Grey : Cinquante nuances de Grey par Christian

Je pensais qu'on ne pouvait pas faire pire que "50 nuances de Grey", que j'avais classé 1er dans mon top des livres les plus nuls du monde : je m'étais trompée. Vous me direz : mais pourquoi s'infliger cette lecture si tu as eu envie de vomir avec "50 nuances" ? (On me l'a prêté, déjà, hein, faut pas exagérer.) Deux raisons : la première, parce que les discussions avec les potes autour de ce bouquin sont hilarantes. La seconde : parce que j'avais naïvement espéré que Mrs James sauverait son personnage en lui donnant des pensées intelligentes. ERREUR ! Prenez le premier tome de la trilogie, gardez tous les dialogues, effacez ce qu'il y a entre et remplacez les pensées d'une gamine énamourée et niaise ( interprétées par Misses Déesses intérieures) par celle d'un gros pervers psychopathe jaloux, macho et homophobe (interprétées par Mr Zboub), et vous comprendrez à peu près de quoi est fait ce bouquin. Saupoudrez le tout de cauchemars pseudo-psychologiques d'un gosse de trois ans et voilà, vous avez le pire étron littéraire du siècle !

J'ai choisi de lire les livres dans l'ordre chronologique de l'histoire et non pas dans l'ordre de parution des tomes. Celui-ci vient donc juste après "Cinquante nuances de Grey", puisque c'est le même mais du point de vue de Christian.

Je m'attendais à en apprendre davantage sur lui, afin de comprendre les raisons qui font de lui ce qu'il est. Mais, au final, on n'en sait pas beaucoup plus, pas assez en tout cas. On en devine un peu par le biais de ses rêves et cauchemars, et de ses états d'âme, mais c'est tout. Pour l'instant, je ne peux toujours pas l'apprécier. On devine qu'il a beaucoup souffert et qu'il a été en partie détruit, mais il reste à mes yeux un sadique hyper superficiel, matérialiste et égocentrique qui découvre l'amour... Je n'arrive pas à l'excuser pour ses tendances perverses. Il n'y a vraiment qu'à la toute fin, quand il a sa prise de conscience, que je me suis dit que peut-être il pourrait réussir à m'émouvoir, un peu en tout cas... Il paraît qu'il se livre davantage dans "Cinquante nuances plus sombres", je vais donc le commencer de ce pas parce que j'aimerais vraiment pouvoir le comprendre. L'écriture est agréable, ce roman se lit très bien, c'est certainement pour ça que j'arrive à continuer ma lecture sans me forcer, malgré des personnages qui m'agacent.

[Lu en janvier 2020]

Dans le principe, je préfère version Grey que version Ana, mais je ne peux mettre plus d'une étoile, tout simplement parce qu'il y a trop « d'erreurs » de la part de l'auteure... cette manie qu'elle a d'écrire de la même façon que si Ana pense, surtout niveau gestuel, je me suis surprise par moment à penser être encore dans la peau d'Ana.
Clairement c'est purement marketing, on n'y apprend pas grand chose, on le connaissait déjà en lisant les 3 autres tomes, on supposait déjà ce qu'il affirme.
J'ai survolé les dernières pages sans les lire vraiment - une première pour moi Monsieur Grey ! - c'était trop lassant de relire les mêmes mails, les mêmes passages avec juste des « oh bébé non » qui diffèrent.
Cette auteure décidément, une grande déception, je comprends qu'elle ne s'est pas lancée dans d'autres écritures que « autour de Grey, à travers les yeux de... »...
On m'avait offert ces 4 tomes, il est tout à fait hors de question pour moi de dépenser un seul centime pour les suivants, désolée pour cette critique.

J'ai jeté l'éponge à la moitié environ. L'autre gourdasse était niaise et parlait à sa déesse intérieure, lui il est aussi flippant qu'ennuyant et parle à son sexe, qui fait les mêmes effets de genre que la déesse intérieure. Je vous jure, c'est limite pire d'être dans sa tête que celle d'Ana. Ana était au moins un brin divertissante. Et si j'avais continué la première trilogie pour savoir ce qu'il advenait des personnages et découvrir leurs "secrets", là je connais déjà l'histoire et je ne vois pas l'intérêt de continuer à me faire mal pour rien.

