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sur 17123 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce livre a pour moi une signification toute particulière : il est LE livre qui m'a donné l'amour de la lecture. Lecture obligatoire au collège, je me souviens que toute la classe (ou presque) avait détesté, alors que j'avais fait presque nuit blanche pour le terminer, tellement je ne voulais pas attendre le lendemain pour continuer de le lire... Voilà maintenant plus de 20 ans, grâce à lui, que j'ai toujours une lecture en cours et que je ne me déplace jamais sans un livre !

Depuis, mes goûts et mes attentes ayant pas mal évolué/changé, je ne l'ai jamais relu, de peur d'être finalement déçue ce jour... Mais devant lire un classique pour un challenge littéraire, qui pouvais-je choisir de mieux que celui-ci ? Je prends donc le risque et me voici à nouveau plongée dans Madame Bovary, deux décennies plus tard ;-)

Il est vrai qu'aujourd'hui, je ne vois pas la "vie" de la même façon qu'à mes 15 ans. Je vois au début, en Emma Bovary, une jeune fille plein de rêves, avec son idéal de l'amour comme on en voit dans les romans, où elle s'imagine une vie de princesse et une vie de château (plus ou moins le même état d'esprit que j'avais à son âge...), mais qui se retrouve finalement déçue de la réalité. Et oui ma cocotte, la vie n'est que très rarement un rêve éveillé ! Je vois ensuite une femme toujours insatisfaite, jamais contente de ce qu'elle a, alors qu'elle a quand même relativement ce qu'il faut pour ne pas être malheureuse : un mari qui l'aime (et qu'elle a choisi aussi...), avec une bonne situation (il est médecin), qui à sa façon un peu maladroite cherche à la rendre heureuse, qui la respecte, elle a un toit sur la tête, porte de belles toilettes, mange à sa faim, s'achète à peu près tout ce qu'elle veut, etc... En fait, quoi qu'elle ait et quoi qu'elle fasse, ça ne va pas, elle est continuellement insatisfaite, toujours pleine de regrets. Les personnes comme elle sont tout simplement exaspérantes...

Ça n'aura pas été un coup de coeur comme la première fois, bien au contraire... Ce que je redoutais est arrivé. le récit est long, certainement dû aux nombreuses descriptions. L'écriture est plaisante, mais l'auteur se perd dans des longueurs et des détails à foison qui nous font perdre le fil. Il y a presque un chapitre en entier pour nous décrire Yonville-l'Abbaye, par exemple ! Et en faisant abstraction de tout ça, on se rend compte que l'histoire est plate, et qu'au final, il ne s'est pas passé grand-chose...

Et dire qu'à une époque, j'étais friande de tous ces classiques du même genre. Je m'aperçois qu'aujourd'hui, j'ai de plus en plus de mal à m'accrocher...

Pour résumer, une lecture un peu laborieuse, un peu ennuyeuse aussi, pas non plus super désagréable, mais avec un personnage agaçant.

Il fallait que je le relise, mais je suis bien contente de l'avoir terminé. Et qui sait, peut-être que dans 20 ans, je m'en ferai une nouvelle opinion !

Malgré tout, ce livre gardera quand même une place particulière dans mon coeur et mon esprit. Sans lui, je ne serais pas la boulimique de lecture que je suis aujourd'hui !

[Lu en décembre 2019]
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J'ai lu plusieurs fois ce roman, ce grand classique du 19 ème siècle. La première fois j'étais adolescente, je n'avais pas été emballée... Je crois l'avoir repris par deux fois au moins au cours de ma vie... l'âge venant, j'espérais que j'aurais une autre perception. Hélas, voici un livre qui m'ennuie, les personnages me sont antipathiques. Bien sûr, il est bien rédigé, mais le ton et le manque d'action ne me conviennent pas, beaucoup trop de lenteur, de langueur... Rendez-vous manqué. Je n'aime pas Emma, ni son mari Charles, ni ses amants... et je ne verse pas une larme pour cette femme mal mariée et qui se perd dans des aventures sans lendemain.
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Commencée adolescente, j'ai vite abandonné cette lecture. Je m'y suis attelée de nouveau à l'âge adulte, mettant sur le compte de la jeunesse la difficulté que j'avais à entrer dans l'histoire. Il n'en est rien. Généralement, j'aime beaucoup les classiques du XIXe s mais là j'ai ressenti un ennui, mais un ennui. C'est simple, une partie de moi enrage de ne pas apprécier ce classique pour autant le nombre de fois où je me suis assoupie dessus ne trompe pas.

