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sur 1626 notes
C'est frais, bien écrit, sans lenteurs, sans lourdeurs, avec un humour subtil. C'est élégant mais simple. Et, quand je dis "simple", n'entendez pas "simplet" ou "simpliste", non, c'est simple à l'opposé de prétentieux, pompeux. On n'a pas à se retourner le cerveau pour comprendre, il suffit de lire et de laisser l'histoire et les personnages vivre dans notre imagination.
C'est un plaisir que cette lecture, une récréation.

Il y a certains livres dont le titre et l'auteur nous sont si familiers qu'on a l'impression de les connaître sans les avoir jamais lus. En ce sens, j'imaginais que le Petit Chose était un p'tit gars courageux à qui la vie n'avait pas distribué les bonnes cartes et dont le parcours était jalonné de quolibets, vexations, humiliations et injustices.
Que nenni ! C'est un fieffé égoïste, le garçon ! Faible, plaintif, mièvre, pleutre, passablement vaniteux... "petit", en somme. Et les véritables victimes sont surtout les autres. Enfin, les rares bonnes âmes qui lui ont accordé leur affection, leur confiance et se sont laissés endormir par ses jérémiades.

Personnellement, j'ai toujours éprouvé un agacement certain à l'égard de ces gens qui piétinent allègrement la vie et les sentiments des autres et qui, une fois dans l'impasse, s'en tirent avec un simulacre d'auto-flagellation et de larmoiements : "Oin, oin ! Je suis nul, je suis lâche, je le sais ! J'me dégoûte, oin, oin ! Je ne vous mérite pas, oin, oin, oin !"
Et notre Petit Chose est passé maître dans ce domaine, il faut bien le dire. C'en est presque si facile qu'on finit par ne plus trop savoir lesquels, de l'égocentriste ou de ses victimes, sont les plus à blâmer.

Le sage abbé Germane ne s'était pas trompé lorsqu'il lui déclara : "Car vois-tu, mon petit Daniel, tu n'es encore qu'un enfant, et même j'ai bien peur que tu sois un enfant toute ta vie."
La question est donc posée : peut-on en vouloir à un enfant de ses comportements inappropriés ? Non, sans doute, non. Dès lors que son jeune âge les justifie. Plus tard, ça se discute...
Mais la vie n'est pas juste et la chance ne gratifie pas toujours les plus méritants.
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Romantique et poétique, telle est l'histoire du petit Chose ( biographie d'Aphonse Daudet romancée ).
Daniel Eyssette est un des trois fils d'un commerçant cévenol. Celui-ci fait faillite et émigre à Lyon. Au collège, Daniel, de petite taille, avait l'air d'un gone. le professeur disait toujours :
--Hé ! vous là-bas, le petit Chose !" surnom qui lui est resté.
M. Eyssiette, pour contrer la misère menaçante, décide que sa femme vive chez son frère, son grand fils Jacques monte à Paris, et lui-même cherche une place dans le milieu vinicole en Bretagne, tandis que le recteur, ancien ami de M. Eyssette, trouve une place de pion dans un collège cévenol pour Daniel.
M. Viot, surveillant général a un sourire faux et de terribles clefs.
Les élèves ne font pas de cadeaux au timide petit Chose, surtout chez les moyens, grossiers, insolents, et surtout l'élève pas Ducobu mais Boucoyran, qui refuse de sortir, Daniel voit rouge et le sort manu militari : plainte du père, fils qui garde le lit, Principal qui reproche sa mauvaise gestion au petit Chose, renvoi évoqué, et M. Viot souriant sournoisement faisant teinter ses clefs.
Bref, rien de nouveau sous le soleil.
Heureusement, le petit Chose a apperçu les yeux noirs..... :) Et heureusement, il y a un ange gardien, le discret abbé Germane, qui est là au bon moment. " Les gens intelligents parlent peu."
.
5 étoiles, car j'ai aussi connu :
-- la timidité ;
-- le harcèlement ;
-- des parents qui, comme M. Boucoyran père, défendait leur fils indiscipliné contre moi. L'administration pliait ;
-- des anges-gardiens ;
-- des Irma Borel,... eh ! oui, il m'en a fallu plusieurs pour comprendre leur fonctionnement par intérêt !
.
Heureusement, maintenant, j'ai mes yeux noirs :)
.
Mais 5 étoiles surtout pour la fin du roman que je trouve sublime.
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❤️ 📜𝕸𝖔𝖓 𝖗𝖊𝖘𝖘𝖊𝖓𝖙𝖎📜 ❤️

