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4,19

sur 5328 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Pépite !
De nombreuses critiques dithyrambiques de Babelionautes avertis m'ont fait rentrer dans la forêt...et j'en ressors complétement abasourdie; Quelle aventure !

Le brouhaha du monde qui s'effondre en toile de fond, un monde qui s'écroule sur des rumeurs des échos qu'entendent de loin deux soeurs Eva, dix sept ans et Nell dix huit ans. Elles vivent avec leurs parents dans la maison familiale en Californie à quelques kilomètre de Redwood, en forêt. Un jour les coupures d'électricité devient de plus en plus fréquentes, il devient difficile de s'approvisionner en vivres et objet de la vie courante. Pragmatique leur père entretient avec précaution un jardin potager, garde précieusement des bidons d'essence...et un jour tout ferme: plus d'école, ni bibliothèque, plus de supermarché..Leurs rêves s'effondrent...l'une voulait faire de la danse, l'autre intégrer Harvard.

Les parents décèdent, les deux jeunes soeurs vont se retrouver en mode survie et devoir affronter les soucis des besoins primaires sans aucun superflu, où subitement tout action prend une dimension vitale de tout les instants : entretenir un feu, faire des provisions, savoir reconnaître des plantes dans la nature pour se soigner...savoir se protéger de cette Nature qui peut devenir hostile, endurer les affres de la peur, l'angoisse, comment ne pas faiblir et sombrer dans la folie? Comment savoir ce qui se passe réellement ailleurs ? ...

Un livre d'une visionnaire assez troublant, quand on sait que notre planète est entrain de voir disparaître à tout à l'allure des animaux, des forêts,...
Cette histoire est dense, peut être incroyablement prémonitoire, le lecteur s'approprie ce récit très bien écrit, qui fait froid dans le dos... Là où se révèle la véritable nature humaine est bien dans l'adversité et la survie.
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Verdict du médecin légiste Jack ? [Chronique complète du trio du Women's Reading Club sur l'adresse ci-dessous]

Encore une roman post-apocalyptique ? Ça commence à bien faire, non ? C'est mon je-ne-sais-quantième roman du genre qui passe sur ma table d'autopsie !

Rassurez-vous, vous ne devrez pas parcourir La Route pour aller de Pétouachnoc à une grande ville. Vous ne devrez pas non plus défendre, armes à la main, votre dernier Carambar, votre dernier Oréo ou votre dernière bouteille d'eau face à une meute de voisins enragés et devenus agressifs à cause de la peur de leur Extinction prochaine.

Certes, c'est un véritable Black-Out auquel nous serons confrontés, mais il a commencé doucement, et tout le monde pensait que tout allait se rétablir… Erreur, grave erreur.

Vu que nous nous trouvons dans une maison isolée près d'une grande forêt, ce roman a tout de la survie à la Robinson plutôt que de celle d'un The end of the world puisqu'ici, pas de fuite : le roman se déroulera quasi en huis-clos avec un père et ses deux filles – Nell et Eva – et puis, juste leur deux.

Nell est la narratrice et elle nous conte un récit fort réaliste sur une civilisation qui a perdu l'électricité sans que l'on sache jamais comment ou à cause de quoi celle-ci a disparu, le récit se concentrant exclusivement sur la survie des deux soeurs dans la maison parentale.

Un huis-clos oppressant, surtout lors de leurs disputes ou pendant qu'elles se cherchent des occupations durant leurs journées. Nous ne les quitterons jamais, sauf à suivre les récits d'avant le black-out raconté par Nell ou des récits de leur enfance, avec papa et maman, au temps de l'insouciance.

Nous ne saurons pas vraiment ce qu'il s'est passé dans la ville voisine de 50km, mais l'auteur, avec peu de mots et de descriptions nous fera comprendre l'horreur que cela a dû être pour les habitants face à une telle situation.

On s'attache aux filles, on les suit dans leur survie, dans leurs espoirs, dans leurs souffrances, dans leurs peurs, le tout sans tomber dans un pathos larmoyant.

Un roman qui nous conte la chute d'une société, un effondrement total, en nous laissant entendre que, comme d'habitude, une autre se relèvera sur les cendres de la précédant puisque, c'est vrai, cela fait seulement depuis 130 ans que l'Homme utilise l'électricité et à vécu plus longtemps SANS elle que AVEC elle.

Un superbe récit de survie qui se dévore avec avidité et qui ne ressemble en rien aux autres romans post-apocalypse déjà lu et autopsié.

Verdict du détective Cannibal ?
Pour une fois, le médecin et le détective sont d'accord !

Je jure avoir rempli ma mission en honneur et conscience, avec exactitude et probité.