Je possède ce livre depuis quelques années dans ma bibliothèque. Je l'ai acheté à sa sortie pour finalement ne le lire que maintenant. Mon engouement pour cette histoire s'était atténué.
Au début de la lecture, j‘étais curieuse de redécouvrir cette romance du point de vue de Christian. Mais j'ai été très déçue parce que, très vite, il m'a donné l'impression d'être un pervers. Ici, on comprend très bien qu'il est un sadique et non un dominant. Il cherche vraiment à faire du mal à ses soumises, à les punir et j'ai même eu la désagréable sensation qu'il pouvait les prendre pour ses objets… Et dire qu'il veut faire ça à Ana…
J'ai abandonné ma lecture car c'est trop sombre, ça ne m'a pas plu. Je sais bien que dans les trois tomes du point de vue d'Anastasia, Christian est sombre, triste et mystérieux mais là c'est trop sombre presque glauque… Pourtant cela reste logique avec le personnage au vu des révélations dans le tome 02 mais je préfère rester du côté « vanille » d'Ana, pour la romance c'est mieux. Dommage...

Aucun intérêt si ce n'est commercial. Et quelle idée de génie de la part de l'auteur et des éditeurs.
Reprendre le mêmes dialogues, les mêmes échanges mail, en fait toute l'histoire juste en changeant le point de vue.

Si au moins il y avait eu une amélioration au niveau de la prose.
Non que dalle !
Même avec du viagra ça reste plat

Moi qui pensais en avoir définitivement fini avec Grey et Ana, voici que E L James sort un livre sur son personnage de Grey. On me propose de me le prêter, comme j’avais lu les Cinquante nuances et parce que je suis curieuse, j’accepte volontiers.

Ici, fini le point de vue d’Anastasia Steele. E L James nous plonge dans celui de Christian Grey.

Franchement, je ne sais pas quoi dire sur ce bouquin. Je pensais peut être un peu trop naïvement, que j’allais découvrir un Christian sympathique dans le fond, mais c’est tout autre. Tout le long du bouquin, elle essaye de refaire sortir son passé, ses tourments, mais cela ne m’a pas emballé pour un sou. Réellement, je n’ai eu aucune pitié pour ce mec si prétentieux, si pathétique et tordu qu’est Christian Grey.

Personnellement, je trouve que l’on n’apprend rien de nouveau ici. Je ne comprends donc pas l’enjeu de ce bouquin, à part peut-être se faire un peu plus d’argent encore, mais ce n’est que mon avis.

L’écriture est toujours la même, c’est-à-dire beaucoup trop simple à mon goût.

Je respecte l’engouement des lectrices et lecteurs autour de ce livre même si je ne le comprends pas, et je pense donc que ce livre sur Grey leur est réservé, tout simplement.

J'avais adoré cette saga lorsque c'était du côté de Ana que l'on se trouvait. Par contre, le point de vue de Christian m'a vraiment déçu. J'ai trouvé que, sur la première partie du récit, c'est un véritable salaud. Puis, lorsqu'il prend conscience de ses sentiments, il m'a profondément énervé. On ne cesse de tourner en rond. A un moment tout va bien puis, l'instant d'après, il pense qu'Ana le rejette et part en déprime. Je ne pensais pas que Christian était à ce point torturé et instable. A la place d'Ana, j'aurais pris mes jambes à mon cou.

Ma curiosité a néanmoins était comblée par rapport au fait d'en apprendre plus sur le passé de Christian. Même si pour moi, ce passé ne justifie pas une telle attitude. Je trouve qu'au contraire, il devrait fuir ce genre de comportement. Pas grand chose de crédible à mon avis.

Ce quatrième tome n'était pas nécessaire. J'aurais plutôt préféré que les précédents se fassent à deux voix.

Après cette lecture, je ne vois plus cette saga de la même façon et je ne suis pas certaine que si d'autres tomes sortent j'aurais envie de les lire. Ou alors juste par curiosité mais ça m'étonnerais.
Lien : http://unmondedepassionsetde..

