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sur 464 notes
Le 3ème tome des enquêtes de Konrad. Sur un rythme plutôt lent, propice à explorer la noirceur de l'âme humaine, les remords, les regrets... Entre passé et présent dans une Islande un peu triste et souvent sombre. Et toujours en fil conducteur la recherche autour de son père assassiné.
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ARNALDUR INDRIDASON revient avec une nouvelle enquête de Konrad, un retraité de la police islandaise qui, navré d'avoir refusé son aide à une dame assassinée, veut réparer son erreur. Avec autant d'humanité que d'opiniâtreté, il réveille les fantômes du passé.

Comme à chaque fois que je lis un roman de cet auteur, je ressens un réel plaisir de lecture. J'ai le sentiment d'avoir dans la main une pelote de laine dont je tire le fil lentement, et l'intrigue se dévoile petit à petit.

Pour les lecteurs qui me connaissent un peu et aiment lire mes critiques, ils savent que je suis une inconditionnelle de cet auteur.

La pierre du remords est un roman sur la honte, le désespoir et les remords qui finissent par nous hanter.

L'intrigue est une fois de plus captivante et écrite magistralement.

Mon admiration pour ARNALDUR INDRIDASON est sans limite, et c'est avec énormément de plaisir que je vais enfin le rencontrer Au quai du polar début juillet. Je vais vivre cette rencontre comme un grand moment.

Et bien sûr je serai aussi la lectrice du prochain opus au côté de Konrad and co.

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Je reconnais que Indridason fait partie de mes auteurs préférés et que je ne suis donc pas très objectif mais ce livre m'a beaucoup plu. On y retrouve le style de l'auteur, ses chapitres brefs et ses rebondissements successif jusqu'au denouement final.La cuvée 2021 de l'auteur est très réussie et cette plongée dans les souvenirs sombres de ce fait divers vous passionnera j'en suis sure : un conseil plongez y vous ne le regretterez pas !
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Konrad, ancien policier à la retraite aurait dû aider cette femme qui vient d'être assassinée. Elle l'avait contacté pour qu'il puisse retrouver son enfant qu'elle avait abandonné à la naissance il y a 50 ans. Il se culpabilise, il va donc essayer de retrouver et l'assassin et cet homme. Il est aussi en quête de son histoire personnelle , la mort de son père. Deux histoires en parallèle qui se suivent très bien . Une enquête dans la souffrance, des retours en arrière, l'abandon, la maltraitance.
Se lit facilement.
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Suite à un coup de fil anonyme la police découvre le corps d'une sexagénaire étouffée par un sac plastique. Au vu de l'état de l'appartement il s'agit d'un cambriolage qui a mal tourné. L'enquêtrice qui dirige l'enquête trouve pour seul indice le numéro de téléphone de Konrad un ancien collègue à elle. Interrogé Konrad lui révèle que Valborg voulait qu'il retrouve l'enfant qu'elle avait abandonné à sa naissance mais qu'il avait refusé.
Pris de remords il se lance dans une enquête pour retrouver l'enfant mais aussi le meurtrier de la sexagénaire.

Si l'on suit de loin en loin le travail de la police le récit est presque exclusivement centré sur l'enquête menée par Konrad.

Une enquête, comme il est d'habitude chez l'auteur, qui se déroule sur un rythme très lent, d'autant plus qu'en parallèle le personnage central enquête sur la mort de son père assassiné et sur les multiples méfaits qu'avait commis ce dernier.

Malgré un rythme d'enquête lent le style de l'auteur est vif et fluide, et les chapitres courts permettent une lecture aisée. L' récit comme le premier opus alterne présent et passé changeant de narrateur en fonction des situations.

