L'Étoile du désert

Yes le nouveau Michael Connelly est enfin là ! Et c'est toujours une joie de découvrir ses livres.
Dans cette histoire on retrouve Renée Ballard, qui après avoir quitté le LAPD, a pu reprendre et reformer la direction de l'unité des Affaires non résolues. Evidemment elle a pensé à Harry Bosch pour la rejoindre en tant que volontaire, tout comme d'autres anciens de la police bien utiles à l'unité.
Bosch, ne pouvant pas refuser, s'attaque directement aux affaires notamment celui d'une famille retrouvé morte dans le désert de Mojave qui le hante depuis des années et en même temps une affaire plus urgente, celle de la mort de la soeur du conseiller municipal.

Dans l'étoile du désert on retrouve enfin Ballard en tandem avec Bosch et c'est pour notre plus grand plaisir, même s'il y a des moments ou Renée Ballard m'a tapé un peu sur le système. Enfin c'est son tempérament et dans l'ensemble celui-ci fonctionne plutôt bien avec Bosch. On sent une certaine confiance entre eux et c'est chouette de les voir évoluer ensemble et puis il y a ce choc des générations que j'aime retrouver entre les 2 personnages.
L'histoire ainsi que son intrigue est toujours maitrisée d'une plume de maitre par son auteur.
Une histoire qui se construit au début et qui finit par nous tenir en haleine et ce jusqu'à la fin ! Un vrai régal !

L'étoile du désert est un livre que j'ai littéralement dévoré, et je suis impatiente de lire la suite !

Je viens de déguster mon étoile du dessert...
Non, non, n'y voyez point de fautes.
Chaque année, j'attends ce moment avec impatience.
Chaque fois le même rituel.
Le matin même de sa sortie, je me précipite chez mon libraire préféré pour me procurer le dernier polar d'un des maîtres du genre, Michael Connelly.
Qu'il s'agisse de Mickey Haller, Harry Bosch ou plus récemment Renée Ballard, trois des principaux acteurs de ses romans, je sais que je vais passer un bon moment.
L'étoile du désert ne déroge pas à la règle.
Le duo Renée / Harry fait des étincelles.
Dans l'opus précédent, Ballard avait claqué la porte. Adieu le LAPD.
On la retrouve ici, un an plus tard, à la tête d'une brigade un peu spéciale.
L'unité des Affaires non résolues.
Créée à la demande du Conseiller Pearlman, qui aimerait que l'on retrouve enfin l'assassin de sa petite soeur.
Renée, afin de mener à bien la mission qui lui a été confiée et avec l'objectif de pérenniser son unité, s'entoure d'anciens professionnels, de la police et de la justice entre autres.
Et comment ne pas faire appel au meilleur flic qu'elle connaisse... Bosch.
Mais attention ! Il y a des règles.
Et les règles, notre cher Harry, aime surtout les contourner.
Les retrouvailles promettent d'être électriques.
L'électron libre, Bosch, est prêt à tout pour trouver et arrêter les coupables, même à se mettre en danger.
Bon, là encore, pas de surprise. Michael fait du Connelly.
Efficace et addictif.
On a beau se dire que l'auteur ne nous surprendra pas, qu'on connaît. On a beau avoir peur du réchauffé. Dès les premières pages, on est happés. 
On se laisse embarquer une fois de plus.
Il y a longtemps que Connelly m'a pris dans ses filets, je ne cherche même pas à en sortir.
C'est trop bon.
À peine refermé, je suis déjà en manque.
Et dire qu'il faudra attendre un an...
Si, si, le nouveau paraît dans quelques jours aux États-Unis.
Allez, si vous avez envie d'un bon polar en cette rentrée littéraire, L'étoile du désert saura vous captiver.

Fan inconditionnelle de Michael Connelly, je lis tous ses livres et son dernier, L'étoile du désert ne m'a pas échappé. J'y ai retrouvé toute la puissance de l'auteur dans l'intrigue et les personnages, même si je trouve que celui de Renée Ballard tarde à décoller.

