Retour en puissance du genre romanesque qui donne la parole aux animaux, des oiseaux en l'espèce... pas nouveau depuis la ferme des animaux de Orwell, ou
les fourmis de
Werber mais un régal.
Les moineaux... volatiles qui doivent trouver les parades, souvent futiles, aux multiples atteintes par un bipède bien connu, sur leur dernier petit havre de nature près d'un vieux moulin.
Dans ce roman, la nature, omniprésente, accompagne ces héros plumés du quotidien, dont les réflexions nous plongent hors de la ville, hors du temps, et tellement loin de nos préoccupations d'hommes "moderne" et ça fait du bien!
N'ayons plus peur de défendre les oiseaux pour qu'ils continuent d'enchanter nos jardins, champs et pour qu'ils peuplent souvent nos rêves ... rêves d'ailleurs.