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3,72

sur 17120 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Attention, avant toute chose, je n'ai nullement l'intention de casser Monsieur Flaubert.
Emma Bovary, je la déteste, et ce depuis de nombreuses années. J'ai cru que ma première impression était due à la fougue de mon adolescence mais une relecture de cette oeuvre l'année dernière a renforcé la haine viscérale que je voue à cette héroine.
Emma l'insatisfaite, qui sait mieux que son mari, qui s'embourbe dans des histoires d'amour abracadabrantes pour essayer de connaître un semblant de frisson...Non mais quelle sale bonne femme! Ce cher Charles Bovary est peut-être un peu benêt mais sa femme est indubitablement la pire des deux. Elle reporte inconsciemment sur ce pauvre diable toute la frustration qu'elle ressent vis à vis d'elle-même et là c'est le bouquet !
Charles, je l'ai plaint et ce tout au long de ma lecture et je me suis délectée quand son poison de femme s'est faite avoir par les deux amants qu'elle a pris. Emma se regarde le nombril, il n'y a qu'elle et uniquement elle, sans se soucier le moins du monde de ce que peut engendrer une telle conduite...Après tout elle a semé le vent, elle a récolté la tempête et c'est bien fait...
En ce qui concerne l'oeuvre en elle-même, c'est un bijou, un colossal portrait de femme d'une finesse incomparable. Emma est détestable, mais c'est chapeau bas pour Gustave Flaubert qui a reconstitué un tel caractère avec tant de détails. A travers cette femme il a poussé au plus loin l'exploration de l'âme humaine.
C'est un grand roman, malgré les trois étoiles de notation que j'ai mis il faut le lire, au moins une fois pour se faire une idée.
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Que les temps ont changé depuis que Emma fit scandale et voeux de lubricité dans cette France bien pensante ou la femme se conjugue à la potiche, reine mère de son domicile, astiquant son ennui d'une société à la gloire des hommes bien portés sur leur nombril qu'il distingue à peine sur une épaisse couche d'imbus bedonnant qui se nombrilise dans une société ou les couilles dictent les conventions entre deux nichons maternels qui leur rappelle au combien ils sont forts, et indispensables à la survie de notre espèce…

Ça fait un moment que j'ai lu ce bouquin, trop jeune certainement pour y trouver un quelconque intérêt pornographique laissant cours à mon adolescence corrompue par cette main entreprenante qui n'y trouvait qu'un ennui profond entre deux pages de sopalin…

Ah l'adultère, l'infidélité, ou euphorie orgasmique d'un cinq à sept drapé dans un hôtel romantique enivré d'une routine pépère, le cul affalé dans le canapé à se bercer d'illusions machistes, éduqué depuis tout petit à considérer pour acquis cette douce femme délicieuse qui partage votre ennui dans la joie et la maternité….

Mais messieurs les temps ont changé, la femme s'émancipe dans des draps de soie, elle aspire à mouiller pour son indépendance, celle réservée aux hommes depuis trop longtemps, héros de conquêtes asservies à leurs désirs les plus virils, mais elles aussi aimeraient pouvoir profiter, agenouillées subissant la vindicte masculine qui impose ses règles de bonne conduite sous couvert d'une légitimité imposée, larguant leur semence sur les valeurs fondamentales inventées :

« Papa ce héros, maman cette salope… »

Drôle d'idée que de croire à l'unique et précieux ennui qui viendra un jour l'autre pompé votre quotidien, à cette compagne qui vous faisait tant bander avant que la fée routine ne transforme le prince et la princesse en deuxième roues du Carrosse… aujourd'hui les femmes veulent participer à l'orgie lubrique, croquer dans la pomme un soir de désir, de fantasme, cédant à la luxure, abandonnant homme et enfant pour les plaisirs de la chaire défendue, réservée honteusement à l'élite masculine qui se pavane de milles aventures levretantes…

Mon père était un macho, bien qu'il ne soit pas mort, il n'est plus que l'ombre de lui-même m'imposant à juste titre l'emploi de l'imparfait, pourtant j'ai toujours considéré la femme à sa juste valeur, à l'égal des hommes, je ne comprendrais jamais cet acharnement d'enculé de sa race dont elles ne sont que les victimes d'une force physique plus avantageuse…

L'infidélité et entrée dans les codes de bonne conduite, aussi bien pour les femmes que pour les hommes, ne serait-ce que pour tromper l'ennui d'une vie monotone, pour se flatter l'égo, pour s'astiquer l'orgueil, ou même par amour, ce qui fit scandale à l'époque est rentré dans les moeurs de notre société, parfois douloureuse, elle s'enivre de toutes nos illusions perdues, élevé dans la croyance égoïste que vous êtes l'élu de toute une vie, alors que la bite du voisin vous fait de la mouille, inutile de résister à l'appel des désirs interdits qui nous enfermeraient dans les regrets, ridé par las années qui passent à se damner la liberté pour une croyance populaire qu'ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant…

Il reste du chemin à faire pour considérer cette grâce féminine aux courbes délicieuses comme ce bonheur sucré dont nous sommes les bourreaux et non les enfants apeurés qui tétaient encore hier l'essence de la vie…

A plus les copains
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" L'impossibilité de voir, et d'honorer, les limites, les siennes, et celles des autres, est la marque de la plupart des pathologies mentales".