Ecrire la même histoire en changeant de narrateur est une "mode" littéraire à grand profit commercial. ca pourrait avoir un intérêt, .... si ça complète des ellipses de l'histoire originelle, apporte plus de profondeur aux personnages (c'était un gros challenge pour Christian Grey : beurk !) .... mais pas avec "Grey" ! Si Twilight version Edward a été spoilé et est finalement tombé à l'eau (je rappelle que Cinquante nuances de Grey était à l'origine une fanfiction proposant une version plus "hot" de Edward et Bella!), ELJames a réussi à publier son 4° volume, surfant sur la vague de son succès. On me l'a prêté et je suis curieuse, espérant que C Grey serait moins exaspérant que Anastasianununuche ... Qu'en dire ?
Quelle daube !
Certes il y a quelques allusions à l'enfance de Christian qui développe un peu plus ce que la trilogie laissait voir,
mais si on est graciés des délires mentaux de Anastasia (sa "déesse" intérieure qui cause qui cause), c'est pour mieux plonger dans les délires de C. Grey qui est plus que caricatural et imbuvable comme type. ce volume n'apporte rien à l'histoire. Christian n'a pas plus de psychologie, n'attire pas plus la "sympathie" je dirais même au contraire...
Bonjour aussi l'économie d'efforts de l'auteure, car on retrouve les mêmes emails etc, et les mêmes scènes de sexe juste en changeant de "voix" ce qui ne change pas grand chose au "fond". Bref : pur produit commercial !
On ne peut pas vraiment comparer, mais dans la série "4° volume de triologie avec un autre point de vue", le seul que j'ai trouvé intéressant jusqu'ici est Quatre, pour Divergente ! Pour une lecture plus palpitante qui utilise ce "ressort" d'écriture, je choisirais le cercle de la Croix de Ian Pears où l'on a quatre fois la même histoire selon quatre points de vue différents et à vous de trouver la solution de l'énigme là-dedans : bien plus intéressant ! ;-)
bref : une lecture inutile, à mon avis même si les personnages de Cinquante nuances vous ont plus, ... à la limite pour "frissonner" un peu ... si on aime ce genre !

"Certains passages de ce livre, notamment certains dialogues et échanges de mails, sont déjà parus dans les ouvrages précédents de l'auteur."
Ou comment faire du neuf avec du vieux, une fan fiction de la fan fiction de la "vanne de trop" de trop... Et comment pousser la plaisanterie un peu loin.
Comme son sous-titre l'indique c'est exactement la même histoire que le tome 1 de la trilogie Fifty Shades mais du point du vue de Cricri (histoire de boire le calice jusqu'à la lie, le principe étant déclinable à l'infini : tome 5, le point de vue de José / tome 6, le point du vue de Kate... Et puis après le point de vue de Taylor, de l'hélicoptère ou d'un poil pubien...).
L'histoire d'un type frustré qui croit dominer la Terre entière alors que tout le monde le prend plus ou moins pour ce qu'il est : un guignol avec une belle gueule arrogante, des dents qui rayent le parquet, un branleur plein d'esbroufe et de pognon, qui n'a aucune autorité sur personne si ce n'est celle de l'argent.
Alors du coup, dans le secret de l'alcôve (si c'était pas une chambre dans un loft de 1000m2, ce serait un container dans un port comme n'importe quel serial killer standard), il tabasse des petites brunes pour des motifs dont la validité reste à prouver.
Un très mauvais conte de fées, mâtiné d'une parodie de Twilight (qui était déjà largement auto-parodique), une sombre histoire de prince charmant avec tout ce que ça comporte : la passivité et la pauvreté de la princesse nunuche (Cendrillon forever), la richesse et la perversité du prince (on en parle de la nécrophilie dans Blanche-Neige ou La belle au bois dormant ? Et Barbe Bleue hein ?), les gentils parents bienveillants mais impuissants, la méchante reine (Elena)...
En gros, c'est exactement le même personnage qui "ricane" en pensant au sexe lorsqu'Ana gloussait et qui a une queue à la place d'une déesse intérieure. Et une queue sacrément loquace (un peu comme le cul d'Ace Ventura)...

La suite avec, en exclusivité mondiale, le témoignage de la queue à Cricri et plein de choses sur la saga Fifty Shades (j'ai beaucoup de temps à perdre) par ici :
Lien : http://www.delacritiquehyste..