AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,27

sur 12380 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce fut compliqué pour moi d'arriver à la fin de ce livre pourtant pas si épais ! Après avoir lu et adoré "voyage au bout de l'enfance" et "petit pays" j'étais persuadé d'apprécier ce roman où le récit est conté par un enfant. Sa note sur Babelio, le prix Goncourt, Romain Gary, ne faisaient que me conforter dans cette impression. Et bien pas du tout. Je l'ai trouvé très long, le fond est complètement résumé dans la 4ème de couverture et il ne faut pas s'attendre à plus d'action. Pour parler de la fin, tout s'accélère alors qu'il aurait été intéressant de prolonger un peu l'histoire dans le "trou juif". La forme est très moderne pour l'époque mais le langage déformé de Momo a fini par me fatiguer. Il m'a fallut parvenir au 5 dernières pages pour ressentir un peu d'attachement et de compassion pour lui. Grosse déception.
Commenter  J’apprécie          90
Des années que j'avais le livre sans l'avoir lu...
J'aurais du le laisser quelques unes de plus dans son coin.
J'ai lu 50 pages et je me suis arrêtée, j'avais compris le concept et franchement c'était rigolo 5 minutes la narration façon 6 ans, mais je vois pas comment j'aurais tenu 200 de plus.
C'était un peut trop premier degré, le procédé, pour que ça passe bien.
Alors que j'ai lu récemment "Crétin des alpes" de Dominique Fabre et là c'était à la juste hauteur pour que le procédé touche au but: créer de la littérature.




Commenter  J’apprécie          63
Déception. Je n'ai pas aimé ce livre primé au Goncourt. Ni accroché avec l'histoire et ses personnages. Pourtant il n'est pas dénué d'intérêt car c'est un livre quelque part sulfureux. L'auteur y aborde les thèmes de l'identité, du racisme, de la religion, du sexe et et de la prostitution dans une liberté de ton qui pourrait faire scandale aujourd'hui. Malgré son style et une fin surprenante, ce livre sera -pour moi- vite oublié.
Commenter  J’apprécie          30
J'ai eu beaucoup de mal à accrocher sur ce livre. D'une part par le style d'écriture qui est le récit d'un enfant avec des phrases et mots incertains. Gary a choisi un narrateur enfantin qui peut décrire le monde de manière brute et directe, seulement c'est en partie pourquoi je n'ai pas accroché.

D'autre part il ne se passe pas grand-chose dans ce livre. C'est essentiellement une description de ce qui ce passe au sein d'un immeuble, un peu du quartier, de ces personnes qui ont la vie dure. Seul à la fin du livre il se passe quelque chose qui me fait des frissons dans le dos tellement j'ai trouvé cela dérangeant. C'est certain, on ne voit pas cette fin arriver, mais c'est vraiment très glauque.

Par ailleurs, "La vie devant soi" aborde des thèmes difficiles tels que la vieillesse, la maladie, et la discrimination, tout en offrant une lueur d'espoir et de beauté. le roman est également un hommage à la résilience humaine et à la capacité de trouver de la joie au milieu des épreuves.
Commenter  J’apprécie          60
Un livre chef jugé d'oeuvresque presque à l'unanimité, alors s'avancer pour le juger médiocre c'est un peu intimidant, on a l'impression d'être peut-être passé à côté de quelque chose que les autres ont su percevoir, et pas nous. Peu importe, je me lance.
Je n'ai trouvé Momo ni crédible, ni attachant. le discours un temps philosophique puis totalement enfantin le coup d'après m'a vraiment dérangé. Même si les passages de réflexion sur la vie (je le répète, peu crédibles à mes yeux) peuvent donner lieu à des passages émouvants. Exemple avec le passage sur l'héroïne et le bonheur que Momo ne recherche pas car il « préfère encore la vie ». Associer le bonheur à une drogue dure qui pouvant même tuer m'a paru très pertinent.
De plus, le choix d'avoir souvent focalisé le récit sur madame Rosa finit par ressembler à l'accompagnement morbide de sa mort. Les descriptions forcées et répétées dégoutantes sur elle sont vraiment gênantes à force. J'ai bien saisi l'idée d'illustrer la misère ambiante mais je pense que le livre aurait pu se passer des descriptions incessantes du début à la fin de Momo sur la femme qu'il aime comme étant « moche, puante etc.. » à tel point de lui faire presque perdre une allure humaine dans notre imaginaire. J'aurais aussi vraiment aimé voir les autres personnages plus développés, comme les camarades de Momo chez madame Rosa que l'on va vite perdre de vue pour certains.
En bref, la lecture de ce livre m'a semblé longue et poussive. Et hormis de rares moments touchants ou portant un peu à la réflexion, j'ai éprouvé de la difficulté à enchainer les pages.
Commenter  J’apprécie          20
La vie devant soi !
Mais moi c'est plutôt la vie derrière moi !
Enfin cette histoire boucler sur une histoire pour l'époque qui fait pas bon ménage.
Momo où plutôt Mohamed rencontre Madame Rosa...