Pour autant, Flaubert a un don pour dépeindre la personnalité de ces personnages, si bien que je me suis faite la réflexion qu'Emma Bovary avait une personnalité que tristement on retrouve aujourd'hui. Coincée dans un mariage que la société ne lui permet pas de quitter, elle est tour à tour insatisfaite, égoïste, insensible, orgueilleuse et dédaigneuse. Je n'ai eu aucune compassion pour elle, bien que je comprenne sa quête d'un bonheur personnel. Celui pour qui j'ai eu de la compassion, c'est indéniablement Charles qui l'aime d'un amour vrai en dépit de sa personnalité ennuyeuse.

En dépit de ces personnalités si travaillées, l'ennui a été omniprésent dans cette lecture. Il m'est difficile d'abandonner une lecture en cours mais pour le coup, arrivée au réquisitoire contre Flaubert, j'ai arrêté. L'histoire a été lue après tout, je chargerai Google de me faire connaître les tenants et les aboutissements de ce procès contre ce titre "immoral".

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Il y a des ouvrages que nous n'avons pas envie de lire et que nous n'aurons probablement pas lus sans que quelque chose nous y oblige. Je parle de ces romans qui nous paraissent - à tort ou à raison - longs et ennuyeux. de ceux qui nous impressionnent, aussi. Des romans qui ont un aspect devenu si scolaire tant ils ont été étudiés (au collège, au lycée ou à la fac) qu'ils nous rebutent un peu. Et puis, il y a des classiques si célèbres qu'on connait l'histoire sans l'avoir ne serait-ce que feuilletée. Madame Bovary était de ces livres-là, pour moi.

Pour l'intrigue, nous sommes au milieu du 19ème, en France. Nous sommes en province, comme nous le laisse sous-entendre le titre d'origine, Madame Bovary, Moeurs de province. Nous allons suivre une jeune femme, fille de fermier, Emma Rouault. Elle va épouser un médecin de campagne, Charles Bovary, et va pousser ce dernier à s'installer avec elle à Yonville, en Normandie, parce qu'elle s'ennuie. Seulement, Emma va continuer à s'ennuyer, à ne plus supporter sa vie. Elle n'est jamais satisfaite et ses rêves finiront par l'empoisonner - au sens propre comme au figuré...

Comme Emma, je me suis ennuyée à de longues reprises, à ses côtés. J'ai trouvé que l'histoire traînait en longueur par moments, même si d'autres me plaisaient davantage. C'est un roman que j'ai dû lire dans le cadre de mon cursus universitaire, si bien que je n'avais pas toujours envie de m'y plonger. Malgré mes réticences, j'ai voulu aller au bout de cette lecture, alors même que mes examens de littérature étaient terminés. Beaucoup de personnes ne supportent pas le personnage d'Emma : c'est vrai qu'elle est agaçante. Malgré tout, j'éprouvais de la peine pour elle, peut-être aussi parce que je connaissais son destin tragique. Quant à Charles, j'étais partagée vis-à-vis de ce personnage, que je jugeais un peu stupide mais qui avait tout de même bon fond. Quant aux autres personnages, je m'y suis moins intéressée.

Toute une partie de l'histoire est ce qui l'entoure et le procès que Flaubert a reçu pour avoir écrit un tel ouvrage. Pendant ma lecture, j'y ai forcément pensé. On ne lit évidemment pas un classique aujourd'hui de la façon qu'on le lisait à l'époque... Mais malgré quelques relents d'intérêt pour ce qui entourait ce livre, il n'a pas réussi à me captiver.

C'était une lecture parfois ardue, longue et ennuyeuse, mais je suis contente d'être arrivée jusqu'au bout. le visionnage des adaptations cinématographiques m'a davantage plu, parce que j'avais parfois l'impression que l'auteur se perdait dans les détails. Même si je suis contente d'être allée au bout de la lecture, je ne l'ai pas franchement appréciée, ennuyée par l'histoire et n'étant pas spécialement attachée aux personnages. Ceci dit, je suis contente d'avoir découvert ce classique de la littérature française !
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Qu'est-ce que je me suis ennuyée avec Emma Bovary ! Qu'est-ce qu'elle m'a énervée, cette grue superficielle, frivole, sans imagination, sans intelligence, et tellement incapable de se remettre en cause ou de prendre son destin en main. Emma, elle m'aura totalement horripilée avec ses minauderies et ses caprices, son impuissance subie et ses états d'âme.

Et je ne suis pas la seule : Flaubert lui-même s'irritait contre elle. Il aurait écrit, dans sa correspondance, ‘'J'en ai par-dessus la tête de cette idiote qui prend son cul pour un coeur ». Ailleurs il écrit encore « Quand arrivera-t-il donc ce bienheureux jour où j'écrirai le mot fin ? ».

