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EAN : 9782207177846
Denoël (14/02/2024)
3.69/5   16 notes
Résumé :
Lorsque Tesla Crane, richissime et très célèbre inventrice, embarque sous un faux nom à bord d'un vaisseau de croisière entre la Lune et Mars pour célébrer sa lune de miel, elle est loin de se douter qu'un meurtre va être commis pendant le voyage. Et encore moins que c'est Shal, son tout aussi fortuné et illustre époux, qui va en être accusé par le service de sécurité. Armée d'un verre de martini et de son humour caustique, aidée de son adorable chien, Gimlet, et de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Une croisière, un lieu idéal pour une lune de miel. Alors quand la croisière est spatiale, le plaisir doit être décuplé. Sauf quand (un grand classique) un meurtre vient tout gâcher. Et surtout, que vous ne pouvez vous empêcher de mener l'enquête, alors que vous faites partie des suspects. Tout cela risque de devenir nettement plus compliqué et moins réjouissant que prévu.

Et c'est parti pour une enquête en huis clos. Un grand huis clos, d'accord, puisque nous sommes sur l'équivalent des paquebots de croisière où de riches femmes et hommes perdent un peu de leur temps si précieux. Et un huis clos d'autant plus clos que nous sommes dans l'espace puisque la croisière se déroule parmi les étoiles, entre la Lune et Mars. Idéal, disais-je, pour profiter d'une lune de miel bien mérité.

Car Tesla Crane a beau être riche, infiniment riche, elle n'est pas dans une forme éblouissante. Loin de là. Comme on le découvre très, très progressivement, elle a été victime d'un accident d'une gravité absolue. Sa vie a été menacée et elle en a gardé des séquelles très fortes : elle se déplace avec difficulté et, pour soulager le mal, elle possède un mécanisme implanté dans son organisme. le RCPD lui permet de régler le seuil de douleur. Pratique et dangereux. Car si elle oublie ou se trompe dans le réglage, elle peut se brûler sans s'en apercevoir, se couper sans ressentir la souffrance. Bref, un joujou de pointe, mais au maniement délicat. Et elle va devoir l'utiliser un nombre de fois incalculable durant le roman. À se demander, d'ailleurs, comment elle ne finit pas paralysée dès la centième page. Comme dans ces films d'action où le héros ou l'héroïne reçoit un nombre de coups tel que n'importe qui serait mort une dizaine de fois.

Or Tesla va involontairement se retrouver au centre du cyclone. Un meurtre est commis et son tout nouveau mari est accusé. Premier réflexe, le défendre bec et ongle. Mais le problème, c'est qu'elle ne le connaît pas depuis très longtemps. Et puis, il était détective avant. Il venait juste de prendre sa retraite pour des raisons floues, vagues, non dites. Idéal pour offrir une prise aux soupçons, ça ! Il faut donc mener l'enquête. D'autant plus que celui qui est censé la diriger est un crétin fini et qu'il se contente de maigres soupçons pour penser l'affaire bouclée.

Mary Robinette Kowal nous propose alors un récit assez classique, avec recherche du coupable, fausses pistes, meurtres, courses poursuites, etc. du classique écrivais-je. Bien fichu, mais classique. La grosse différence avec Agatha Christie, par exemple, c'est le cadre non binaire qui est la norme. Quand un personnage se présente, après son nom, il précise son sexe : « Jalna Smith (Elle) », « Barry Fagin (Lui) », « Deston Koeben (Iel) ». D'ailleurs, les Mme ou M. qui précèdent habituellement le nom sont remplacés par le neutre Mx. Et pour aller plus loin, comme c'est Tesla le personnage central et qu'on est avec elle, dans ses pensées, on a plus de commentaires sur les fesses et leur galbe ou leur fermeté de son mari, Shal, que sur ses formes à elle. Dans le même style, ce dernier a pour occupation de la broderie : « Il rangea sa broderie dans son sac. » Les clichés sautent et la norme est l'exception actuelle. Une vision de l'avenir ?

