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4,22

sur 5057 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
5 étoiles sans hésiter !
Un très grand roman. J'aime beaucoup Pierre Lemaitre. C'est quelqu'un qui a un style très personnel, qui a une inventivité extraordinaire (plus d'imagination en 50 pages que dans la carrière complètes d'autres auteurs prolifiques !) et un humour exceptionnel. Que ceux qui ne sont pas convaincus fassent l'expérience d'écouter ses romans en livre audio. Il les lit lui même et l'on se rend compte à ce moment qu'il y a une intention comique, une ironie dans une phrase sur deux ou trois.
Mais ce qui m'a le plus frappé ici c'est la profondeur de son propos. Il y a là par exemple certaines des pages les plus fortes que j'ai jamais lu pour dénoncer la colonisation (et la violence de la guerre, avec entre autre une ou deux scènes très difficiles), mais aussi de très belles pages sur l'amour de parents pour leurs enfants. Et puis, malgré une tonalité d'ensemble humaniste, parfois un regard incroyable moqueur sur certains personnages. Une histoire d'amour très puissante. Une documentation exceptionnelle par l'exemple sur l'Indochine. Et tout à la fois du roman policier, de la satire sociale.
En somme un livre-monde d'une richesse et d'une intensité remarquables.
Je ne valide pas l'idée d'un roman-feuilleton en tant que tel, je trouve cela bien trop réducteur. Pierre Lemaitre est un très grand écrivain, point-barre. Il est aussi sans doute l'un des plus drôles.
Il y quelques petits passages pour lesquels j'ai moins accroché, mais il s'agit là d'une broutille par rapport au plaisir immense apporté par le livre. Et qui est pour moi exceptionnel, je le souligne à nouveau, aussi par son regard sur la colonisation. Décidément après le livre de Leila Slimani voilà une thème qui inspire nos meilleurs auteurs !
A recommander sans l'ombre d'une hésitation !
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Pierre Lemaître, à l'origine auteur de polars, a pris une autre dimension grâce à sa trilogie « Les enfants du désastre » avec en fer de lance l'énorme succès de « Au revoir là-haut ». Il nous invite aujourd'hui dans un nouveau cycle. Fini l'entre-deux-guerres, on attaque les Trente Glorieuses !

A la manière des grands auteurs des courants réalistes du XIXème siècle, l'auteur s'applique à peindre la société d'une époque. Alternant entre les membres de la fratrie Pelletier, les chapitres nous relatent leur quotidien mouvementé. Ils sont tous confrontés à des situations inhérentes à cette période de l'Histoire. On découvre alors le fonctionnement de la presse, les trafics de la guerre en Indochine, la spoliation des biens des juifs ou encore le rationnement des marchandises. Par le biais de ces récits, on comprend que le début des Trente Glorieuses n'a pas été aussi radieux qu'on l'imaginait.

Mais outre une approche sociologique, c'est surtout à une grande aventure que nous convie l'écrivain. Chaque personnage a son caractère, ses ambitions et ses secrets. Ces différences vont les projeter dans de multiples péripéties. de Paris à Beyrouth en passant par Saigon, les scènes se succèdent à un rythme soutenu. le talent de l'auteur dans les portraits, l'abondance de rebondissements et la maîtrise de la narration font de ce livre une fresque trépidante dans laquelle je ne me suis jamais ennuyé. Durant les 600 pages, je me suis imprégné de l'atmosphère et j'ai vécu avec empathie les évènements aux côtés des protagonistes.

Après un troisième volume que j'avais trouvé un peu moins réussi, le talent de Pierre Lemaître revient aux affaires. Il apporte un souffle épique à l'histoire de cette famille et entraîne le lecteur dans ce roman d'aventure intelligent qui réserve quelques belles surprises. du très beau travail pour une lecture passionnante !

https://leslivresdek79.wordpress.com/2022/01/28/729-pierre-lemaitre-le-grand-monde/
Lien : https://youtu.be/lAdSLohn_3I
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Je m'y étais pris un peu tard pour réserver ce livre à ma Médiathèque, et alors un peu surpris de découvrir que j'étais précédé d'un nombre considérable de réservations, et qu'il me faudrait bien attendre un moment, mais quand on aime, on ne compte pas.
Un peu plus de 6 mois se sont écoulés, et j'ai enfin eu dans les mains le Grand Monde, pour le dévorer tel un loup affamé.

J'avais tellement adoré sa Trilogie du Désastre que je me demandais si j'éprouverais le même plaisir de lecture.
Mais il y avait tant de critiques superbes et enthousiastes, notamment de mes amies et amis babeliotes, et tant de « 5 étoiles » qu'il n'y avait pas lieu de s'inquiéter.