Toutefois ce récit s'avère de qualité inférieure au premier opus de la série.
Lien : http://imaginaire-chronique...
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Même si j'ai apprécié lire les enquête d'Erlendur, j'avoue avoir une préférence pour Konrad que je retrouve dans cette nouvelle enquête où comme son titre l'indique il sera question de remords. Pour rappel, Konrad est un policier à la retraite, veuf depuis quelques années et qui pour passer le temps donne un coup de main à la police notamment son amie Marta ou enquête pour des particuliers.
Dans cette enquête une femme est retrouvée assassinée chez elle, et l'on retrouve sur place le numéro de téléphone de Konrad. Aussitôt contacté, Konrad se souvient de la demande de cette femme qui souhaitait retrouvé l'enfant qu'elle avait mis au monde et abandonné à sa naissance il y a cinquante ans. Il avait alors refusé de l'aider mais après ce drame il voudrait faire quelque chose pour cette femme qui semblait désemparée.

Un personnage de plus dans l'univers d'Indridason qui a non seulement des problèmes avec les rapports sociaux mais qui se trimballe un passé un peu lourd à traîner. D'ailleurs dans chacune de ces enquêtes nous retrouvons une partie consacrée à l'assassinat de son père, cet être mal-aimé et brigand. Dans ce nouvel opus une sombre histoire d'abandon d'enfant qui cache bien d'autres méfaits, d'autant plus que l'histoire parallèle mettant en scène Eyglo est tout aussi terrible. La résolution de cette enquête qui semblait vouée à l'échec tant les faits remontent à plusieurs années et qu'aucun éléments ne permettaient de se rapprocher d'une solution, est surprenante. Femmes et filles sont à l'honneur dans ce roman sombre et tourmenté.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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Ce qu'il y a de bien avec Indriðason, c'est qu'on n'est jamais déçu. On est assuré d'avoir un bon polar entre les mains, qu'on ne pourra lâcher avant la dernière page. Vous l'aurez compris, comme pour les deux romans précédents de la série, j'ai beaucoup aimé ce livre.
Troisième opus de la série Konráð (je préfère l'orthographe originale), La pierre du remords est un Indriðason pur jus. L'auteur y développe ses thèmes fétiches, sans qu'on en soit lassé. Comme quoi, il y a toujours à écrire à ce propos. Au détour de quelques phrases, il égratigne certains sujets qui, on le sent, l'agacent : le développement d'un Reykjavík moderne au détriment des quartiers anciens de son enfance (« […] préférant ne pas avoir sous les yeux les affreux immeubles qu'on y avait érigés les uns après les autres, détruisant tout ce qui rappelait le Reykjavík d'autrefois. ») et l'explosion du tourisme de masse (« Un autocar bondé d'étrangers venait de quitter les lieux, mais d'autres, tout aussi bondés, ne manqueraient pas d'affluer. Reykjavík se noyait dans le tourisme de masse et les agences de voyages locales cherchaient désespérément des endroits à leur faire visiter. »)
Mais, Arnaldur traite surtout des maux de son île. Comme souvent dans ses romans, l'on retrouve les problèmes qui minent une Islande lisse en surface : le pouvoir de l'argent, la violence conjugale, le viol et, corolaire à un malaise grandissant, la consommation de stupéfiants et les trafics qu'elle engendre.
L'auteur rythme son roman en intercalant trois enquêtes et en alternant les enquêtes contemporaines et les flash-backs. Ces mélanges pourraient vite créer un sentiment de de confusion chez le lecteur, mais, c'est sans compter sur la parfaite maîtrise de l'histoire, de la part d'Indriðason, qui, grâce à son expertise du polar, donne un récit clair et cohérent.
Trois histoires se distinguent dans La pierre du remords :
• le meurtre sordide d'une vieille dame, Valborg.
• L'enquête que Konráð mène pour retrouver l'enfant que Valborg avait abandonné à la naissance. le policier à la retraite avait été sollicité par la vieille femme pour retrouver ce bébé, maintenant adulte. Apprenant sa mort tragique, il s'en veut de lui avoir refusé son aide et se lance donc sur la trace de l'enfant en question. le meurtre de Valborg a-t-il un rapport avec cet abandon, bien des décennies plus tôt ?
• Enfin, comme dans les deux précédents romans, Konráð continue à réunir des éléments sur l'assassinat violent de son père, un escroc doublé d'un homme violent et pervers. Pour cela, il bénéficie toujours du soutien d'Eyglo, la fille du complice de son père. Ils apprennent ainsi que les deux compères avaient honteusement abusé d'une femme qui venait de perdre son fils, dans des conditions tragiques.
