L'outsider

Terry Maitland, homme bien sous tous rapports, est embarquer sous les yeux de sa femme, ses enfants, pour le meurtre atroce d'un jeune enfant - Est-il réellement coupable ? Tout l'accuse mais pourtant…
On va suivre le déroulé de l'enquête sur cette arrestation.
J'ai vraiment adorer cet opus de Stephen King - Ou il est traité quand un officier de police pense qu'il est dans le faux, que doit-il faire ? - Une enquête haletante ou Holly va les aider à démêler le vrai du faux.
Une enquête avec pleins de rebondissements, des moments aussi pleins d'émotions, ou on se dit non ce n'est pas possible !!!!!
On passe par diverses sensations, la passion évidemment, l'addiction, et aussi la peine, l'injustice, c'est un roman qui vous bouleverse, mais qui vous entraine dans la compassion, l'erreur est possible ? Bien sûr, mais comme on ressent le courage de certains personnages qui vont au bout de leurs intuitions.
Et puis Holly, qui arrive comme ça, l'air de rien, mais qui donne de l'élan au livre, qui envoient la petite équipe dans la direction de la vérité.
Je ressors scotchée de cette lecture, encore une fois, Stephen KING, as le bon ton, ici aussi il y a un peu de fantastique, mais adhère à cette enquête très complexe, je m'attendais à cette fin, mais Cela ne m'a pas gêné, car j'ai pris tellement de plaisir à être embarquer dans cette histoire incroyable.
Malgré la dure réalité de la trame, il y a beaucoup d'humour, j'ai aussi beaucoup aimé la construction de ce récit, les interrogatoires des témoins en début de roman, apporte une autre vision de la situation.
En clair, j'ai tout aimé, pour mon 22e livre de mon auteur chouchou, j'en ressort enthousiasmer, maintenant je vais passer a des lectures plus calmes, plus soft car entre la saga de Maxime CHATTAM et celle-ci, j'ai eu beaucoup de sueur, revenir à quelque chose de plus tranquille pour retourner encore avec plus de passions avec des thrillers.



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Quel dommage....

Ce livre n'est pas vraiment un thriller, pas vraiment un livre horrifique, et dans ce flou stylistique, l'auteur se perd, et m'a perdu par la même occasion. La première partie du roman se construit sous forme d'enquête, et bien que fascinante, cette enquête est ralentit par les répétions, les passages explicatifs qui n'en finissent pas et cela alourdit bien trop ce récit qui devrait, au contraire, avoir un rythme plus rapide, aux vues des événements. L'enquête, l'idée de base, est pourtant fascinante et aurais pu faire un excellent thriller, si la couverture à elle seule, ne dévoilait pas les aboutissants de cette enquête...

De ce fait, lorsque la seconde partie arrive, je n'ai pas été surprise, je me suis juste contenté de poursuivre ma lecture. Cette seconde partie est tout aussi explicative, on assiste à un cours magistrale et cela m'a ennuyé. Je dois pourtant reconnaître que l'auteur parvient habillement à construire ces nombreux personnages, avec soins, et en soit c'est une réussite.

Le dénouement est attendue, convenue, presque trop. Il me laisse un gout amer, car j'avais besoin d'en apprendre plus et cela n'a pas été le cas.
J'ai pourtant apprécié la toute dernière phrase de ce roman, à mon sens, on peut y voir un doute, la créature n'est elle pas là ? Tapis sous les trait de ce flic ? N'est ce pas envisageable qu'elle ait choisit de rester dans ce corps ? Un lot de question que je me pose car ce dernier paragraphe n'était pas nécessaire tout comme la répétition des deux "tant mieux". Et si l'outsider avait trouver sa place et un visage définitif...

En bref, un récit qui aurait totalement pu me fasciner, mais qui m'a perdu par de trop nombreuses longueurs, l'impression étrange d'assister à un cours, et le manque de surprise...

Bonne lecture à tous.

Un enfant de 11 ans est sauvagement assassiné. Pour la police locale, le coupable ne fait aucun doute, c'est l'entraineur de l'équipe junior de baseball. Empreintes, ADN, témoins oculaires, ils ont un dossier en béton. Si ce n'est que l'accusé a été filmé dans une autre ville au même moment.

J'ai lu ce livre en anglais (en grand fan de Stephen King, je n'ai pas pu attendre la version française). SK s'attaque ici à la thématique du double et du crime impossible. La première moitié du livre, la plus intéressante à mes yeux, se concentre sur l'enquête, les témoignages et le doute qui peu à peu s'insinue dans l'esprit des enquêteurs.
Dans la seconde moitié, le roman qui jusque là suivait les règles classiques du polar bascule dans le fantastique. Après tout c'est un livre de Stephen King, non? Seulement voilà, en faisant appel à l'élément fantastique tout le suspense lié à l'enquête s'écroule. On se demandait quelle explication rationnelle allait pouvoir résoudre ce crime en apparence impossible...et patatra...deux ex machina...aucune explication logique, c'est l'élément fantastique qui vient à la rescousse. J'aime le fantastique, mais j'aime aussi les polars bien construits et vouloir mêler les deux est un exercice délicat dans lequel SK a plus ou moins échoué. Je noterai aussi que les personnages m'ont semblé un peu moins aboutis qu'à l'habitude. le roman ne se déroule pas le Maine, est ce pour cela que SK semble avoir un peu perdu ces repères dans ce roman? Bon allez, on ne peut pas réussir à tous les coups, SK a écrit tellement de romans extraordinaires qu'il peut bien se louper de temps à autre, non?


