déductions aient pu être faites à l'époque (je ne vous dirai pas à quels endroits, évidemment : chronique sans spoilers, comme toujours).
Lien : http://tmblr.co/ZrL3su1D1t2j4
Roman lu suite aux recensions dithyrambiques laissées sur cette page de Babelio.
L'histoire est légère et linéaire, prétexte à un récit de marin au 18è siècle. L'intrigue policière est assez simple et, je suis d'accord avec l'avis d'Aude-r , quelque peu entachée d'anachronismes.
Le style est agréable, le vocabulaire assez basique (avec une propension dramatique à remplacer systématiquement le verbe "dire" par "faire" !), à l'exception du vocabulaire de marine qui est exact (l'auteur semble parfaitement documenté).
Roman d'aventure simple, pour très jeunes adolescents en quête d'aventure maritime dans la lignée de "Le marin des sables" de Michel RAGON qui, lui, est écrit dans un Français irréprochable !
L'histoire est légère et linéaire, prétexte à un récit de marin au 18è siècle. L'intrigue policière est assez simple et, je suis d'accord avec l'avis d'Aude-r , quelque peu entachée d'anachronismes.
Le style est agréable, le vocabulaire assez basique (avec une propension dramatique à remplacer systématiquement le verbe "dire" par "faire" !), à l'exception du vocabulaire de marine qui est exact (l'auteur semble parfaitement documenté).
Roman d'aventure simple, pour très jeunes adolescents en quête d'aventure maritime dans la lignée de "Le marin des sables" de Michel RAGON qui, lui, est écrit dans un Français irréprochable !
Le commentaire de Martine :
Un roman d'aventures qui nous transporte dès le début, à bord d'un navire, je ne suis pas le meilleur marin qui soit, mais je me suis laissé porter par l'intrigue. Une histoire de meurtre en pleine mer, des événements se bousculent, je me suis pris dans les filets de l'intrigue policière, des cadavres, des rebondissements surprenants et des batailles navales. Je me suis mise à mener, moi aussi, une enquête en parallèle de celle écrite par Nicolas Cluzeau.
C'est un auteur de grands talents et d'une imagination féconde qui signe ce récit, Nicolas Cluzeau a une plume intelligente, réaliste et réactive. L'intrigue s'enchaine d'action en action, plus on avance dans l'histoire plus nous sommes mêlées dans le jeu des protagonistes, les batailles navales surprenantes, l'humour qu'intègre l'auteur à quelques moments dans le roman. On ne peut que s'attacher aux deux officiers Christian de Saint-Preux et Georges Verlanger, deux personnages marquants que j'aimerais suivre dans une autre aventure.
Je vous recommande ce roman épique.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
Un roman d'aventures qui nous transporte dès le début, à bord d'un navire, je ne suis pas le meilleur marin qui soit, mais je me suis laissé porter par l'intrigue. Une histoire de meurtre en pleine mer, des événements se bousculent, je me suis pris dans les filets de l'intrigue policière, des cadavres, des rebondissements surprenants et des batailles navales. Je me suis mise à mener, moi aussi, une enquête en parallèle de celle écrite par Nicolas Cluzeau.
C'est un auteur de grands talents et d'une imagination féconde qui signe ce récit, Nicolas Cluzeau a une plume intelligente, réaliste et réactive. L'intrigue s'enchaine d'action en action, plus on avance dans l'histoire plus nous sommes mêlées dans le jeu des protagonistes, les batailles navales surprenantes, l'humour qu'intègre l'auteur à quelques moments dans le roman. On ne peut que s'attacher aux deux officiers Christian de Saint-Preux et Georges Verlanger, deux personnages marquants que j'aimerais suivre dans une autre aventure.
Je vous recommande ce roman épique.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
Citations et extraits (5)
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(en 1774) — Les Grecs luttent pour leur indépendance face à l’Empire ottoman. Le royaume de France soupçonne les Anglais de financer leurs petites armées cachées dans les maquis du Péloponnèse. Il se peut que des espions de la perfide Albion se trouvent un peu partout dans la péninsule. Nous avons déjà sans doute été repérés comme frégate française dans les eaux ottomanes.
p114 ...les tempêtes de Méditerranée mettaient à rude épreuve les qualités nautiques de tous les navires fabriqués de main humaine. Seuls les navires corsaires barbaresques de petite taille, les lougres et autres goélettes s’en sortaient avec les honneurs. Ils étaient faits pour ces eaux capricieuses, sans lyrisme, mesquines.
p29 ... je suis d’accord avec les Anglais : les Turcs sont de bien piètres marins.
— Surveillez vos paroles, François. Ils sont peut-être sur le déclin, mais leur marine a régné en maîtresse absolue sur toute la Méditerranée durant trois siècles.
— Surveillez vos paroles, François. Ils sont peut-être sur le déclin, mais leur marine a régné en maîtresse absolue sur toute la Méditerranée durant trois siècles.
Georges sourit. Le soleil se levait, inondant le vaisseau d’un or étincelant. L’aspirant aimait le moment où le navire prenait de l’erre, lorsque la coque grinçait et grognait, quand l’étrave s’ouvrait un chemin dans l’écume des flots.
p33 — Rechargez, bande de fainéants ! Foutez-moi une branlée à ses salopards d’Anglais ! Boulets ramés ! On va leur démonter leurs mâts à ces bougres de crétins !
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