Et en effet, j'ai une fois de plus été bluffé par ce nouveau roman «populaire », au meilleur sens du terme, de notre héritier d'Alexandre Dumas, ou d' Eugène Sue, ou plus près de nous, de Robert Merle.
Vraiment, dans le Grand Monde, Pierre Lemaitre nous sert encore un de ces plats roboratifs, savoureux et au goût subtil dont il a le secret et dont on raffole.

Je ne détaillerai pas l'histoire qui nous fait vivre cette drôle de période de l'après-guerre dans l'année où je suis né, et si je ne peux bien entendu pas m'en souvenir, mes parents m'ont souvent évoqué ces quelques années difficiles où certes la liberté était revenue, mais où ils avaient connu les restrictions de toutes sortes, les tickets de rationnement, les logements précaires, les difficultés de déplacement, toutes choses qui allaient bientôt s'arranger dans cette phase bénie des Trente Glorieuses.

C'est donc dans ce cadre que Pierre Lemaitre nous fait vivre l'histoire de la famille Pelletier (pas si Pelletier que ça, on le verra), parents et enfants, entre un Beyrouth où les parents ont prospéré dans leur entreprise de savonnerie, mais où les enfants ne suivent pas et se font la malle l'un après l'autre, un Saigon d'une Indochine déliquescente, violente et corrompue, où se perdra leur fils Étienne, et un Paris où se retrouvent les trois autres enfants, Jean, François et Hélène, aux destinées diverses, dont quelques meurtres pour l''ainé, l'apprentissage du métier de journaliste pour le second, et enfin celui du désoeuvrement et de la drogue pour la petite dernière.
L'auteur a ce don de nous promener dans une intrigue alerte, pleine d'émotions et de rebondissements, pétrie d'humanité et d'humour, et où le tragique se mêle au comique.
Mais surtout, il a cette capacité incroyable à décrire les ambiances de cette époque, par exemple celle de l'après-guerre à Paris, ces manifestations durement réprimées à Paris par la police (on réalise la violence mortelle de ces temps-là), l'atmosphère délétère de Saigon, et cette guerre d'Indochine perdue d'avance.
Et puis, il nous dresse un portrait psychologique si fouillé, si perspicace de tous les personnages, principaux ou secondaires, c'est un régal.

Oui, avec Pierre Lemaitre, la fiction romanesque de qualité renaît et retrouve toutes ses lettres de noblesse.

Je trouve que l'on devrait enseigner Pierre Lemaitre au collège ou au lycée, au même titre que les grands Classiques, (mais peut-être certaines ou certains le font), faire découvrir aux élèves cette mécanique prodigieuse de la narration, la période historique dans laquelle baigne chaque roman, et, pourquoi pas, les faire jouer à rechercher les références littéraires de l'auteur, qui, comme à son habitude, s'amuse à nous les citer dans les remerciements, comme d'ailleurs il nous éclaire de son approche en citant à nouveau ce texte formidable de H.G. Wells:
«On prend un trait chez celui-ci, un trait chez cet autre; on l'emprunte à un ami de toujours ou à quelqu'un à peine entrevu dans une gare, en attendant un train. On emprunte même parfois une phrase, une idée à un fait divers de journal. Voilà la manière d'écrire un roman; il n'y en a pas d'autres. »
Et Pierre Lemaitre de rajouter: «Il y a sans doute bien d'autres manières, mais il se trouve que celle de Wells est aussi la mienne. »

Gardez cette manière, Monsieur Lemaître, pour notre plus grand plaisir, et nous attendons avec impatience la suite de ce « Grand Monde »
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Ne pas se laisser intimider surtout par les quelques cinq cents pages de ce livre...
Une fois entrée dans l'histoire, je n'ai jamais pu me retourner!
On entre ici dans la deuxième partie du xxème siècle, après la guerre, et le premier chapitre nous présente la famille Pelletier: Père ( Louis)dirigeant une savonnerie à Beyrouth, mère ( Angèle) plutôt effacée, et leurs enfants Jean (dit Bouboule) flanquée d'une Geneviève décrite avec humour, une caricature de petite bourgeoise; et puis il y a François, qui va entrer à l'école normale , Etienne, le fils doux et sensible, très attaché à sa soeur Hélène.
Suivent de nombreux chapitre menant les uns et les autres vers leurs destins, liés à L Histoire, et je ne me suis jamais ennuyée une minute en lisant ces pages qui racontent, racontent, décrivent, des amours, des joies, des trahisons, des meurtres, des voyages, des parcours, des paysages, des moments. Tout est lié, tout est dit.
Vraiment Pierre Lemaître est un formidable conteur. J'attends la suite avec impatience.
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Beyrouth, 1948, avancez braves gens, vous allez faire la connaissance de la famille Pelletier qui a fait fortune dans la savonnerie mais peut-on dire, pour autant, qu'ils se savent honnêtes!