Pour terminer, le ton général de l'ouvrage. le moins que l'on puisse dire, c'est que l'autrice ne veut pas se prendre au sérieux. Son roman est parsemé de tirades légères, de répliques (plus ou moins) bien senties. Et dans ce domaine, une mention spéciale pour Fantine, l'avocate de Tesla, qui communique avec sa cliente depuis la Terre, donc avec un décalage en constante augmentation. Jusqu'à dépasser les dix minutes à la fin du récit. Pas pratique pour un dialogue constructif. Cela donne lieu à pas mal d'échanges savoureux. Surtout grâce au langage fleuri de ladite avocate. Quelques exemples : « par un procès si long et si sec qu'il déshydratera définitivement le crapaud moisi qui vous sert de cerveau. », « pas besoin de crier sur ce chancre purulent en mode égout. » ou « QU'EST-CE QUE TU FOUS, AU NOM DU GODE ARDENT DE JEANNE D'ARC ? ». Et ce ne sont que de petits échantillons.

De Mary Robinette Kowal, je n'ai lu que Lady Astronaute, le court recueil de nouvelles. Il me reste à découvrir sa célèbre série qui prend place dans cet univers (Vers les étoiles, Vers Mars et Sur la Lune). Dans un autre registre, L'Homme superflu est un agréable divertissement, qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais se lit avec plaisir et rapidité tant on a envie de connaître la figure maléfique qui se cache derrière ces meurtres. le rythme est dans l'ensemble soutenu et les temps morts sont rares. L'intrigue est suffisamment solide pour maintenir l'attention du lecteurice jusqu'au bout. Un bon moment de distraction, donc.
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Bonne ambiance mais frustrant.

Pour ceux qui sont assez vieux pour comprendre la référence, l'éditeur français Pascal Godbillon présente ce livre comme « un croisement de la croisière s'amuse et de L'amour du risque ». On peut y intégrer aussi une pincée de Hercule Poirot. Et j'ajouterais un soupçon de Star trek dans la mesure où tout se passe au sein d'un vaisseau de croisière entre la Lune et Mars. Voyez cela comme une recette de cocktail ; ce livre en est rempli.

J'ai bien aimé le contexte scientifique. Concevoir un vaisseau comprenant un anneau en rotation pour simuler la gravité est devenu classique, mais avec trois anneaux de rayon différents pour simuler les gravités lunaire, martienne et terrienne dans le même vaisseau, c'est très malin. Mary Robinette Kowal écrit dans sa postface que ce vaisseau est farfelu, mais en imagination ça fonctionne bien. Ensuite il y a l'arsenal technologique, comme la liaison aux réseaux avec visualisation sur la rétine ou l'établissement d'une communication privée entre deux personnes dès qu'ils se touchent.

La caractérisation des personnages est ce que j'ai trouvé de plus réussi. On est dans l'univers de la haute, le gratin, genre « Mort sur le Nil », et Kowal vaut Agatha Christie pour faire ressortir les traits de caractères comme des aiguilles de porc-épic. L'héroïne Tesla Crane est richissime et fortement handicapée suite à un accident. La technologie de l'époque (et l'argent) lui permet de vivre comme tout le monde à peu près. Sa colonne vertébrale reconstruire rendrait jaloux les Terminators. Elle a aussi un chien d'assistance, Gimlet (un nom de cocktail, tiens), une westie trop mimi. Tesla est en voyage de noces incognito avec Shal, un détective retraité trop mimi aussi. Ces deux-là sont extrêmement vindicatifs. Parmi les autres personnages remarquables, on a le chef de la sécurité du vaisseau, Wisor, tellement agaçant et neuneu qu'on lui collerait une mitraille de gifles, et Fantine, l'avocate de Tesla restée sur Terre, digne héritière du capitaine Haddock. Les menaces qu'elle jette à la figure de Wisor sont parmi les plus colorées et inventives que j'aie jamais lues.

