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EAN : 9782207135945
480 pages
Denoël (07/09/2017)
4.18/5   87 notes
Résumé :
Fille de l’un des hommes les plus riches d’Haïti, Mireille Duval Jameson mène une vie confortable aux États-Unis. Mais alors qu’elle est en vacances à Port-au-Prince avec son mari Michael et leur bébé Christophe, Mireille est kidnappée. Ses ravisseurs réclament un million de dollars à son père. Pourtant, ce dernier refuse de payer la rançon, convaincu que toutes les femmes de sa famille seraient alors enlevées les unes après les autres. Pendant treize jours, Mireill... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
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Mireille Duval Jameson, une jeune américaine d'origine haïtienne se fait enlever en plein jour sous les yeux de son mari Michaël et de son bébé Christophe..
Cible rêvée, son père---chez qui ils sont en vacances---est un des hommes les plus riches d'Haïti, il a grandi dans la pauvreté et allait à l'école pieds nus , rien ne lui a été donné à la naissance , à force d'études et de travail, il s'est fait tout seul......une situation dans le bâtiment et les travaux publics ......


Il refuse de payer la rançon faramineuse de un million de dollars, convaincu , persuadé que toutes les femmes de sa famille seraient alors enlevées les unes après les autres ?

Il condamne ainsi sa fille à Treize-jours de captivité, treize jours d'enfer absolu, aux mains de sept hommes, dont le Commandant, d'une cruauté sans nom, glaçant, pervers , déterminé.......
Comment décrire les tortures et sévices, les humiliations, les brûlures, les viols répétés encore et encore , les blessures infligées à Mireille ?
Son corps n'est qu'une Plaie.
Un traumatisme indicible qu'on lit en serrant les dents .........
Dans la deuxième partie du livre, dans l'après et un semblant de reconstruction, Mireille , dotée d'un caractère fort, devenue avocate, , très consciente des injustices liées aux disparités de classe sociale, "Dans l'avant, je tenais pour acquis le caractère sacré de mon corps , dans l'après , mon corps n'était rien " .
Elle ne se sent plus vivante, , ne peut pas parler de ce qu'elle a enduré , elle ne communique plus avec son mari, se sent à l'état d'animal,refuse qu'on la touche..
Elle se sent morte, souillée à jamais ........entourée d'une ".cage ".......
Elle tente de s'orienter et de se réorienter , au sein d'une nouvelle géographie .
"Dans l'avant, c'était tellement facile de croire en l'heureux à jamais "........Comment survivre dans de telles conditions, comment surmonter un tel traumatisme? Comment recréer une intimité avec son mari ?

La rédemption revêt parfois des formes inattendues, originales .........
Mireille, un très beau personnage , qui ne se laisse pas faire, forte, dure , rebelle, presque brisée, jamais domptée, un portait magnifique d'une femme dans une situation extrême.
Roman cru , brillant et choquant, époustouflant, un coup de coeur qui dévoile sous nos yeux, le courage, d'une mére, d'une fille, d'une femme malmenée par la vie , qui donne à réfléchir , cet ouvrage nous laisse en état de choc , laissant des marques et une empreinte longtemps après la dernière page !
Un écrit fort qui parle à notre esprit à propos de ce qui se passe à Haïti où la richesse et le confort peuvent côtoyer l'extrême pauvreté et les excés les plus divers ! ........
Récit remarquable à la très belle écriture , écrit par une fervente militante des droits de la femme et de la liberté sexuelle , à ne pas mettre entre toutes les mains .......
Merci à Marylin , mon amie de la médiathèque pour cette pépite ! Une fois de plus!
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Mireille, fille d'un riche homme d'affaires, profite de ses vacances à Port au Prince avec son mari et son bébé dans la villa familiale. Alors qu'elle s'apprête à passer la journée à la plage, elle est violemment kidnappée. Les ravisseurs réclament une rançon à son père qui refuse de payer.
C'est alors que l'enfer commence pour Mireille... pendant treize jours.
Je remercie chaleureusement Babelio pour l'opération "masse critique" et les éditions Denöel pour l'envoi de ce roman. J'ai ainsi pu découvrir la plume de Roxane Gay, une auteure américaine d'origine haïtienne qui a jusqu'ici écrit plusieurs nouvelles et essais. "Treize jours" est son premier roman. Il est publié au Etats-Unis en 2014 sous le titre original "A unstamed state" et a fait beaucoup parler de lui.
Mireille Duval est une avocate américaine qui vit à Miami avec Michael, son époux, et son fils. Ses parents sont des immigrés haïtiens qui ont quitté l'île peu de temps après leur mariage. Son père a travaillé dur toute sa vie et a fait fortune dans le bâtiment. Disposant de ressources suffisantes, ses parents ont fini par retourner vivre à Haïti dans une villa sécurisée construite à Port-au-Prince. Les enfants et petits-enfants viennent souvent les rejoindre pendant les vacances.
Mireille n'a jamais connu la misère. Elle a grandi dans une belle maison et a fait de brillantes études. C'est une femme bien entourée qui mène une vie paisible et heureuse jusqu'au jour où tout bascule.
Le décor est planté dès le début. L'histoire se déroule à Haïti, un petit pays des Antilles proche de Cuba. Situé en pleine mer, on y trouve de belles plages et en son coeur c'est une terre montagneuse. Cependant, la population est très pauvre, seule une minorité a pu échapper à la misère et faire fortune à l'étranger. Les nouveaux riches (la diaspora) reviennent aux pays. Ils construisent de belles demeures et s'y installent une partie de l'année ou durant les vacances. Cependant, la criminalité sévit et le kidnapping est devenu un mode opératoire qui rapporte rapidement de l'argent.
Dans le livre, Mireille est le narrateur. Elle nous raconte son histoire, ses sentiments, ses souvenirs et ses peurs les plus profondes. le lecteur découvre d'abord une femme terrifiée, prise de panique. Elle nous décrit son étouffement face à l'enfermement et à la peur qu'elle ressent. Puis, on découvre une femme forte et déterminée. Progressivement elle tient tête à ses kidnappeurs. Face à la cruauté de ses ravisseurs, elle refuse de céder à leurs tentatives d'intimidation. Arriveront alors les viols et les actes de barbarie qu'elle nous décrit avec des mots très forts.