Il osa lui dire la vérité...
Bof je sais pas quoi dire sûr ce livre...
Je m'attendais juste vraiment à mieux...
Commenter  J’apprécie          234
Premier contact avec Romain Gary / Emile Ajar, et peut-être pas forcément la meilleure porte d'entrée pour lire son oeuvre. Si de prime abord, le livre ne paraît pas difficile à lire (et il ne l'est pas), il m'a laissé sur le bas côté dès ses premiers chapitres.

Le plus gros obstacle à ma lecture a été mon incapacité à croire au personnage principal : Momo. A aucun moment, je n'ai réellement cru à ce petit garçon qui pense tantôt comme un enfant de 8 ans et tantôt comme un vieux sage. Et malheureusement, tout le récit nous est compté par Momo, et la plupart de ce qu'on lit se passe dans sa tête. Dur de fait de supporter longtemps ce pourtant très court récit.

L'autre problème connexe qui m'a clairement empêché de rentrer dans le livre, est la manière dont Romain Gary a voulu faire parler Momo. Si j'ai d'abord été interloqué, amusé, même enthousiasmé par quelques tournures de phrases originales, très rapidement, je les ai trouvé très lourdes. Certaines expressions sont réellement redondantes. On a l'impression que Momo passe son temps à parler des fesses énormes de Mme Rosa de toutes les manières imaginables et à définir chaque personnage principalement par son origine ethnique (juif, arabe, noir...). Et en plus d'un certain nombre d'expressions incompréhensibles ("les rumeurs d'Orléans", "que j'ai eu l'honneur de"...), cette fausse manière de donner un côté enfantin à Momo en lui faisant prononcer des phrases à rallonge à base de "et puis", "et", "et puis" complique la lecture et fatigue très rapidement...

De plus, se concentrer sur le personnage de Momo et de devoir passer à côté de tant d'autres personnages qui me semblaient intéressants (Mme Lola le travesti, Mr Hamil et son histoire d'amour oubliée...), ont continué à participer à l'agacement général. Enfin, le manque de rebondissements général, l'incongruité de certaines situations (la rencontre avec Mme Nadine et la suite de sa relation avec Momo) finissent de sceller mon agacement global pour ce livre.

Et pour finir, comme le dit l'addage, ça n'est pas la destination qui compte mais le voyage, mais j'ai été passablement agacé par la 4ème de couverture de l'édition Folio qui résume littéralement l'histoire de sa première à sa dernière page, empêchant toute réelle surprise pendant la lecture.

Si j'ai réussi à terminer La vie Devant Soi, je n'ai malheureusement jamais pu rentrer dans l'histoire, croire à ses personnages, m'attacher à ce cher momo, et finalement m'émouvoir devant cette pourtant tendre histoire.
Commenter  J’apprécie          10
Mohammed - dit Momo, est un jeune arabe orphelin pris en charge par Madame Rosa, une ancienne prostituée juive, alors qu'il n'avait que 3 ans.
Dans l'appartement du 6ème étage, sans ascenseur, Momo apprend à mûrir pour s'occuper de sa seconde Maman très malade, sur le point de mourir.
On apprend à le connaître, lui et son environnement, un ado qui se cherche, perturbé, forcément... une vie pas très jolie, ou plutôt un début de vie, puisqu'il a, en fin de compte, une incroyable chance, que tous les orphelins aimeraient connaître !

Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire ou à m'attacher à Momo, qui est donc le seul narrateur.
Le langage, l'écriture, les expressions, m'ont quelque peu dérangé...
Et cette manie de répéter certains passages plusieurs fois, ça m'a agacé aussi.

Il y a pourtant de la tristesse, et une histoire humaine, des émotions, mais ce n'est pas un univers que j'apprécie.

CHALLENGE SOLIDAIRE 2022
Commenter  J’apprécie          50
Le style d'écriture n'est pas commun mais je n'en attendais pas moins vu sa réputation. En revanche, c'est sans doute ce qui m'a fait "décrocher" au trois quart de l'ouvrage. Je l'ai terminé pour connaître l'issue, mais sans grand plaisir, malheureusement...
Commenter  J’apprécie          20
Je sais que ce livre a été un coup de coeur pour beaucoup de monde mais malheureusement pas pour moi. L'histoire est très belle, très touchante. Mais j'ai eu beaucoup de mal avec le style d'écriture. Je n'ai pas réussi à me mettre dans la tête du personnage.
Malgré cela, je suis contente de l'avoir lu car je pense qu'il fait parti des livres « classiques ».
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (40411) Voir plus



Quiz Voir plus

Tout sur Romain Gary

Dans quelle ville est né Romain Gary ?

Kaunas
Riga
Vilnius
Odessa

12 questions
612 lecteurs ont répondu
Thème : Romain GaryCréer un quiz sur ce livre

{* *}