Donc, vous vous en doutez maintenant, il y a meurtre à bord. Et les apparences accusent Shal, le mari de Tesla. Cette dernière va chercher à prouver l'innocence de Shal et accessoirement de découvrir le meurtrier.
Et c'est la partie policière que j'ai trouvée frustrante au possible. L'auteure ne donne quasiment pas de miettes d'indice à picorer au lecteur pour lui faire bouillonner les neurones. On a du mal à entendre témoignages et confessions, car les personnages s'enferment presque toujours dans leur silence et la sécurité empêche Tesla et Shal de poser des questions, voire de quitter leur cabine. Bref, l'essentiel du bouquin se passe à ronger son frein (comme Tesla) et à déguster des cocktails. Quand enfin un personnage parle, on a quelque chose du genre : « J'ai cru que Ruth et George essayaient de me tuer, mais j'étais… mon Dieu. Je pense qu'elles… mais pourquoi ne pas me le dire ? »
Évidemment tout finit par s'expliquer, mais c'est concentré sur la fin.

A savoir aussi, l'écriture intègre certaines nouveautés de genre, comme le pronom iel, mais pas comme une simple courtoisie d'écriture. Cela est inclus dans cette civilisation du futur, très riche et occidentale, qui considère ne pas ajouter son genre – il, elle, iel, indépendamment de son sexe de naissance – quand on se présente comme une impolitesse crasse. Roman très féministe.

Voilà je vous ai donné mes éléments d'appréciation. A vous de voir si cela vous tente.
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Un cosy crime de l'espace ! Voilà une description qui résume assez bien ce que propose Mary Robinette Kowal avec L'homme superflu.

C'est suffisamment rare pour ne pas le signaler d'emblée, l'illustration de couverture colle totalement à l'ambiance de l'histoire. Et aux personnages, vous aurez leur image tout le temps en mémoire lors de votre lecture.

Tout est important dans cette représentation, l'atmosphère rétro-futuriste, l'impression de revenir dans les années 30 tout en se trouvant dans l'espace infini, la classe des personnages, leurs difficultés (la canne), le bar à cocktail, et le cabot de luxe qui est un élément primordial de l'ensemble.

La série de romans de Mary Robinette Kowal autour de la Lady astronaute avait marqué les esprits, formidable uchronie, aussi ludique qu'intelligente, porteuse de messages forts. Cette fois-ci, l'autrice a développé l'aspect divertissant seul, pour un plaisir de lecture sans prise de tête.

Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça fonctionne. On suit cette enquête dans l'espace avec le sourire aux lèvres (malgré les meurtres qui s'accumulent). Un récit qui a du chien, assurément.

Il faut dire que l'écrivaine américaine s'en donne à coeur joie, avec une verve qu'on ne lui connaissait pas dans ses précédents romans. A l'image de l'avocate au langage fleuri qui défend sa cliente milliardaire à distance.

Ah oui, parlons de la distance, puisque ce récit se déroule dans un immense vaisseau commercial à destination de Mars, du genre version futuriste des paquebots de croisière actuels. Sans doute l'une des bonnes idées est quand cette avocate intervient depuis la Terre avec un décalage de plusieurs minutes du fait de l'éloignement. Les dialogues s'en trouvent totalement décalés, c'est surprenant et assez drôle.

Présentation du casting : Tesla Crane, brillante et riche inventrice, rescapée d'une expérience qui a mis son corps à mal. En lune de miel avec son mari Shal, qui s'est mis en retraite de son métier de détective privé vu qu'il ne pouvait plus enquêter tranquillement du fait de sa notoriété. Et puis, Gimlet l'adorable chien d'assistance, en charge de la gestion du stress post-traumatique de sa maîtresse.

Un couple archi-connu, obligé de voyager incognito, mais qui va se retrouver sur le devant de la scène, vite accusé d'y être pour quelque chose dans la série de meurtres qui se déroule sur le vaisseau.

Cette ambiance très « haute société » est complétée pas le faste du navire, et par les cocktails qu'ils ne cessent de boire (chaque chapitre débute par une nouvelle recette).

