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3,36

sur 578 notes
Il y a des auteurs que l'on reconnaît à la première ligne lue, et Echenoz en fait clairement partie.
Peu d'auteurs décriraient un steward comme une personne dont la qualité principale est la livraison dans de bonnes conditions de plateaux repas en haute altitude. Jean Echenoz si.
Plonger dans un livre de Jean Echenoz, c'est se perdre dans un tourbillon de tournures toutes plus fortes , intuitives, allons y poussons à géniales, les unes que les autres. Dans une langue très riche , les mots sont au service de notre divertissement et avouons le de notre bonheur de lecture.
Mais un livre , c'est avant tout une histoire . Alors quand Jean Echenoz nous narre l'histoire d'un marchand de chaussures Tchèque amené à être un des plus grands coureurs de tous les temps (courir), on s'envole.
Quand il nous narre les aventures de Gérard Fulmard, on se marre bien certes mais pas sur que dans quelques mois , on soit capable de se souvenir de quoi ce Fulmard était bien capable , si ce n'est se balader à haute altitude avec des plateaux repas .
Et finalement, je risque de mélanger un peu avec les grandes blondes ou envoyée spéciale dont la trame me semble ressembler à ce que je viens de lire.
Et puis, et j'ai déjà eu ce sentiment même s'il n'est pas trop prégnant ici, Echenoz me fait penser à un coureur de marathon qui peut enquiller les bornes à 4 minutes par kilomètres mais qui décide de se les faire en 3'55. Résultat, une impression de fluidité , de vitesse , de force sur 90% du parcours et 10 derniers pourcents que l'on finit comme l'on peut. le style est toujours là, mais c'est plus saccadé...

Alors ce Fulmard ? Une brêle . Bon à rien ou à pas grand chose , il se fait embobiner par un parti de tocards , parti politique aux relents vaguement nauséabonds et crédité de 2% aux élections récentes. Ce livre nous narre les aventures de Fulmard et des politiciens, une histoire digne d'un bon Jacky Schwartzmann.
Le principal intérêt du livre , outre cette écriture éblouissante, est sans doute dans les à cotés de l'histoire : Descriptions croustillantes des personnages , anecdotes , digressions de l'auteur...

Vous l'avez compris, pour moi, lire Jean Echenoz , c'est comme s'abandonner dans une grosse bulle, où l'on sait que l'on va s'épanouir et profiter de chaque tournure. La couleur , le sens de la bulle, faut pas trop y faire attention.

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Ah, la prose d'Echenoz ! L'anti-héros, Gérard Fulmard est une sorte de Pierre Richard entraîné dans des évènements qui le dépassent. Les choses se font à son insu, souvent à son détriment, mais sans jamais l'atteindre, comme dans un dessin animé. Même pas mort ! Il est là le ressort narratif, moqueur et bondissant, dans le contraste entre un personnage maladroit et des circonstances dramatiques, d'une improbable gravité (la chute d'une météorite sur un supermarché, le décès d'une pin-up croquée par un requin blanc suite à l'égratignure de son doigt). L'auteur s'amuse, dialogue parfois avec le lecteur, se distancie de son récit pour en allonger le sarcasme. le roman d'Echenoz est un bonheur de lecture parce que sa langue est belle et sophistiquée, que son observation des petits riens du quotidien est jouissive (excellence des litotes et des euphémismes), que sa satire de notre société est irrésistible et que ses descriptions des personnages ou des décors relèvent du grand art (Exemple : « Rassurante autant que majestueuse, non moins autoritaire que bienveillante, la moustache de Franck Terrail ne relève pas de l'assertorique mais de l'apodictique »). On ricane, on apprend des mots nouveaux, on émarge les aphorismes. Cela fait oublier l'obsolescence du sujet (luttes intestines dans un parti politique), l'absurdité des situations et la légèreté de l'intrigue. Voilà un texte qui, signé par un inconnu, serait immédiatement recalé : confusion des personnages, manque de crédibilité, inconsistance de certains personnages secondaires, et j'en passe. Oui mais voilà, c'est Jean Échenoz, et c'est un virtuose. Alors qu'importe, pour la beauté de son style, on le suivrait au bout de ses délires.
Bilan : 🌹🌹
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L'envoyé spécial

Satire du milieu politique sous forme de polar déjanté, la «Vie de Gérard Fulmard» permet à nouveau à Jean Echenoz de casser les codes et de nous régaler avec un anti-héros dépassé par les événements.

