AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Kay Scarpetta, agent du FBI tome 17 sur 26

Andrea H. Japp (Traducteur)
EAN : 9782848930824
512 pages
Les Deux Terres (24/03/2010)
3.47/5   200 notes
Résumé :
« En matière de sciences légales, nul n'égale Cornwell ! »
New York Times Book Review
Kay Scarpetta, experte en sciences légales sur CNN, est conseillère auprès du médecin en chef de l'institut médico-légal de New York. Le producteur de CNN souhaite que Scarpetta lance une nouvelle émission. Mais cette notoriété accrue semble à l'origine d'une série d'événements inattendus.

Quand elle intervient en direct au sujet d'une affaire médiatiq... >Voir plus
Que lire après L'instinct du malVoir plus
Le Women Murder Club, tome 1 : Premier à mourir par Patterson

Le Women Murder Club

James Patterson

3.63★ (4746)

22 tomes

Le Désosseur par Deaver

Lincoln Rhyme

Jeffery Deaver

4.12★ (2045)

9 tomes

Michael Bennett, tome 1 : Crise d'otages par Patterson

Michael Bennett

James Patterson

3.74★ (947)

6 tomes

Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
3,47

sur 200 notes
5
2 avis
4
5 avis
3
5 avis
2
4 avis
1
4 avis
Patricia CORNWELL et son héroïne récurrente le docteur Kay SCARPETTA s'essoufflent au fil des épisodes! On est loin des débuts où les récits toniques mêlant des intrigues attrayantes et un suspense insoutenable se terminaient par un final ébouriffant. Dans cet opus on retrouve des personnages empêtrés dans des problèmes psychologiques de plus en plus complexes. L'auteur nous offre également des retours en arrière pour insérer de nouveaux personnages qui justifient (hélas très peu) cette toute petite intrigue. Deux points également qui alourdissent le récit et contribuent à le rendre fatigant à lire tout d'abord la multiplication de personnages mineurs (on a du mal à retenir le rôle de chacun) mais aussi et surtout cette méthode horripilante de construire des paragraphes entiers ou un personnage développe un raisonnement ou fait des recherches sur un thèmes particulier et ce fil conducteur se trouve imbriqué dans un dialogue entre deux autres intervenants qui parlent de tout autre chose contribuant ainsi à casser le (petit) rythme du récit!
En résumé un roman qui, à mon point de vue, mérite le détour, un large détour pour éviter de le lire.
Commenter  J’apprécie          130
Patricia Cornwell n'est plus une débutante. On ne compte presque plus les aventures de Kay Scarpetta qui pourtant ont eu du mal à trouver preneur chez les éditeurs au tout début.
Savez-vous que "Postmortem" avait été refusé à sept reprises ?! Et que dire de sa vie personnelle qui n'est pas un long fleuve tranquille si l'on en croit ce que l'on peut lire sur la Toile. .. Il n'est donc pas étonnant de retrouvé un peu de tout cela dans ses romans et plus particulièrement dans la saga Kay Scarpetta. Les écrivains mettent toujours beaucoup d'eux-mêmes dans leurs livres, de manière consciente ou non d'ailleurs.
Patricia Cornwell a même avoué que si son personnage, Kay, est plus intelligente qu'elle (Patricia l'a déclaré elle-même), il y a quand même des parts d'elle-même dans cette femme médecin légiste.
C'est certainement ce que l'on apprécie dans cette saga, née bien avant l'engouement pour les séries télévisées mettant en scène des scientifiques, des légistes, des petits génies de laboratoire comme dans "Les Experts". Il y a aussi ce côté humain qui fait que l'on n'est pas simplement face à une morgue, une enquête et des analyses froides des indices. Il y a de la vie dans toute cette barbarie urbaine et humaine.

On se demande parfois où l'auteur va chercher toutes ses références et si tout est véridique, mais oui, ça l'est. Elle l'a encore confirmé lors de son passage début avril 2011 sur le plateau télévisé de "La grande librairie" (émission littéraire sur France 5 que je ne rate jamais !). Comme quoi la fiction est souvent largement battue par la réalité. J'avoue que personnellement, cela me glace les sangs de savoir que justement ce n'est point du chiqué ! Brrrrrrrr

Les réfractaires aux smartphones, vous pourrez lire quelques passages bien sentis dans cet "épisode" : les touches trop petites quand on ne porte pas ses lunettes de lecture, les mot de passe qu'il faut taper toutes les 10 minutes si l'on veut sécuriser ses données, la possibilité de vous "tracer" partout , bref de faire tout autre chose que téléphoner en somme ! A bon entendeur….