J'ai été enthousiasmé par les mésaventures de Daniel Eyssette, alias Alphonse Daudet.
Dans ce roman autobiographique, on y trouve du rire , des émotions de la compassion.
Ce roman, très largement inspiré de la vie réelle de Daudet, retrace la vie d'un enfant qui confie ses secrets au lecteur,
et ce ton de la confidence donne un charme tout particulier au livre.
Daniel Eyssette le personnage principal ,"le petit chose ", (c'est le sobriquet que lui donne son professeur à l'école) est petit et fragile de constitution, il sera sans cesse malmené et méprisé.
On y découvre un être sensible, timide et introverti, que les aléas de la vie marquent profondément.
Je ne ferai pas de résumé ,simplement que ce " petit chose " est oisif, ingrat, vaniteux
mais on compatit, vu comment il est traité cruellement par son entourage .
Heureusement que son frère Jacques fait tout pour Daniel.
Il l'a pris sous sa protection , substantielle et devient une mère pour lui.
Tellement que je me pose la question ,qui est à plaindre ? Daniel ou Jacques !
Mais Daudet dans sa biographie ,sait tout cela . Daniel plaint Jacques !! et oui !
c'est en quelque sorte une chose que j'ai cru comprendre !à la relecture de cet ouvrage

Ecrit dans un style plaisant ,sous la si belle plume de Daudet, limpide, mais avec ; comment on pourrait dire ; voila ! du caractère .
Les anecdotes les plus simples prennent une dimension extraordinaire , malgré tout on sent aussi son attachement pour un certain Honoré de Balzac, dans certaines tournures de phrases.

Ce roman autobiographique, est une vraie perle, de l' humour et du charme.
écrit par un auteur, qui reste un de nos plus grands avec Balzac,Zola ...
et bien d'autres que vous connaissez dans le mouvement du "réalisme "
qu'il faut avoir lu.
Relire le "Petit Chose", un merveilleux roman « classique » de la littérature ,nous donne l'envie de nous replonger dans cette littérature si belle , qui fait partie de nos racines française , "cocorico" que l'on a tendance à délaisser.
Alors ,allez le chercher dans vos Pal et remettez le en première ligne .
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En ce siècle, le XIXeme, où trônaient de grands écrivains tels Victor Hugo,
Flaubert, Stendhal, Lamartine, Georges Sand, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine....
et la liste est bien longue, Alphonse Daudet en écrivant et publiant " le Petit
Chose " est rentré dans la cour réservée aux grands écrivains du siècle .
C' est en 1868, que fut publié " le Petit Chose", le premier grand roman
d' Alphonse Daudet et qui a connu un grand succès et poussa l' auteur vers
la célébrité et la reconnaissance de ses pairs .
" le Petit Chose" est un roman largement autobiographique , il conte ou
narre l' enfance et la jeunesse de Daniel Eyssette .Ce dernier est un enfant timide,solitaire et pauvre. La faillite des la fabrique de foulards et les créances du père à grandement fragilisé la situation financière de la famille
famille qui se trouve réduite à la pauvreté .
Daniel est traité avec dédain et le professeur qui, au lieu de l' appeler
par son nom utilise un quolibet " le petit chose " qui devient un surnom par
lequel l' appelle ses camarades . Puis Daniel connaîtra, une autre étape
douloureuse, pour lui et qui le touche dans son amour-propre lorsqu' il
deviendra surveillant de collège . Il est méprisé et moqué de tous, élèves
et enseignants .
Ce roman conte , aussi les rêves de Daniel d' une carrière littéraire et
d' un grand amour, ses débuts dans ces deux domaines , les tentations
d' une vie plus facile, qui se révèle sordide , l' aide affectueuse du frêre ainé
Jacques .
" le Petit Chose" est un roman attirant qui se lire facilement .


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J'ai commencé "Le Petit Chose" sans réelle conviction, à moitié convaincue par les éloges de certains de ses lecteurs qui en vantaient la tendresse et une certaine forme de poésie, la touche d'humour et l'enfance. Toutes choses qui habituellement me touchent.
Sauf que "Le Petit Chose" et ses promesses, c'est Alphonse Daudet et... comment dire?... Alphonse Daudet...

J'ai un souvenir effroyable et poisseux d'ennui de "Tartarin de Tarascon". Quant aux "Lettres de mon Moulin", je ne sauverai parmi elles que "L'Arlésienne" qui en classe de quatrième m'avait bouleversée et "La Chèvre de Monsieur Seguin", parce que, c'est bien connu, plus les histoires sont tristes et cruelles et plus elles fascinent et attirent, même si elles font mal. Ah "La Chèvre de Monsieur Seguin"... Celle-là, oui je l'aimerai toujours. Mon papa en avait une version magnifiquement illustrée, le genre d'albums qui sent bon les années 60, et il me la lisait souvent le soir. Naturellement, il en faisait des tonnes, et moi j'adorais ça, j'en redemandais même si j'avais toujours envie de pleurer au moment où le soleil se lève et où succombe la petite chèvre, après s'être tant battue...
La Chèvre et l'Arlésienne, je les garde, mais le reste des Lettres... C'est long... souvent fastidieux. Peut-être que ça a seulement mal vieilli... mais bon sang, la vieillesse n'est pas une excuse. Si?

