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3,65

sur 919 notes
Idée de départ / Accroche du début de livre : 7/10
Développement des personnages : 6/10
Style de l'écriture : 8/10
Rendu de l'histoire : 7/10

Total 28/40 Babelio 3,5/5

Je dois dire que ce livre n'est pas celui que je retiendrai le plus de l'auteur. Je trouve d'ailleurs que depuis quelques temps, il se repose sur ses acquis et raconte des polars pouvant toucher un public bien plus large. Je trouve ça dommage, car j'aimais le côté dark de l'auteur qui se ressent de moins en moins, tout comme ses enquêtes qui prenne un style trop classique sans réellement innover. En faite quand on lit ce roman on a trop la sensation de déjà lu.

Alors certes c'est avec Pierre Niemans et j'adore ce personnage, mais j'ai trouvé que cette fois la sauce était loin de prendre. Vu le peu de personnages développés par l'auteur on trouve rapidement qui tue, ça en est presque trop évident.

Malgré l'ambiance que l'auteur veut imprimé à son roman on est loin d'un univers à la Amish en faite on est a des antipodes d'un univers à la sauce Witness. Cette communauté fait plus penser au Ku Klux Klan en réalité.

L'histoire aurait pu être intéressante si plus creusée. On a vraiment l'impression que l'auteur fait dans l'alimentaire et ne cherche vraiment plus à surprendre le lecteur. La narration manque de profondeur tous comme les personnages.

Mais cela reste tout de même un Grangé et malgré ses nombreuses imperfections on se laisse conduire dans ce scénario maîtrisé, mais sans réelle surprise.

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Dans les Vosges, on retrouve un cadavre enseveli sous les gravats d'une fresque qui ornait le plafond d'une chapelle. Dans sa bouche, une pierre.
Cet homme faisait partie d'une confrérie pacifiste qui vit en totale autarcie. Ce sont des anabaptistes dont la principale ressource provient de la vigne et du vin blanc qu'elle produit.
Ils se font aider par quelques saisonniers venus aider pour les vendanges.
L est fait appel àau commissaire Niemans, bougon et mal embouché, persuadé qu'il s'agit d'un crime.
Un petit polar qui se lit vite et bien. Cette confrérie a peut-être plus de choses à cacher qu'elle ne le laisse croire.
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Premier livre que je lis de cet auteur, même si je connaissais son nom et celui des Rivières pourpres. C'est un bon roman policier, assez classique mais qui fonctionne parfaitement.
Le côté original vient de son inspecteur désormais connu, Niémans, personnage dur, charismatique mais clairement antipathique. Je n'ai lu aucun autre livre de l'auteur donc je ne le connais pas assez bien. Mais le côté désagréable du personnage principal n'a aucunement perturbé mon intérêt pour cette histoire. C'est généralement plus facile quand on peut créer un lien avec le personnage clé, mais ici pas besoin. Cela fonctionne même plutôt bien. Cela change des profils d'inspecteur trop lisses ou trop cliché. J'ai plutôt apprécié.

Le contexte de l'enquête est très sympa et intelligent quoique peu original: celui d'une communauté religieuse à la limite de la secte. Autonome, stricte et radicale, qui veut se couper du monde moderne. Un terreau propice pour que tous les vices de l'être humain se développent. En effet, là où il y a de la radicalité et le secret peuvent se trouver aussi l'étrangeté et la noirceur. L'ambiance est très particulière et lance parfaitement l'intrigue. J'ai été tout de suite happée dedans, je me suis sentie rapidement curieuse de ce mode de vie et de cette mentalité.

Le rythme est un peu inégal dans le sens où la première période est assez lente, à la manière d'un round d'observation – ce qui ne m'a pas déplu – puis une deuxième période avec un grand coup d'accélération. Qui est allée peut-être un rien trop vite. On enchaîne les faits, les découvertes, on n'a pas le temps de respirer et de se poser.

Le trio des policiers formé pour cette enquête est intéressant car il inclut des personnalités franchement différentes. Leur caractère n'est pas super approfondi, mais suffisamment pour piquer l'intérêt des lecteurs et lectrices.

