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Sandman tome 1 sur 11
EAN : 9782847893656
232 pages
Delcourt (16/06/2004)
4.32/5   166 notes
Résumé :
Sandman, le Maître des Rêves, a été fait prisonnier pendant 70 ans par une famille de petits magiciens. Après s'être libéré, il doit réclamer son royaume, le Rêve, ainsi que ses attributs de pouvoir : son heaume, sa bourse et son rubis. Sa quête est difficile, mais il peut compter sur l'aide de personnages... très inattendus ! (Dessins de Kelley Jones, Mike Dringenberg et Malcolm Jones III).
Que lire après Sandman, tome 1 : Préludes et NocturnesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Je ne compte plus le nombre de fois où l'on m'a conseillé Sandman. Si j'étais très attirée par l'histoire, et le fait que Neil Gaiman soit aux manettes, le dessin ne m'emballait pas plus que ça. Mais, mieux vaut tard que jamais, j'ai fini par passer outre mes hésitations, et à me procurer ce premier volume.

Alors, Sandman, de quoi ça parle ? C'est l'histoire de Sandman, le Roi des Rêves, qui est capturé par erreur par une famille de magiciens qui essayaient en fait de conjurer la Mort. Prisonnier pendant 70 ans, Sandman finit par s'échapper, mais sa longue absence a causé de lourds dégâts au Royaume des Rêves, et dans notre monde par répercussion.

Je vais être honnête, cet ouvrage est loin d'avoir été un coup de coeur immédiat. J'ai eu beaucoup de mal à comprendre le début de l'histoire et à rentrer dedans, ce que les dessins souvent fouillis n'ont pas arrangé. Pour tout dire, j'ai même laissé le livre de côté pendant quelques jours après en avoir lu une vingtaine de pages. Bref, une déception au premier abord...

Puis je l'ai repris, je me suis un peu forcée, et j'ai un peu plus accroché, notamment à partir du moment où l'on voit Sandman. J'ai commencé à retrouver le style de Gaiman, ce mélange entre rêve et réalité qui n'a jamais été aussi pertinent que pour cette série. J'ai aussi apprécié la construction en différentes histoires, qui permettent à Gaiman de varier les styles. Il y en a pour tous les goûts, du fantastique à l'horreur (je suis traumatisée par l'histoire du restaurant...), et l'on trouve même des liens avec l'univers des super-héros.

À ce stade, j'aurais mis à cet ouvrage 3 étoiles et en serais restée là, pas vraiment désireuse de lire la suite sans pour autant avoir passé un mauvais moment. Et là arrive la dernière histoire, où l'on rencontre la Mort... Whaouh ! du Neil Gaiman pur souche, avec son côté morbide célébrant pourtant la vie, dépressif et pourtant plein d'espoir... Et pour la première fois depuis le début du livre, j'ai aimé les dessins. Plus épurés, il offrent une ambiance poétique qui s'accorde parfaitement au scénario, et ces quelques pages ont été un pur bonheur de lecture.

Et voilà comment je me retrouve à mettre 4 étoiles à un ouvrage que j'étais prête à abandonner !

Donc oui, malgré des débuts très laborieux et des dessins absolument pas dans mes goûts, j'ai aimé ce livre. Je pense vraiment lire la suite car j'ai du mal à imaginer de quelle manière cette histoire peut se poursuivre, et j'ai également très envie d'avoir plus d'interactions entre Sandman et la Mort. de plus, j'ai pu lire ici et là que les dessins de ce premier volume n'étaient pas les meilleurs, j'ai donc bon espoir de les apprécier davantage au fil de l'avancement de la série. Pour l'instant, je ne peux donc pas vraiment conseiller ni déconseiller cette série, mais je pense que c'est un ouvrage qui ne laissera pas indifférent.