Le livre est divisé en deux parties. Dans la première, c'est le kidnapping et les sévices subis, dans la deuxième c'est la libération et la reconstruction. Dès la quatrième de couverture le lecteur sait que Mireille sera libérée et qu'il faudra qu'elle ré-apprenne à vivre. Face au traumatisme vécu, le plus grand combat va être de retrouver un semblant de vie normale et une vie intime avec son époux.
Comment le couple va-t-il survivre à de telles blessures ? Quels seront les rapports avec son père ?
Le thème principal du livre est dur : comment briser psychologiquement et physiquement un être humain en treize jours ? Combien de temps faudra-t-il pour se relever ?
J'ai vraiment aimé découvrir cette auteure ainsi que l'histoire qu'elle raconte avec tellement de réalisme. "Treize jours" est une lecture que je n'ai pas pu lâcher jusqu'à la fin. Roxane Gay a su maintenir un suspense qui m'a tenu en haleine tout au long du récit. Dans la première partie, on attend la fin du calvaire jusqu'au treizième jour puis le jour de la libération, l'intrigue est maintenue. Elle est toujours aussi prenante, ça ne s'arrête jamais. Les chapitres ne sont pas très longs, pourtant ils sont bien détaillés. L'ambiance est dure et glaciale.
Évoquant des thèmes forts, avec une écriture vive et incisive, une histoire poignante.

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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J'ai d'abord été séduite par la couverture de ce livre à la bibliothèque car je trouve celle-ci très belle et épuré et je vois de plus en plus d'articles sur l'auteur Roxane Gay qui a également écrit Bad Feminist, il n'en fallait pas plus pour attiser ma curiosité.

J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre, ce contexte qui prend place à Haïti que l'auteur connait bien et qui est très bien décrit dans ce récit. J'ai aimé suivre Mireille Duval et sa famille durant son enlèvement et ses 13 jours passés à la merci de ses ravisseurs.

Car si on suit Mireille durant sa captivité le récit ne tourne pas uniquement autour de cela et c'est ce qui le rend d'autant plus poignant, on suit celle-ci et son mari avant cet événement (le récit alternant entre le passé et le présent). Mais l'histoire va plus loin que cela car nous suivons le couple et leur famille après ce douloureux moment et comment on peut se reconstruire quand on a vécu les pires sévices possible durant 13 jours.

Le contexte géographique renforce encore plus le récit avec ces questions de richesse opposé à la pauvreté sur l'île, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle Mireille se fait enlever.

Les sévices racontées sont également narrées avec pudeur il n'y a pas de course au sensationnel ou à la surenchère il est d'ailleurs parfois plus judicieux de suggérer au lecteur plutôt que tout raconter.

Un récit que je garderai longtemps en mémoire car c'est le genre de livre qui est marquant à mes yeux. Une très belle découverte avec cette plume et je lirai avec plaisir d'autres bouquins de l'auteur.
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Une première en littérature haïtienne. Sans mon club de lecture je n'aurais jamais ouvert ce roman. Je choisis souvent grâce à une couverture attractive mais là c'est ballot il y en a pas vraiment....