Par ailleurs, l'homme Daudet n'est pas des plus séduisants quand on se penche sur lui. J'entends bien qu'il faille savoir dissocier un homme de l'artiste et qu'en son temps, ses idées pour nauséabondes qu'elles fussent, étaient fort répandues mais on parle tout de même de l'homme qui prêta à Drumont l'argent qui lui manquait pour publier "La France Juive".

Inutile donc de préciser après tout cela que "Le Petit Chose" n'était pas en tête de mes priorités littéraires.
Et pourtant, magie des lettres, je me suis décidée à m'y plonger et je l'ai tant aimé que je l'ai dévoré d'une traite.

J'ai ri et j'ai pleuré avec ce Daniel Eyssette qui m'a touchée autant qu'il m'a agacée, avec sa sensiblerie et ses pleurnicheries, ses crises de doute et ses angoisses, ses rêves de grandeurs et ses choix discutables.
Je l'ai aimé enfant du midi exilé dans les brumes lyonnaises, enfant de la ruine paternelle contraint trop tôt à quitter le nid pour un pensionnat sans lumières.
Je l'ai aimé, jeune homme terrorisé battant le pavé parisien à la recherche de la gloire qu'un papillon doit lui offrir, trop tendre et pas assez bohème.

Il y a dans ce roman, dont on devine avec compassion la veine autobiographique, l'enfance et surtout le mal qu'elle nous fait lorsqu'elle nous quitte, mais on y trouve aussi en creux une morale bien ambiguë et une vision extrêmement sombre de la société qui contraint bien souvent au renoncement et à l'oubli.
Ainsi "Le Petit Chose" est un ouvrage bien plus profond que ce qu'on pourrait croire, qui emprunte autant à Zola qu'à Dickens, mais à un Dickens qui aurait lorgné, l'espace d'un court instant, du côté de "Peter Pan". C'est sans doute là la force d'Alphonse Daudet dont la plume se révèle d'une poésie souvent confondante, à grands coups de personnifications et d'une sensibilité à fleur de page qui ne transparaît jamais autant que lors des passages où la narration passe presque insensiblement de la première à la troisième personne. C'est plein de grâce et de joliesse et d'une dose d'humour bienvenue, le contrepoint idéal à la tristesse qui nimbe le roman.

C'est triste et drôle "Le Petit Chose", tendre et cruel aussi.
Finalement, c'est un roman qui ressemble un peu à la vie et il en a la beauté.
D'Alphonse Daudet, je n'en attendais pas tant.











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La triste histoire de Daniel Eyssette, a marqué à jamais mes treize ans!
Les épreuves endurées par cet enfant et sa famille, m'ont beaucoup ému et m'émeuvent encore quand je me replonge dans quelque chapitre de ce bouquin.
On dirait que Daudet exorcise la personne qu'il aurait pu être, cet enfant qui refuse de grandir.
Une oeuvre délicate, avec un parfum de tristesse infinie qui ne vous quitte pas une fois le volume refermé.
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Dans ce roman autobiographique, Alphonse Daudet, alias Daniel Eyssette, alias Petit Chose, se morfond sur sa jeunesse et ses débuts à Paris.

Au départ, le Petit Chose paraît sous forme de feuilletons dans la presse et est publié par la suite par son éditeur. le roman est plusieurs fois retravaillé, entre autre, par l'auteur lui-même et s'arrange avec l'histoire pour la transformer en drame. Si bien que dans les derniers chapitres, aidée par les notes de page, je n'ai plus crû à la bonne foi de l'auteur. Cela en devient risible. Il fait des rêves prémonitoires qui n'en sont pas ; plongée dans l'intrigue, je me disais que décidément, il n'avait pas de chance dans la vie, quand les bas de pages m'apprennent qu'en fait, ce qu'il dit est complètement faux.

Il n'en reste pas moins que j'ai beaucoup apprécié ce livre. Je l'ai lu en à peine 2 jours et cela vaut le coup. Même si l'histoire est arrangée, on apprend beaucoup de la personnalité du célèbre écrivain. J'adore ce genre de livre auto biographique.

Entre autre, l'auteur nous raconte son passage en tant que « pion » au collège de Alès. Il en fait tout un plat. Dans l'édition de mon livre, il y a des documents à la fin qui aident à comprendre un peu mieux les choses et en avoir une version moins dramatisée : il y a le témoignage du principal du collège d'Alès quand le Petit Chose y travaillait. Et il y a aussi un mini-pamphlet écrit par Alphonse Daudet lui-même paru dans le Figaro du 24 novembre 1859 : il évoque l'humiliation du métier et la pauvreté dans laquelle il était alors. le texte était rédigé lorsqu'il exerçait le métier au collège. Un anonyme ose répliquer en vantant le métier en publiant un droit de réponse le 1er décembre 1859 et l'auteur lui répond de manière très hautaine et sèche dans le même journal. Cela explique beaucoup de chose sur le caractère de l'auteur.