Jack The Reader, médecin légiste pour cette autopsie littéraire et Belette Cannibal Lecteur, consultant detective.
Lien : https://thecanniballecteur.w..
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J'ai lu de nombreux romans en post-apo. “Dans la forêt” prouve qu'il y a encore bien des territoires à explorer dans ce domaine.
L'histoire ?

Deux soeurs survivent dans la maison familiale en forêt, alors que l'électricité, le téléphone, la civilisation deviennent des souvenirs de plus en plus lointains.

Mon avis

C'est une histoire touchante. Une amitié, un amour profond entre deux êtres comme isolés sur une île déserte.
C'est un retour à la nature âpre et pas idéalisé.
C'est un monde dépouillé, ou presque, de la folie des hommes (oui avec un h minuscule).
Le côté lumineux, aérien des deux soeurs est contre-balancé avec justesse par la dureté de la survie, le “bon temps” qui ne reviendra pas, les regrets des séparations, le monde qui se rétrécit,

Le récit est à la fois réaliste et onirique.
On est les mains dans la terre pour cultiver de quoi vivre.
Mais le récit alterne avec la présence de la forêt, les rêves d'une des deux soeurs, les souvenirs …

Un voyage initiatique immobile en quelque sorte, un retour à la nature qui échappe à toute idéalisation.
Lien : https://post-tenebras-lire.n..
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435ème critiques... c'est un signe !
Un très bon livre, en effet, que je classerai dans la famille "des contes"... le récit est édifiant et poétique. Il porte une force puissante émotionnelle et philosophique. Il invite vraiment à la réflexion !

A vous dire que ce livre est inscrit dans ma liste depuis un petit moment (juillet 2017)... sur les bons conseils de Bernard Poirette, journaliste, lorsqu'il animait encore le weekend sur RTL, la chronique "C'est à lire !". de mémoire, toujours de bons conseils, je n'ai jamais été déçue...

Pour revenir au livre en question, comme d'autres lecteurs "Babelio", je dirai, "enfin" un roman d'anticipation/livre de science fiction sans extras terrestres, objets volants, ni monstres en tout genre...

Au pied du mur, il s'agit d'une vision de la fin de notre civilisation : plus d'électricité, plus d'essence...
Deux jeunes soeurs prometteuses de 17 et 18 ans dont l'une est danseuse classique et l'autre rêve d'étudier à Harvard, viennent de perdre de manière tragique, leur mère puis leur père. Elles vont devoir survivre, isolées dans la maison de leurs parents, au fin fond d'une forêt californienne.
Ce sera donc un retour aux sources obligatoire... non sans danger... et sans déconvenues... : apprendre à vivre de ce que produit ou peut produire la nature, être économe, se contenter du nécessaire, s'émouvoir de petite chose, se souvenir des bons moments, vaincre ses peurs, se protéger, partager, se supporter, faire preuve de courage et d'ingéniosité...

On se questionne vraiment tout au long du récit... comment gérer certaines situations... maîtriser sa force de caractère et aussi apprendre à renoncer !
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J'ai débuté cette lecture lentement il y a quelques semaines, avec la lecture de quelques pages pendant mon repas de midi : je n'avançais vraiment pas vite dans ma lecture.
Je trouvais le début de ce récit assez "déjà vu" : une histoire de fin du monde.... ou plutôt la fin de notre monde : plus de téléphone, plus d'électricité, plus d'essence. Et c'est tout notre mode de vie qui s'effondre.
Mais je n'aime pas avoir des livres qui restent en cours de lecture trop longtemps : alors ce Week end, j'ai décidé de finir cette lecture rapidement. Et en quelques pages de plus, mon intérêt pour se livre a basculé : ce n'est pas juste la récit d'une fin du monde, c'est surtout le récit d'un apprentissage. Récit d'une prise de conscience de ce qui se passe, et l'apprentissage de la vie sans source d'énergie "facile". Et en même temps, c'est le récit du passage dans la vie adulte.
J'ai trouvé ce récit assez réaliste, peut être cela vient du réalisme dont fait preuve la narratrice qui passe sont temps à se projeter et à anticiper les difficultés.
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J'ai décidé récemment de "sortir de ma zone de confort" (cosy mystery et saga historique principalement) et de me lancer dans le nature writing, grâce au challenge #bookseasonchallenge et vos retours sur ce genre de littérature.
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J'ai donc jeté mon dévolu sur le roman de Jean Hegland Dans la forêt 🍁
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Dans un monde post apocalyptique, tout semble avoir changé : plus d'électricité ni d'essence, le monde est entré dans une guerre terrible et tout s'est écroulé.
Les populations tentent de survivre et les plus vils instincts prennent le dessus.
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Nell et Eva, deux soeurs de 17 et 18 ans, vivent depuis toujours un peu recluses dans leur maison familiale, au coeur de la forêt.
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Quand leurs parents disparaissent, elles doivent alors apprendre à survivre et grandir autrement.
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Grâce à leurs passions pour la lecture et la danse et leur volonté, elles vont alors apprivoiser leurs corps et la forêt pour ne faire bientôt plus qu'une.
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J'ai beaucoup aimé ce roman initiatique. Les intrigues post apocalyptiques m'ont toujours passionnée et certains événements du livre font malheureusement un peu trop écho à notre situation actuelle.
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Néanmoins j'ai trouvé que parfois tout était un peu trop "facile" et manquait de rythme. Une scène en particulier m'a beaucoup dérangée et je n'ai vraiment pas compris son intérêt.
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A noter que ce roman est très souvent étudié au collège/lycée et qu'il a été adapté au cinéma en 2015 avec Ellen Page et Evan Rachel Wood.
J'ai lu également sa version graphique.
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Pssst : non mais tu as vu cette couverture magnifique de l édition Totem de Gallmeister ?😍