Un hommage assumé à Mort sur le Nil, version moderne. Mais bien davantage qu'une réécriture, cette intrigue à rebondissements distille à la fois mystère et joutes verbales pétillantes.

Un amusement, malgré les morts, aux dialogues spirituels (spiritueux ?), mais aussi marqué par l'élégance. Normal, quand les principales armes du couple sont l'esprit, le second degré (et les cocktails).

Cela n'empêche pas l'autrice de donner du corps à ses personnages, à l'image des nombreuses blessures visibles et invisibles de Tesla.

Le récit ne noie jamais le lecteur dans les considérations trop scientifiques, rendant cette lecture accessible au plus grand nombre. Il n'empêche que les idées développées sont aussi intéressantes que ludiques. L'écrivaine va même pousser le jeu très loin avec la notion très actuelle de genre.

L'homme superflu, avec son charme désuet et Old school couplé à cette ambiance futuriste, est un roman joliment divertissant. Mary Robinette Kowal a réussi son pari.
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Une lune de miel à bord d'un vaisseau de croisière de grand luxe en toute intimité, c'est ce que Tesla Crane et son mari Shal Steward avait prévu. Malheureusement, l'apparition d'un puis de deux cadavres dans le vaisseau sèment le trouble surtout que c'est Shal que le service de sécurité tient pour responsable. Leur couverture grillée et leurs identités connues de tous, Tesla décide de prendre les choses en main : un cocktail dans une main et un ordinateur connecté à son avocate dans l'autre !

L'homme superflu est un one-shot de science-fiction se déroulant sur un vaisseau spatial de croisière en route vers Mars. Mary Robinette Kowal nous propose un roman de cosy mystery dont l'atmosphère confortable et les dialogues savoureux en font une lecture très agréable. Tesla Crane accompagnée de sa chienne d'assistance Gimlet et soutenue par son avocate au langage fleuri Fantine, va parcourir le vaisseau à la recherche du véritable coupable.

Tout comme dans sa série Lady Astonaute, Mary Robinette Kowal nous propose des personnages remarquables : Tesla Crane est une richissime et très célèbre inventrice, suite à un accident, elle est fortement handicapée même si les avancées scientifiques en matière d'implants cérébrales lui permette de vivre presque normalement. Elle est accompagnée d'une chienne d'assistance et vient de se marier avec un célèbre détective fraichement à la retraite. L'autrice sait rendre ses personnages attachants mais surtout leur donner de l'épaisseur. Sans parler de l'humour pince sans rire de Tesla qui donne beaucoup de saveur aux dialogues.

L'ambiance de luxe et de mystère criminel m'a fait pensé aux aventures d'un célèbre détective belge dans un bateau de croisière sur le Nil. Mais au-delà de ce qui est un clin d'oeil, j'aime que l'autrice se joue des clichés : Shal a pour hobby la broderie, Tesla reluque les formes de son mari à plusieurs reprises, les personnes se présentent en mentionnant le pronom qui leur correspond, Fantine l'avocate jure aussi bien que le capitaine Haddock… Bref, c'est rafraichissant et divertissant. Tout ce dont on peut attendre d'un roman cosy.

Le récit a cependant une faiblesse, c'est le côté enquête criminelle. Parfois un peu confus, on a très peu d'indices pour deviner qui pourrait être le coupable. le dénouement tombe donc plutôt à plat. Et pourtant j'ai passé un très bon moment car L'homme superflu est un roman divertissant et très agréable à lire. Les recettes de cocktails à chaque début de chapitre donne envie de se lancer dans l'art de la mixologie et les tirades de Fantine, de noter certaines expressions dans un coin pour les ressortir plus tard.
L'homme superflu est un roman divertissant, à l'atmosphère confortable et aux dialogues à savourer. Dans la lignée de romans cosy comme Légendes & Lattes de Travis Baldree ou divertissant comme la société protectrice des Kaijus de John Scalzi, le dernier roman de Mary Robinette Kowal offre un moment de lecture plaisir qui fait de bien au moral !
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Avec L'Homme Superflu, Mary Robinette Kowal délaisse (pour un temps) sa Lady Astronaute qui nous avait fait chavirer le coeur et l'esprit ces dernières années, pour nous proposer un cosy mystery spatial. Mais pas d'affolement, nous retrouvons les ingrédients chers à l'autrice pour ce clin d'oeil à Mort sur le Nil de la plus célèbre des romancières du genre.