Challenge Petits Plaisirs 2014-2015
Challenge Variétés 2015
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Bienvenue The Sandman, dans un monde étrange, glauque, bigarré, violent à souhait. C'est l'univers de Dream, mieux connu sous le nom de Sandman, le Maitre des Rêves. Ce personnage de la culture populaire, qui se passe de présentation, est un être que je classe souvent dans la même catégorie que le Père Noël ou la Fée des dents. Pas qu'ils n'aient jamais vécu des aventures ensemble, oh non, mais mon esprit cartésien réussissait à faire vivre ces êtres d'exception dans des univers superposés qui parfois croisaient le mien. Eh bien, l'auteur britannique Neil Gaiman pousse plus loin cette idée et le fait cohabiter avec des démons et plein d'autres créatures mythologiques. Oh la la…

Dès le début, dans les années 1930, le chef très humain d'un groupe de mystiques réussit à emprisonner Dream-Sandman et à lui voler des objets précieux : une bourse de sable, un masque et une pierre précieuse (un rubis qui contient une partie de son pouvoir). Que se passe-t-il quand les enfants ne peuvent plus rêver ? Septante années plus tard, il parvient à se libérer et part à la recherche de son trésor. Sa quête le mène auprès des énigmatiques Hécates puis même de Lucifer Morningstar qui désormais partage son règne des Enfers à l'intérieur d'un Triumvirat que complètent Azazel et Belzébuth (je parie qu'il y a une histoire intéressante derrière ce nouvel état de fait). Bref, Gaiman nous propose un univers complexe avec des personnages riches, énigmatiques, ayant chacun leur propre agenda.

Si j'ai été fasciné par l'intrigue dans l'ensemble, certains épisodes m'ont un peu moins plu, comme celui avec l'évadé de l'asile psychiatrique. Très violent, trop pour moi en tous cas. Avec des illustrations très explicites. Je n'ai rien contre le sang qui gicle mais quelques unes des blessures que s'infligent les fidèles du nouveau gourou… beurk. D'ailleurs, le style des dessins en général m'ont laissé ambivalent. Je n'ai jamais vraiment adhéré au style des comics des années 70-80. C'est très subjectif, j'en conviens. Ceci dit, je dois admettre qu'ils sont bien faits, ils permettent d'un seul coup de saisir l'essentiel et, surtout, ils ont pu mettre des images sur des concepts ou des réalités qui n'existent tout simplement pas dans notre monde. Bravo pour leur imagination.

Dans les dernières pages, Dream-Sandman est retrouvé par sa soeur Death (Mort). Une autre couche de cet univers unique qui se dévoile tranquillement mais qui, en fait, soulève encore plus de question. J'ai trouvé un peu difficile m'immerser dans l'histoire mais, une fois bien entamée, elle vient « hanter » et il n'est plus possible de la laisser de côté. Après m'être promené dans le Royaume des Rêves et dans les Enfers, je suis vraiment curieux de voir où mènera le génie de Neil Gaiman dans les prochains tomes. Petit indice, Dream-Sandman et Death font partie d'un groupe de sept Éternels qui inclut aussi Destiny, Destruction, Despair, Desire et Delirium donc je parie sur des rencontres fort intéressantes dans un avenir proche…
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Depuis quelques mois, je caresse l'idée de relire depuis le début la merveilleuse série de comics de Neil Gaiman : Sandman. Puisque je suis en veine de bonnes résolutions en ce début de septembre, je vais tenter de les chroniquer sur Babelio au fur et à mesure de cette relecture – je dis bien « tenter » car mes bonnes résolutions montrent souvent une fâcheuse tendance à pourrir sur place avec le temps. Et c'est parti !

Pour commencer, deux petits mots sur l'Univers : au commencement des temps, bien avant la naissance des dieux les plus anciens, vivaient sept Eternels – Destiny, Death, Dream, Destruction, Despair, Desire et Delirium. Sept frères et soeurs chargés de veiller sur leurs royaumes respectifs et de régenter les peurs, les désirs et les rêves des hommes et de toute autre espèce vivante et pensante. Hélas, au début du XXe siècle, ce bel ordre est fracassé, quand un groupe de satanistes tente de capturer la Mort. Ils échouent, mais emprisonnent par accident son frère Dream – seigneur du royaume des rêves. Pendant 70 ans, Dream reste enfermé dans une cage de verre, sous la garde de geôliers assoiffés de puissance. 70 ans durant lesquels le royaume des rêves va doucement dépérir, perturbant profondément les songes des humains et entraînant dans le monde réel des dégâts irréparables (les deux guerres mondiales, ça vous dit quelque chose ?)