C'est ce que me disait une amie, psychologue, clinicienne.

Penible, la lecture de Mme Bovary. Je me suis traîné à marches forcées de vingt à trente pages à travers ce livre. C'est que je n'abandonne pas un livre commencé, sauf à n'y rien comprendre ou à ne plus pouvoir tolérer la nausée.

Soyons charitables, et pensons que la déscription interminable du monde mortifère où Emma végète entourée de ploucs de pédigrés divers - je suis charitable comme vous le voyez - est un artifice littéraire déstiné à nous faire ressentir tout son écoeurement devant cette vie où les autres se complaisent. On la comprend. Surtout qu'élevée au pensionnat des bonnes soeurs, pétrie de romans chantant l'amour idéal - romans lus en cachette au dortoir - oui, intelligente et jolie, elle aime à attirer l'attention.

Que peut-on faire, là-bas, à cette époque, d'une fille qui a terminé ses études secondaires? Et bien, elle retourne naturellement à la maison paternelle en attendant que quelqu'un demande sa main ! On reprise des chaussettes, on s'occupe, on attend. J'ai dit : on attend !

Voilà que se pointe un brave garçon, médecin de campagne, qui demande sa main. C'est lui qui doit être le prince revé ! Allons-y ! Alors commence une vie conjugale qui correspond aux désirs de l'un, mais qui fait déchanter l'autre : Charles s'attend à une vie tranquille, où il développe sa pratique, mange, parle, dort avec sa femme, qui, aidée d'une servante, tiendrait la maison. Elle, elle lui déclame des vers, le soir, au jardin,en espérant (r)éveiller l'amour, le vrai ! Et, vous ne me croirez pas, mais ca ne marche pas ! Pourtant, au dortoir de l'internat, ca faisait des merveilles !

Commence alors la déscente aux enfers d'Emma, déscente interrompue - non, accélérée - par des images d'une autre vie : le bal du marquis, des fantaisies de vie Parisienne, mais surtout les liaisons, qui se succèdent. Celles-ci sont poussées de plus en plus loin, et s'affichent progressivement au grand jour, dans un petit pâtelin du XiXième siècle. le comportement scandaleux d'Emma, ses exigences de plus en plus baroques chassent les amants. Ne trouvant pas l'Amour - fantasmé comme une sorte d'orgasme total, final et perpétuel - elle enrage, et accumule les dépenses extravagantes entre deux week-ends avec un amant. C'est cela qui finira par mettre fin à l'aventure : la ruine financière, pure et simple. Et le suicide, comme seule issue. Au fond, son suicide est la seule chose qu'elle n'aura pas raté. Ah non, j'oubliais : elle a réussi à faire une gosse. Pas qu'elle s'en soit occupée, d'ailleurs. Elle avait mieux à faire ailleurs. Quelle conne.

Et quel con, l'imbécile de Charles, le mari qui n'a rien vu, rien compris, tout laissé faire, et qui continue à l'aimer même quand elle l'écrase d'un mépris froid et total, lui, le pauvre médecin de campagne qui voulait simplement vivre heureux avec elle, croyant et continuant à croire qu'elle partagerait ses vues, sans doute par simple manque d'imagination. Garçon pas trop futé, dont l'horizon est celui des limites du village, il n'a rien compris à sa femme. Dépassé par la situation depuis le debut, Charles ! Quand on s'aime, c'est assez, non ? Mais elle ne t'ame pas ! Elle aime quelqu'un qui n'existe pas, qui ne peut pas exister : l'amant idéal .

Apprendre à vivre avec ses limites, et celles des autres. Ou devenir dingue.

J'ai le début de la soixantaine. Mes rêves d'adolescent, de jeune adulte, je n'ai pas pu les réaliser. En tous cas pas comme je les voyais d'abord. Il a fallu prendre des virages. C'est que je ne suis pas qui je croyais être. Et que la vie n'est pas comme je la voyais au début. J'ai appris qui je suis. Et je continue d'apprendre à vivre avec. Avec moi, avec le monde. Je vous souhaite d'en faire autant. Je crois que cela vaut le coup. Et ca vaut bien mieux que l'alternative !