Parce qu'ils sont gratinés les Pelletier, vous n'avez pas idée !
Que ce soit :

Louis, le patriarche imbu de sa réussite, de son entreprise et…de sa chevelure ! Plutôt brut en apparence, il s'avérera plus subtil en définitive voire même extrêmement complexe, un monument !!

Angèle, sa femme qualifiée de physiquement quelconque, contrairement à ses deux magnifiques soeurs mais qui prendra en charge le personnel de l'entreprise (DRH avant l'heure) et donnera trois enfants à Louis, enfants qui expriment des velléités que rapidement Angèle douche.

Jean, dit bouboule (c'est un signe) l'incapable fils aîné qui a failli la faire sombrer, cette précieuse entreprise familiale et qui, finalement est parti faire profiter les entreprises françaises de son incapacité chronique, et de ses autres activités, encore moins recommandables.

Geneviève, sa femme, l'idiote, la persifleuse, qui sait mieux et plus que personne utiliser…sa bouche, toujours à genoux devant un homme mais pas devant Jean qu'elle mettra plutôt à genoux.
François, le cadet, qui a fuit Beyrouth pour Paris et son école normale, du moins est-ce son alibi, le journalisme honni par la famille étant son but réel dont il saura faire son art.

Etienne, le benjamin, qui embarque  pour l'Indochine ou plutôt pour y rejoindre son ‘ami' Raymond, le légionnaire dont les lettres se sont taries à son plus grand désespoir ! Il tentera d'exploiter sa présence sur le sol asiatique pour en dénoncer de fumeuses pratiques explosives.

Et Hélène, la fille, brillante, qui désespère de se retrouver seule avec ses parents et qui désire, elle aussi, venir à Paris pour y oublier une aventure amoureuse pour le moins ‘pittoresque'. Va-t-elle s'y perdre ?

Avec ces personnages hauts en couleurs et qui rebattrons rapidement les cartes qui leur ont été initialement distribuées, nous traverserons les dernières années 40, de Beyrouth à Paris en passant par Saigon, sur les traces d'un sérial killer, d'un gourou autoproclamé, souvent effrayés par des faits de guerre d'une perverse atrocité, parfois hallucinés par la fétide odeur de la corruption mais toujours fascinés par toutes les péripéties aventureuses et les méandres à 90 degrés qui rendent ce roman jouissif et addictif qui convoque ‘apocalypse now' de Coppola ou ‘Indochine' de Wargnier, Rouletabille, Tintin, ‘la bicyclette bleue', ‘au revoir là-haut' et même Jérome Cahuzac, c'est dire si c'est varié  !!

De grandes surprises sur le plan narratif, un vocabulaire à la fois riche et populaire, ce roman dont la fin est ouverte pour laisser poindre les opus suivants, ce roman est une prouesse, une merveille, un coup de coeur !!
A lire, de toute urgence.
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Ah ça, il faut bien l'admettre, on est face a du travail bien fait. L'histoire, tout d abord : construite avec une précision tranquille, elle déroule sa mécanique sans à-coup et affiche une confiance presque arrogante en ses capacités. C'est un fait, on est immédiatement pris par l intrigue de bout en bout.

Pour ceux qui n'accordent pas de grâce à un récit,fût il bon, il y a la reconstitution minutieuse de l'immédiate apres-guerre, du redemarrage parfois poussif d un outil économique encore grippé. Il y a surtout une description clinique du bourbier indochinois dans lequel la France va perdre ses derniers oripeaux de puissance mondiale. on y trouve enfin un regard lucide sur la fin d un monde et le début d'un autre, avec ses gagnants et ses perdants....

Quant aux autres, les gourmands qui s'accrochent au style de l auteur et à sa façon d architecturer phrases et mots, ils ne seront pas déçus. Pierre Lemaître est au faîte de son art et nous offre une performance digne des meilleurs écrivains. on ne va donc pas bouder son plaisir, on va lire le livre avec délectation et patienter ensuite deux ou trois ans, le temps nécessaire au second tome de sortir enfin...

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A force d'attendre de lire ce Lemaitre, les critiques élogieuses se sont multipliées sur Babelio et ailleurs. Rien de surprenant, Lemaitre a un vrai talent d'écriture pour créer des destins parallèles au monde réel. Dans la suite chronologique de sa trilogie Les enfants du désastre, il s'attaque maintenant à l'après seconde guerre mondiale et aux fameuses Trente glorieuses.
Pour autant, les premières pages de ce roman qui installent la famille Pelletier, entre la savonnerie familiale implantée à Beyrouth et les portraits croisés des trois frères et de leur soeur, ont avancé bien doucement.

