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sur 533 notes
Qu'il est bon de participer à un concours, surtout pour gagner le dernier livre en date de Stephen King ! Merci donc aux éditions Livre de Poche pour ce cadeau savoureux. Ecrit à quatre mains, S. King et Richard Chizmar signe un court roman addictif et mystérieux. Que feriez-vous à la place de Gwendy si vous receviez d'un étrange inconnu chapeauté, une boîte en cadeau ? Attention, pas n'importe laquelle. Une boîte aux pouvoirs vertigineux, une boîte qui peut vous rendre fort, invincible, mais aussi provoquer des catastrophes de votre seul fait. Huit boutons décorent cette boîte, mais un seul, rouge, l'attire particulièrement. Pour l'instant, la jeune-fille se contente de profiter des deux manettes lui offrant pièces de monnaies d'un autre temps et chocolats magiques, mais bientôt la tentation sera trop forte... Oscillant entre le conte pour enfants et le fantastique avec une facilité déconcertante, le duo écrit une fable fascinante sur l'attrait du pouvoir et les conséquences de nos actions. Sans avoir recours à des scènes violentes où l'hémoglobine coule à flots, je peux vous rassurer, le maître est toujours au top !

Durant l'été 1974 à Castle Rock, Gwendy Peterson douze ans, décide de prendre le contrôle de son corps. Surnommée Bibendum par certains camarades, elle décide de s'adonner au sport et quoi de mieux que grimper les 350 Marches des suicidés donnant sur Castle View ? Déterminée, c'est en ce lieu qu'elle est abordée par un homme étrange, Mr Farris. Tout en discutant, précisant qu'il n'est pas le pervers qu'elle croit entrevoir, Mr Farris lui offre un coffret de bois pourvu de deux manettes et surmontés de huit boutons de couleurs. D'une des manettes, Gwendy y trouvera une pièce de monnaie rare, de l'autre un chocolat exquis en forme d'animal. Les boutons ? Représentant les continents, sauf l'Antarctique, les boutons rouge et noir semblent avoir une utilité tout autre. Leurs fonctions ? Mystère ! Un seul mot d'ordre, protéger la boîte des autres. Ainsi Gwendy, nouvelle propriétaire de la boîte, va peu à peu changer et laisser place à la curiosité...ou pas.

Retrouver l'univers de Stephen King, c'est un peu comme manger un cookie. C'est croustillant et moelleux avec le goût familier d'y retrouver "un je ne sais quoi" de savoureux qui rappelle des souvenirs. Une madeleine de Proust en somme. A chaque lecture d'un de ses romans, j'éprouve toujours ce sentiment de ne rien comprendre, puis de m'être fait prendre dans une toile pour enfin me faire dévorer par l'araignée. Et celui-ci ne fait pas exception. Les codes de l'auteur, bien présents, expédient littéralement le lecteur dès les prémices. Une petite ville bien sous tout rapport, un obscur personnage et des événements étranges, le décor est planté.

Ce qui fait l'attrait de ce roman est le secret et le pouvoir autour de cette boîte. Gardienne de l'objet, Gwendy sera-t-elle consumée par la curiosité ou parviendra-t-elle à se maîtriser ? L'intérêt s'articule donc autour des choix que va faire la fillette et la tentation qu'offrent les boutons, mais surtout des conséquences. Je peux d'ors et déjà vous dire que la tentation est grande, très grande... Gnark, gnark, gnark !

Peut-on alors parler de parallèle entre le pouvoir politique et l'obsession grandissante de Gwendy envers la boîte, à l'instar de Golum dans le seigneur des anneaux ? Entre le fantasme de la petite et grande Histoire ? Je vous laisse juger avec cette citation dès la page 38 :

- Si vous aviez un bouton, un bouton magique, et que, en le poussant, vous pouviez tuer quelqu'un ou peut-être juste le faire disparaître, ou bien détruire n'importe quel endroit de votre choix. Quelle personne feriez-vous disparaître, ou quel endroit détruiriez-vous ? (...)
- Heureusement que ce genre de bouton n'existe pas, dit miss Chiles.
- Oh, mais ça existe ! Nixon en a un. Brejnev aussi. Et d'autres encore.
Ayant dispensé cette leçon, non d'histoire mais d'actualité,Gwendy s'éloigne sur une bicyclette qui sera très bientôt trop petite pour elle.

