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EAN : 9782701195230
264 pages
Editions Belin (05/10/2016)
3.84/5   19 notes
Résumé :
Que savons-nous des transformations de leur corps ? Quels rôles avaient-elles dans la famille ? Quels étaient leurs tâches quotidiennes, leurs réalisations techniques et leurs talents artistiques ? De quels pouvoirs disposaient-elles ?

De nouvelles découvertes et de nouveaux questionnements rendent enfin visibles ces femmes qui vécurent aux temps lointains de la Préhistoire, de l’aube du Paléolithique jusqu’aux confins de l’âge du fer.

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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Un essai sur la place des femmes, dans la préhistoire : deux sujets qui me passionnent en un seul livre, que demander de plus comme souvenir de mes vacances en Dordogne ?

Je vis souvent au jour le jour et ne me projette pas facilement dans l'avenir. Par contre, j'ai une sorte de fascination pour le passé, que ce soit le passé familial ou, de manière plus générale, le passé de l'humanité. Aussi ai-je adoré partir à la recherches des indices laissés par nos ancêtres préhistoriques sur le quotidien des femmes à cette époque.

Je me suis surprise, moi qui n'apprécie pas beaucoup les préjugés, à m'en découvrir quelques-uns sur les femmes préhistoriques. J'avais en tête l'image de femmes reléguées dans les grottes pour la surveillance des enfants du groupe et la préparation des repas. Même si ce fût sans doute le cas, leur quotidien était certainement plus complexe. La cueillette, tâche des plus importantes pour l'alimentation de la tribu, leur était manifestement dévolue. Et certaines d'entre elles avaient indubitablement la fibre artistique bien que les paléontologues aient jugé pendant de nombreuses années que les peintures rupestres ne pouvaient être que l'oeuvre des hommes.

Claudine Cohen montre de manière argumentée que les travaux archéologiques et paléontologiques ont longtemps été influencés par les préjugés sociaux. Elle s'attache, comme d'autres avant elle, à détruire ces préjugés qui ont aveuglé l'interprétation des traces de ce passé si lointain qui nous sont parvenues.

En terme de traces, je dois dire qu'elles semblent être relativement peu nombreuses et je doute qu'il soit un jour possible de connaître précisément les conditions de vie des femmes préhistoriques : des sculptures (les fameuses Vénus à l'interprétation si délicate), des peintures et des ossements. La principale difficultés pour les scientifiques réside donc dans le fait que l'étude de la Préhistoire ne peut relever que d'hypothèses non strictement vérifiables. C'est là que l'ethnologie et l'anthropologie apportent beaucoup aux paléontologues.