S'il n'est pas question de parler de «génie du lieu» pour une rue propice aux faits divers en tout genre, on peut toutefois dire que la rue Erlanger, sise dans le XVIe arrondissement de Paris, a enflammé l'imagination de Jean Echenoz. C'est ainsi que la Vie de Gérard Fulmard s'inscrit dans une série impressionnante. Il n'avait pas un an quand sa mère a failli être victime collatérale du suicide de Mike Brant. Quand le chanteur s'est jeté dans le vide, elle se rendait du marché et, à quelques minutes près, aurait pu être heurté par ce corps devenu projectile. Quelques années plus tard, à quelques mètres de là, sa mère a également vu un étudiant japonais chargé de deux lourdes valises et découvrira quelques jours plus tard qu'elles contenaient les restes du corps de Renée Hartevelt qu'il avait assassinée avant de la découper, «en avait entreposé sept kilos dans le réfrigérateur et, deux jours durant, en avait préparé la plupart selon différents modes de cuisson pour s'en nourrir, l'accompagnant à l'occasion de petits pois».
Quand s'ouvre le roman Gérard Fulmard vit seul rue Erlanger, après le décès de sa mère, et peut poursuivre cette chronique effrayante. Car en revenant du centre commercial voisin, il échappe de peu à la chute d'un vieux satellite russe qui pulvérise le bâtiment. Parmi les victimes se trouve le propriétaire de son appartement, lui offrant ainsi l'occasion de sursoir provisoirement au paiement de son loyer. Comme il a perdu son emploi de steward, cela l'arrange plutôt. D'autant que ses finances sont inversement proportionnelles à son poids. D'un côté le calme plat, de l'autre une surcharge pondérale. Mais Gérard a une idée, il va créer son entreprise. Après avoir un peu tâtonné, il trouve l'inspiration en passant devant un cabinet de détectives et publie cette annonce: «Cabinet Fulmard Assistance, Renseignements & Recherches, Litiges & Recouvrements, Promptitude & Discrétion». Comme on peut l'imaginer, les clients ne se bousculent pas, si ce n'est un énergumène décidé à le piéger. Aussi quand il est approché par un responsable de la FPI (Fédération populaire indépendante), un parti politique qui rêve de jouer les premiers plans, il se laisse entraîner dans ce qui va se révéler une bien sombre affaire, car Nicole Tourneur, une «figure notable de cette sphère», a été enlevée.
Gérard, qui trouve Nicole «pas mal dans le genre de son âge, catégorie mature», va aller de surprises en surprises.
Jean Echenoz, dont on sait au moins depuis Envoyée spéciale, qu'il aime jouer avec les codes, nous offre ici un vrai-faux polar mâtiné de combines politiques où tous les coups sont permis et où le pire devient de plus en plus sûr. le lecteur, à l'image de Gérard Fulmard, va être ballotté par les rebondissements de cette affaire tortueuse qui va créer un joli désordre. En «aiguisant les convoitises et chauffant les rivalités», la situation va vite dégénérer et nous offrir une satire qui pourrait bien sonner comme un avertissement !


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Si on est fan de J.Echenoz, on se précipite sur les Edts de Minuit dès qu'un roman paraît, et c'est mon cas, sauf que...
la vie de Gérard Fulmard est occultée par des digressions sans trop de consistance et s'il se trouve embringué dans les magouilles d'un parti politique telles qu'on les imagine bien d'ailleurs, il m'a semblé trop en retrait , comme un personnage secondaire, alors qu'il est l'anti-héros par excellence, tel que les aime J.Echenoz.
Parce que ce Gérard , rondouillard, terne, sans boulot, que la poisse poursuit plutôt est tout de même digne d'intérêt. Ce que lui accorde Echenoz certes, mais pas assez à mon goût.
En revanche, l'écriture et le vocabulaire de l'auteur irradient toujours, jeux de mots et litotes passent en feu d'artifice,une vraie gourmandise. C'est pour cela que j'attendrai le prochain Echenoz.
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Jean Echenoz ne se prend pas au sérieux
C'est ce qui m'a plu au début du livre
Cette histoire plutôt loufoque d'un ancien steward ,archétype du loser qui traverse des situations invraisemblables et souvent amusantes
Inutile de parler du style .Echenoz s'en fiche éperdument
Tout cela m'a paru plutôt plaisant jusqu'à la page 100
Et ,subitement, un gros coup de blues et une question : pourquoi continuer à lire un livre dont je sais que j'aurai tout oublié demain
Un livre vain comme il en existe des centaines à chacune des multiples rentrées littéraires
Bref , le charme était rompu et j'ai laissé là Monsieur Echenoz qui est , paraît-il, un honnête écrivain
Un livre sans épaisseur qui, malheureusement, n'arrive pas à compenser la faiblesse de l'intrigue par un humour qui disparaît au fil des pages
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« Je ressemble à n'importe qui en moins bien. Taille au-dessous de la moyenne et poids au-dessus, physionomie sans grâce, études bornées à un brevet, vie sociale et revenus proches de rien, famille réduite à plus personne. »

C'est vrai qu'il n'est guère sympathique ce Fulmard. Il s'est fait virer de son emploi de personnel navigant commercial (steward) à cause d'une faute lourde, dont nous ignorerons la nature, si lourde en tout cas qu'elle l'a conduit à être condamné à de la prison avec sursis. Et à une obligation de soins psy.