Pour le reste, le début de cet opus est aussi sombre que l'annonce son titre. On a droit à un tableau pas très reluisant et hélas véridique :
- pauvreté et mort = enterrement dans une fosse commune (de plus en plus fréquent)
- triangle morbide = trois lieux décrits comme n'offrant que peu de perspectives réjouissantes même en cette période de fêtes de fin d'année.
- repas de Scarpetta = sur le pouce, indigeste, immangeable en réalité car sans goût, sans qualité autre que nourrir un organisme et encore pas de manière satisfaisante.
- amoncellement des tâches = les morts trop nombreux dont des indigents sans le moindre sous (retour vers la misère, la pauvreté. La boucle est bouclée).

Cependant, on n'aura pas lu trois pages que nous serons déjà dans le concret (encore plus comme si cela était possible), dans le lancement de la première affaire.
"L'instinct du mal" en comptera au moins deux principales. Ensuite nous aurons droit à tout ce qui touche les personnages récurrents de la saga.
Ces derniers évoluent au fil des romans. Leurs liens se complexifient, ils prennent de l'âge, changent, ne voient plus les choses avec les mêmes yeux… C'est un peu comme dans les séries où vous avez l'enquête ou les affaires qui occupent les protagonistes et en toile de fond, leurs histoires à eux. Pour cela, les ouvrages de Patricia Cornwell sont parfaits.
J'ai trouvé d'ailleurs pour ce tome que l'accent était bien mis sur les états d'âmes de chacun, les deux affaires criminelles étant presque secondaires.

Je ne suis pas une experte de la plume de Patricia Cornwell. Je n'ai pas lu tous ses écrits (désolée). Ce n'est pas un passage obligé et l'on peut très bien lire indépendamment les divers opus, même si le fait de tout connaître doit ouvrir quelques perspectives intéressantes. C'est là encore un peu comme un épisode de série TV qui peut se visionner seul ou dans la globalité de sa saga.

J'ai apprécié ma lecture, même si je ne suis pas restée "scotchée". Il manquait un je ne sais quoi, peut-être un rythme plus soutenu, une écriture un peu moins décousue et qui se perd dans des détails sans grande importance (normal ce sont des détails, mais parfois, ils sont essentiels pour dénouer les noeuds des intrigues).
C'est plaisant (enfin oui pas désagréable à lire quoi), mais ce n'est assurément pas le meilleur de Patricia Cornwell (que j'ai lu).
A découvrir en l'empruntant en bibliothèque ou alors en version de poche.

Lien : http://espace-temps-libre.bl..
Commenter  J’apprécie          50
Kay Scarpetta lance une nouvelle émission et bien sûr des événements se tissent autour de notre médecin en chef de l'institut médico-légal de New York . Efficace et palpitant. Je recommande ce roman . Je ne suis jamais déçue de l'auteur Patricia Cornwell
Commenter  J’apprécie          131
Un roman très décevant.

C'était un roman bien long pour une intrigue policière bien fine.

La moitié du roman concerne les relations des personnages entre eux. Ça peut être intéressant, ça peut apporter de la densité à l'intrigue, mais dans ce cas-ci, ça a étouffé toute l'histoire.En plus, il y a beaucoup (trop) d'allusions aux romans précédents. Des allusions vagues et sans intérêt pour l'intrigue actuelle. C'est frustrant et agaçant quand on ne les a pas lus.

Un quart du roman n'est que redondances. On suit 5 personnages qui enquêtent et on a le fruit de leurs réflexions. Il y a nécessairement des moments où l'auteur se paraphrase. Près de 700 pages en version poche pour une intrigue qui n'avance pas, c'est déjà pénible. Quand l'auteur se répète on frole l'insupportable.

IL reste une intrigue policière.

Pas très dense.

Pas très palpitante.

Et surtout pas du tout conclue. Qui a commandité l'envoi de le carte et de la bombe? Pourquoi? Que venait faire Agee là-dedans? Que s'est-il passé ce fameux soir? Et que venait faire l'étude concernant le biograph là-dedans? Un simple hasard?

Ls quelques réponses qu'on a sont balancées en 3 pages, dans un chapitre d'une quinzaine de pages totalement hors-sujet ...

J'avais adoré les premiers Cornwell, mais la dame a perdu la main.