Cette lecture fût vraiment passionnante et m'a incitée à poursuivre vers d'autres lectures sur ce thème.
Je ne peux émettre qu'un petit reproche : le manque d'iconographie qui m'a obligée à m'interrompre pour aller voir sur Internet à quoi ressemble telle Vénus, tel squelette, telle peinture.
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Après avoir étudié en 2003 « La femme des origines : images de la femme dans la Préhistoire occidentale » (Belin Herscher), Claudine Cohen propose une vision plus globale des « Femmes de la préhistoire » (2016, Belin — rééd. 2019, Taillandier).
Elle y traite successivement de la manière dont la femme est apparue dans notre connaissance de la Préhistoire, de ses représentations, de la femme dans la famille puis au travail, de son rapport au pouvoir et enfin de la domination masculine.
L'ouvrage laisse malheureusement sur sa faim et il y a quatre raisons à cela.
La première est structurelle : nos connaissances sur le rôle de la femme dans les sociétés préhistoriques, si elles progressent, restent très embryonnaires. Les preuves absolues sont rares puisque, comme le montre l'auteur, jusqu'aux squelettes mis au jour donnent lieu à des débats entre experts sur leur sexe. On est le plus souvent réduit à faire des hypothèses, à élaborer des scénarios, et à évaluer leur pertinence. Pour le lecteur, qui voudrait « savoir », suivre l'enchaînement des conditionnels du livre est frustrant, même si on ne peut que saluer la rigueur de Claudine Cohen qui ne nous laisse pas d'illusions sur l'état de ce savoir. Il y a bien ainsi un titre « Histoire du mariage et violence masculine », qui nous laisse entrevoir une réponse à l'envoûtante question « À quand remonte l'institution du mariage ? », mais… le mot mariage n'apparaît nulle part ensuite !
La seconde raison tient à l'époque, que le livre épouse dans ses aspects positifs comme dans ses aspects plus douteux. le constat que Claudine Cohen dresse est indiscutable : la Préhistoire a été longtemps étudiée par des hommes, qui l'ont chargée de leurs préjugés : il allait de soi que les progrès, les innovations et l'art étaient le fait des hommes, et que les femmes ne pouvaient qu'avoir été cantonnées au foyer, vouées à la reproduction et à torcher leurs niards. le livre démonte ces visions sexistes en faisant apparaître que le rôle des femmes à différentes époques et dans différents domaines était — évidemment — bien plus important. Rien ainsi ne permet d'affirmer que les artistes de génie auxquels on doit la grotte Chauvet ou Altamira étaient des hommes — ou n'étaient que des hommes. Certaines mains négatives sont au contraire probablement celles de femmes. Mais s'il est tout à fait légitime de réévaluer le rôle des femmes en pourchassant les préjugés sexistes, il ne l'est pas de vouloir à toute force trouver aux femmes un rôle dont on ne sait pas grand-chose, puisqu'on ne peut le plus souvent que raisonner sur des scénarios : Claudine Cohen valorise donc la position de « la femme préhistorique », mais là encore, avec force suppositions et conditionnels — du moins honnêtes. On peut être résolument féministe et regretter qu'un ouvrage scientifique (ou de vulgarisation scientifique) paraisse plus véhiculer une idéologie féministe qu'un savoir scientifique. En cela, le féminisme de « Femmes de la préhistoire » est aussi critiquable que les travaux machistes dont il critique les préjugés.
Ce n'est malheureusement pas la seule faiblesse du livre et c'est là sa troisième limite ; nous disposons, comme il l'explique très bien, de trois sources pour connaître les sociétés de la Préhistoire : la paléontologie elle-même, avec les restes humains, les artefacts qui les accompagnent (outils, poteries, parures…) et, à partir du paléolithique supérieur, l'art pictural, pétroglyphique et statuaire ; mais toutes ces traces physiques sont muettes, elles ne sauraient fournir leur propre explication. Il faut pour les comprendre les interpréter, en les rapprochant, et aussi en faisant aussi appel à ce que nous voyons et savons de sociétés relativement proches des groupes humains disparus : c'est ce que peuvent apporter, non sans précautions, l'éthologie, notamment l'éthologie des hominidés, d'une part : et l'ethnologie, notamment l'ethnologie des populations de chasseurs-cueilleurs actuels. le problème est que, si Claudine Cohen est à la pointe des recherches paléontologiques, elle n'a ni la même compétence ni la même rigueur lorsqu'il s'agit d'emprunter à l'éthologie et à l'ethnologie. L'auteur se fourvoie par exemple en écrivant que « La disparation des signes visibles de l'oestrus est une caractéristique de la sexualité humaine », à plus forte raison qu'elle serait « sans doute une conséquence de l'acquisition de la bipédie ». Cette disparition