Est-ce pour ça que Flaubert choisit de commencer ce roman, appelé Madame Bovary quand même, par une description du mari et de son enfance ? Est-ce pour ça qu'il choisit de terminer sur le pharmacien Homais ? Comment voulez-vous qu'une lectrice quelconque, tout à fait quelconque, ne s'exaspère pas de cette dinde mal embouchée si même l'auteur s'ennuie en sa compagnie ?

Bon il est vrai que le sous-titre est « Moeurs de province », et là pour le coup on va être servi : dans ce milieu petit bourgeois où l'on s'ennuie ferme et où on accumule un maximum, aucun, mais alors aucun personnage ne m'a été sympathique : le mari est bien sûr d'une beaufitude à toute épreuve, l'amant est un monstre d'égoïsme sans scrupule, le jeune Léon est d'une lâcheté à pleurer. Même le pharmacien qui a eu un moment ma sympathie – ses pseudo débats avec le curé et son espoir dans les bienfaits de la science - s'est révélé être un affreux arriviste et un abject bourgeois prêt à tout pour obtenir les honneurs.

Et puis des longueurs, des longueurs…. Des propos sur les malformations et autres anomalies anatomiques du pied en veux-tu en voilà, une visite interminable de la cathédrale de Rouen, qui aura agacé notre Emma et tous les lecteurs de Flaubert, et j'en passe. Un style plat et fade, une narration que j'ai trouvé poussive. Bref là je l'ai bien ressenti, moi aussi, ce fameux ennui.

Le seul moment que j'ai aimé est … la mort d'Emma. Son agonie est poignante, d'autant plus que les derniers mots qu'elle entendra sont ceux du mendiant aveugle (mais probablement doué d'une forme de lucidité aigue et de clairvoyance, comme souvent dans la littérature) qui chante les malheurs d'une jeune fille rêvant à l'amour ! A côté de cette mort effroyable, l'amour semble tellement fade…

Ennuyant comme un classique - dans le mauvais sens du terme -peut l'être. Et pour une fois je remercie mon prof de français de ne pas m'avoir infligé le supplice de cette lecture lors de mon adolescence.
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Charles Bovary est un jeune de campagne qui devient médecin pour satisfaire ses parents. Une fois installé à son compte et après un premier mariage éclair arrangé avec une veuve, il rencontre la jolie Emma et fait d'elle sa femme après quelques roucoulades oculaires. Mais Emma, qui s'attendait à vivre un amour passionnel comme dans les romans, s'ennuie très vite avec Charles et cherche par tous les moyens à oublier le quotidien, surtout après avoir brièvement goûté au luxe au cours d'une des rares soirées mondaines organisées dans ce coin reculé…