Harry Bosch s'apprête à prendre des médicaments, quand on frappe à la porte. Ce ne peut pas être sa fille, Maddie, elle a les clés. Quant à ses voisins, ça fait longtemps qu'il s'en est désintéressé. Renée Ballard, oui, c'est bien elle, mais c'est la dernière personne qu'Harry prévoyait de voir ; ils étaient brouillés, ne se parlaient plus.

Renée a obtenu la réactivation du service des Affaires non résolues, elle en est la seule policière, ses coéquipiers sont tous des volontaires non rémunérés. Comme on peut s'y attendre, Harry Bosch est incapable de résister à la proposition de Renée, se joindre à l'équipe.

Le service des Affaires non résolues doit découvrir l'assassin d'une jeune fille de seize ans, soeur d'un conseiller municipal ; c'est la priorité si le service veut survivre. Ce qui intéresse Harry, et ce qui l'a attiré, c'est de trouver le meurtrier de toute une famille.

Harry parvient (presque) à se plier aux directives de Renée, même si on sent qu'il reste son mentor et continue de l'influencer. Il s'y plie presque, disais-je, mais jusqu'à un certain point.

Le roman se dévore, comme de coutume, le suspense de la fin est parfaitement mené et a fait plus que battre mon coeur.

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Rédiger une chronique sur un roman de Michaël Connelly n'est pas une chose facile pour moi. La tentation est grande de seulement écrire « Génial, comme d'habitude ! ». En effet, à chaque nouvel épisode, j'ai l'impression de me répéter. Mais comme je me dois de jouer mon rôle de conseiller, je vais encore essayer de recruter de nouveaux adeptes.

Depuis plusieurs opus, l'auteur est en train d'entamer un virage important avec le passage de flambeau entre Renée Ballard et Harry Bosch. Son vieil héros arrive en bout de course et la jeune inspectrice semble toute désignée pour lui succéder. Pour l'instant, les deux personnages font encore équipe mais cet épisode semble nous rapprocher de l'inéluctable départ.

Pour mes lectures polars, j'aime le glauque, le rythmé, le stressant, mais j'aime aussi les histoires plus simples qui me plongent dans le monde réel. Et c'est là qu'intervient Michaël Connelly avec tout son savoir-faire. Sa maîtrise des milieux criminels, policiers et journalistiques lui permettent de nous offrir une aventure aussi crédible que passionnante. Sans trop pousser les curseurs, il arrive à créer un scénario bien huilé qui se révèle être très efficace.

L'authenticité des protagonistes, de leur quotidien et des affaires rendent ces enquêtes accessibles à tout le monde. Aucune scène n'est inutile, c'est du travail d'orfèvre ! Emporté par une narration maîtrisée, j'ai pris un grand plaisir à retrouver notre inspecteur indomptable, auquel je me suis beaucoup attaché au fil des aventures. Toujours aussi impliqué, il donne encore de sa personne pour faire régner une certaine justice.

Michaël Connelly est un maître du roman policier américain et « L'étoile du désert » est une nouvelle pierre à son édifice. Si vous êtes en quête d'une intrigue policière vraisemblable et captivante, n'hésitez pas à venir faire un tour à Los Angeles !
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L'Étoile du désert de Michael Connelly qui nous offre avec cette histoire son plus beau roman. L'étoile du désert est une fleur qui pousse près et sur certain arbre dans le désert Californien, elle résiste au froid de la nuit et à la grande chaleur du jour. Dans ce coin du désert, Harry Bosch a transformé ce lieu en terre sacrée, car huit ans plus tôt, une famille, un homme, une femme et deux enfants ont été assassinés et ensevelis par un tueur démoniaque. Harry, maintenant à la retraite, travaille comme volontaire dans l'équipe qui s'occupe des cas non résolu que Renée Ballard a formé. Je suis un fan fini de Michael Connelly, car lire ces histoires est une invitation palpitante à la recherche de la vérité sur nous-mêmes. Si une part d'ombre sommeille en chacun de nous, peu en font usage, c'est cela que j'aime de ces romans, des humains ordinaires deviennent le temps d'une opportunité des monstres. Avec le temps, je vois bien que Harry Bosch s'apprête a quitté la scène. Un excellent roman.