Lors d'une traversée stellaire entre la Lune et Mars, la richissime et célèbre inventrice Tesla Crane voyage incognito avec son mari Shal tout aussi fortuné et presqu'aussi connu que sa moitié, pour leur lune de miel. Pendant ce voyage, un meurtre va être commis et les premières constatations démontrent que Shal serait le coupable... un coupable bien trop idéal. Tesla accompagné de son adorable chien Gimlet et d'une multitude de cocktails va tout mettre en oeuvre pour le prouver.

Changement de décor pour ce nouveau roman de Mary Robinette Kowal mais l'ambiance rétro-futuriste de ses précédents livres est toujours bien présente, tout comme son engagement féministe ou sa volonté d'inclusion. de même son héroïne, comme tous ses personnages, souffre d'un handicap. Ici, Tesla Crane est en proie à des crises de panique, suite à un accident qui lui a broyé le dos. Grâce à une technologie de pointe elle peut se mouvoir librement tout en ajustant le seuil de douleur ressentie.

Ce roman souffre de la comparaison avec sa série Lady Astronaute à laquelle il lui sera difficile de s'extraire. L'Homme Superflu est un pur divertissement, un pastiche des grands livres du genre, doté d'un ton décalé et d'un humour pince sans rire. L'intrigue classique sur la forme mais se déroulant dans un lieu qui l'est moins permet à l'autrice d'ajouter quelques péripéties à son histoire... un peu trop d'ailleurs. Mary Robinette Kowal s'écoute écrire, elle tire à la ligne plus que nécessaire ce qui ralentit le rythme et aboutit à de nombreuses redites. Roman probablement destiné à un lectorat féru d'Hercule Poirot ou de Sherlock Holmes plus qu'à celui de l'Imaginaire. Même si l'ambiance rétrofuturiste et la croisière spatiale apportent une touche de SF, celle-ci passe derrière l'intrigue et n'apporte de l'intérêt qu'à la marge.

L'engagement de Mary Robinette Kowal est intact, et c'est avec plaisir que l'on retrouve sa détermination à tordre le bras aux idées reçues et à s'ouvrir aux différences quelles qu'elles soient mais pour le reste elle n'arrive pas vraiment à se renouveler et l'effet de surprise n'est plus là.

Pour conclure, L'Homme Superflu n'a pas la portée de Lady Astronaute mais reste un divertissement agréable qui permet de passer un bon moment. Et ce n'est déjà pas si mal.

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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Martini
75ml de gin
20ml de vermouth
1 trait d’amer à l’orange
1 zeste de citron ou 1 olive
Remuez à la cuillère avec des glaçons pendant quarante seconde. Versez. Décorez d’un zeste de citron en torsade ou d’une olive.
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Oh, pour l'amour de saint Yves. J'ai deux bonnes minutes de retard, mais je devine à ce stade, sur la base de la bouillie que vous avez à la place du cerveau, que vous avez tenté de passer les menottes à ma cliente sans raison valable. Sans parler du fait que vous avez arbitrairement arrêté mon autre client sans prendre le temps – environ le temps qu'il faudrait à un chien pour lâcher un pet – de visionner les vidéos de surveillance ni d'interroger les témoins. Si vous croyez une seule seconde que je compte laisser passer cette incompétence crasse, illégale et négligente, il va falloir installer une caméra dans vos parties intimes pour mieux voir où je vais caler votre tête.
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L'un des inconvénients d'un pouvoir démesuré, c'est que les gens ne disent presque jamais "non".
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