Mais on ne retient pas éternellement prisonnier un Eternel et, en 1988, Dream réussit finalement à s'échapper de sa geôle. Considérablement affaibli, il devra s'aventurer dans un monde du rêve devenu hostile pour retrouver trois artefacts qui lui permettront de recouvrer sa puissance perdue. L'aventure s'avérera mortellement dangereuse et l'entrainera jusqu'au fin fond des Enfers où il devra affronter Lucifer en personne. Et ce n'est encore que le moindre des périls…

« Sandman » fait partie de ces bandes dessinées qui ne ressemblent à nulle autre, un de ses récits subtils mêlant poésie et mythologie, merveilleux et drame, humour noir et horreur (car le monde des rêves est aussi celui des cauchemars et certains vous feront dresser les cheveux sur la tête). L'intrigue charme pas sa complexité et par la multitude de personnages fascinants qu'elle met en scène, parfois humains, parfois immortels, parfois hum… vraiment très bizarres. Elle fourmille également de références qui mettront en joie les amateurs de mythologie et d'Histoire, mais aussi les passionnés de culture populaire. Il n'y a que Neil Gaiman pour marier dans une seule histoire des références à Alfred Hitchcock, à l'asile d'Arkham, à l'empire romain et à la mythologie nordique. En résumé, une bande dessinée drôle et terrifiante, troublante et prenante. Un véritable petit chef d'oeuvre du genre et un excellent début pour une toute aussi excellente série. A lire absolument !

(Seul petit point faible : les illustrateurs changent à chaque tome, voire parfois plusieurs fois dans le même volume, et certains styles de dessin très « comics à l'ancienne » pourraient en rebuter certains. Ceux de "Préludes et Nocturnes" ne m'enthousiasment pas particulièrement mais ne me rebutent pas non plus. On aime ou on n'aime pas, mais cela n'enlève rien à la qualité des scénarios. Et les couvertures par Dave McKean sont absolument superbes.)
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Comment dire… Sandman n'est pas une série que l'on aborde facilement un peu comme les Alan Moore. Étrange plongée dans le monde des rêves, ce premier tome nous fait découvrir Dream, enfermé et observé par les humains depuis longtemps qui réussit enfin à s'échapper. S'ensuit alors une quête à la recherche de son royaume perdu et des objets qui font de lui le Maître des Rêves.

1. le sommeil du juste
En 1916, Dream est capturé par un occultiste, Roderick Burgess, à la suite d'une invocation ayant manqué sa cible : Burgess voulait emprisonner la Mort pour devenir immortel. Dream, prenant patience, guette une occasion de s'échapper. Celle-ci se présente en 1988, après plus de 70 ans passés dans une prison de verre : l'un de ses gardiens s'endort, lui donnant accès à ses rêves. Roderick Burgess est mort entre-temps, son fils Alexandre a pris sa place : Dream exerce sur lui sa vengeance, l'enfermant dans un cauchemar.

Chapitre compliqué qu'il faut lire à tête reposée, mais surtout en journée, car l'écriture est si petite qu'on s'en arracherait les yeux!

2. Des hôtes inaccomplis
Retournant dans son royaume des rêves, Dream le découvre délabré par sa longue absence. Son palais est en ruines, ses sujets les rêves et cauchemars sont dispersés, et seul Lucien, son bibliothécaire, l'accueille fidèlement. Affaibli par sa longue captivité, Dream n'est pas encore en mesure de restaurer son royaume. Il se met alors à la recherche des outils qui lui ont été dérobés : un sachet de sable inépuisable, un masque (son heaume) et un rubis fait de rêves cristallisés. Il invoque alors, à la recherche d'indices, la déesse triple Hécate, qui lui accorde trois réponses énigmatiques.