Métaphore de la maîtrise de soi ? Volonté d'esprit ? Je vous laisse décider, mais quoi qu'il en soit j'ai beaucoup apprécié le personnage de Gwendy, son évolution et sa force de caractère, propre aux personnages féminins de Stephen King. Fluide et maîtrisé, j'ai particulièrement aimé la fin, contrairement à l'avis général, puisqu'il est dans la continuité et la cohérence du message des auteurs. Des auteurs, parlons-en car un nom m'a interpellé : Richard Chizmar. Comment n'en ai-je pas entendu parler ? Auteur et éditeurs de nouvelles d'horreurs, il n'est tout simplement pas traduit en France. Mesdames et messieurs les éditeurs... Illustré par Keith Minnion, je ne peux que vous conseiller ce court roman qui vous fera passer un très bon moment.

Pour les amoureux ou les curieux de l'univers de Stephen King, je vous encourage à parcourir les pages du site du Club Stephen King en cliquant ici ! Truffé d'anecdotes et d'actualités autour du romancier, c'est une excellente plateforme qui plus est active. Venez, ils flottent tous en bas...

Un court roman du maître, c'est déjà pas mal, mais comblé d'une gourmandise c'est encore mieux ! On reste aux Etats-Unis avec un délicieux browkie, rencontre entre brownie et cookie, et un café crémeux à la noisette. Alors, on est pas bien là ?

Lien : http://bookncook.over-blog.c..
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Gwendy est bien décidée à maigrir avant son entrée en collège : pas question de continuer à être la risée de sa classe ! Alors tous les matins, elle monte en courant les Marches des Suicidés. Jusqu'au jour où l'étrange Richard Farris l'attend là haut, et lui confie une mystérieuse boîte.

En actionnant une manivelle sur le côté, chaque matin, Gwendy trouve un délicieux chocolat, et un seul. le manger lui permet de se contenter de ses repas et de ne pas se resservir, et d'éviter les grignotages. Mais elle se rend vite compte que les effets de la boîte sur sa vie vont au-delà de cet aspect là : elle réussit en tout, études comme sport, devient de plus en plus belle, et même son entourage, à commencer par ses parents, bénéficie des largesses de la boîte.

Mais il n'y a pas que la manivelle, il y a aussi ces mystérieux boutons... et que se passerait-il si elle décidait d'appuyer sur l'un d'eux ? Ou de ne plus se servir de la boîte du tout ?

Gwendy et la boîte à boutons se lit très vite, et le scénario fonctionne bien. On est cependant plus dans un genre de conte initiatique que dans une histoire d'épouvante. Alors moi, ça me va très bien, mais les fans de Simetierre, du Fléau ou de Marche ou crève auront peut-être un peu de mal à s'y retrouver.

Abordable dès 14 ans, je pense.
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De quoi ça parle ?

Castle Rock, 22 août 1974, Gwendy Peterson de 12 ans s’apprête à rentrer au collège et son plus gros problème est son poids. Elle n’est pas grosse, juste un peu dodue. Cependant, cela lui vaut un joli petit surnom qui ne doit absolument pas la suivre au collège, question de réputation. Alors la jeune fille déterminée décide que tout les matins elle montera jusqu’à Castle View via les « Suicide Stairs » ou « marches des suicidés ». Ces charmants escaliers de trois cent cinq marches, elle les brave donc chaque matin en courant.

Mais un jour, tandis qu’elle arrive tout en haut, totalement éreintée, elle remarque un curieux monsieur entièrement habillé de noir. Cela lui paraît bizarre sous cette chaleur cuisante. Gwendy l’a déjà surpris plusieurs fois, assis sur le banc en train de lire. Mais ce matin, l’homme l’interpelle. Il se présente sous le nom de Richard Farris et sort un sac en papier contenant une étrange boîte en acajou : une « boîte à boutons ». Il lui dit qu’il l’a choisi elle, afin qu’elle la garde et la mette en sûreté. Cette boîte lui permettra de recevoir tout les jours un chocolat et de temps en temps une pièce de monnaie rare. Mais ce n’est pas tout. Sur le dessus de celle-ci sont alignés des boutons colorés, chacun d’eux représentant un continent. Sur ce, Richard Farris s’en va et laisse la petite fille ébahie.

Bien vite, Gwendy se rend compte que les chocolats que la boîte lui distribue (et qu’elle est d’abord réticente à goûter du fait de son poids) ont un effet totalement opposé à celui qu’elle avait imaginé. Une fois qu’elle en ingurgite un, elle se sent tout de suite rassasiée. La boîte opère ainsi plusieurs changements sur l’adolescente : à la fin de l’été, Gwendy est devenue une jeune fille grande et mince. Puis au fil des ans, elle embellit, excelle en tout (que ce soit à l’école ou en sport), même sa vision qui au départ nécessitait des lunettes se corrige.