Il va deux fois par mois consulter un certain Bardot, à qui il ne ment « qu'une fois sur trois ». Il est persuadé que le psy s'en fiche, de ce qu'il peut bien raconter, et il n'a pas entièrement tort. On peut tout de même penser à la fin du roman qu'il aurait mieux valu qu'il l'ignore encore davantage…

Gérard veut se reconvertir : il se positionne sur un créneau de détective privé qui ne dit pas son nom. Bardot, lui, magouille dans un micro-parti politique, le FPI (Fédération Populaire Indépendante), qui se situe « des droites aux gauche les plus diverses non sans quelques détours par le centre ».

Son leader vieillissant, Franck Terrail, n'est plus guère fringant mais a conservé une sorte d'aura que n'ont pas ses dauphins, qui seraient plutôt du genre requins prêts à le croquer. Il bave devant sa belle-fille, et le hasard faisant bien les choses, sa compagne disparaît.

A cause de Bardot, Gérard Fulmard va être contraint d'effectuer des basses besognes pour le compte des affreux du F.P.I.

Jean Echenoz poursuit ici dans la veine de « Envoyée spéciale », son précédent roman. Intrigues policières échevelées, humour dévastateur et style exemplaire en sont les ingrédients principaux. Il y multiplie les clins d'oeil au lecteur, à la Diderot de « Jacques le fataliste et son maître ». Une dernière remarque : on ne lit jamais assez attentivement les titres des romans. Ici c'est le cas.
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Gérard Fulmard, ancien stewart devenu un petit homme falot et sans emploi, décide de devenir détective privé, influencé sans doute par l'exemple de mythiques aînés. Après un début poussif et chaotique, il est appelé par un parti politique pour accomplir de sombres tâches de surveillance qui vont se transformer en basses oeuvres…