Superbe chapitre où l'on voit les trois Parques version Gaiman! C'est réellement à ce moment-là qu'on se demande si les dessinateurs n'ont pas été grandement inspirés par l'auteur…

3. Rêve encore un peu de moi
Son sachet de sable de rêve a été en la possession de John Constantine : Dream le rejoint, puis l'accompagne lorsque John s'aperçoit que le sachet de sable a sans doute été volé par une ex petite amie, Rachel. Dream et John Constantine vont chez elle, pour la découvrir sous l'emprise de rêves échappés, totalement dépendante du sable, comme d'une drogue qui la maintient en vie. Dream lui accorde une fin miséricordieuse, puis libère Constantine des cauchemars qui le hantent depuis un malheureux épisode (une invocation de démon qui a mal tourné dans sa jeunesse, en dépit de bonnes intentions).

Ce chapitre nous propose un nouveau genre littéraire: le roman détective.

4. Un espoir en enfer
Une fois en possession de son sachet de sable, Dream s'aventure en Enfer pour y défier le démon qui possède actuellement son heaume. Il remporte le duel d'imagination qui s'ensuit, puis parvient à quitter les enfers en dépit de la mauvaise volonté de Lucifer en faisant remarquer aux démons ce que serait l'enfer si les damnés ne pouvaient rêver du paradis. Lucifer promet alors de le détruire un jour. L'épisode se conclut sur une vision de John Dee, le docteur Destiny, prisonnier de l'asile d'Arkam, qui hérite de sa mère le talisman de protection qui avait été échangé par un mortel contre le masque de Dream.

Étrange chapitre assez dérangeant et très métaphorique. Certaines phrases sont à relire plusieurs fois pour vraiment comprendre le point de vue de l'auteur, mais c'est finalement l'un des plus jouissifs de l'ouvrage.

5. Passagers
Dream se met enfin à la recherche de son rubis, qui a été récupéré par la Justice League of America lorsque celle-ci a défait le docteur Destiny. Grâce à leurs indications, il retrouve le bijou, mais celui-ci a été utilisé et corrompu par Dee, et se retourne contre son créateur. John Dee s'échappe de son asile, récupère le rubis dans un entrepôt, puis se réfugie dans une auberge.

6. 24 heures
Armé du pouvoir de manipuler les rêves et l'esprit des gens, John Dee commence un jeu pervers et destructeur avec les autres clients de l'auberge, et plus généralement avec les rêves des gens de par le monde. Il finit par les pousser à s'entretuer. Lorsque Dream revient à lui, il suit le rubis à la trace et rejoint Dee, seul survivant de l'auberge.

7. le bruit et la fureur
Dee défie Dream, affaibli, de lui reprendre le rubis. Celui-ci accepte le défi, mais répond à Dee que s'il convoite le pouvoir des rêves, il devra l'affronter dans son royaume, en rêve. La confrontation, qui déchire le royaume, tourne à l'avantage de Dee lorsque celui-ci, pensant achever Dream, brise le rubis, libérant tout le pouvoir que Dream y avait stocké. Dream, plus puissant à présent qu'il ne l'a été depuis des millénaires, choisit la clémence et épargne Dee, se contentant de le raccompagner à l'asile d'Arkham.

Les chapitres 5, 6 et 7 sont vraiment complexes et je n'ai pas du tout accroché à l'arrivée de John Dee. J'ai eu du mal à comprendre les intentions de ce personnage. L'épisode 6 est sanglant et le 7 vraiment bizarre.

8. le battement de ses ailes
Le volume s'achève sur un épisode d'ambiance. Dream, libre et en pleine possession de ses moyens, se trouve désoeuvré et d'humeur mélancolique. Sa soeur Death le rejoint, raille son auto-apitoiement et l'invite à la suivre pendant qu'elle fait sa tournée. À la voir ainsi accueillir les âmes des morts, Dream réalise ses propres responsabilités envers son royaume et retrouve une humeur plus légère.

Sublime petite histoire où Dream rejoint sa soeur Death. Un beau moment de poésie, une réflexion sur la vie et la mort. Un entretien frère-soeur surréaliste de par la fonction de chacun. Sans doute le plus bel épisode du tome!

Le dessin a vieilli et on y adhère difficilement, mais le scénario est tel qu'on oublie ces défauts (notamment la mise en couleur vraiment bâclée).