Un bémol cependant sur les tensions un peu classiques entre le flic de Paris et la fliquette de province. Heureusement Niémans en joue, et cela sauve les meubles.

Le jour des cendres est un roman policier qui vous permettra de passer un bon moment, avec un scénario palpitant et un contexte mystérieux, parfait pour une enquête à suspens.
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Je n'ai pas apprécié ce roman, tout comme le précédent d'ailleurs. Je préférais de loin les premiers romans de Grange, plus sombre, moins rapide moins taillé pour le cinéma. Il y a beaucoup d'invraissemblances et je n'ai pas eu le temps de m'attacher aux personnages.
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Lent à démarrer, pour ensuite une résolution assez rapide... Pourtant la trame de l'histoire est sympa. On en sort avec l'impression d'un Thriller bâclé. Pas assez approfondi. La gendarme Desnos semble être un personnage intéressant, au final pas grand chose... Ivana enquête de l'intérieur, infiltrée. J'avais juste envie de la baffer à cause de ses décisions qui à chaque fois, sont illogiques. L'argument du "c'est mon intuition" au bout d'un moment, c'est bon. Niemans est fidèle à lui-même, mais est présent juste en tant qu'inspecteur "parisien" qui veut résoudre au plus vite l'enquête et se barrer de l'endroit.
Même l'effet dernière page de chapitre, qui d'habitude fonctionne à merveille pour ne pas te faire lâcher le livre et passer la nuit dans ses pages, fonctionne moins bien ici.
Comme si l'écriture avait été faite avec lassitude. C'est dommage.
J'attends le retour d'un Grange du niveau d'un "Miserere" ou "les Rivières pourpres" avec impatience.
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Je ne suis pas une lectrice habituelle des romans de JC Grangé car je gardais, à tort ou à raison, des » rivières pourpres » des images de grande violence.

C'est donc parce que l'on m'a offert « le jour des cendres » que je l'ai lu. Et j'ai tout de suite été happée par cette histoire lue en deux jours.

L'inspecteur Niemans est appelé en Alsace dans un domaine viticole géré par les Emissaires, communauté anabaptiste. le corps sans vie d'un membre de la communauté a été retrouvé enseveli sous la voûte effondrée d'une chapelle appartenant à la communauté.

Alors que la fin de l'automne approche, les Emissaires sont en pleines vendanges tardives. le domaine a, comme chaque année, recruté de nombreux saisonniers qui sont hébergés en marge de la propriété. En effet, cette communauté, qui se dit pure et pacifiste, ne veut pas être polluée par les étrangers.

Afin d'enquêter de l'intérieur, l'inspectrice Ivana Bogdanovitch va infiltrer la cohorte de saisonniers.

Les meurtres se succèdent, semblant tous porter en eux la trace de rituels religieux anciens.

Je ne dirai rien sur l'intrigue pour ne pas gâcher le plaisir du futur lecteur, juste que j'ai adoré découvrir le mode de vie et croyances des Emissaires.

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Un Grangé assez court comparé à ce qu'il a pu produire mais qui comme tout ce qu'il fait ou presque se révèle très efficace et bien écrit.

Ce roman est en fait l'adaptation en livre de la série des Rivières Pourpres.
Pour certains, c'est une solution de facilité. Pour moi c'est avant tout un bon moment de lecture et c'est juste ce que je veux retenir.
On retrouve donc Niémans et Ivana qui vont enquêter sur les anabaptistes. Une sorte de secte un peu étrange et d'un meurtre qui leur est lié.
J'ai beaucoup apprécié l'enquête et tout ce qui s'y raccroche : la religion, l'eugénisme, les vendanges, L Histoire.

Pour certains ce fut donc une déception car déjà vu à la télé. Pour moi, un réel plaisir car l'histoire tient la route, elle est simple, classique, précise, nette et les personnages sont attachants notamment Niémans : un peu bourru et bougon mais tellement vrai dans sa description. Il fait tellement humain comparer à d'autres personnages principaux de romans où l'on dirait soit des super héros soit des caricatures...