caractérise en réalité les hominidés, voire les homininés, et non pas le seul Homo. le passage d'une « sexualité biologique », soumise au cycle des chaleurs, à une « sexualité sociale », dorénavant moins orientée vers la reproduction que vers le plaisir, mais aussi vers d'autres fonctions sociales (consolation, résolution des conflits, domination, montée dans l'échelle sociale...) est à mettre au compte des hominidés et pas seulement d'Homo. Tout le chapitre « Reproduction et famille » est donc fondé sur une hypothèse erronée. du côté de l'ethnologie, voici un exemple de grave approximation : l'affirmation répétée selon laquelle « les chasseurs-cueilleurs actuels, loin de favoriser la fécondité des femmes, s'efforcent plutôt de limiter et d'espacer les naissances. » Il ne faut pas confondre deux choses : le fait que toute société espace effectivement les naissances à un rythme qui ne mette en danger ni les nourrissons ni les femmes (ce à quoi pourvoit naturellement le système contraceptif le plus universellement répandu : l'allaitement), et l'obsession de toutes les cultures humaines pour la fécondité… jusqu'à ce que les progrès de l'hygiène et de la médecine fassent reculer la mortalité, notamment infantile. Claudine Cohen s'interdit ainsi de comprendre la représentation des femmes et des déesses de la fécondité dans les sociétés traditionnelles, y compris celle des Vénus paléolithiques aux attributs sexuels envahissants, mais aussi le rapport qu'entretenaient avec elles leurs compagnons, fait à la fois de vénération pour le rôle de la femme dans la reproduction et de peur devant ce pouvoir magique de leur ventre. Françoise Héritier a révolutionné l'anthropologie en montrant comment ce rapport des hommes au corps de la femme a produit la domination masculine — depuis au moins le néolithique et probablement le paléolithique supérieur.
On est encore confondu devant la naïveté qu'il y a à reprendre aujourd'hui sans mot dire l'idée de Darwin selon laquelle « les membres de l'aristocratie […] sont devenus plus beaux » parce qu'ils ont « choisi dans toutes les classes les femmes les plus belles pour les épouser ». C'est vraiment tout mélanger : la temporalité du biologique, la temporalité du social, la notion sociale, subjective, non définie, de la « beauté », l'accès différencié selon la classe aux artifices de la beauté… Sur ce point précis, Brassens avait, avec « Les sabots d'Hélène », une vision tellement plus sensée que Darwin…
Ces approximations regrettables, lorsqu'il faut faire appel à l'éthologie et l'ethnologie, se retrouvent dans la très grande faiblesse de la chronologie de la Préhistoire, quatrième cause de notre frustration. Si les références au néolithique sont en principe clairement indiquées, plusieurs passages évoquent « la Préhistoire » en général. Mais comment mettre dans un même panier des Habilis vivant il y a 2 millions d'années et les créateurs qui ornèrent la grotte Chauvet il y a 36 000 ans ? Autrement dit, des groupes sociaux dont l'organisation ne devait pas être tellement éloignée de celles de certains hominidés, et des sociétés élaborées assez proches de celles des ethnies actuelles de chasseurs-cueilleurs, et plus tard d'agriculteurs ? Ceci ne met nullement en cause le choix judicieux d'un plan thématique plutôt que chronologique, mais le livre aurait beaucoup gagné à la clarification plus systématique des espèces et des époques dont il parle, quitte à perdre légèrement de son indubitable agrément.
Si ces critiques peuvent sembler sévères, elles ne conduisent pas à dénier l'intérêt de l'ouvrage, bien au contraire. Il reste malgré ses limites un état des lieux documenté et à la pointe des connaissances sur le sujet, tout en restant plaisant et accessible à des lecteurs curieux. Dans le domaine de la Préhistoire proprement dit, Claudine Cohen s'appuie à la fois sur ses propres travaux de chercheur et sur une connaissance approfondie de la littérature qui l'a devancée. Elle a entre autres le mérite de tordre le cou à des poncifs comme celui d'un matriarcat primitif, ou de femmes absentes tant de l'activité noble de la grande chasse que des innovations des différentes époques préhistoriques, ou encore de l'explosion symbolique du paléolithique supérieur. Sans doute depuis bien longtemps sous l'emprise de la domination masculine, les femmes n'en ont pas moins « porté la moitié du ciel » à ces époques reculées, autant que dans les sociétés historiques.
En tout ceci, Claudine Cohen apporte une vision inégalée de ce que pouvaient être et de ce que pouvaient vivre les femmes de la préhistoire.
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Ayant une approche féministe et non de la science de l'humain, j'ai été déstabilisée par ce livre que je trouve peu vulgarisateur.

