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4,2

sur 3573 notes
Les histoires d'horreur qu'on raconte au coin du feu m'ont toujours laissée relativement indifférentes. Mais allez savoir pourquoi, avec Stephen King c'est différent. Je ne saurais pas expliquer ce qui me donne des frissons dans son écriture, alors que je suis peu sensible à ce genre, mais l'effet est garanti.

J'ai trouvé le début du livre un peu laborieux car on saute d'un personnage à un autre, en ayant à peine le temps de faire leur connaissance. Il faut retenir tous les noms et comprendre comment les différents événements sont connectés. Puis tout s'emboîte et s'accélère, à la fois dans le récit d'enfance des personnages et dans celui de leur retour à l'âge adulte. Et juste au moment où l'histoire prend vraiment de la vitesse… c'est fini ! Je n'avais pas réalisé que ce gros pavé de 800 pages était seulement le premier volet d'une trilogie. Il va falloir se procurer la suite car ce tome ne se suffit pas à lui-même et se stoppe en plein suspens.

Pour vraiment commenter l'histoire, il faudra attendre d'en connaître la conclusion. Mais déjà, je relève que King nous propose une galerie de personnages attachants. le « club des ratés » ne se compose pas vraiment de ratés en réalité car ils semblent avoir fait preuve de beaucoup de courage et de loyauté, tout en ayant rencontré des succès dans leurs domaines respectifs à l'âge adulte. La ville de Derry est un personnage à part entière dans ce roman. Et bien sûr Ça, est l'élément central même s'il reste toujours en périphérie. A ce stade de l'histoire il reste encore assez mystérieux. Il semble changer d'apparence selon ce qui terrifie le plus sa victime du moment, à la manière de l'épouvantard dans le monde d'Harry Potter. Mais il a bien plus de capacité de nuisance que ce dernier et je pense que je suis loin d'avoir tout lu à ce sujet.

Après une surdose de King à l'adolescence, je n'en ai plus lu pendant des années. J'y suis revenue récemment avec un thriller à glacer le sang (Misery) puis un roman de science-fiction historique bien pensé (22.11.1963). Il me restait à me replonger dans le style pour lequel Stephen King est le plus connu : l'horreur. C'est une réussite, vivement le prochain.
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Alors qu'ils sont tous devenus adultes, Stan, Ben, Bill, Beverly, Richie et Eddie reçoive un coup de fil qu'ils n'attendaient pas. Celui du septième membre du groupe Mike. L'heure est venue pour chacun de tenir la promesse échangée presque 27 ans plus tôt.

Alors que les souvenirs émergent des profondeurs de leurs mémoires, chacun va effectuer une escapade dans le passé pour se rappeler de sa rencontre avec Ça, alias grippe-sou le clown, qui laisse son empreinte sanglante sur la ville.

relecture de ce classique de Stephen King cette fois en version audio. Je crois n'avoir jamais autant frissonné en lisant un livre qu'en tournant les pages de cet ouvrage pour la première fois.

Nous sommes plongés dans l'horreur de cette petite ville dès l'ouverture du livre avec la sanglante agression d'Adrian Mellon.

La suite est surtout une succession de petites histoires. le coup de fil donné à chacun des membres du club des ratés et ses conséquences, la rencontre de chacun enfant d'abord et puis adulte avec le terrible pennywise.

Mais on suit également le quotidien de ces enfants, la rencontre entre ces derniers. J'apprécie particulièrement également les passages se situant dans le passé. L'incendie black spot racontée par le père de Mike à son fils par exemple.

Certes, il y a quelques longueurs. le livre est dense. Mais l'ambiance est incroyable, les personnages extrêmement bien écrits et on a hâte de connaître la suite.

Et là voix du narrateur, Arnaud Romain, est facile à suivre et très agréable.