Il y a suffisament de très beaux auteurs de policiers pour que dorénavant je passe mon chemin.
Commenter  J’apprécie          50
Dans ce roman, Kay Scarpetta travaille maintenant à New York. En plus de ses compétences de médecin expert au sein de l'institut médico-légal, elle est consultante en sciences médico-légales pour CNN.
Quant à son acolyte de toujours, Pete Marino, il est devenu enquêteur pour la la police de New York, rattaché au procureur général.

Par son style particulier Patricia Cornwell plonge le lecteur directement dans l'action. Les explications sont distillées ça et là telles des petites cailloux. le lecteur avisé parvient à saisir les enjeux dès la première lecture; celui qu découvre peine et se sent perdu dans les longs chapitres.
Le vocabulaire est précis, choisi avec soin : la traduction a dû être particulièrement ardue. Mais on est loin des descriptions des autopsies des premiers romans.
Si j'aime relire cette collection Kay Scarpetta, ce roman n'est pas mon préféré. Il conclut péniblement une affaire qui s'est éternisée sur plusieurs romans et plusieurs années. L'inspiration s'essouffle.
Toujours aussi fine cuisinière, l'auteur nous invite , pour le final, à un bon repas de famille. J'y vois une invitation à la digestion de la saga française des Chandonne.
Commenter  J’apprécie          50

Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Scarpetta entra le nom de la fondation Lecoq sur Google. Aucun résultat. Elle tapa ensuite "Monsieur Lecoq" pour voir apparaître les multiples références au roman policier d’Émile Gaboriau, écrit au dix-neuvième siècle. Toutefois, Scarpetta ne trouva aucune entrée au sujet d'une personne réelle nommée M. Lecoq, qui semblait être un riche mécène passionné de psychologie paranormale.
Commenter  J’apprécie          70
Cela fait très longtemps que j'exerce ce métier, bien avant l'intervention du terme "profileur", à l'époque où le FBI jouait toujours à la mitraillette et cherchait à tout prix les communistes, beaucoup moins ceux que l'on nomme les tueurs en série.
Commenter  J’apprécie          60
J'aurais tant voulu ne pas le faire../...J'ai fait beaucoup de choses que je ne peux pas défaire, répéta Lucy.
Nous sommes tous dans le même cas, argumenta Scarpetta. Des mots, une phrase idiote. Tout le monde la serine, mais en réalité on ne peut jamais revenir en arrière. Tout ce qui nous reste, c'est continuer à aller de l'avant en acceptant la responsabilité des dégâts que nous avons occasionnés et en nous excusant.
Commenter  J’apprécie          20
-Je te donnais ton bain, je pansais tes blessures, j'écoutais tes colères, je réparais tous les dégâts que tu semais autour de toi, du moins j'essayais de t'en écarter d'une façon ou d'une autre. Parfois, je fondais en larmes une fois dans ma chambre, parce que tu me rendais folle. J'ai rencontré ta longue liste de partenaires amoureux ou de flirts et j'ai une bonne idée de ce que vous pouvez faire dans un lit parce que nous sommes tous les mêmes, nos corps sont identiques et nous nous en servons de façon similaire. De plus, j'ose dire que j'ai vu et entendu tant de choses dont tu n'as même pas idée...
Commenter  J’apprécie          10
La colère et la haine sont destructrices et je ne veux ressentir ni l'une ni l'autre.
Commenter  J’apprécie          100

Videos de Patricia Cornwell (35) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Patricia Cornwell
Vous l'attendiez, voici enfin le premier épisode du tout nouveau podcast des éditions du Masque : Conversation dans le noir. Chaque jeudi, nous vous proposerons une conversation téléphonique entre éditrice et auteure à écouter sur l'ensemble de nos réseaux sociaux. Dans ce premier épisode c'est Louise Mey qui ouvre le bal avec une conversation passionnante autour des femmes, de l'écriture et du militantisme en temps de confinement. Nous vous souhaitons une bonne écoute !
Extrait lu : https://fal.cn/extraitladeuxiemefemme
Oeuvres citées : Comtesse de Ségur Les quatre filles du docteur March - Louisa May Alcott Fred Vargas Série Kay Scarpetta - Patricia Cornwell Ecriture : Mémoires d'un métier - Stephen King
CRÉDITS : Conversation dans le noir est un podcast des éditions du Masque. Réalisation : Paul Sanfourche. Générique : Longing - Joachim Karud.
+ Lire la suite
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (992) Voir plus



Quiz Voir plus

Quel est le bon titre des livres de Patricia Cornwell ?

Et il ne restera que ... ?

Saleté
Cendre
Particule
Poussière

10 questions
17 lecteurs ont répondu
Thème : Patricia CornwellCréer un quiz sur ce livre

{* *}