Ah, Emma… C'est un joli prénom : mignon, court, moderne, presque chic, qui a vu sa côte de popularité grimper en flèche en France dès 1999, soit il y a plus de quinze ans, pour ne jamais fléchir depuis. Oui mais quand on a lu Madame Bovary, l'envie d'appeler sa gamine Emma passe aussi vite qu'un gâteau au goût dégueu qu'il faut vite avaler pour pouvoir mieux l'oublier.
Emma Bovary est une personne lambda qui devient dépressive dès lors qu'elle découvre qu'elle ne peut pas vivre dans un monde arrosé par l'argent, qui du coup déprime et finit par détester tout ce qui bouge autour d'elle et se tuer parce qu'elle a voulu tout avoir sans pourtant en avoir les moyens. En gros, elle se suicide parce qu'elle n'a pas un rond. Mais Emma, ma grande, si tout le monde faisait comme toi, crois-moi qu'il n'y aurait pas de problème de surpopulation mondiale !
Car c'est bien l'argent qui la conduit à voir sa vie fade, à dépenser sans compter et bien plus que de raison pour toucher du doigt le normalement inatteignable, à détester son mari, à le tromper et à crever en se shootant à l'arsenic. C'est bien l'argent qui mène la danse dans ce livre, qui est bien à l'origine du destin d'Emma. Mais si Flaubert tente de démontrer où l'avarice peut mener (franchement Gugus, n'y vas-tu pas un peu fo-fort ?), il le fait via une histoire d'adultère et de dépression extrêmement lente et assommante de banalité. Il est quasi impossible d'apprécier Emma, ses caprices, ses hésitations, ses tergiversations, ses oui puis ses non, son être tout entier ! Comment alors apprécier le livre ?
L'auteur fait preuve d'un français exemplaire qui manque cruellement par les temps qui courent, mais son récit ne dégage pas de vraie passion littéraire. Il paraît même très plat à côté d'autres classiques français de renom. L'intrigue est méchamment banale et n'arrive pas à éveiller le moindre intérêt. Pas un seul évènement n'est cousu de fil blanc, et Emma passe son temps à aller et venir entre tel ou tel sentiment, eux-mêmes très communs. Il manque du lyrisme à cette histoire, une sorte de vraie réflexion aussi, le « profond » n'étant pas vraiment au rendez-vous. D'ailleurs, le sous-titre « Moeurs de province » sous-entend une généralité à dénoncer, comme si les braves gens de la campagne avaient tous le même profil que le couple Bovary, qu'ils cherchaient tous à vivre comme les riches de la ville. Finalement, les vraies moeurs un tant soit peu intéressantes viennent des personnages totalement annexes qui ragotent et jugent à la première occasion. Voilà une image et critique de la campagne plus parlante que cette éternelle insatisfaite d'Emma !
L'essentiel du roman se trouve alors là, mais n'est développé qu'en faible proportion tandis que le lecteur est servi d'un destin dont il se fiche royalement puisque personne n'aime les petites pimbêches. Je n'ai pas parlé des bien trop nombreuses descriptions et digressions, c'en aurait été une en elle-même… Enfin bref, Madame Bovary c'est tout ça. Tout sauf le grand récit escompté.
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Le style de Flaubert est rempli de poésie et de descriptions bucoliques, mais il est à mon sens un peu pesant car il ralentit le récit, l'étire et le gonfle jusqu'à le rendre parfois agaçant.
Cela mis à part, l'héroïne, Mme Bovary, m'a déplu. Elle n'a jamais été contrainte mais elle a toujours été insatisfaite. J'ai plaint son mari, à qui elle fait subir ses changements d'humeur, qu'elle trompe sans remords et qu'elle dépouille sans scrupules et sans amour véritable.
Je l'ai trouvée inconstante, dépressive, déraisonnable et narcissique.
C'est peut-être ça qui a séduit les lecteurs de ce roman, mais personnellement, je n'ai pas aimé. Ceci dit, n'est-ce pas la raison d'être d'un roman de générer des avis tranchés?
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Je commence par le positif, j'aime quand l'auteur prend le temps de décrire ses personnages, ses lieux et son époque. Je me sens plus proche de l'univers et ça me donne une meilleure immersion avant que l'action ne commence. Bon là pas d'action, c'est une histoire très calme, trop à mon goût. Je ne parle pas d'action avec des explosions et des courses poursuites mais d'action entre les protagonistes qu'ils s'aiment, se détestent.
Je savais qu'avec ce livre soit on l'aime et on est prit dedans soit on n'aime pas et c'est presque 400 pages d'ennui. J'insiste sur le presque, il y a quand même quelques aléas mais pas plus que dans la vie de tous.
C'est un roman qui se veut réaliste, et je ne lui reproche pas, c'est juste pas mon style de lecture mais je me devais de lire ce grand classique, en espérant que vous gardiez quand même envie d'en faire autant.
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Emma ou l inconstance féminine ... On lui donnerait parfois un gifle pour lui remettre les idées en place!! 😄 bon l oeuvre de Flaubert est en revanche une vraie invitation à la réflexion sur la condition féminine au XIXème siècle. La femme muselée souvent soumise à un mariage de raison qui voyait ses rêves anéantis taillés en pièces par une réalité cruelle. Mme Bovary dans son malheur va cependant agir très égoïstement. Elle brise plusieurs hommes dont son époux l éternel optimiste Charles et sa petite fille qu elle n a pu aimer car elle ressemble à Charles. Sa fin ne delivre-t-elle pas plus les autres qu elle-même?
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Bon, J'avoue être très partagée après cette lecture. Dans un premier temps, les premiers instants quand j'eu fini le livre, je disais que je l'ai détestée. Emma est une fourbe manipulatrice, aveugle au mal qu'elle fait, égoïste et j'en passe. Après une deuxième relecture et une réflexion derrière, je crois que c'est exactement la réaction que Flaubert attendait. Les doubles sens, l'implicite est absolument partout dans ce roman et tout comprendre directement, pour notre société contemporaine est mission impossible. Emma est aussi bien bourreau que Victime, les moeurs trop fortes, et Charles trop bonnet. J'avoue etre encore un peu plus du coté de je n'aime pas, que de ccelui "c'est un chef d'oeuvre" mais le fait est que oui, c'est un chef d'oeuvre dans le sens où c'est un texte fondateur, un exemple parfait du romantisme à bout de souffle. Un travail enorme, un texte qu'il faut relire encore et encore pour decouvrir chaque implicite, chaque double sens. Je le conseille à la lecture pour avoir une culture général mais si jamais vous n'avez pas l'envie de chercher, de réfléchir sur ce texte, alors laissez tomber car c'est un pavé vite écoeurant.
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