Mireille est d'origine d'Haïti, issue d'une famille fortunée, mariée à un Mister America et un petit garçon métis. Lors d'un court séjour dans sa famille, elle est kidnappée par 7 hommes. A Haïti kidnappeur est un métier, disons on est chef d'entreprise.... En temps normal cela se déroule car c'est le sport national, deux trois jours de détentions et la victime rentre chez elle saine et sauve. Mais pour Mireille c'est tout autre. Son père a des convictions, payer les ravisseurs signifie perdre et mettre sa famille en danger et surtout toucher à son patrimoine. Pour Mireille c'est le début de l'enfer qui durera 13 jours.

Les maitres mots de ce drame psychologique : séquestration et reconstruction. Mireille vit un calvaire sans nom qui lui laissera des traces physiques et psychiques. Je ne spoile pas Mireille l'annonce des le départ son calvaire dure 13 jours. Roxanne Gay décrit avec beaucoup de pudeur l'enfer de Mireille. Pas besoin de descriptions, la suggestion suffit. L'auteur va plus loin que la séquestration, elle traite du syndrome post traumatique. Mireille s'en sort vivante mais dans quel état émotionnel et physique? Peut-elle retrouver sa vie d'avant avec son mari et son fils? Comment va t'elle réagir face à la non assistance de son père? Comment peut-elle se sentir encore proche de sa patrie d'origine? Et surtout comment Mireille va t'elle tenir pendant ses 13 longues journées?

Un roman profond écrit par une femme haïtienne pour les femmes haïtiennes qui ont vécues ce calvaire. Un roman qui traite une drame psychologique donne cependant un message d'espoir. Un fait divers encore existant à ce jour à Haïti. Un pays pauvre dont le kidnapping est courant.
Je le conseille fortement.
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Avant de débuter quoi que ce soit, je tiens à ne pas être originale mais polie, et remercier chaleureusement Babelio et les éditions Denoël pour cette découverte, lors d'une masse critique. Merci !
Quand j'ai reçu le livre dans ma boite aux lettres, j'ai cru que Noël étant déjà là ! Et en plus, coup du hasard, je venais justement de terminer ma précédente lecture, alors ni une ni deux je me suis plongée dedans. Je ne m'attendais d'ailleurs pas à être effectivement plongée directement dans le vif du sujet ! Pas le temps de souffler que vous y êtes déjà !

Le résumé justement : Mireille est en vacances chez ses parents d'origine haïtienne, à Haïti. Elle est dans la voiture, en compagnie de son beau mari et leur bébé Christophe, prêts à aller se prélasser à la plage. Quand soudain des hommes empoignent Mireille, la frappe -frappe son mari au passage, de rien, c'est gratuit- et l'enlève. Elle se retrouve enfermée dans une pièce, avec un seau et un lit, à la merci de sept hommes, dont le chef, dit le « commandant ». Ils demandent une rançon à son père contre sa libération. Or son père, le célèbre Sébastien Duval, architecte fortuné, refuse de céder et condamne ainsi sa fille à treize jours de captivité, avec au programme torture, humiliation, violence physique...youpi youpi !

Oui, oui, messieurs dames, avis aux âmes sensibles, c'est un texte dur à lire, on nous conte cette violence, et pas avec des pincettes – en même temps, je préfère qu'on me dise les choses plutôt que de me les enrober. Je ne vous mens pas, l'auteur non plus, Mireille (la narratrice) non plus.
Ces scènes brutales sont entre-coupées par les souvenirs de Mireille : ses racines haïtiennes, la rencontre de ses parents, la rencontre avec son mari Michael, leur histoire d'amour, de conte de fée, son enfant Christophe. Les personnages deviennent plus vrais que nature, l'illusion de leur existence est bien réalisée, et rend le texte d'une telle puissance qu'elle vous met à terre.

Lors de ma lecture, j'étais captivée par cette héroïne – parce que c'est vraiment une héroïne comme je l'entends et comme j'en ai rarement rencontré – émue par son histoire, terrorisée quand elle était, parfois au bord des larmes, parfois au bord du sourire, parfois amoureuse aussi de ce Michael, en colère, traumatisée...Je savais ne pas me sortir indemne de cette lecture si le sujet était maîtrisé, or c'est le cas, je ne savais pas que ce livre allait me percuter autant !

