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3,98

sur 15848 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est avec curiosité que j'ai voulu découvrir ce grand classique de la science-fiction mais c'est avec un avis mitigé que j'ai refermé ce livre.

Pourtant, tout commence bien, la dystopie est très bien introduite, la première partie et la description de la société font très bien ressortir le côté effrayant que l'auteur semble vouloir transmettre. Toute cette partie descriptive est d'autant plus surprenante lorsque l'on pense à l'époque où elle a été écrite, la précision et les détails de certains aspects sont marquants (le clonage, les détails biologiques).

Puis on découvre les différents personnages principaux dans cet univers aseptisé, où les règles semblent inversées, la monogamie est interdite ainsi que l'attachement à des personnes particulières. L'art, la religion, la science sont totalement abolis et pour combler le manque que cela pourrait créer, on distribue de la drogue à la population pour la satisfaire et la maintenir dans son illusion.

On suit donc ces personnages, et là, il y a clairement des passages qui m'ont perdu, c'est certainement lié au style d'écriture, qui a malgré tout vieilli, et la forme du récit... mais malheureusement cela m'a un peu coupé dans ma lecture.

Outre ces quelques passages difficiles, le reste de l'histoire est très intéressante, le dialogue entre John et l'Administrateur mondiale à la fin du livre est criant de vérité et d'une véritable profondeur.
Ce qui marquera et ce qu'il faudra retenir de ce récit, c'est le fond et tous les enjeux que l'auteur soulignent en dépeignant cette société future. Vouloir tout contrôler, conditionner chaque être humain à une tâche spécifique dès le stade embryonnaire, sélectionner ce qui est le meilleur pour nous et supprimer ce qui nous freine dans notre avancée, pour éradiquer les guerres, la maladie, le malheur : voilà la société parfaite. Mais arrivé à la conclusion du livre on ne peut que constater que toutes ces méthodes ne peuvent aboutir à cette idylle, car les émotions, l'art, la science et même le mal sont nécessaire pour progresser.

Un autre aspect assez effrayant du récit qui m'a aussi marqué, c'est certaines homologies que l'ont pourrait faire entre ce « meilleur des mondes » et notre société actuelle, les pratiques génétiques de plus en plus au point pour sélectionner ce que l'on veut, le conditionnement humain etc... Huxley nous surprend en étant assez visionnaire...
Un très bon fond donc pour ce livre, qui laisse la voie libre à une multitude de question sur notre société, mais qui est, je trouve, assez mal desservie par la forme, qui ne m'a pas facilité la lecture.
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Déçue par la lecture du livre le meilleur des mondes, je me dis que ce n'était peut-être pas le moment. J'ai ouvert ce livre car mon fils qui est en troisième devait le lire pour son collège.
J'ai tout d'abord eu beaucoup de mal à rentrer et à comprendre l'histoire, le style ne m'a pas convenu, beaucoup de termes inventés pour l'histoire et de mots scientifiques utilisés, j'ai du coup été sur Wikipédia pour regarder le condensé de l'histoire, ce qui m'a fait connaître toute l'histoire mais qui m'a quand même permise de la comprendre mieux.
Nous sommes dans une société créée pour que chaque individu soit modelé et conditionné selon sa caste, qu'il ne pose pas de question, qu'il soit dans le moule conçu pour lui, qu'il effectue la tâche qu'il lui est destiné, bref, la société idéale aux yeux de son créateur. Nous rencontrons également John, jeune homme de 20 ans, qui est naît en dehors de cette société et qui a du mal à accepter que des hommes et des femmes puissent vivre comme cela.
L'histoire était, je pense, assez révolutionnaire pour son époque, n'oublions pas que ce livre a été écrit en 1931, et que certaines expériences inimaginables dans ce livre sont devenues réelles depuis.
Le charme n'a pas fonctionné pour moi, peut-être que je tenterais de regarder une des adaptations cinématographiques pour peut-être un peu plus apprécier l'histoire.
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Ce classique de la science-fiction m'a semblé aussi génial sur le fond que mal foutu sur la forme, ce qui fait que je ressors de cette lecture avec un sentiment très mitigé. Dénoncer les dérives de l'eugénisme, illustrer l'usage malsain du conditionnement, prévoir la course folle à la consommation à outrance, réinscrire à l'ordre du jour le vieil adage romain “du pain et des jeux”, démontrer les pièges de la stabilité à tout prix, autant de bonnes intentions que réussit effectivement à concrétiser ce livre visionnaire lorsqu'on considère l'année où il a été rédigé. Et pour tout cela, bravo.