Il serait prétentieux de dire que j'ai tout compris; que toutes les métaphores sont claires, mais Préludes Nocturnes est comme le titre l'indique, une bonne entrée en matière dans cette série riche qui compte une quinzaine de tomes! Avec cette fable mystique, métaphorique et merveilleuse, Gaiman nous entraîne aux confins des rêves, mais nous fait aussi voir la noirceur des Hommes.

La lecture, compliquée au début, s'avère finalement addictive de par les nombreuses questions que soulèvent l'auteur. de plus, Dream dans son cynisme et sa noirceur est finalement très attachant et sa mystérieuse aura nous donne envie de le suivre.

Je me suis posée la question de la ville dans laquelle Gaiman fait vivre ses personnages: il s'agit d'Arkham City. Dans l'épisode 7, John Dee est amené à Arkham Asylum. On nous parle aussi de la Justice League of America. Il semblerait que Gaiman mêle son intrigue à l'univers des super-héros, mais principalement celle de Batman ce qui n'est pas très étonnant quand on voit l'allure de Dream. Ce cher Maître des Rêves serait-il lui aussi un justicier?…

CONCLUSION
Ce premier tome de Sandman est captivant et donne réellement envie de s'intéresser à l'univers créé par Gaiman. Laissez passer les 30 premières pages avant de sombrer dans un doux fantasme…
Lien : http://mondesmerveilleux.wor..
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Cette histoire commence avec l'invocation puis l'emprisonnement du Sandman, une mystérieuse entité qui domine le monde des rêves. Après une longue incarcération, il va finir par se libérer mais se retrouve considérablement affaibli. Nous le suivons donc dans une quête pour retrouver sa puissance passée.

Je dois avouer que la prise en main n'a pas été des plus simples, ne serait-ce que parce que les dessins, d'une laideur sans pareille, ne donnaient pas très envie de se plonger dans l'histoire. En plus de cela, je ne suis absolument pas habitué au format des comics et j'ai été assez décontenancé par le format et la narration.

Une fois passé ce petit temps d'accommodation, j'ai plutôt passé un bon moment. L'histoire est assez perchée (c'est le moins qu'on puisse dire) mais on découvre un univers très riche, sombre, et intéressant. Bien que je ne sois pas très à l'aise avec tout ce qui a trait à la religion, j'ai bien aimé les références bibliques et celles issues de différentes religions et mythologies. Par contre ce n'est clairement pas un ouvrage à mettre entre les mains de n'importe qui puisque l'univers est très sombre, avec des scènes de violence assez graphiques.

Au niveau de l'expérience globale, j'ai trouvé que tous les chapitres ne se valaient pas, et je n'ai pas forcément été très convaincu par ceux où on retrouvait des personnages DC plus ou moins connus. D'ailleurs je pense que ce système de crossovers quasi-systématiques est sûrement un des aspects les moins attractifs de l'univers des comics en ce qui me concerne.
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critiques presse (1)
Sceneario
08 octobre 2012
Le roman graphique […] de Neil Gaiman se lit avec passion. Les mots de l'auteur nous entraînent sans problème dans les bras de Morphée, dans le royaume du maître des Rêves.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
A chaque fois qu'elle se réveille, il faut lui expliquer où elle se trouve, elle ne s'en souvient jamais. Autour d'elle, les personnes âgées attendent la mort, comme elles attendraient un vieil ami. En tuant le temps.
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Quelle serait la force de l'Enfer si ceux qui y sont prisonniers ne pouvaient pas rêver du Paradis ?
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Et ce couple, les Fletcher. En ville, on dit qu'il l'a épousée pour son argent. Mais Bette voyaient bien qu'ils s'adoraient. Comme des Tourtereaux. Si on en enlève un, l'autre dépérit et meurt.
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Ne manquait à l'ordre que le grimoire Magdalene. La cérémonie se tiendra à la prochaine lune... Et alors... nul ne devrait plus jamais mourir.
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Whych Cross, Angleterre, Roderick Burgess rêve éveillé de puissance et de gloire.
Et de mort bien entendu.
Surtout de mort.
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