Polar ou fantastique, Stephen King aurait dû choisir et s'est un peu emmêlé les pinceaux dans ce roman qui ne parvient pas à trouver sa voie. Un titre mineur dans une bibliographie au demeurant exceptionnelle.

Décidément en ce moment, je suis à fond sur les polars! Celui-ci est également une grande première. Incroyable mais vrai, je n'avais encore jamais lu aucun livre de Stephen King. le quatrième de couverture me plaisait beaucoup, donc j'avais hâte de me plonger dans cette histoire. Il faut dire que l'entrée en matière est très impressionnante et hard core!

Persuadée de lire un pur policier, je me suis accrochée dans la lecture passé le premier tiers car je trouvais qu'il y avait quelques longueurs. Après la mort du suspect principal, je me suis demandée comment allait se poursuivre l'intrigue.

Même pas peur.
Stephen King est le seul écrivain qui a réussi à me faire faire des cauchemars grâce ( ou à cause?!) à désolation.
Là, j'étais très très loin des cauchemars. Je me suis ennuyée pendant la première moitié du livre, qui n'est ni plus ni moins qu'un thriller classique: un meurtre, une enquête.
Puis, j'ai cru retrouver l'écriture DU Stephen King , mais ça a fait plof. Même pas peur, descriptions à mon avis un peu bâclées qui font que la tension n'est pas montée assez haut.
Et la fin.... c'est une happy end! Mais où est passé Stephen King?!

Cela fait bien vingt ans que je n'ai pas lu un Stephen King... . Et j'avais oublié à quel point King est un conteur hors pair. Ses romans se lisent tout seul, les pages se tournent d'elles-mêmes et c'est très addictif. Il sait jouer avec les peurs, les envies de ses lecteurs et surtout il a l'art de ménager le suspense comme personne. En contrepartie, ses récits sont souvent "bavards". Les descriptions des personnages, des lieux et des actions dans les moindres détails ont parfois tendance à ralentir le déroulement de l'intrigue.

Mais revenons à L'outsider. Dans la petite ville tranquille de Flint City, un enfant de onze ans est retrouvé mort après avoir subi d'innombrables violences. Empreintes et témoins oculaires désignent le coupable, Terry Maitland, respectable père de famille et entraîneur de l'équipe locale de baseball. Les relevés ADN vont eux aussi dans ce sens. Mais voilà, Terry a un alibi en béton. Il était à l'autre bout des Etats Unis, accompagné de plusieurs personnes toutes dignes de confiance. Des preuves matériels prouvent sa présence loin de la scène du crime. Comment cela est-il possible... ?

La première moitié du roman nous présente les faits, le déroulé de l'enquête, sans oublier de mentionner les états d'âmes des différents protagonistes devant cette impossible ubiquité. Cette première partie est très efficace. On retrouve les qualités et les défauts énoncés en préambule mais il est difficile de lâcher le roman.

Mais ensuite cela se gâte, la tournure que prend le récit ne me convient pas, le surnaturel arrive, à petites doses, insidieusement mais cela suffit à me faire perdre le fil du récit. le rythme ralentit (ou c'est moi qui suis moins passionné !), l'histoire se répète... bref j'ai laissé tomber le roman quelques semaines, avant d'y revenir pour quand même connaître la fin. Mais j'ai lu les cent cinquante dernières pages en diagonale.

Pour conclure, je sais pourquoi j'ai mis autant de temps à relire un Stephen King... ce n'est pas un auteur pour moi. Malgré une écriture efficace, je n'arrive pas à rentrer dans son univers.

Lien : https://les-lectures-du-maki..

Mon initiation au « thriller horrific » s'est faite en 1993. J'ai perdu ma « virginité » avec le best-seller Carrie , moi la toute jeune fille dont le roman le plus terrifiant lu jusqu'alors devait être L'appel de la forêt de Jack London, c'est dire si j'étais sage…
J'ai donc fait une grosse partie du chemin d'un seul coup et je ne m'en suis pas remise puisque durant ma période adolescente j'ai voué un véritable culte au maître de la littérature sombre, Stephen King.
Mon petit Panthéon personnel comporte plusieurs des oeuvres du Master, Simetierre ,Ça et Salem, tous dans des registres différents mais avec la touch inimitable de cet auteur que personne ne présente plus. La base…

Et pourtant voilà arrivé un moment très désagréable, le partage d'un avis de lecture qui ne soit pas dithyrambique à propos d'un de ses romans. Pire même, puisque j'abandonne sa lecture à 250 pages de la fin. Je me suis fait violence pour terminer mais finalement je préfère me laisser la possibilité d'y revenir en le laissant de côté momentanément et ne pas en garder un mauvais souvenir. Je vais donc faire bref pour ce retour afin de tourner la page de cette petite déception.