Mais quelle structure rébarbative pour en arriver là! Les deux premiers chapitres redondants aux énumérations fastidieuses, un suivant où le sujet change systématiquement après quelques lignes sans indicateur aucun pour que le lecteur puisse suivre, et un débat philosophique abscons entre Menier et Le Sauvage vers la fin, tout cela entrecoupé d'une histoire plus traditionnellement bâtie qui n'en comporte pas moins pour autant de significations. On aurait voulu décourager les lecteurs qu'on aurait pas fait tellement autrement . . . Dans sa préface à l'édition que j'ai lu, l'auteur précise que selon lui les lecteurs doivent faire des efforts de compréhension; on saisit facilement ce à quoi il fait référence! Bref je comprends pourquoi ce livre est considéré comme un classique compte tenu des idées qu'il expose. Mais pour la fluidité de l'écriture et le plaisir de la lecture on repassera.
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Il me semble que parler du Meilleur des mondes, c'est quand même s'attaquer à un sacré gros morceau. Chef d'oeuvre de l'anticipation, dystopie originale, histoire extraordinaire… Et délicieuses références. Critique acerbe de la société, que e ne pouvais décemment pas laisser passer.

Le Meilleur des Mondes, c'est un univers totalement différent du nôtre. Bébés éprouvettes, conditionnement parfait dès la « naissance », tout pour une société stable. La construction de l'environnement des personnages est un sacré travail, j'ai été bluffée par tous les détails et le peu de failles de la société futuriste imaginée par l'auteur. Bon, bien évidemment, il y a des failles, sinon pas d'histoire !

Le récit est divisé en trois parties. La première propose une immersion dans le nouveau monde, le monde de Notre Ford (figure à la fois politique et spirituelle, à partir duquel les habitants comptent leurs années). On commence par une visite du Centre d'Incubation et de Conditionnement de Londres-Central, aux côtés d'étudiants, grâce à laquelle nous comprenons la complexité de la société créée par Huxley de manière assez simple. A travers les salles, nous apprenons chaque étape de développement des citoyens et leurs moeurs, leurs goûts et dégoûts, leur prédestination… le côté « cours » des premiers chapitres permet de nous positionner comme les élèves et d'apprendre à connaître le contexte de ce roman. La seconde partie, qui est réellement l'élément déclencheur, nous amène à visiter une réserve de « Sauvages ». En réalité des Indiens d'Amérique, qui vivent selon les codes de la « vie d'avant Notre Ford ». Nous assistons alors au choc de la rencontre, des différences profondes entre les deux sociétés. Et la suite… Eh bien, lisez si vous ne la connaissez pas !

Avec Les Robots, première lecture du challenge, j'étais tombée sur un roman parfaitement intemporel. Ici, c'est une autre histoire ; Aldous Huxley crée un monde futuriste, certes, mais parfaitement ancré dans sa propre époque, et en constante discussion avec le passé. On retrouve, dans les nombreux personnages du roman, des noms qui ne sont pas inconnus : Helmholtz Watson ou encore Darwin Bonaparte, en passant par Bernard Marx… Et comment passer sous silence Shakespeare ! Qui dès le retour des protagonistes, est omniprésent. Citations d'Hamlet, de Tempest, de Roméo et Juliette… Très honnêtement, ça m'a fait beaucoup. le personnage qui cite constamment Shakespeare m'est du coup apparu sans relief, comme s'il n'était formé que de mots qui ne lui appartenaient pas vraiment.

Ce n'est d'ailleurs pas le seul personnage qui m'a dérangée ; en fait je crois que je n'ai réellement pu m'identifier à aucun des protagonistes. Ils sont tous trop différents, que ce soient les habitants du meilleur des mondes ou bien ceux de la Réserve.

Ma conclusion sur ce roman sera donc la suivante : je n'ai pas réussi à m'investir beaucoup dans ma lecture, mais je sais tout de même reconnaître qu'il s'agit là d'un roman empli d'intelligence, avec une profonde réflexion sur la société (réflexion qui elle, reste dramatiquement actuelle).
Lien : https://folitteraires.wordpr..
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Ecrit en 1931 et publié en 1932, ce roman est considéré par beaucoup comme un des piliers de la SF, un incontournable du genre. Il m'est donc apparu indispensable de me faire ma propre opinion, quitte à flinguer un classique (ce ne sera pas une première de ma part et je l'assume totalement).

Le bouquin commence par une nouvelle préface de l'auteur écrite en 1946. La douche froide, c'est assommant, sans le moindre intérêt (ça n'engage que moi)… Après quelques lignes je décide de la lire en diagonale sinon je sens que je vais expédier le bouquin direct à la corbeille.

La première partie du bouquin (les trois premiers chapitre, soit un peu moins du quart) plantent le décor sous forme d'une visite d'un Centre d'Incubation et de Conditionnement. C'est soporifique, la sauce a du mal à prendre (voire ne prend pas du tout)… Ca commence mal ! D'autant que le troisième chapitre est un véritable foutoir où s'entre-mêlent différents dialogues.