S'il ne participe pas directement à l'enquête sur l'assassinat de Valborg, Konráð s'investit en parallèle dans les deux autres affaires. Il mène des enquêtes lentes, patiemment, faite de rencontres et d'interrogatoires, sur lesquels il revient sans cesse. C'est sa détermination et sa ténacité qui lui permettent d'aboutir. là encore, on peut admirer le talent de l'auteur qui sait ne pas transformer la lenteur en longueurs dans le récit.
L'écriture d'Arnaldur est fluide, précise et rythmée par des chapitres courts. La scène d'ouverture, où l'on se « promène » d'un appartement à l'autre, pénétrant les intimités, tel un voyeur est une page remarquable, à laquelle fait écho une scène similaire, près de la fin.
L'auteur joue sur l'opposition entre Konráð et Eyglo. Cette dernière est ouverte aux phénomènes inexpliqués, persuadée d'être douée d'un don de voyance. Arnaldur flirte d'ailleurs avec quelques faits inexpliqués : une femme qui apparaît alors qu'elle est censée être décédée, un couvercle de piano mystérieusement relevé durant la nuit… Eyglo est convaincue que, malgré son escroquerie, son père avait aussi un vrai don et qu'il n'était pas fondamentalement mauvais, rejetant toutes les fautes sur le père de Konráð, véritable manipulateur. Konráð, quant à lui, est un rationnel pur et dur. Il ne croit pas plus au spiritisme qu'il ne croit en Dieu. Pour lui, ces histoires de médiums ne sont que des résultats psychologiques de persuasions sur des êtres faibles. On retrouve le thème de l'ouverture d'esprit face aux convictions arrêtées, dans l'histoire de l'abandon de son bébé par Valborg. Confrontée à l'intransigeance d'une femme opposée à l'avortement et qui cite la Bible à qui mieux mieux, La jeune fille de l'époque, qui a été violée, renonce à interrompre sa grossesse pour donner naissance et abandonner l'enfant. Arnaldur est critique envers ces opinions. Tout d'abord, ces opposants à l'avortement font partie d'une congrégation religieuse qualifiée de secte. Enfin, une ancienne adepte, avoue avoir changé d'avis et regrette d'avoir persuadé cette femme de garder son enfant, qui, a été trimballé de famille en famille et est devenu un clochard. « Il avait traîné ici et là, en réalité presque toute sa vie, sans jamais vraiment savoir qui il était ni d'où il venait. »
A la fin du roman, les deux enquêtes sur Valborg se rejoignent en un formidable coup de théâtre dont Arnaldur a le chic. le coupable n'est décidément pas celui vers lequel tous les indices conduisent. Attention aux conclusions trop hâtives, même à vingt pages de la fin.
Le titre du roman, La pierre du remords, vient d'une légende selon laquelle un aigle aurait emporté un bébé dans la montagne. La mère, décidée à récupérer son enfant, gravit la montagne et découvre un rocher couvert de sang. On suppose alors que l'enfant a été sacrifié par le rapace. Ce rocher porte dès lors le nom de Tregasteinn, la pierre du remords. Mais, dans ce titre, c'est surtout le mot « remords » qui est central. Remords de Konráð de ne pas avoir assisté Valborg. Remords de Konráð et Eyglo à propos des souffrances engendrées par leurs pères. Remords de Regina, qui a accepté l'enfant abandonné, pour le rejeter ensuite. Remords du meurtrier de Valborg, qui semble prisonnier du destin. Ce qui fait dire à l'auteur : « Konrad méditait sur l'ironie du sort. […] Sur les hasards qui régissaient la vie des gens. La manière dont ils la façonnaient. La manière dont ils l'anéantissaient. »
Quant à l'enquête qui transcende l'ensemble de la série, celle sur le meurtre du père de Konráð, Arnaldur donne de nouveaux éléments, notamment une certaine fenêtre et des fumoirs de viande allumés la nuit. de quoi nourrir la substance du quatrième épisode déjà publié en Islande, Þagnarmúr (Le mur du silence). [Lire la présentation]. Et que penser de ce jeune policier, cette jeune recrue qui n'est pas nommée, présent dans le roman, sur lequel Arnaldur passe en s'y attardant quand même un peu ? Un futur remplaçant d'un Konráð vieillissant ?
Pour finir, je cite Eric Boury, le traducteur d'Arnaldur (qu'il soit mille fois remercié au passage de nous permettre d'accéder à ce remarquable auteur.) : « C'est le vingtième roman que je traduis de cet auteur et je n'éprouve pas la moindre lassitude, ce qui est remarquable, car 20 romans, quand même, ça fait beaucoup !! »