C'est avec un réel plaisir que chaque année je retrouve Michael Connelly, même si parfois, comme avec "Les Ténèbres et la Nuit", ces retrouvailles ont été un peu amères. Belle surprise, avec son dernier opus "L'Étoile du désert", l'auteur fait à mes yeux un carton plein.

Bien sûr, nous sommes loin de l'intensité des premières intrigues de la série, Bosch a vieilli (moi aussi...). Il vient ici en aide bénévolement à Renée Ballard qui se retrouve à la tête du service des affaires non résolues. Parmi celles-ci, il y en a une à laquelle tient particulièrement notre ancien inspecteur.
Je reste fan de l'écriture de Michael Connelly. Sa plume est totalement addictive, elle décrit avec autant de talent les techniques d'investigation, les rapports entre police, justice et politique, que la psychologie et les rapports humains. On apprend beaucoup sur tout le système américain sans jamais se lasser. S'y ajoute la manière de l'auteur de faire de Los Angeles un personnage à part entière de l'intrigue.
Et puis, bon je l'avoue, je reste sous le charme de Bosch. J'aime sa tendance à flirter avec la ligne de la légalité et surtout sa grande humanité. Il n'a pas oublié sa devise "Tout le monde compte ou personne". L'image de fin est tout simplement bouleversante et déclenche la note coup de coeur 20/20. Je ne peux imaginer que l'étoile puisse s'éteindre un jour...

L'étoile du désert est le cinquième livre réunissant Renée Ballard et Harry Bosch. Même si vous ne connaissez pas ces personnages, vous pouvez prendre la série en cours, car l'auteur rappelle les éléments importants du passé de chacun et leurs traits de personnalité.

Dans le précédent tome, Renée Ballard avait exprimé sa lassitude au sujet de l'évolution des relations entre la Police et les citoyens. Elle regrettait, particulièrement, que les policiers ne respectent plus leurs missions. Après avoir quitté le LAPD, elle reprend la direction des Affaires non résolues. Cette unité avait été démantelée, mais est prête à renaître de ses cendres. Cette initiative est née de la volonté d'un conseiller municipal : sa soeur a été assassinée, il y a plusieurs années et le meurtre n'a jamais été résolu.

Renée propose à Harry Bosch de rejoindre son équipe, constituée de volontaires, de réservistes et de contractuels. Elle est entourée des meilleurs dans leur domaine : une généalogiste, un ancien magistrat, etc. Pour convaincre son ami, elle un atout : il pourra travailler sur le dossier qui l'obsède depuis 2013 : l'affaire Gallagher. Il est persuadé de connaître le coupable, mais n'a jamais pu le prouver. C'est la seule affaire en cours qu'il déteste ne pas avoir conclue, car une famille entière a été tuée. Très vite, les affaires traitées par le service en font émerger d'autres…

Au fil des tomes, j'apprécie, énormément, le caractère fougueux de Renée. Elle est courageuse, déterminée et emplie d'empathie. Elle a, souvent, agi, en électron libre, peu respectueuse des procédures. Ses nouvelles fonctions donnent de l'épaisseur à son rôle et l'obligent à s'adapter aux règles, alors qu'Harry n'en fait qu'à sa tête. J'ai, aimé, leur complicité, qui grandit avec les années. Renée bataille entre ses nouvelles responsabilités et la confiance qu'elle accorde à son mentor, malgré la personnalité entêtée et rebelle de ce dernier. Leurs relations se sont renforcées, leur attachement l'un à l'autre, est touchant. Ils forment un duo détonant, harmonieux et efficace.

En effet, ils m'ont impressionnée par leur perspicacité et leur ténacité. Pour moi, les enquêtes étaient nébuleuses, je n'avais pas le début d'une piste. Je suivais, aveuglement, les intuitions de Harry et de Renée, même quand ils se trompaient. J'ai été captivée par la progression de leurs investigations : ils reprennent les faits anciens à la lumière des techniques contemporaines, sans négliger le travail de terrain. J'ai, aussi, été intéressée par la description de l'influence de la politique sur le travail de la Police, aux Etats-Unis.