Alors que je cherchais déjà des tournures incendiaires pour une exécution en bonne et due forme j'ai dû ravaler mon fiel. La découverte du quotidien des habitants de ce monde civilisé supposé idéal où tout est formaté et conditionné, donne un nouveau souffle au bouquin, enfin mon intérêt est tiré de sa torpeur. La bonne surprise étant que ledit intérêt ne retombera pas avant les dernières pages du roman, finalement ça valait la peine de s'accrocher (malgré quelques longueurs).

Je ne vous gratifierai pas d'une critique plus étoffée, l'avantage des classiques c'est qu'ils ont fait l'objet d'études approfondies par des gens bien plus doués que moi dans ce genre d'exercice.

A défaut d'avoir été totalement emballé par ce Meilleur des Mondes je reconnais volontiers qu'il est un précurseur du genre (dystopie ou contre-utopie) et qu'il a dû inspirer bien des auteurs qui ont perpétué (et perpétuent encore) le genre. En cela je m'incline devant le titre d'oeuvre majeure de la SF. Pour moi ça restera une expérience intéressante, comme je suppose que ce sera le cas des autres classiques inscrits au programme de mon challenge ; pas indispensable mais utile à ma culture générale.
Lien : http://amnezik666.wordpress...
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Ça commençait mal... je confonds depuis toujours La guerre des mondes et le meilleur des mondes. Quand @point.a.laligne a relancé le vote du #cafeduclassique et que le meilleur des mondes est arrivé en tête, je me suis dit "chouette, une attaque extraterrestre !" Et je me suis retrouvée avec Jean-Jacques Habibullah. Certes, c'est un personnage (très) secondaire, mais des semaines après ma lecture, je ne me souviens que du fou rire provoqué par son nom (je m'appelle Annie-Rose, ce qui me donne le droit de me moquer).
Je pourrais dire aussi que Bernard est un connard (avec un grand C, fallait pas commencer). Mais je ne sais même plus réellement pourquoi. Me reste surtout l'impression d'une lecture longue comme un jour de pluie sur la Manche (ça vous donne une idée).

Le résumé ? Et bien, ce n'est pas celui de la Guerre des mondes. (Et là, je sens poindre une interrogation... a-t-elle ouvert ce livre ? Ou seulement fait semblant pour avoir le droit de balancer des sous-entendus astrologiques dans un groupe de discussion ?)
Alors, attention, je balance un mot compliqué pour tenter de vous prouver que j'ai lu ce roman et que je suis brillante : eugénisme.
Rien à voir avec le prénom (même si toute ma chronique repose là-dessus finalement), mais tout avec une société imaginaire parfaitement contrôlée et hygiéniste où aucune tête ne dépasse que l'on soit Alpha ou Bêta (oserais-je dire que certain mâle de notre espèce cumule superbement les deux ?)
Si les premiers chapitres ont suscité chez moi un frémissement d'intérêt, je n'ai pas eu de frissons face au traitement infligé aux bébés. Trop cynique pour ça, trop lectrice de noir et de fantastique. le passage dans la réserve a relancé un peu ma lecture, mais dieu que c'était long. Et alors... le chemin jusqu'à la fin, interminable.
Il faut contextualiser les oeuvres du passé, et cellei-ci en tant qu'oeuvre de SF semble d'autant plus datée dans son traitement, même si le sujet a des résonances fortes avec notre époque. Trop lent, trop daté, trop vieilli, trop ampoulé... ce texte n'était pas pour moi.

Et surtout, j'attends toujours l'attaque extraterrestre.
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La raison peut-elle offrir à l'homme le meilleur des mondes possibles ? le produit de l'intelligence humaine peut-il, seul, mener au bonheur ? Voilà le postulat d'Aldous Huxley qui, dans ce roman à la postérité fameuse, imagine une société déshumanisée, industrialisée jusqu'à ses mécanismes les plus primitifs, hiérarchisée entre les individus les plus capables intellectuellement et ceux le sont le moins. Les hommes, conditionnés, ont une vie obligatoirement régie par le travail et les loisirs, à tel point que le concept de réflexion intellectuel devient obsolète. Pour assurer le bonheur psychologique, le soma - une drogue - est distribuée.
Dans cette société qui pense son temps depuis l'avènement du fordisme, Bernard Marx est un Alpha, c'est-à-dire la catégorie la plus élevée des êtres humains. Naturellement, Bernard commence à se poser des questions, à réfléchir sur cette société, rêvant d'amour. Sa rencontre avec John, rencontré dans une réserve de Sauvages, amène bien sûr à s'interroger sur cette société à travers le prisme du regard de John, lequel vit de la même façon que nous le faisons actuellement.
Roman phare de la science-fiction, dystopie inquiétante et pourtant déjà présente sous quelques aspects, le meilleur des mondes interroge le rapport de l'homme avec le progrès technologique.
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Alors évidemment, l'idée du livre est intéressante, interpellante, fascinante même. Ce monde qui se dit meilleur, alors que tous les êtres ont été conditionnés à vivre en sous-êtres ou en êtres d'élite, dans un racisme plutôt primaire, avec leurs doses de drogue pour oublier le monde réel et être heureux en permanence, est captivant tant l'anticipation de l'auteur est réussie. La société de consommation bat son plein et toute pensée dissidente est punie.