🍂 Tu as déjà lu ce genre de Roman?
🍂 En as tu d'autres à me conseiller stp?

Bon weekend 💖
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Nell et Eva sont deux soeurs bientôt majeures qui vivent avec leurs parents "Dans la Forêt". L'une vit pour la danse, l'autre dévore les livres en vue de ses études pour Harvard. le reste du temps, elles le partagent comme les jeunes de leur âge entre réseaux sociaux et fêtes arrosées dans le centre ville.

Encore insouciantes, elles ne sentent pas le basculement qui s'opère au sein de leur civilisation : pannes d'électricité à répétition, manque de carburant récurent… Persuadées que les techniciens et le gouvernement vont par régler le problème, elles s'adaptent petit à petit sans s'affoler : Avec leur parents, qui semblent voir clair dans ce qui arrive, elles font plus de provisions pour moins de déplacements, optimisent les heures baignées de lumière naturelle et d'électricité, et aménagent le reste du temps.


« Bien que les prédictions des Fondamentalistes d'Armageddon se fussent intensifiées, (...), chez la plupart des gens régnait une étrange impression de gaieté, une sorte de soulagement secret (...). Nous ne pouvions nous empêcher d'être saisies d'une étrange exaltation à l'idée que quelque chose hors de notre portée fût suffisamment puissant pour détruire l'inexorabilité de notre routine. »


Mais un beau jour il faut se rendre à l'évidence : L'électricité ne reviendra plus, leur mère meurt d'un cancer, elles n'ont plus d'essence pour retourner en ville faire les courses ou obtenir des nouvelles… Et leur père décède dans un accident. A présent, elles sont seules dans les bois, isolées du reste du monde, sans nouvelles de ce qui se déroule dans le reste du pays. Sans relâche, Eva danse sans musique et Nell étudie sans électricité.

Elles gardent l'espoir qu'un jour, tout redeviendra comme avant et que, ce jour-là, elles seront au niveau. C'est ce qui les fait tenir, jusqu'à ce qu'elles se rendent compte que, peut-être, cette vie est finie pour toujours. Car les jours défilent et aucun secours n'arrive. Il faut alors trouver de nouveaux repères, de nouveaux buts, une nouvelle raison de survivre, et de continuer à se battre. Seules, avec des réserves qui s'amenuisent, les bêtes sauvages, les pilleurs, et leurs états d'âmes…


« Depuis que tout ça a commencé, nous avons attendu d'être sauvées, attendu comme de stupides princesses que nos vies légitimes nous soient rendues. Mais nous n'avons fait que nous berner nous-mêmes, que jouer un autre conte de fées.L'électricité ne sera jamais rétablie ici. le téléphone ne sonnera plus jamais pour nous. Eva et moi continuerons de vivre ainsi jusqu'à notre mort, amassant et nous terrant et finalement mourrait de faim - si nous n'avons pas la chance d'être égorgées avant. »

*****

Ecrit en 1996, soit il y a plus de 20 ans, ce roman est plus que jamais d'actualité. J'en profite pour souligner le travail des éditions GALLMEISTER qui nous offrent toujours de jolis textes sous de magnifiques couvertures. Dystopie post-apocalyptique qui faisant réfléchir sur notre façon d'exploiter les ressources de la planète ? Redécouverte de l'état de nature et des modes de survivance plus naturel et simples ? Observation sur la société de consommation montrant qu'on peut survivre dans ce qui nous semble être du dénuement ? Ou encore démonstration du meilleur comme du pire de l'humanité lorsqu'elle est dans le besoin ? Ce roman est tout cela et encore un peu plus.