Lien : https://letempsdelalecture.w..
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Mettre des étiquettes est certes une chose utile, qui permet de cataloguer tout de suite une oeuvre ou un auteur dans un genre précis, ou parfois, de façon plus contestable, de le placer sur un plan plus subjectif, à un niveau plus ou moins sujet à controverse.
Prenez Alphonse Daudet.
Alphonse Daudet, c'est un « gentil ». La chaleur, la bonhomie, la familiarité de ses écrits provençaux, l'empathie qu'il a créée avec ses personnages hauts en couleur et attachants, ont fait d'Alphonse Daudet un ami incontournable de notre enfance, et même après ; d'autant que dans ses autres oeuvres, il s'est souvent penché vers les pauvres, les déshérités, les maltraités, ce qui lui vaut, s'il en est besoin, un regain de sympathie. Mais si vous étudiez un peu sa biographie, vous verrez que c'était un personnage beaucoup plus ambigu : antisémite militant (il a prêté ses fonds et son assistance à la France anti-juive de Drumont) il était clairement anti-dreyfusard (on se demande même comment il pouvait être un ami d'Emile Zola), et sympathisant de l'extrême-droite de l'époque…
Son oeuvre, heureusement, ne reflète pas cet aspect de sa personnalité, en tous cas dans ses oeuvres les plus connues. C'est tant mieux, car ainsi, Alphonse Daudet reste pour nous un « gentil ».
« le Petit chose » dans cette oeuvre multiforme, est un roman un peu à part. Si le ton familier, à la première personne, évoque la confidence personnelle, et reste plutôt agréable et sympathique, on s'aperçoit assez vite que l'histoire de Daniel Eyssette est celle d'un perdant (un « loser » pour ceux qui ne comprennent pas le français) : rien ne va comme il faut pour ce pauvre Daniel : la ruine de sa famille l'oblige à travailler comme pion, mais il ne sait pas résister aux attaques et aux mesquineries de ses collègues ; tentant sa chance comme poète, il ira là aussi de désillusion en désillusion ; quant à la vie parisienne, il y laissera avec ses plumes, une partie de son amour-propre, et finira par se caser avec la fille de son ami Pierrotte, en se persuadant qu'elle lui était destinée. Daniel a toujours un temps de retard, c'est pour cela qu'il reste « le petit Chose », obscur et invisible, et incapable de faire entendre sa voix. D'où, derrière la bonhomie et la familiarité du ton, une nuance d'amertume qui persiste, amertume d'autant plus sensible que faute de volonté, elle ne peut pas se transformer en révolte.
« le Petit Chose » du fait de ces deux tons simultanés et contradictoires : amertume et bonhomie, laisse une impression étrange. le héros reste sympathique, attire même la compassion, mais on reste sur sa faim, on a l'impression qu'il subit sa vie au lieu de la vivre pleinement.
Reste le style de Daudet, familier et généreux, qui nous rend solidaire de ce héros (ou anti-héros) et fait du « Petit Chose » un roman initiatique prenant et attachant, avec des portraits sensibles (la « mère » Jacques, le doux Pierrotte, « les yeux noirs » …), un des chefs-d'oeuvre de l'auteur.
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On y trouve du soleil même si l'histoire est plutôt sombre avec son lot de misères et de sorts qui s'acharnent. Des personnages lumineux rétablissent l'équilibre comme la mère Jacques qui n'est autre que le frère du petit Chose, destiné à rester enfant sa vie durant, par sa taille et son immaturité des choses de la vie.
Une écriture lumineuse comme on aime à lire, comme on peine à retrouver. Un autre siècle, une autre façon de former les phrases. du bel ouvrage et un immense plaisir d'avoir redécouvert ce petit chose. Un retour aux classiques m'irait très bien et je n'oublie pas que Daudet est l'auteur de la chèvre de monsieur Seguin, un livre-poème à apprendre par coeur comme il se doit, comme une poésie.
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J'ai lu quelque part sur Internet (Était-ce une chronique ou un commentaire, je ne m'en souviens plus) un reproche bien surprenant : "Le petit chose ne raconte pas que l'enfance du héros, alors pourquoi le titre complet est-il le petit chose, histoire d'un enfant ? Cette plainte émane d'un lecteur inattentif, car il est écrit à plusieurs reprises qu'un proche lui dit souvent qu'il sera un éternel enfant.
Lien : http://livres.gloubik.info/s..
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