Le choix de narration est très intéressant, il se veut romancer. le rendu est agréable à lire, comme si nous lisions une histoire. Mais, l'autrice fait de nombreuses références à différentes époques en donnant soit les dates soit le nom scientifique des époques mais jamais les deux en même temps. J'ai trouvé donc qu'il était compliqué de se repérer, surtout que les faits ne sont pas cités chronologiquement, dû au choix de narration. Je trouve qu'il manque une frise chronologique en début de livre pour s'y retrouver.
J'ai fait le même constat pour les parties du squelette humain qui ne sont pas connus de tous, il aurait été judicieux de situer l'emplacement des parties citées de manière vulgarisée, ou de mettre un schéma du squelette humain légendé.
Ainsi que concernant le vocabulaire spécifique à cette science qui n'est pas définit et complique la lecture.

Globalement, ce livre donne un bon contexte de la vie quotidienne des femmes à la préhistoire, en cassant les clichés paternalistes. L'autrice nous dévoile un monde cohérent qui pourraient faire écho aux clichés sur les femmes d'aujourd'hui ou d'hier, je pense notamment à la prétendue passivité et la dévalorisation du travail des femmes.
Malgré tout, j'ai eu quelques difficultés à suivre le flot d'informations car certaines références ne sont pas complètement développées. Parfois, il manque des détails qui me semblaient importants. le plus marquant fut celui sur les infanticides de filles, le sujet est évoqué mais n'est pas développé. Donc de nombreuses questions surgissent mais ne trouve pas de réponse.
De plus, ce livre ne m'a pas éclairé sur le rapport homme/femme au cours de l'histoire et la représentation que j'en avais est à présent encore plus troublée qu'avant la lecture.

Je ne comprenais pas l'objectif de l'autrice, vers où elle voulait nous mener. Elle n'éclaire que peu sur la réalité des connaissances actuelles. Je n'ai pas compris quelles était les limites entre le réel et la supposition ? Elle a prévenue dès les premières pages du peu de données sur ces époques et m'a permis de me préparer à ce flou mais ce n'était pas suffisant vis-à-vis de la narration de l'autrice.
J'ai plutôt eu l'impression, qu'elle voulait déconstruire les préjugés paternalistes du XIX-ème siècle et éventuellement les recontextualisés plutôt que simplement se baser sur les études récentes et plus objectives pour décrire l'état des connaissances actuelles. Mais je me suis retrouvée à lire des histoires de point de vue d'hommes très influencés par le patriarcat du 19ème, que j'aurais préféré ne pas connaitre.

Ce livre à piquer ma curiosité mais m'a laissé sur ma faim. Il n'est pas toujours développé dans des détails, ni les termes abordés ne sont conclus, ne sachant plus quoi comprendre. Si j'avais voulu comprendre pleinement son déroulement de pensée, j'aurai dû faire beaucoup de recherches sur de nombreuses publications scientifiques référencées à la fin du livre, du vocabulaire de la science de l'humain ou d'autres données citées. Je trouve cet essai trop court, il n'est pas assez exhaustif, il n'est pas autonome, il manque des informations cruciales pour comprendre pleinement ce sujet déjà complexe. Son essai n'a pas répondu à mes questionnements et en a soulevé d'autres mais il a l'honneur d'exister. Il y a beaucoup de références scientifiques, qui m'ont donné une fausse sensation de sécurité du réel.
J'ai découvert d'autres livres sur le sujet que je lirai sûrement pour compléter mes connaissances.
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Très intéressant, l'ouvrage nous permet de mieux appréhender l'histoire de la femme préhistorique.