RETROUVER DES PHOTOS D'ILLUSTRATION DU ROMAN ET TOUS LES LIVRESD'INDRIDASON SUR MON SITE.
Lien : http://www.polardesglaces.com/
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Il va falloir s'y faire … Erllandur c'est fini !
Arnaldur a choisi de l'abandonner à son sort et est passé à Konrad … 4 livres sont prévu !
Tout a commencé avec « Ce que savait la nuit » où j'ai retrouvé le talent de l'auteur avec après Erlandur et ses fantômes, Konrad, nouveau venu, cet ex policier avec ses propres fantômes. On se balade dans le vieux Reykjavik avec ses anciens quartiers et nous croisons toujours la route d'individus qui ont une histoire, un vécu toujours émouvant. La grande Histoire de l'Islande est toujours sur notre chemin et l'on en découvre à chaque fois un nouveau petit morceau.
La suite était « Les fantômes de Reykjavik » une rencontre avec le milieu des médiums, ( milieu que l'auteur a côtoyé dans sa jeunesse ) et des interrogations qui nous font tourner en rond pendant des pages et des pages … on se retrouve pris au piège de l'histoire.
Nous voici maintenant avec « La pierre du remords »
Où on repart avec des médiums qui parsèment des pages et des pages de leurs délires … on y croit ou on n'y croit pas ?
Où on repart avec un petit couplet sur les violences contre les femmes … on essaie de faire quelque chose ?
Où on repart sur la piste d'un meurtrier quand même !
Les questionnements sur le passé des pères de Konrad et de Eyglo … qui est le plus méchant ? … qui a entraîné l'autre ?
Des passages malheureusement très courts, intéressants et innovants où un lieu choisi devient pendant quelques temps le centre du monde … une rue, des fenêtres avec des scènes de la vie quotidienne qui nous sont décryptées … comme un tableau aux multiples facettes.
Des passages inutiles qui veulent faire durer le suspense mais qui ne servent qu'à rallonger la sauce déjà bien diluée.
Globalement une lecture décevante … dans ce volume, le rythme manque, les personnages nous racontent peut être une histoire mais ils oublient de vivre et c'est vraiment dommage.
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La pierre du remords: la légende rapporte qu'elle se situe quelque part sur une montagne à l'ouest de l'Islande, qu'un aigle ayant enlevé un enfant l'y a tué et que la mère de la petite victime a ensuite sombré dans le désespoir...
Le remords, c'est aussi celui de Valborg, cette femme ayant abandonné son enfant à la naissance et qui le recherche désespérément 50 ans plus tard.
Le remords, c'est encore celui de l'inspecteur Konrad qui a refusé son aide à Valborg dans sa quête, remords d'autant plus culpabilisant que Valborg est assassinée peu de temps après.
Commence alors pour Konrad un voyage dans le temps et dans la vie de la victime : quel lien peut-il y avoir entre sa mort et la disparition de son enfant ?
Il s'agit alors d'extirper les destins enfouis dans le passé et de faire remonter en surface des souvenirs souvent douloureux. Car enterrer le passé n'efface ni les crimes ni les souffrances et Konrad met toute son énergie à le remuer pour ne pas s'ensevelir lui-même, pour ne pas nier une dimension essentielle de son humanité et surtout, pour donner un sens à la vie de Valborg et à la sienne.
Car Konrad n'est pas indemne de son passé: l'assassinat non élucidé de son père continue de le hanter et interfère dans son enquête.
Tenter de reconstruire le puzzle du passé afin de pouvoir s'en libérer et mieux analyser le présent Ne pas faire table rase de ce passé, mais tenter de le connaître pour qu'il ne soit pas une entrave à l'avenir.
Décidément, les enquêteurs fétiches d'Indridason ont à gérer de bien traumatiques épisodes de leur destin familial ! C'était déjà le cas pour Erlendur Sveinsson, le commissaire-héros récurrent de polars précédents.
"La pierre du remords", polar bien noir, ancré dans une société islandaise pas si idyllique que ça, avec ses drogués, ses paumés et une violence conjugale bien prégnante dans ce roman.
C'est l'intérêt de certains auteurs scandinaves, tels Henkell ou Indridason, que de plonger leurs enquêtes dans un contexte économique et/ou politique et/ou social qui en rajoute à l'intérêt de l'histoire.
Bref, une fois de plus, Indridason fait efficacement le job !!
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Ce n'est pas le premier roman noir d'Indridason que je lis, mais je découvre un nouveau personnage : Konrad, policier à la retraite qui s'ennuie, veuf, et qui traîne un lourd passé familial.