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Et bien, au risque de m'attirer des foudres, je dois dire que cette lecture m'a fait ni chaud ni froid... Et malgré les critiques fort élogieuses, la haute note et le fais que ce soit considéré comme un grand classique, ce n'est vraiment pas un coup de coeur pour moi. J'enlève rien à la qualité d'écriture de Flaubert, qui a une plume fluide, pleine d'images et plutôt poétique, mais.... Les personnages m'ont un peu agacés, notamment cette fameuse Madame Bovary, qui pour moi, se complaît dans sa lassitude. Et j'ai eu bien souvent l'impression qu'il ne passait rien. Bref, ce livre n'était pas fait pour moi... Mais je suis très contente de l'avoir lu... enfin... et peut-être oserai-je une relecture à un autre moment de ma vie et que j'en retirerai un plus grand plaisir.
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Ah, Madame Bovary... Comme beaucoup de monde, j'ai découvert cette oeuvre à l'école grâce à quelques extraits (je me souviens notamment de la fameuse scène du fiacre qui déambule dans les rues sans jamais s'arrêter). Cela m'avait donné envie de découvrir le livre mais j'ai attendu bien des années avant de m'y atteler.

L'écriture est vraiment parfaite. Les descriptions sont extrêmement riches. Aucun mot n'a été écrit au hasard, on sent dans chaque phrase tout le travail investi par Flaubert.

Au contraire de l'écriture, les personnages sont pleins d'imperfections. A commencer par Emma Bovary, je n'ai jamais pu m'attacher à cette femme. Elle consent à se marier pour le regretter quasi immédiatement. Elle a le goût de l'argent mais ne sait point le cultiver, elle dépense même bien plus que ce que son foyer possède. Elle rêve d'amour mais n'est même pas capable d'en donner à sa fille. Ce qu'il y a de plus terrible, c'est qu'elle n'est déjà pas très tendre et gentille envers son mari, Charles, de son vivant ; mais elle parvient à le faire encore plus souffrir après sa mort ! Même sous la terre, son emprise malfaisante sur lui perdure. A chaque fois que j'étais sur le point de lui accorder un peu de respect, Emma se débrouillait pour me décevoir au plus haut point ! Je pense, par exemple, au moment où elle refuse de se vendre à un homme pour, quelques minutes plus tard, courir le faire chez un deuxième.

J'éprouve un peu de pitié pour Charles mais je pense qu'il est en partie responsable de son propre malheur. Trop mou, trop passif et trop naïf, l'officier de santé n'a jamais remis en doute le comportement étrange de son épouse... En réalité, le seul personnage pour lequel j'éprouve de la compassion c'est ce pauvre Hippolyte, le garçon d'écurie qui a un pied bot. Il s'accommode très bien de sa malformation et exécute toutes ses tâches sans problème. Malheureusement, à cause des envies de célébrité du pharmacien Homais et de la naïveté de Charles Bovary, on va lui infliger une opération qui sera une véritable catastrophe. Vous devinerez parfaitement la morale à retenir de tout cela...

C'est un roman qui ne laisse pas insensible, je comprends parfaitement qu'il ait acquis une telle célébrité !