Flint City, petite ville américaine, est le théâtre d'un crime odieux. Un petit garçon est retrouvé violé et assassiné et l'enquête est confiée à la police locale. Rapidement un coupable est désigné, il s'agit de Terry Maitland, notable au-dessus de tout soupçon, confondu par des preuves accablantes. Mais celui-ci nie en bloc, il a un alibi solide comme un roc et prétend ne pas avoir été présent sur place au moment du drame… L'enquête prend alors un tour inattendu car il y a autant d'éléments en faveur de sa culpabilité que de son innocence.

« L'inexplicable. Alors ma question est très simple : et si la seule réponse à l'énigme des deux Terry était d'ordre surnaturel? » p. 217.

Comme à son habitude, King passionne le lecteur dès les premières pages de son récit avec un suspense soutenu. L'action est omniprésente dès le début de l'histoire et je me suis tout de suite prise au jeu. Son talent de narrateur réside pour beaucoup dans les rebondissements mais aussi dans le fait que King développe son univers comme si les lecteurs y avaient passé leur vie et en connaissaient de petits détails qu'il distille tout au long de son récit. À chaque lecture je me suis sentie imprégnée de « culture américaine » même si c'est à l'opposé de ce que je vis bien sur. L'Outsider répond à tous les critères des romans de l'auteur. Alors quel est le problème?

Et bien pour moi le problème a résidé dans les longueurs de l'histoire. J'ai été happée dès le début mais assez vite je me suis désinvestie pour ne pas dire ennuyée. Passés les premiers rebondissement je me suis retrouvée face à une sorte de vide dans l'intrigue qui s'est étirée et m'a perdue en route. Je me suis noyée dans la masse des personnages et me suis décentrée du fil du récit. J'en suis infiniment désolée puisque je suis une grande fan du genre mais malgré des efforts je n'ai pas réussi à raccrocher. J'ai retrouvé de nombreux thèmes ou éléments que j'avais rencontrés dans d'autres livres de l'auteur et mis bout à bout je n'y ai trouvé qu'une saveur tiède. Pour finir, le passage que j'ai trouvé un peu maladroit d'un univers polar à un univers fantastique m'a décidée à poser pour de bon le roman à la page 315. J'y reviendrai certainement dans quelques temps et peut-être qu'alors je me dirai que j'ai nagé en plein délire et que j'étais face à un excellent livre dont je n'ai pas su déceler l'essence. D'autant plus que la majorité des critiques convergent vers l'excellence mais je ne suis certainement en capacité de l'apprécier à sa juste valeur en ce moment. Tant pis pour moi.

Grosse tristesse, d'autant plus que ce roman m'a été offert par une personne chère pour une belle occasion. Les fans inconditionnels seront peut-être contrariés, mais il ne s'agit que de mon opinion personnelle à un moment précis et la première déçue c'est bien moi. Je le met donc bien au chaud pour le moment et le ressortirai dans quelques années, attirée à nouveau par sa sublime couverture et l'envie de lire du King.
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Déçue par ce dernier roman de Stephen King, qui oscille maladroitement entre thriller, horreur et fantastique. Les personnages m'ont paru creux, l'intrigue trop vite dévoilée et alourdie par de longs passages explicatifs un peu simplistes dans leur réflexion. Finalement, je n'ai rien retenu de cette lecture.

Je ne connais pas le titre français de ce roman de Stephen King que J'ai lu en anglais. À l'occasion j'aime bien lire la version originale d'un roman policier ou d'un thriller surtout que Stephen King a souvent des expressions savoureuses qui ne doivent pas être facile à traduire.

Ce roman commence comme un polar classique avec une arrestation que les policiers ont voulue très publique. S'ensuit une comparution préliminaire qui dérape. Ensuite, petit à petit l'histoire glissé vers le surnaturel et on sait que Stephen King est le maître du genre. J'aime bien cette façon que Stephen King a développée de prendre une approche polar depuis Mr. Mercedes. le surnaturel est toujours au rendez-vous mais on débute notre lecture sur du réel et du rassurant et tranquillement l'auteur nous amène sur son terrain de prédilection et il le fait de façon habile.

J'ai passé un très bon moment de lecture avec Mr, King ce qui me donne l'envie de lire ses romans que je n'ai pas lus ces dernières années.

Ça commence comme un policier classique, alternant habilement procès verbaux et scènes d'arrestation et de garde à vue. Mais très vite, avec les doutes de l'inspecteur et les alibis de l'accusé, pénètre le surnaturel...Et si un « outsider » prenait votre apparence et assassinait, violait, de jeunes enfants, laissant vos empreintes et votre ADN sur leurs corps ?
Un très bon Stephen King, qui en bonus nous offre le plaisir de revoir Holly, associée à Ralph, une sorte de double de Bill Hodges.