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La trilogie La plus terrifiante que j ai lue. le talent de l'auteur est de vous donner les éléments de son intrigue et de laisser votre imagination faire le reste. Vous ne verrez plus jamais les choses de la même manière. Un livre à lire à plusieurs niveaux
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Comment rendre justice à Ça ?
Je ne pense pas que ma récente lecture du roman rende justice à l'importance de l'oeuvre dans mon développement personnel et dans mon parcours de lecteur. Je vais donc essayer de contextualiser ma découverte de Stephen King et l'importance qu'il a eu dans la suite des évènements.

J'ai, comme beaucoup, commencé King à l'adolescence. Quand je dis adolescence, cela n'est pas une exagération puisque je me suis acheté "Brume" mon année de quatrième (jeune, donc). Autant vous dire que Stephen King a été un élément absolument primordial, au côté de Clive Barker, dans ma trajectoire de fan-boy. Je pense être passionné de littérature d'horreur pour trois raisons essentielles : 1) j'adorais les films d'horreur d'alors (des trucs un peu cons, comme "La Maison de Cire", "Saw"...), 2) j'ai lu très tôt "Brume" de Stephen King et c'est le putain de meilleur recueil de nouvelles du monde et enfin 3) j'ai lu très tôt "Les Livres de Sang" de Clive Barker et c'est le putain de meilleur recueil de nouvelles du monde.
Après m'être frotté au solide "Brume", j'ai donc continué à découvrir Stephen King. Difficile alors de savoir si j'avais penché pour Salem puis Ça, ou l'inverse. En tous cas, la lecture de Ça a été extrêmement précoce dans ma pratique du King.

Et bon sang, que voulez-vous que je vous dise: que conclure devant le fait qu'un gosse de 13-14 ans parvienne à se manger 1400 pages d'un roman de littérature américaine (car Ça s'impose, quoi qu'on en dise, comme une oeuvre-phare de littérature horrifique ET de littérature américaine), l'adore et le relise encore quelques années après?

C'est un roman juste incroyable. Je n'ai pas encore relu la deuxième partie, que je me réserve pour plus tard.
J'ai probablement mal choisi mon moment de relecture: j'ai enchaîné les pavés, et ai eu un peu de mal à avancer dans ma lecture, malgré un plaisir non-dissimulé.

Ça est un roman sur l'enfance et ce qu'on perd à l'âge adulte, sur l'imagination, sur l'amitié, le mal et ses origines et sur le courage. C'est un roman exigeant, foisonnant, rempli de détails et de description rendant une cohérence prodigieuse.
C'est probablement un des grands-oeuvres de Stephen King, à mettre aux côtés de Brume, Duma Key, Simetierre, 22/11/63...

Ça est un récit rythmé, coincé entre deux époques, magnifiquement conté (bien que doté d'une structure plus rigide que dans mes souvenirs...). Les personnages sont émotionnellement très riches, et évidemment, vous vous y attacherez comme jamais.
Sincèrement, le mystère Stephen King est chez moi toujours entier: lorsque je le lis, je repère désormais quelques "tics" d'écriture, quelques stratégies usuelles chez lui. Mais la magie sort d'ailleurs, d'un vaste nulle part cher aux écrivains: King fait vivre ses histoires et c'est stupéfiant.
Je pense que dans Ça, ne serait-ce que pour l'intensité d'intrigue et la portée chronologique du récit (suivant 6 narrateurs à 27 ans d'écart), est le paroxysme du talent de King.

Je me rends compte que je ne suis même pas revenu sur les éléments d'intrigue, mais y en a-t-il besoin?
Peut-être dans ma critique du tome 2, que je relirai dans l'année à venir.