Le départ des enfants du Liban est un crève coeur pour leurs parents : passe pour François, brillant élève destiné entrer dans les meilleures écoles parisiennes; tant pis pour l'aîné Jean, manifestement incapable de reprendre l'affaire familiale, et mené par Geneviève, sa femme au caractère acariâtre; désolant pour Étienne, homosexuel parti au Viêt-Nam sur les traces de son amour interdit.
C'est ce troisième récit qui constitue l'ossature du livre : le Viêt-Nam de la colonisation, des affaires et des affairistes, pendant que le Viet Minh rôde, mène une guérilla et essaie de s'implanter. Tranquilles certitudes de colons blancs; foule vietnamienne cherchant protection auprès du plus fort, voire d'une secte locale.
En parallèle, François contrairement aux espoirs de son père s'obstine à essayer de percer dans le journalisme. Être témoin, avec Jean, du meurtre d'une star de l'écran commis dans les toilettes d'un cinéma parisien, va lui permettre de se faire remarquer dans les pages faits-divers de son quotidien.
Quant à Jean il échoue aussi lamentablement dans sa vie de représentant de commerce que dans les affaires familiales.

L'intrigue tarde un peu à atteindre son rythme de croisière. Puis les démêlés de Étienne avec les autorités civiles et militaires et ses découvertes du fonctionnement de l'économie vietnamienne au travers de l'Agence des monnaies deviennent le fil rouge qui happe le lecteur. Les histoires s'entrecroisent avec talent, toujours portées par une reconstitution de la période très documentée, et que l'on sent très juste.

Le lecteur ressent toute la moiteur d'un Viet Nam colonial que tous savent aller vers une indépendance inévitable. le fonctionnement d'un quotidien aux grandes années du journalisme fait inévitablement penser au France Soir de Pierre Lazareff, déjà largement évoqué dans la littérature française. le reste implante ce que lecteur devine être le début de nouveaux soubresauts à venir pour les autres membres de la famille Pelletier.

Le trait est parfois épais, mais c'est ce qui amène une forme d'humour, un second degré qui romance ces destinées familiales. L'art du conteur est au maximum et l'auteur de roman policier se permet même dans la partie finale un rebondissement que je n'avais pas vu venir.

D'un début un peu laborieux, on passe à un récit puissant, évocateur, qui inévitablement va plus que dépasser ces six cent premières pages.
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J'ai essayé plusieurs fois de lire un policier de Pierre Lemaitre, sans succès. Mais par contre, j'accroche de suite à ses sagas historiques.
Comme pour la trilogie "Les enfants du désastre", j'ai tout aimé dans ce livre : Les personnages, l'histoire, l'écriture. Je me suis attachée à plusieurs membres de la famille Pelletier, j'en ai détesté d'autres. J'ai souffert de la chaleur à Saigon et de l'exiguïté de mon logement à Paris. J'ai caressé Joseph en lisant un article dans Le Journal et tenté de suivre les cours des Beaux-Arts. Bref, totale immersion.
Et si j'ai aimé les révélations finales, j'ai détesté les évènements qui y ont menés.
Une très bonne lecture par laquelle je me suis laissée absorbée avec grand plaisir. Je rajoute vite la suite dans ma PAL.
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Ma première réaction est : ce roman est génial !!
Cela fait peu de temps que je me penche sur les oeuvres de Pierre Lemaître, ayant apprécié "Miroir de nos peines".
Alors là, je suis littéralement subjuguée tant c'est excellent !!!
Les personnages sont absolument exquis, ma préférence va pour Geneviève car je trouve qu'elle apporte de la légèreté et beaucoup d'humour à l'oeuvre.
On est happés par l'histoire dans laquelle on plonge très naturellement, puis on devient tout bonnement addict et on ne lâche plus le livre !!
Pierre Lemaître est vraiment très doué !
J'imagine qu'il y aura une suite car je brûle d'impatience de savoir comment finira l'enquête du cinéma et la réponse à tous mes autres questionnements par rapport à l'intrigue.
C'est très bien écrit et tout à fait passionnant. J'espère qu'il aura un prix car je pense qu'il le mérite.
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❤❤❤❤❤Qu'écrire de plus? Les nombreux billets publiés sur ce livre soulignent déjà, avec justesse, l'intense plaisir de lecture que procure cette grande fresque romanesque et vantent les mérites de l'écriture de Lemaitre ! Je ne vois donc pas ce que je pourrais ajouter .... Je me contenterai alors de dire à quel point j'ai adoré plonger dans ce tableau brossant les trajectoires des membres de la famille Pelletier, que les intrigues développées par l'auteur sont habilement menées, qu'elles captivent le lecteur qui ne veut pas sortir de ce récit et qui aimerait en avoir plus, tout de suite ! Pierre Lemaitre est un sacré conteur et j'ai désespérément hâte de découvrir la suite !!!
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