PS : il y a une seule chose qui m'a intriguée... Flaubert portait une grande attention aux détails, et pourtant... Il donne des yeux bruns très foncés à Emma. Mais dans une autre description (juste après son mariage), ses yeux sont décrits comme "noirs à l'ombre et bleu foncé au grand jour". Il y a pourtant une certaine différence entre le brun et le bleu foncés. Les nuances de couleurs étaient-elles différentes à l'époque, lol ?
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Madame Bovary...
Quelle aventure...
En plus le personnage principal s'appelle Emma (comme celui de mon coup de foudre ahah) fin bref...
J'ai aimé j'ai étais aussi mitigé ça dépendais des fois...
Petite anecdote marrante :D
J'ai un professeur qui s'appelle Monsieur Rouault et une autre Madame Lefrançois j'ai cru tellement que c'était eux ahah !
J'ai pas lu le procès d'Emma... (L'appendice)
Je remercie ma grand mère qui m'a offert ce classique je re fais des gros bisous...
Et à toi ma cher Emma à quand que j'avoue que j'ai des sentiments pour toi ? Bisous
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On ne peut pas dire que Flaubert a fait là oeuvre de féministe !
Il ne laisse aucune chance à cette pauvre Emma. Et les personnages masculins ne sont pas mieux lotis. Entourée d'imbéciles et de goujats, Emma croit dur comme fer ce que son éducation lui a inculqué : le Graal doit venir des hommes, et en particulier de son mari. Pauvre homme, qui fait ce qu'il peut, et qui peut peu.
J'aime à penser qu'à notre époque, et si Flaubert lui avait donné un tant soit peu de caractère, Emma aurait eu une chance de s'en sortir en entrant dans le monde du travail, pour y trouver l'autonomie et par là même, peut-être, de nouvelles raisons de vivre.
Elle est l'antithèse de Jane Eyre.
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J'ai lu une première fois Madame Bovary, comme beaucoup, sous la contrainte d'un programme scolaire, et, à cette époque - j'avais quinze ans - les longues descriptions de Flaubert m'avaient quelque peu rebuté, mais pas autant que la fumeuse analyse qui en fut faite en cours de Français, façon dissection médico-légale..
J'y suis toutefois revenu quelques années plus tard, cette fois de mon plein gré. Et là, petit miracle, le charme a agi et la sauce a pris, enfin.
Je me suis moins attaché à la forme que notre prof de Français nous a servi au-delà de l'indigestion, pour me consacrer au fond du roman et à la vie d'Emma Rouault qui épouse un médecin de campagne, Charles Bovary.
Rapidement, Emma s'ennuie et rêve encore plus fort à la vie qu'elle aurait aimé vivre. Elle fait souffrir son mari et souffre elle-même, mais on s'attache à ces personnages et j'ai particulièrement apprécié le tableau que nous livre Flaubert d'une époque révolue et de ses moeurs.
A lire, non comme un classique ou un passage obligé, mais comme un roman du XIXème.
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Ce roman de Flaubert, bien qu'un classique de la littérature, ne m'a pas passionnée. Je n'ai pas du tout aimé l'histoire et détesté ce personnage d'Emma Bovary, femme superficielle, constamment déçue de sa vie et de ses proches et vivant dans le fantasme. Flaubert disait : « L'histoire, l'aventure d'un roman, ça m'est bien égal. J'ai l'idée, quand je fais un roman, de rendre une couleur, un ton [...]. Dans Madame Bovary, je n'ai eu que l'idée de rendre un ton gris, cette couleur de moisissure d'existences de cloportes. ». Je trouve que son objectif est largement atteint.
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Si "Madame Bovary" ne fut pas pour moi une lecture aussi difficile que "Salommbô", ce ne fut néanmoins pas une lecture plaisante.
Ce n'est pourtant pas une lecture difficile, remplie d'expérimentations littéraires à la Joyce ou de longues descriptions à la Proust-deux écrivains qui, d'ailleurs, pour le peu que j'ai lu d'eux, m'ont enchanté.
Mais pourtant… "Madame Bovary" ne fut pas une lecture plaisante. Je ne peux pas l'attribuer, contrairement à d'autres, au cadre d'une lecture scolaire-puisque je n'ai pas lu "Madame Bovary" dans le cadre d'une lecture scolaire. Il m'est difficile également de l'attribuer à mon âge-il est vrai que je suis jeune, mais après tout, après avoir lu ( et apprécié ) "L'Education Sentimentale", du même auteur, "Du côté de chez Swann", de Proust ou "Les Démons", de Dostoïevski, je ne vois pas pourquoi "Madame Bovary" serait une lecture si difficile.
Toutefois, le fait est là : ce ne fut pas un plaisir que de lire "Madame Bovary".
J'ai trouvé l'oeuvre inaboutie, sa construction devrait être cité en exemples de ce qu'on peut faire de pire : c'est un bazar-disons-le ! Des personnages interviennent n'importe quand, n'importe comment, on ne sait pas pourquoi l'auteur a jugé bon de le faire intervenir : il s'agit d'un vrai bazar avec une intrigue floue, qui ne semble même pas être essentielle à l'histoire.
Mais il y a pire : le style, ou plutôt l'absence de style. Non seulement Flaubert multiplie les phrases exclamatives où cela n'a pas lieu d'être, enlève toute forme de rythme à l'écriture, mélange le vocabulaire des personnages avec ceux du narrateur, mais surtout, surtout son style est n fatras des phrases les plus banales, les plus ordinaires, toutes les phrases qu'aurait pu prononcer n'importe quand, à n'importe quel moment, à n'importe quel endroit, ses personnages ( Flaubert s'en sortira beaucoup mieux, du point de vue du style, avec son deuxième roman "Salommbô", hélas décrédibilisé par des exagérations mélodramatiques, d'infernales longueurs et un amas de détails inutiles ).
Quant aux personnages, Flaubert ne prend pas vraiment la peine de les travailler : ce sont des caricatures, absolument sans subtilités psychologiques, uniquement définis par leur rôle dans l'intrigue.
Au final, mon avis est le suivant : sans aller jusqu'à dire qu'il s'agit d'une lecture agréable, "Madame Bovary" est le genre de livres qui plaît lorsqu'on désire avoir un livre facile à lire, pas forcément rempli de qualités littéraires, mais qui se lit rapidement et facilement.
En d'autres termes, si l'on veut un grand livre, un grand texte, mieux vaut se tourner vers "L'Education Sentimentale" ou, pourquoi pas, vers "Un coeur simple" ou vers "Hérodias".
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