Lisez Ça.
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Quel besoin y a-t-il à rajouter une critique lorsque 270 personnes en ont déjà faite une ? Pour le plaisir de se noyer dans la masse ou le plaisir de simplement participer au concert de louange sur ce qui semble être l'un des chefs-d'oeuvre de l'auteur américain le plus connu ?
Pour ma part, je suis surtout enthousiaste comme un enfant à l'idée de conseiller Ca, pierre angulaire de mes lectures, à tout lecteur curieux. Car ce livre fut un de mes plus fidèle compagnon d'adolescence, exprimant les peurs de l'enfance, la nécessité de grandir, la violence du monde et les qualités de tout individu lorsqu'il connait l'amitié, l'amour et la force du collectif.

Je ne me tarirais jamais d'éloge sur ce livre, présenté comme l'un des ouvrages les plus réussis de l'auteur, ce qui est aussi mon avis. Stephen King nous parle ici de cette angoisse profonde issue de l'enfance, ce monstre qui transforme tout autour de nous en un cauchemar duquel on ne rêve que de s'échapper. Les métaphores abondent et tant de sujets sont brassés qu'il est possible de s'attarder sur des milliers d'interprétations, de la plus littérale à la plus alambiquée. C'est aussi vaste que l'interprétation métaphorique de Ça comme la somme de toute les peurs de l'enfance ou comme un traumatisme, la question de la violence des petites villes et de l'enfance, la cruauté du monde, la peur des autres, la peur de grandir, l'émergence de la sexualité, l'apparition des responsabilités, le deuil ... Tant de choses sont contenues en Ça qu'il est impossible de ne pas rentrer en résonance avec un des personnages du livre, toujours aussi attachants malgré les ans. Mon amour de ce livre tiens donc autant à une forme de nostalgie, décrite dans ce livre avec tout ce que cela comporte d'oubli sur son passé, mais aussi parce qu'il est rentré en résonance avec ma vie à un moment où j'en avais besoin et où les Ratés ont semblé être à mes yeux les amis qui me manquaient dans la vrai vie.

Ça est un livre qui dépasse ce simple cadre pour explorer les thématiques chères à l'auteur, explorant l'enfance et l'age adulte comme un continum, les peurs comme une force qui nous pousse à se dépasser ou encore la société américaine des petites villes. Un livre qui inspire et fait toujours aussi plaisir à lire, relire et partager.
Vous qui ne l'avez pas encore lu et êtes tenté, je dois le dire, je vous envie.
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Gros coup de coeur pour cette découverte. de Ça, je ne connaissais que les grandes lignes : un monstre déguisé en clown tue des enfants, et certains décident de l'affronter.
Le premier chapitre ouvre la voie, avec une superbe description des peurs de l'enfance, des "jeux" mis en place pour l'affronter.
Puis la suite nous amène à découvrir plusieurs personnages, les sept du club des ratés, évidemment, mais aussi d'autres personnages qui auront tous un rôle plus ou moins important dans la suite. Mais surtout, quels personnages! On rejoint parfois le point de vue de psychopathes. Surtout, les personnages principaux, du club des ratés, sont tous intéressants à leur façon (bémol pour Stan, mais certainement dû au fait des événements). Chacun représente une minorité ou une "tare", ils sont des rejetés, des personnes avec parfois de gros problèmes, mais chacun possède aussi une force, ajoute une plus-value au groupe (énorme coup de coeur pour Ben Hanscom).
Il s'agit de l'une des forces de l'ouvrage, de rester passionnant, captivant même, en changeant autant de point de vue, mais aussi, surtout, d'époque. Car le récit se divise principalement en deux temps, la partie "jeune" en 1958 et celle "adulte" en 1985. Quelques intermèdes, qui sont le journal tenu par un Raté, Mike, permettent d'avoir une vue sur les événements du passé et des années entre les deux périodes principales.
Les événements décrits, parfois horribles, le sont sans concession. King utilise un langage cru, parfois direct, qui impacte fortement le récit. Certaines scènes sont stupéfiantes d'immersion, la palme à .
Si on devait trouver un léger défaut à l'ensemble, ce serait dans sa séparation en deux tomes d'abord. L'original ne l'est pas, merci l'édition française une fois de plus.
L'autre petit défaut se trouve dans les réactions des enfants. Si King cible parfaitement le temps de l'enfance, de l'insouciance, des jeux imaginaires, des joies et plaisirs simples mais aussi de la perte de l'innocence, des illusions avec le passage à l'âge adulte, les enfants ont parfois des remarques, réactions d'un autre âge. Peut-être est-ce une manière d'insister sur l'imbrication passé / présent qu'on retrouve dans l'ensemble du récit ( jusqu'à sa forme), mais c'est par moments exagéré.
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Une découverte moyenne ! Je ne suis pas un grand fan de l'horreur surnaturelle, ce roman a été ma première lecture de Stephen King. J'ai voulu me fonder un avis sur l'auteur et j'ai été à 80% satisfait finalement.