Son père qui était un fieffé escroc a été assassiné devant les abattoirs. C'était un véritable salopard qui soutirait de l'argent avec la complicité d'un soi-disant medium, à de pauvres crédules.

Je retrouve donc les spécificités de cette île qui enregistre un faible taux de crimes de sang, où la population fort réduite est liée par de multiples liens, où tout le monde se connaît plus ou moins.

L'histoire est étrange : une vieille dame, Valborg, contacte Konrad dont elle sait qu'il a résolu jadis une énigme, et lui demande de retrouver un enfant qu'elle a abandonné à la naissance, alors qu'elle se sait en dernière phase de sa maladie.

Elle ne sait rien de lui, ni si ce fut une fille ou un garçon, mais né à la suite d'un viol au début des années 70. Elle avait été persuadée de renoncer à une interruption de grossesse et d'abandonner l'enfant par une élève sage-femme appartenant à une secte proscrivant l'avortement.

Quelques jours après cette rencontre entre l'ex-flic et Valborg, la vieille dame est assassinée, à son domicile ...

Violences conjugales, trafic de stupéfiants, chantage, ésotérisme, vieilles légendes scandinaves : l'enquête s'éparpille à la manière d'un kaléidoscope, puis les fils se renouent. Chapitres courts, multiples flash backs, nombreux personnages, entremêlement entre ce crime et la propre quête de Konrad pour élucider le meurtre de son père ... Des affaires non élucidées, la difficulté de retrouver les pistes, les témoignages, près de cinquante années plus tard.

Dans l'environnement particulièrement venteux et froid de cette île lointaine ...

Ce qui m'étonne, c'est ce thème du rôle des sages-femmes qui revient dans au moins deux romans islandais que j'ai lus cette année ... alors que le sujet de l'avortement réapparaît avec fracas aux Etats-Unis aujourd'hui.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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