Délaissée des ouvrages scolaires dans lesquels on nous présente seulement "l'homme préhistorique", l'ouvrage de Cohen nous fait entrer un peu plus dans l'histoire de ces femmes qui étaient mères mais également artistes, chasseuses cueilleuses. Bien loin des clichés, se dessine plus précisément le visage de la femme préhistorique.
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Livre passionnant qui ouvre l'esprit et qui nous permet de comprendre comment nous sommes devenus ce que nous sommes. Je suis parfois restée scotchée par certaines hypothèses avancées. Et particulièrement par l'analyse de l'autrice concernant le dimorphisme entre les hommes et les femmes. Se pourrait-il que l'évolution du corps des femmes ait été influencé par le choix des hommes ?


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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
L'iconographie traditionnelle des ouvrages scientifiques, des manuels et des textes de vulgarisation de la Préhistoire a représenté la femme préhistorique de manière conventionnelle : soit victime des débordements de violence témoignant de la barbarie de ces "âges farouches", et de son statut d'objet sexuel sans défense ; soit pour la situer dans une structure familiale semblable à la famille nucléaire et monogame judéo-chrétienne, telle la mère nourricière, entourée d'enfants et de nourrissons, le regard baissé vers la terre et vers sa progéniture, vêtue de haillons laissant apercevoir des formes luxurieuses, tandis que l'homme à ses côtés regarde vers les lointains.
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Ce parcours de la Préhistoire au présent nous fait ainsi mesurer la capacité des femmes, depuis l'aube des temps, de lutter non seulement pour leur survie, mais aussi pour leur dignité, de contribuer à la perpétuation et à l'épanouissement des populations auxquelles elles appartiennent, et de façonner le devenir de l'humanité.
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[...] "les femmes ont plus de pouvoir qu'on ne s'y attendrait pour choisir leurs partenaires et rejeter les prétendants qui leur déplaisent." [Darwin] En témoigne les femmes de l'Arctique quittant leurs maris pour celui qu'elles aiment ; les jeunes filles Abipone qui annulent la transaction entre leurs parents et le fiancé si celui-ci leur déplaît ; celles de la Terre de Feu qui se cachent dans les bois si le prétendant ne leur convient pas ; la course chez les Kalmuks où la jeune fille n'est rattrapée que si le fiancé est à son goût.
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« Si la stature des hommes comme des femmes devient généralement moins robuste aux temps néolithiques, l’accentuation du dimorphisme sexuel et la gracilité des femmes constatée dans certaines populations néolithiques et jusque dans les société actuelles n’aurait rien de naturel ni d’originel. Elle résulterait, d’une part de la sélection par les hommes de femmes qui leur sont inférieures en taille et en carrure, d’autre part d’une pression sélective constituée par un inégal acc!s aux ressources. »
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(...) c'est parce que leur sang coule de façon périodique, que les femmes ne peuvent avoir accès à certaines activités de production. C'est pour cela qu'elles ne doivent pas verser le sang, et particulièrement le sang animal. Les gestes techniques consistant à couper, à percer, leur sont interdits. Pour l'anthropologue, ce tabou doit être situé au fondement de la culture, des structures sociales, et aux racines mêmes de la division du travail.
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Videos de Claudine Cohen (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Claudine Cohen
À quelques jours du premier rendez-vous, Sébastien Gaudelus, programmateur du cycle pour la Bpi, vous propose une rencontre avec Claudine Cohen, conseillère scientifique et animatrice du cycle. Ensemble, ils aborderont les thématiques des rencontres à venir pour mieux comprendre les enjeux sur ces découvertes !
Retrouvez notre dossier "Quoi de neuf sur la préhistoire ?" sur notre webmagazine Balises : https://balises.bpi.fr/dossier/prehistoire/
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