Un style très particulier : Stephen King a le don de faire des flashbacks et des flashforwards durant toute la lecture avec d'innombrables personnages secondaires.

Si vous aimez l'horreur absurde, le surnaturel : vous serez servi ! Pour être tout à fait transparent, j'ai feuilleté les dernières pages, cela devenait trop "ridicule" à mon goût et le côté relationnelle des personnages, émotionnelle et humain n'y sont plus trop présent. L'auteur y a mis le paquet à la fin afin de combler les assoiffés de l'horreur :D

Bon, j'ai tout de même dévoré le livre en 1 semaine, vu qu'on a vraiment envie de lire pour connaître la suite ! (il est très fort ce Stephen !) Je ne pense pas lire le deuxième tome, cependant un bon 4 étoiles est totalement mérité pour celui-ci !
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Lorsque j'étais en collège, ''Ça'' était le bouquin qu'on se passait les uns les autres, en cachette des parents, une espèce de livre interdit et terrifiant. Je devais avoir 12 ou 13 ans quand mon tour de le lire est arrivé, et j'avoue que j'avais peur avant même d'en avoir lu une page : pensez-vous, ce livre faisait cauchemarder tous mes camarades, alors sûr que j'allais être traumatisée moi aussi !

C'est donc pas bien rassurée que j'ai commencé ma lecture, et j'ai beaucoup aimé le début, notamment avec la description de la cave, l'odeur qui y règne, l'inquiétude du gamin. le fait que tout ça ressorte devant la bouche d'égout où se terre le Ça m'avait bien plu ! Lors de sa 2e apparition avec le meurtre d'un jeune homosexuel, là encore j'étais emballée par l'ambiance. Et puis patatra ! Comme s'il était payé au kilomètre, Stephen King se perd en de très très très longues descriptions des personnages au présent, s'attarde ensuite sur leur passé, et que ça blablate et que ça blablate... Je n'ai pourtant rien contre les pavés, mais celui-là m'a considérablement ennuyée (sans parlé du côté très cliché des personnages qui n'a vraiment rien arrangé à l'histoire).

Et puis enfin, les manifestations inquiétantes arrivent... et là c'est ma 2e déception : c'est le calme plat à la lecture. Bien loin de générer la peur via des effets d'obscurité, d'odeur, d'ambiance et de souvenir, le Ça apparait sous forme d'un oiseau, d'un zombie, d'un vampire... dans des descriptions d'une platitude qui me laisse de marbre.

Au final, j'ai péniblement atteint la fin des deux tomes, avec l'impression de m'être fait avoir. Où est la peur ? Tout est trop plat, trop dilué dans des histoires inintéressantes en plus de n'avoir ni queue ni tête. King prétend proposer sa propre mythologie alors qu'il se contente de repomper des idées dans d'autres bouquins et de mal les exploiter.

