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sur 1196 notes
J'ai découvert un ouvrage intitulé "Sur les pas des cavaliers" photographies d'Alain Buu et textes de Joseph Kessel. Sur la page de gauche , des courts extraits des "cavaliers" et sur la page de droite, son illustration par une photo en noir et blanc.
Sobres visages de l'Afghanistan illustrant parfaitement le roman de l'écrivain !
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Et si les populations actuelles afghanes n'étaient pas si loin de ces personnages bien trempés de Kessel ? La vraisemblance de l'histoire laisse imaginer que certaines valeurs ne sont pas aussi universelles que l'on espérerait pouvoir l'imaginer.
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Quel regret de ne pas avoir visiter l'Afghanistan avant que ce pays ne soit détruit par l'URSS et la barbarie musulmane...

Trop tard
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Les chevaux, les montagnes, le courage, le plus beau roman de Kessel.
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Juste après avoir lu "Le jeu du roi", lire "les cavaliers" est une grande déception.
Dans le premier roman, Kessel vit une véritable aventure dans l'Afghanistan de 1956 dans le cadre de la réalisation du film "La passe du diable". On retrouve les lieux visités, des anecdotes, des légendes et le fameux bouzkachi dans "Les cavaliers", mais délayés dans une interminable sauce fort indigeste.
Le personnage principal, Ouroz, est odieux, égoïste, orgueilleux, cynique, cruel, brutal, et j'en passe. Les autres ne valent guère mieux, seuls "l'aïeul de tout le monde" et l'étalon Jehol sont des personnages positifs.
La cruauté envers les animaux, l'entêtement, la violence et la bêtise crasse d'Ouroz, la scène du viol de Zéré, tout cela met le lecteur profondément mal à l'aise.
Kessel n'en reste pas moins un excellent narrateur, et ce livre nous offre du rêve à travers un Afghanistan de 1950 qui semble farouchement médiéval !
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Ce livre nous fait traverser l'Afghanistan à cheval, entre steppes et montagnes. Des paysages magnifiques. Une belle rencontre avec cette culture, tout en lisant, on a envie de boire du thé noir et manger du pulao.

Et cet amour père -fils, très pudique, mais tellement présent !

Cet hymne à la vieillesse, à l'acceptabilité de ne plus faire tout seul.

Mais aussi la dureté de cette culture, l'absence de place réservée aux femmes, déjà, à cette époque...

L'entrée dans le récit, à travers le Bouzkachi, a été assez laborieuse, mais
je me suis par la suite laissée entraîner par L'aïeul de tout le monde, le grand Toursène, et tous les autres.
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L'écriture se met au service d'un roman d'aventures passionnant et formidable. Nous sommes plongés dans le Nord de l'Afghanistan, dans une zone tribale de cavaliers qui se disent issus des Mongols de Gengis Khan. Là se pratique une course de chevaux, événement à la fois sauvage et savant, qui s'appelle le Bouzkachi. Les champions de ce sport sont de véritables héros. Mais celui qui a le plus d'importance, c'est celui qui dresse les chevaux. Il faut des générations et des générations de sélection des reproducteurs, puis des années de dressage pour donner un cheval digne de participer au bouzkachi. Il y a des années, j'ai vu le film avec Omar Sharif. le première fois que j'ai entendu parler de ce sport et de l'Afganistan. Bien avant les attentats du 11 septembre et des moujahidins.
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Une énorme déception de mon côté. J'avais adoré deux autres romans de Kessel mais là... je me suis vraiment ennuyée. La plume est belle mais le temps long et les personnages détestables ne m'ont pas permis d'aimer ce roman.
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On comprend en lisant les Cavaliers pourquoi certains livres continuent d'être édités 50 ans après leur parution. Je n'aime pas particulièrement les romans d'aventure, mais celui-ci est un chef d'oeuvre. Les personnages extraordinaires, les paysages d'Afghanistan, l'épopée de cette traversée, la présence des animaux, des conflits, du jeu, la description d'une société tout entière restent imprimés en vous des années après.
On a l'impression de n'avoir même pas besoin de le relire (pour moi c'était il y a une dizaine d'années) tant l'ensemble de l'oeuvre garde de fraîcheur et de force.
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De page en page, Kessel nous emporte dans l'Afghanistan des années 50, dans ce pays lointain dont nous ne connaissons rien. Son écriture poétique nous fait voir ses paysages grandioses, nous fait aimer des personnages si orgueilleux, fiers dont on comprend les fragilités, les doutes et les hésitations. Hymne à la beauté de l'Afghanistan et à la liberté, ce roman est aussi un roman sur l'amour qu'il soit paternel ou passionné, pur ou intéressé. Je suis sortie de ce livre bouleversée et je ne suis pas près de l'oublier. Une grande leçon d'humanité...
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