Sa vie est transformée, mais… cette boîte n’apporte-t-elle que du bien ? Quelle est l’utilité de ces boutons ? La jeune fille découvre bien vite la réponse à l’une de ces questions et se rend compte qu’elle détient une entité à la fois redoutable et merveilleuse. C’est à elle de s’en servir pour le bien ou pour le mal…

Mon avis :

Il pourrait ne tenir qu’en un mot : génial ! Je l’ai dévoré en quelques heures. Ce n’est pas le premier roman que je lis de Stephen King, mais je pense que c’est l’un des meilleurs, voire LE meilleur que j’ai lu de lui (écrit seul ou avec un collaborateur).

J’ai récemment achevé la lecture de Sleeping Beauties qui est très long (702 pages), et mon avis est nettement plus mitigé. Gwendy et la boîte à boutons au contraire est très court (175 pages), et cela a permis à l’auteur d’être efficace et d’aller à l’essentiel. Dans la grande majorité de ses « longs » romans, Stephen King délaie, se répète et l’intrigue perd en dynamisme, contrairement à ses histoires plus brèves qui sont excellentes !

Dans Gwendy et la boîte à boutons, il y a juste la longueur idéale pour l’histoire qu’il avait à raconter : pas un temps mort, mais pas non plus l’impression que l’auteur y est allé trop rapidement. Je n’ai pas pu m’en décrocher. J’aurais d’ailleurs aimé continuer à le lire éternellement. L’intrigue est bien construite, les personnages sont intéressants et l’idée très originale. Je n’ai rien à redire.

Un réel coup de cœur !

https://lirelandoulerevedunemontmartroise.wordpress.com/2019/10/28/gwendy-et-la-boite-a-boutons-de-stephen-king-et-richard-chizmar/
Lien : https://lirelandoulerevedune..
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Gwendy, douze ans, vit à Castle Rock (et oui, toujours la bonne vieille ville fétiche de Stephen King !).
Un peu ronde, moquée par un de ses voisins, Frankie Stone, elle se force tous les jours et même en ce dimanche 22 août 1974, à monter les 305 Marches des Suicidés qui montent jusqu'à Castle View, la terrasse panoramique.
C'est en haut de ces marches qu'elle rencontre Richard Farris, jean noir, veste de costume assortie sur une chemise blanche déboutonnée, coiffé d'un joli chapeau noir, assis sur un banc.
« J'ai quelque chose pour toi. UN cadeau. Parce que tu es l'élue. »
Elle reçoit donc un magnifique coffret en acajou, avec huit boutons de couleurs différentes dessus et deux manettes de chaque côté.
Je m'arrête ici pour l'histoire … J'ai aimé ce court roman qui se lit d'une traite. L'histoire est fine et très dense.
On retrouve bien le style Stephen King avec ce personnage ambivalent de Farris et le thème de l'adolescence.
Cela faisait très longtemps que je n'avais pas lu de Stephen King alors ce roman a été une très bonne redécouverte de l'univers de l'auteur.
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Gwendy Peterson, douze ans, s'entraîne à monter les marches de suicidés à Castel Rock en courant pour perdre du poids. En haut, elle rencontre Richard Farris qui lui demande de garder une boîte en acajou très particulière.

Première nouvelle d'une trilogie que j'ai beaucoup aimée car l'histoire est simple et très prenante. On suit l'évolution de Gwendy et de son entourage sur plusieurs années grâce aux pouvoirs de cette boîte mais aussi du poids des responsabilités qu'elle impose à Gwendy car cette boîte apporte autant de bien que de mal.
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Quand j'enseignais encore, je faisais toujours lire à mes élèves, pour illustrer le fantastique, une courte nouvelle de Richard Matheson intitulée "Le jeu du bouton". L'auteur y mettait en scène un couple face à un dilemme : appuyer sur un bouton pour gagner 50.000 dollars mais tuer quelqu'un qu'ils ne connaissent pas. 

On est dans le même thème avec la nouvelle de Stephen King et Richard Chizmar. A douze ans, Gwendy se voit confier, pas un homme mystérieux, une boîte étrange qui lui offre des chocolats rassasiants (mais pas que...) et des pièces en argent de grande valeur. Mais les boutons de couleur qui la compose peuvent détruire des vies un peu partout sur terre. Gwendy en sera la gardienne pendant toute son adolescence avec tout ce que cela implique.

Ce texte, très joliment illustré, est court et se lit rapidement. le côté fantastique est bien présent, sans basculer dans l'horreur. C'est divertissant et on peut réfléchir en même temps sur la manière dont on réagirait si l'on se retrouvait avec un tel objet entre les mains...

Ce n'est pas du "grand Stephen King", c'est plutôt "gentillet" mais c'est une petite lecture rapide qui pourrait plaire aux adolescents.