Sur le même thème que "Ravage", de Barjavel, Jean HEGLAND a créé son univers, doux et poétique, et aussi criant de vérités humaines. Sur le fond, il s'agit de prendre conscience de la vulnérabilité de notre civilisation telle qu'on l'entretient : la planète s'adaptera et l'Homme devra en faire autant s'il veut survivre ; Notre civilisation en revanche, telle qu'on l'a construite et la connaît aujourd'hui, est probablement sur le déclin. Mais cette lecture rappelle aussi que l'Homme sait s'adapter aux situations et catastrophes, que malgré ce que veut nous faire croire l'Industrie et le progrès, on peut vivre de presque rien en l'absence de gaspillage, et que même le minimum peut paraître du superflu comparé à l'état de nature, qui pourtant est tout aussi viable.


« Bien sûr, ce genre de choses arrive tout le temps. Les civilisations périclitent, les sociétés s'effondrent et de petites poches de gens demeurent, rescapés et réfugiés (…). Pensez à l'Amérique du Sud, à l'Afrique du Sud, à l'Asie Centrale, à l'Europe de l'Est, et demandez-vous comment avons-nous pu être aussi suffisants ? Pensez à la Lone Woman de l'île de San Nicolas et demandez-vous pourquoi nous avons pensé que nous serions sauvés. »


On en vient, on devra peut-être y retourner plus tôt que prévu, pour survivre…

Lien : http://onee-chan-a-lu.public..
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Deux soeurs, qui s'aiment et qui s'opposent dans un environnement hostile. le monde qui s'éteint ; une forêt, un jardin, deux poules et une maison comme seules ressources...
Que restera-t-il de cette humanité réduite à l'essentiel ?
L'encyclopédie s'épuise, les sentiments s'érodent et repartent au rythme d'événements effrayants, il est de plus en plus difficile de trouver des solutions.
Mais l'auteure ne manque pas d'imagination...

La fin est étonnante, un peu trop pour moi, elle est à la mesure de ce roman, précis, évolutif, entraînant et pousse à la réflexion.
Lien : https://partagerlecture.blog..
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Ce pourrait être un énième roman américain où les héros se réfugient dans une nature parée de toutes les vertus.
C'est un peu cela mais aussi davantage tout de même.
Jean Hegland a surtout le talent de nous rendre si présentes les deux personnages de jeunes filles, surtout la narratrice, avec beaucoup de sensibilité et de justesse. Elles sont confrontées à des situations extrêmes, qui s'installent progressivement, même si des événements dramatiques ponctuent aussi leur cheminement.
C'est ce cheminement qui est intéressant dans ce roman. Il s'agit de découverte de soi, de ses possibilités, du monde proche, un peu oublié ou craint dans une civilisation technologique. le retour à la nature est contraint par l'effondrement de cette civilisation. Et bien sûr cette redécouverte est aussi un des attraits du roman. Mais pas le premier selon moi.
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« Dans la forêt », c'est le récit des événements relatif de Nell et Éva, deux soeurs qui vivent avec leurs parents depuis leur naissance au milieu d'une forêt. , on constate de plus en plus de coupures d'électricité, jusqu'au jour où l'interruption devient continue et va engendrer la confusion totale dans le monde (ou du moins en Amérique, car on ne sait pas si le problème est planétaire). Les grandes surfaces sont dépouillés, il n'y a plus d'essence, la population succombe meure de différents fléaux et maladies.
Nell et Éva étant isolées avec leur père dans leur maison de bois t ne savent pas exactement ce qui se passe — nous non plus, d'ailleurs — d'autant plus qu'elles sont toutes les deux obsédées par leurs dynamismes : Éva veut intégrer une école de danse réputée, pour cela, elle danse du matin au soir (sans musique) et Nell une grande université (elle parcourt, , tous les mots de l'encyclopédie), elles travaillent dur toutes les deux pour cela. Mais petit à petit, leurs antériorités dans le temps vont troquer et elles vont devoir survivre seules et apprendre à vivre avec ce que leur donne la forêt et affronter le monde extérieur.
Dans ce roman, on évolue dans un monde obscur et catastrophique, mais qui pourtant paraît très palpable
Les personnages de Nell et Éva ont une belle cohérence, j'ai trouvé Nell – la plus jeune des soeurs – très mure et réfléchie alors qu'Éva est plus « frivole » ce qui a engendré de fréquents querelles entre les deux soeurs
C'est un roman que j'ai trouvé très beau. Émouvant. Fort. Prenant. Et aussi original, notamment grâce à l'une ou l'autre scène assez dérangeantes, qui montrent que l'auteur n'a pas eu peur de dérouter son lecteur. Une histoire où le contexte post-apocalyptique n'est pas fait de guerres, d'horreurs et de monstres (quoique) mais bien de la découverte de l'humanité -incarnée par ces deux soeurs- menacée. Néanmoins j'estime que cette histoire n'a pas révélée tous ses secrets
On s'interroge sur le fatum de nos deux héroïnes
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