J'ai adoré L'étoile du désert.

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L'étoile du désert, c'est le cinquième roman de Michael Conelly mettant en scène nos duettistes anarchistes, Renée Ballard et Harry Bosch, après « En attendant le jour », « Nuit sombre et sacrée », « Incendie nocturne » et « Les ténèbres et la nuit ».

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L'étoile du désert c'est surtout cette fleur qui s'épanouit dans les terres inhospitalières du désert de Mojave, où un couple et leurs deux enfants ont été retrouvés, enterrés, après avoir été sauvagement assassinés, en 2013. Cette affaire en souffrance, jamais élucidée, hante Harry, c'est sa baleine blanche.

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Harry, 70 ans, intègre en qualité de volontaire l'unité des Affaires non résolues que dirige Ballard, cellule fraichement créée grâce à un conseiller municipal, qui lui demande avant tout de résoudre le meurtre de sa petite soeur, commis en 1994. Sous le panneau qui orne les bureaux, la devise de Bosch : « Tout le monde compte ou personne ne compte ». Dans les bureaux, une équipe de volontaires, dont la description rend honneur à ce principe, un homme imposé par l'équipe du conseiller municipal, un ancien procureur, une généalogiste-medium qui hérisse Harry…

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Harry se partage avec courage, panache et une farouche indépendance entre ces deux affaires. Il retourne chaque pierre, ne laisse de côté aucune piste. Ballard l'accompagne très vite sur ses chemins de traverse, et le lecteur, hameçonné, enchanté, les suit et voudrait ne jamais les quitter.

Chronique de Sérial Lectrice : le petit avis de Kris
J'ai une fois de plus dévoré la dernière enquête de Harry Bosh et Renée Ballard (avec un clin d'oeil à Mickey Haller)
Ce Harry, quel homme !!
Fraîchement nommée à la tête de l'unité des affaires non résolues, l'inspectrice Renée Ballard fait appel à Harry Bosch pour constituer son équipe. Enthousiaste à l'idée d'accéder à de nombreuses ressources, il accepte en espérant pouvoir enfin résoudre une affaire d'assassinat de toute une famille dans le désert de Mojave neuf ans auparavant.
Toujours au plus près des événements. MICHAËL CONNELLY n'en finit pas de nous surprendre. Une enquête, que dis je, deux enquêtes non résolues dont nos héros viendront à bout après maintes déconvenues.
La fin est poignante et m'a quelque peu attristée.
Encore un beau cadeau que nous fait là Mr Connelly.
Lien : https://collectifpolar.blog/..

Renée Ballard est rappelée pour prendre la tête de l'unité des Affaires non résolues, tout juste rouverte. Elle fait appel à Harry Bosch pour rejoindre son équipe. Il accepte, y voyant l'occasion de rouvrir une affaire qui le hante, alors que Ballard insiste pour résoudre la mort de la soeur de l'homme politique qui a permis la réouverture de l'unité.
Je me rends compte que j'ai lu peu de romans de Michael Connelly. Mais je connais Bosch surtout par la série qui le met en scène. J'ai vraiment apprécié l'écoute de ce polar old school, avec des enquêteurs aguerris, hantés par leur passé, qui vient peser dans leurs enquêtes présente. L'histoire est prenante, mêlant les deux enquêtes. Plus on avance, plus il est difficile de lâcher le roman, jusqu'au dénouement, inattendu.
J'ai adoré les personnages de ce roman, particulièrement ses deux héros, aussi attachants l'un que l'autre, déterminés à mener leur enquête jusqu'au bout, mais pris dans les enjeux politiques qui dépassent leur enquête.
Côté narrateur, j'ai beaucoup aimé la voix de Jacques Chaussepied, dont le timbre grave apporte de la profondeur à la narration. Il offre ses intonations variées aux différents personnages avec talent.
Un livre prenant, porté par un excellent narrateur, au service d'un polar à l'ancienne, mais de grande qualité.