(Et merci à Ranine d'avoir partagé avec moi cette lecture !)
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Un homme mystérieux, une adolescente torturée, injustice, choix fatidiques, du sang. Une grande partie des éléments chers à Stephen King sont réunis pour faire une bonne histoire, même s'il s'agit d'un récit à 4 mains.
Ce court roman a des petits airs de Bazaar et j'aurais craint une impression de déjà-vu si ce n'était mon auteur fétiche qui l'avait écrit. On se laisse facilement transporter, pas de temps morts, et les pages tournent toute seules.
Gwendy est attachante, et placée face aux choix qu'elle doit faire, je me suis demandé ce que j'aurais fait à sa place. le but du King était donc atteint, puisque, à mon avis, c'était celui que les auteurs voulaient atteindre.
Peu après, Stephen King publiera Élévation, suite de cette nouvelle.
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Quand Netgalley et le Livre de poche proposent à la lecture un ouvrage estampillé Stéphen King, on ne peut que les remercier et postuler pour la lecture.

Mais quand on aime Stephen King, il est frustrant de n'en avoir que pour une centaine de pages. J'ai appris à apprécier le format de la nouvelle à de nombreuses occasions, mais je trouve qu'il est plus agréable dans un recueil où on peut changer d'univers entre plusieurs textes courts alors qu'avec un texte "moyen" comme ici, on ressent plus la frustration.

La nouvelle , notamment dans le fantastique, a une aura particulière. Elle est souvent le format de démarrage des auteurs, qui se font connaitre grâce aux revues spécialisées. King s'associe ici à Richard Chizmar, spécialiste du genre. L'occasion était sans doute belle pour eux de collaborer et de prendre plaisir à écrire à quatre mains (par métaphore avec le piano car je ne pense pas non plus qu'on est affaire à deux ambidextres).

Le plaisir du lecteur est lui plus relatif. Comme souvent avec King on est dans l'enfance-adolescence, dans les années 60-70... et ça fonctionne, même si le cadre est moins posé que d'habitude, les personnages plus stéréotypés. On n'a pas le temps de s'attacher aux personnages secondaires que déjà ils disparaissent au coin de la page, au bout de chapitres qui tiennent parfois sur deux pages. Même l'héroïne centrale m'a semblé plus fade que d'habitude. Bien sûr l'idée de départ est originale, et les différentes possibilités sont explorés et il n'y aurait pas forcément eu matière à un roman.

Restent tout de même les jolies illustrations de Keith Minnion qui égayent une lecture vite avalée et un personnage mystérieux plutôt réussi et qui mériterait lui peut-être des développements plus conséquents.

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Cette nouvelle était passée complètement sous mon radar ! Un Stephen King en moins de 160 pages, effectivement ça ne m'étonne pas que je l'ai loupé ;)

Gwendy a 12 ans quand elle rencontre un drôle de monsieur au chapeau noir. Un drôle de monsieur qui lui donne une boîte à boutons : merveilleuse mais également source d'un pouvoir maléfique ? Il faudra lire la nouvelle pour le découvrir.

Cette courte histoire est vraiment prenante : le personnage de Gwendy est attachant. Ce n'est pas une victime, une petite fille qui a de la volonté et cherche à réussir. On a aussi notre "méchant", un "classique" du maître de Providence.

En un peu plus de 150 pages, on a une belle leçon de vie, une chouette histoire, du merveilleux et un peu d'horreur.

Un très bon King que je conseille !
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Stephen King moi, ça remonte à plus de 40 ans maintenant. Autant dire que le bonhomme m'en a fait voir de toutes les couleurs, et je ne l'en remercierai jamais assez.
Il faut que vous compreniez une chose : malgré toutes les horreurs qu'il peut imaginer, ce type est fondamentalement, profondément, gentil. J'en veux pour preuve ce "Gwendy et la boîte à boutons ", court mais intense roman, dans lequel lui et Richard Chizmar nous emmènent suivre les aventures d'une gentille fille qui se retrouve face à des choix cornéliens. Ça se lit très facilement et vite et ça laisse une impression de conte de fée un peu tordu. Et vous, s'il vous suffisait d'appuyer sur un bouton pour changer le monde, sachant qu'il y aurait forcément des conséquences, vous feriez quoi ?

#GwendyEtLaBoiteABoutons #StephenKing #RichardChizmar #LeLivreDePoche #thriller #lecture #livres #chroniques #Fantastique #Magie #Fable

Le quatrième de couverture :

Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l'ascension du flanc de la falaise. Lorsqu'elle arrive au sommet, un inconnu affublé d'un petit chapeau noir l'interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs.
La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n'a-t-il pas sa contrepartie ?
Lien : http://lesbouquinsdesylvie.fr
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