Diderot relève de l'insaisissable, il se plaît à mêler tous les genres, roman, conte, nouvelle. De par sa connaissance éblouissante du siècle des Lumières, Yvon Bélaval s'insurge contre les interprétations réductrices de Diderot : "Une influence, note-t-il, n'est subie que par les médiocres".