La littérature sur l'art fit souvent appel à la comparaison entre la poésie lyrique et la peinture, les peintures étant métaphoriquement des poèmes sans texte et les poèmes des peintures verbalisées.
(LA CHINE, Quand l'Europe rencontre le dragon, Les Ming Entre tradition et innovation, p190)
Tant dans sa technique que dans sa composition, Dong empruntait pour un même rouleau à plusieurs peintres. Son art consistait à associer les différents styles pour former une unité organique sans que ses créations paraissent par la suite fragmentées.
(LA CHINE, Quand l'Europe rencontre le dragon, Les Ming Entre tradition et innovation, p190)