Nul besoin de décrire plus longuement une intrigue qui n'a de policière que le nom, tant le ton est parodique, décalé et affublé d'un humour grinçant ! L'auteur cisèle d'autant plus ses phrases et son style que le personnage est inconsistant. Jusqu'où peut-il aller dans cette parodie sans lasser le lecteur ? La mesure est délicate…Pour ma part elle tend vers la baisse alors que, jusqu'à présent, j'avais été sous le charme avec d'autres romans de l'auteur, notamment « Ravel », « 14 », « Jérôme Lindon »,.... Ou comment apprécier l'écriture en elle-même sans être vraiment intéressée par l'intrigue…
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Après Envoyée spéciale, irrésistible parodie de roman d'espionnage, l'inénarrable Jean Echenoz a jeté son dévolu sur le polar noir avec Vie de Gérard Fulmard, dans lequel le lecteur fidèle retrouve le style enlevé et le sens du burlesque d'un auteur qui déçoit rarement. L'écrivain n'est jamais meilleur que quand il évoque la vie d'un individu sans qualités, comme le dénommé Gérard Fulmard (quel nom !), dont l'existence médiocre va s'emballer à la suite de circonstances que seul l'auteur de Les grandes blondes pouvait imaginer. Quand Fulmard raconte à la première personne les différentes péripéties de ses (més)aventures, soit une bonne moitié du livre, c'est du nanan, une suite de scènes croquignolettes que le style très visuel et racé de l'écrivain érige en véritable symphonie pathétique mais gouleyante. le romancier est un tantinet moins inspiré quand il nous fait visiter les arcanes d'un parti politique où la lutte pour le pouvoir fait rage. Echenoz multiplie les portraits avec quelques clins d'oeil évidents à des personnalités existant réellement mais il y a là une accumulation de personnages et de rebondissements qui nous éloignent parfois de ce cher Gérard Fulmard. C'est un léger bémol car l'écrivain est un équilibriste qui réussit toujours à se rétablir et à repartir de plus belle, intégrant avec bonheur les digressions les plus inattendues comme par exemple la défenestration de Mike Brant, chanteur à la mode et de charme des années 70.
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Deux mots sur l'histoire : un dénommé Gérard Fulmard, anti-héros très ordinaire, tente de créer une espèce d'agence de détective et finit par être employé par des membres d'un parti politique pour zigouiller l'un d'entre eux.
Mon ressenti sur le roman : grosso modo, ça donne ceci :
p 7 à 15 : entrée en matière in medias res (ok)… un gros fragment de satellite soviétique vient de tomber sur un supermarché situé pas loin de l'appartement du narrateur (ok)… on attend la suite…
p 16 à 22 : présentation du personnage… j'aime assez, notamment le « je ressemble à n'importe qui en moins bien », certainement la meilleure phrase du roman...
p 23 à 45 : commence ce qui m'a TERRIBLEMENT ennuyée tout au long du récit : un énorme imbroglio politicien (auquel on ne comprend pas grand-chose et qui ne débouche sur rien, je vous rassure, mais ah, ah, ah, c'est très tendance -bien qu'un peu passé de mode, non ?-, très « Nouveau Roman » les leurres, les fausses pistes qui nous interrogent sur la notion d'horizon d'attente, de contrat de lecture... - j'ai tout un cours sur la crise du roman au XXe siècle si ça intéresse quelqu'un-) autour de la F.P.I (Fédération Populaire Indépendante) et des « personnages » (je mets des guillemets, c'est plus prudent) que j'ai toujours confondus (mais c'est voulu, ah, ah, ah, on n'en est plus chez Minuit à la notion de personnage, Sarraute est passée par là… quelle ringarde je fais!) à savoir (dans le désordre, de toute façon, on les mélange tous) : Franck Terrail, Nicole Tourneur (qui se fait enlever je crois, puis on la retrouve mais tout le monde s'en fout, ah, ah,ah...), Louise Tourneur (c'est elle qui se baigne dans une piscine, non ?), un certain Mozzigonaci (qui est-il ? Aucune idée, mais sait-on qui on est ? ), Cédric Ballester (lui, on en parle souvent mais je ne sais plus pourquoi), Joël Chanelle (?) … etc...etc... (ah ah ah et la critique de se pâmer sur l'originalité des noms propres chez Echenoz… mouais, mouais, mouais… passons…)
On continue.
p 46 à 54 : installation du narrateur… On sent que ça se veut vaguement drôle… allez, on sourit, pour être poli (c'est Echenoz tout de même…) Bon…
p 55 à 68 : rebelote, les histoires de la F.P.I auxquelles on ne comprend toujours rien… Long tunnel… On reste patient (Echenoz), on ne s'endort pas (Echenoz), on tente de rester concentré (Echenoz).
p 69 à 77 : le narrateur trouve un client… Bon...
P 78 à 102 : long long long tunnel F.P.I…
p 103 à 108 : où l'on parle de Mike Brant… Pourquoi ? Ne me posez pas la question… C'est original ce passage sur un homme qui a habité la même rue que le narrateur, non ? Faites pas d'effort surtout !
p 109 à peu près jusqu'à la fin (mais là, j'avoue que la coupe était déjà pleine)  : long, ultra long tunnel F.P.I… J'avais décroché et je n'avais qu'une hâte : rendre le bouquin à la bibli. Merci.
Le livre aurait-il passé le test d'une dégustation à l'aveugle ? Pas sûr !
Estampillé « Minuit » ou « Echenoz », ça change tout…
Oui, oui, d'accord, il sait manier la langue, l'ironie et n'utilise, paraît-il, jamais de point de suspension parce que, d'après le magazine LIRE, chez lui rien n'est laissé au hasard... de là à dire qu'on se régale à chaque mot… n'exagérons rien!
Oui, oui, d'accord, il joue avec la narration (changements de point de vue à l'intérieur d'une même phrase, interventions inattendues de l'auteur, multiples digressions, décalages entre ce qui est décrit et le niveau de langue employé) et c'est parfois amusant, mais franchement, on en est encore là ? Sans rire, ces procédés, vus et revus, sont éculés depuis un bon bout de temps et ce qui pouvait surprendre, amuser, déranger même il y a soixante ans ne produit plus vraiment l'effet escompté et tombe un peu à plat…
Tout ça sent le vieux et le réchauffé...
Je vous le laisse...
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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C'est un drôle de roman que je viens de finir. En tout cas, je ne m'attendais pas vraiment à ça, après avoir lu Ravel un roman qui s'ancrait dans la réalité d'une personnage historique. Ici, rien de tout cela: une fiction pure qui gravite autour d'un anti-héros auquel j'ai eu peine à m'attacher tant il est insignifiant et manipulable. On retrouve bien sûr la belle écriture descriptive d'Echenoz mais je me suis demandé un bon moment jusqu'où celui-ci allait m'embarquer. N'était-ce sa réputation, je crois bien que j'aurais décroché. J'ai fini par me convaincre que c'était une espèce de parodie d'un genre que je n'apprécie en général pas et que ce dernier-né d'Echenoz ne me permettait pas de juger de l'entièreté de l'oeuvre. Je vais donc sans doute y revenir mais pour ce qui est de Gérard Fulmard, je crois bien être passée à côté…
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