Je le recommande chaudement donc à tous ceux qui veulent un bon thriller pour l'été !



Il
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Encore un thriller de chez Albin Michel du célèbre Jean-Christophe GRANGE. Après les rivières pourpres il signe là son dernier roman qui se déroule au sein d'une communauté un peu particulière.

Pas une secte puisqu'il n'y a pas pas de gourou, pas d'histoire d'argent ni de sexe. Une communauté où la paix est le maître mot.

Quand un cadavre est découvert, un commandant de police de Paris est appelé pour venir à la rescousse de la gendarmerie.

Puis au final, cette communauté n'est pas si banale que ça, et cache de lourds secrets.



Une histoire originale pour cet opus qui va entraîner le lecteur dans les abysses profondes d'une communauté qui semble vivre en autarcie.

Avec de nombreuses références à l'histoire et à la Bible l'auteur réussit à dérouler une intrigue bien ficelée. On a du mal à s'attacher aux personnages qui sont assez distants et peu enclin à une relation amicale ou autre. Néanmoins ils sont à la hauteur de leur rôle.

Entre Niemans, Ivana, Rachel et Stéphane, c'est à celui qui va être le plus désagréable. Mais tout ça n'est pas pour nous déplaire, car là n'est pas le sujet. le sujet est ailleurs et touche de nombreux domaines : problèmes congénitaux, secte, endoctrinement, rites et rituels, et surtout mensonges.

A part quelques passage un peu long, j'ai vraiment apprécié l'histoire et les références. On ressent le travail en amont fait par l'auteur et surtout l'intelligence de ses propos.

Quant à l'histoire du lieu elle n'est pas en reste, puisque l'intrigue se déroule en Alsace et notamment dans une communauté fabriquant le célèbre gewurstraminer avec les récoltes des derniers jours. Il faut dire qu'appréciant ce vin, j'ai aimé connaître sa provenance.

Le style est assez rythmé et la lecture est rendue agréable par la fluidité du texte. 

Je vous conseille cette lecture qui n'est pas la meilleure de l'auteur à mon sens.
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Un roman sublimisime.
Du grand Grange , je suis une fan inconditionnelle de cet auteur,et là encore j'ai passé un moment agréable.
Une communauté religieuse de vendangeur, hors norme, qui refuse de se mélanger au monde , va vivre un évènement qui va chambouler toute leur vie.
Après un accident dans l'une de leur bâtisse. Niemans vient de Paris au coeur de l'Alsace pour enquêter sur cette affaire un peu louche.
Cette communauté qui a l'air bien inoffensive cache bien bien secrets les plus horribles.
Une fin à vous couper le souffle.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La sortie du Jour !
A retrouvez aujourd'hui dans les différentes librairies ! le dernier @jeanchristophegrange chez les @editionsalbinmichel

Un rythme soutenu très bien fignolé. avec ce roman c'est effectue une plonge dans les abysses de l'église. Le rythme est présent dès le début du roman avance doucement. C'est avec de nombreux détails que le roman se tourne vers un monde de pure innocence. Mais est-ce vraiment le cas ?
La plume de l'auteur est souple et nous guide vers un suspense où il ne vaut mieux pas mettre les pieds. Mais qui peut bien être innocent quand chacun semble avoir commis des péchés ?
C'est avec une enquête intime que l'on va suivre les différentes énigmes laissé par une étrange communauté.
Les mots étaient parfaitement pesés et apportés une lourdeur aux propos pour le moins intriguant.

A noter que ce roman est l'adaptation d'un épisode de la série télé les rivières pourpres.
J'ai trouvé que le suspense était de taille dans ce roman notamment quand on comprend le dénouement et la chute finale qui nous est offerte avec une pointe d'énigme.

j'ai beaucoup apprécié cette lecture car j'ai senti une pression dans certains passages.
C'est agréable de se faire balader dans une communauté assez...unique ! La fin avait un côté touchant et j'ai vivement aimé me plonger dans cet univers qui, a priori semble si parfait.
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