Là où j'ai été fort déçue, mais il est vrai que j'ai lu l'oeuvre en traduction et non dans la langue originale, c'est la forme. C'est très mal écrit, ennuyeux de répétitions, parfaitement dénué de tout style.

Et du coup, le livre n'a pas ce côté véritablement percutant qu'il aurait pu avoir. Sans doute a-t-il aussi un peu vieilli, mais mal vieilli, et j'en garderai le souvenir d'un ouvrage un peu poussiéreux.
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Publié dans les années 30, le Meilleur des Mondes dépeint un monde normalisé où chacun est à sa place, où tout est ordonné pour border une prétendue stabilité sociale. Rien n'est trop bon pour maîtriser les émotions : drogue, lavage de cerveau, conditionnement social... Depuis leur naissance dans des flacons, jusqu'à leur disparition et leur recyclage en phosphore, les êtres humains sont devenus des copies conformes et sont heureux de l'être.

Voilà un monde très étrange que nous décrit Aldous Huxley dans ce roman. Difficile d'arriver à comprendre ce monde nouveau, conditionné pour mener une vie "parfaite", sans maladie, sans émotions, sans attaches... Difficile de se sentir proche de ce monde effrayant, et pourtant... certains de ses aspects nous rappelle parfois à notre quotidien et nous fait prendre conscience que la fiction n'est pas complétement dénué de réalisme.

Les personnages sont pareils à des robots, répétant bêtement les phrases toutes faîtes répétés en boucle depuis l'enfance. Il n'y a plus aucune individualité, et l'esprit du corps social est formaté de la même manière. Chacun sa caste, chacun un destin tout tracé... Un futur qui parait effrayant, angoissant. L'être humain peut-il se diriger vers un tel extrême ?

Au milieu de cette foule quasi non-pensante, un homme fait figure de "Sauvage" car il est né d'un homme et d'une femme, et qu'il a connu l'existence dans sa plus pure réalité. Cet homme se gorge de la poésie de Shakespeare, des émotions de l'écriture, des pensées divines... et se retrouve au milieu d'un monde aseptisé à tout point de vue, dans lequel il est incapable de trouver sa place. Il fait figure de curiosité, de bête de foire. L'introduction du personnage de John, le "Sauvage", n'est pas sans rappeler le Candide de Voltaire. La remise en question de la société "normalisée" devient alors beaucoup plus forte au travers des yeux de cet étranger, et le fossé se dessine un peu plus à chaque page.

Ce roman interroge et semble ouvrir une porte inquiétante sur ce que le futur pourrait réserver à une humanité qui se déshumanise peu à peu. Les progrès de la science, l'industrie... Dans le Meilleur des Mondes, ces aspects ont fini par vider les humains de toute substance. J'ai apprécié la manière qu'a eu l'auteur d'interroger sur le futur en dépeignant une société épouvantablement désincarnée, et qui pourtant se trouve des justifications parfaites et se satisfait de son état.

Je ne m'attendais pas vraiment à cela en m'attaquant à ce roman. Je le pensais plus "démonstratif", montrant encore plus d'exemples concrets sur ce nouveau monde. le récit possède des longueurs, des passages un peu plus philosophiques notamment sur la fin, sur les questions de Dieu et de conditionnement. Ces passages sont intéressants, bien qu'ils tendent à traîner un peu. Mais après tout, ce roman n'est pas fait pour divertir, mais pour donner matière à réfléchir. Il est empreint de théories sociales et de questionnement de la société.

En refermant le livre, je me suis posée la question : plus de 80 ans après la publication du Meilleur des Mondes, que pourrait bien écrire Aldous Huxlex en voyant notre société d'aujourd'hui ?
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Pour tout dire, j'ai vraiment eu du mal à accrocher, les premières pages sont fastidieuses et je me suis demandé quand le voyage allait commencé.
Au moment de sa parution, il fait nul doute que les idées exposées dans ce livre ont parut extravagantes et visionnaires, mais aujourd'hui tout ceci parait dépassé et donc bien amoindri en saveur.
Je suis content d'avoir fait ce périple, mais sans plus et je reste vraiment partagé dans mon ressenti.
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