Le style vous emporte, fluide et sans alambics. Je m'interroge juste sur quelques sens de traduction, j'ai tiqué sur la construction de certaines phrases...Par rapport à tout ce qu'apporte cette lecture, cela passe pour du détail – mais un détail quand même (si je puis chipoter un peu, paraît que ça nous permet de vivre plus longtemps...). Pour en revenir à l'écriture, elle est addictive ! Ce qui peut paraître paradoxale par rapport à la dureté de certaines scènes...Moi, en tout cas, dès le premier chapitre, sans vraiment me laisser le temps, j'ai été attrapé de suite. le récit me hantait quand je ne le lisais pas, j'y pensais.

Je conseille toutefois de faire des pauses pendant votre lecture. Je vous assure qu'elles sont importantes pour reprendre votre souffle, penser à autre chose, prendre du recul, et vous reconnecter en meilleur condition à l'histoire. Conseil d'ami, tout comme les coups de poings, c'est gratuit !

En conclusion, c'est un fort moment de lecture, même si c'était dur, c'était à la fois émouvant, fort, il y a beaucoup de violence, mais aussi beaucoup d'amour. Ça pose la question de comment se reconstruire après ça. J'ai aimé qu'on me retourne l'estomac.

En conclusion bis : Je n'irai JAMAIS à Haïti !
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critiques presse (3)
Actualitte
16 novembre 2017
Roxane Gay a décortiqué Treize Jours de cruauté, l’avant complexe et l’après réaliste d’un traumatisme indicible.
Lire la critique sur le site : Actualitte
LeJournaldeQuebec
25 septembre 2017
Un premier roman aussi bon que choquant, qu’on ne peut lire sans serrer les dents ou les poings au moins 13 fois.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Liberation
28 août 2017
«Treize jours» pour anéantir un être : un récit incontournable de l’auteur américaine d’origine haïtienne.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
"Ce jour - là , je me suis rendu compte pour la première fois que mes parents s'aimaient plus qu'ils ne nous aimaient , même si, à l'époque, je ne pouvais pas encore savoir le prix que j'allais payer pour cet amour."
Commenter  J’apprécie          180
J'ai été enlevée par un gang de jeunes hommes sans peur et pourtant terrifiés, et l'impossible espoir palpitant dans leur corps était tel qu'il leur brûlait la peau et qu'il raffermissait leur volonté jusqu'aux os.
Ils m'ont détenue pendant treize jours.
Ils voulaient me briser. Cela n'avait rien de personnel.
Je n'ai pas été brisée.
C'est ce que je me dis.
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Il a fallu une heure pour me faire sortir de la remise. Michael et Glen et des amis de la famille avaient passé toute la nuit à me chercher. C’était Michael qui m’avait suivie, mais dans ma terreur je n’entendais que le commandant. Je suis restée pelotonnée dans ce recoin, à hurler, tandis que les hommes essayaient de m’approcher. C’était trop, se retrouver de nouveau dans une cage si petite, avec autant d’hommes regroupés autour de moi. Alors quelqu’un est allé chercher Lorraine. Elle a fait sortir les hommes et elle a fermé la porte. Nous n’étions plus que nous deux. Elle s’est agenouillée à côté de moi, elle a retiré mes bras d’au-dessus de ma tête. « Allons, allons », a-t-elle dit en détachant prudemment mes doigts de la cisaille. Elle m’a gentiment pris les mains. Elle m’a dit mon nom, et que j’avais un mari et un fils qui m’attendaient. Elle m’a dit que j’étais en sécurité et que j’étais aimée. Elle a répété ces choses encore et encore jusqu’à ce que je sois capable des les croire.
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Le coeur de Michael battait vite. Il s'est mis à pleurer, j'ai essayé d'essuyer ses larmes mais il y en avait trop. "je t'aime" ai-je dit. "Je sais qu'on t'a enlevé, toi aussi" ai-je dit. "s'il te plait, ne bouge pas les bras, s'il te plait, ne me touche pas" ai-je dit. Et il ne l'a pas fait. Il a pleuré plus fort, il a dit qu'il était désolé, tellement tellement désolé. "chut, bébé" ai-je dit. Je me suis appuyée contre le corps de mon mari et je l'ai entouré de mes bras, m'imbriquant en lui comme je le fait toujours. Il était l'unique chose vraie pour moi. .......pendant un moment, j'ai pensé qu'il serait peut-être possible d'être entière à nouveau. Je ne savais pas combien de temps cela prendrait pour en arriver là. Je ne savais pas par quel chemin y aller.
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"Les familles normales disent vraiment ce qu'elles pensent et ce qu'elles ressentent", avait-il lancé un jour à Mireille après avoir fait la connaissance de ses parents. "Nous sommes catholiques", avait-elle répliqué. Et ils avaient éclaté de rire.
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