Mais avec l'immense popularité de l'auteur, je me suis laissée convaincre de tester à nouveau ''Ça'' quand j'étais à la fac, puis tout récemment. Et ben je dois bien avouer qu'à chaque nouvelle tentative, j'ai trouvé ce bouquin encore plus mauvais qu'avant. A mes yeux, ce n'est guère plus qu'un ''Chair de poule'' bien trop bavard et qui se regarde le nombril.
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Cette histoire …je pourrais en parler pendant des heures, en écrire des chapitres…j'en suis à ma quatrième relecture, une par décennie et finalement je me dis que c'est comme ça qu'on apprécie au mieux l'oeuvre du King. Car la même histoire, lu à différentes époques de sa vie, finalement ce n'est pas la même histoire. Maintenant j'ai l'âge adulte ( même un peu plus) de Bill, Ben, Bev, Eddy, Mike,Stan et Richie …maintenant je ressent différemment les parties « adultes ».

Je crois qu'il n'y a rien qui m'énerve plus quand j'entends ou quand je lis que ÇA est juste une histoire d'horreur et de clown…c'est tellement faux archi faux, cette histoire c'est tellement plus que ça….

Si je devais résumer cette oeuvre, ÇA c'est un livre sur « le mal » le pire de l'être humain et les peurs qui en découlent.

Par le biais de chaque enfant, King aborde une multitude thématique. Bill souffre de bégaiement, subit le harcèlement scolaire ( comme toute la bande), son frère s'est fait assassiné, avec lui vous allez aborder le deuil…comment ce petit garçon tente d'exister dans ce drame et ce froid glacial qui s'est installé chez lui. Bev est victime de violences familiales, pauvre, elle subit les moqueries des autres filles. Ben est obèse …pareil il subit les brimades non stop des autres élèves. Eddy est victime de sa mère qui est complétement hypocondriaque, à la limite d'un Münchhausen par procuration, donc clairement de maltraitance aussi. Mike pauvre et noir…dans les années 50, Stan pauvre et juif…et Richie notre binoclard qui ne tient pas en place.

Dans ce premier tome, le ÇA va se matérialiser sous la forme de ce qui leur fait peur, pour les terroriser, leur faire perdre l'esprit, pour pouvoir les attraper. Mais ce que King décrit mieux que personne c'est la force des enfants, cette capacité qu'ils ont de croire qu'ils peuvent affronter n'importe qui et n'importe quoi surtout quand ils sont plusieurs…la force de l'amitié, de la solidarité.

King fait un aller retour passé présent tellement criant de vérité, car autant enfants notre club des ratés affrontent un monstre affreux avec beaucoup de courage. Autant leurs réactions en tant qu'adultes sont totalement différentes, ils ressentent la peur, la peur viscérale du retour du ÇA…et clairement ils sont moins confiants que quand ils étaient enfants.

J'aime la façon qu'à Stephen King de décrire l'adulte traumatisé par son enfance et comment ses traumatismes font de lui ce qu'il est…Et là de nouveau, King ne les épargne pas…violences conjugales, mariage malheureux, absence d'enfants, dépression, anxiété…suicide.

Le fantastique n'est qu'une façon pour King de mettre en avant une histoire et plusieurs sujets. le clown symbolise la peur, lui donne une forme physique.

BREF…J'ADORE CETTE HISTOIRE…JE VEUX ÊTRE ENTERRÉE AVEC
Lien : https://lireetcourir.com/202..
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Une lecture qui donne des frissons. L'histoire est construite ici avec brio et intelligence. Dans cette petite ville où de nombreux habitants sont suspects et où les enfants disparaissent de manière inopinée, des phénomènes extrêmement étranges surviennent. Il faut vraiment s'accrocher tant c'est gore parfois... L'enquête menée par la bande d'enfants/préados et leurs sorties à la maison des horreurs ne manquent pas de piment !

Mention spéciale à cette morale, qui met en avant le fait que la peur de chacun.e le.a domine, mais dès lors qu'iel décide que l'objet de sa peur ne le terrifie plus, le pouvoir de ce dernier est alors neutralisé.
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