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Juin 2020, dans « Ce virus qui rend fou », Bernard-Henri Lévy s'interroge sur les enseignements de l'épidémie due au COVID-19, sur ce qu'elle révèle de la société et s'insurge contre la « terreur » qui a été insufflée.

Une épidémie à ce niveau est toujours un désastre sanitaire, en même temps qu'un drame social, mais BHL regrette la place, démesurée selon lui, accordée au COVID-19 dans l'espace médiatique, faisant pratiquement disparaître de l'actualité les sujets graves. Il fait la part belle à de nombreux auteurs car il a gardé de ses années de formation certaines références qu'il se flatte de pouvoir nommer : Platon, Foucault, Canguilhem, Althusser, Jankélévitch ou le psychanalyste Jacques Lacan… sans que ce soit toujours judicieux.

La position de BHL est que le confinement et le tapage médiatique causent autant de dommages que les méfaits de la pandémie. En raison de nombreuses lacunes, ce court livre n'apporte rien de nouveau aux lecteurs qui ont déjà maintes fois entendu ou lu les articles des journalistes ou les interventions des personnels médicaux.
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Ce virus qui rend fou
Bernard Henry Lévi
104 P.
Je n'aurai jamais imaginer lire un essai de cet auteur , et bien voilà , qui est chose faite !
"Moins qu'un texte d'intervention , Ce virus qui rend fou apparait ainsi comme un compendium de l'auteur , écrit avec une fougue souvent savoureuse, en particulier quand l'auteur s'en prend aux heureux du confinement, ces âmes mortes et ressuscitées se livrant à l'exaltante entreprise d'être.. soi , vraiment soi, bien concentré sur soi . Son appel à sortir de cette moite intimité gastrique, à retrouver l'altérité du monde, l'effervescence de la vie, touche enfin la cible: retour au présent, qu'on avait bien failli manque
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En voilà un qui a su mettre à profit le temps qu'il a eu en confinement. Les réflexions sont intéressantes mais ça ne m'a pas franchement passionné, il y a beaucoup de généralités, beaucoup de références diverses et ça reste assez flou dans ce que ça vise. C'est bien écrit, ça inclus tous les aspects de la société touchée par le Covid19. Seulement je me demande si ça mérite un livre, même petit, alors qu'un édito dans un journal aurait sûrement eu plus d'impact.
BHL n'est pas là pour refaire le monde, c'est un penseur certes, mais il n'est pas là pour faire la morale, il est là pour faire réfléchir le lecteur et c'est ce qui m'a plu même s'il n'y a pas vraiment de fond ça oblige à voir cette pandémie d'un autre point de vue.
Personne n'est oublié, ceux en première ligne, en seconde ligne, madame Tout-le-monde, SDF en bas de chez vous, la façon dont les médias et le gouvernement ont gérés cette crise. Je ne suis pas déçu de mes 0.50€.
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Excellent essai dans lequel BHL démontre que nos sociétés humaines n'agissent plus avec leur raison mais leurs émotions et sont prêtes à laisser des mesures liberticides s'installer sans réagir. C'est très intelligent, court, assez facile à lire. Lecture essentielle que je cobseille vivement.
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J'ai l'impression de ne pas avoir lu le même livre! Je n'apprécie pas beaucoup BHL (philosophe pour caniche a dit quelqu'un de méchant) mais ici j'ai l'impression qu'il écrit haut et fort ce que je pense tout bas; rien contre le confinement si c'est une mesure efficace mais n'entendre parler de la covid avec des propos contradictoires, cela m'a gonflée. Plus rien ne semblait se passer dans le monde...avez-vous vu le dessin animé Palu contre Corona? C'était très parlant.
Je m'inquiète du tout sécuritaire: le terrorisme et maintenant la Covid donnent des mesures liberticides peut-être définitives.
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Qu'il est doux d arrêter BFM pour lire BHL !
Prendre conscience de ce que nous avons accepté sans broncher pendant plusieurs semaines.
Porter un masque oui, mais ‘il fallait le porter en rallant ! '

Si parfois ses alertes m'ont peu convaincues (StopCovid est elle vraiment une menace à l'heure où chacun d'entre nous donne ses données à Facebook et autres Instagram ? ), s'il semble ne pas rendre complètement justice a ce que le confinement a permis d'éviter, on prend quelques vérités en pleine figure, et ça fait du bien.

Oui l'homme se grandit de ses relations à autrui et un repli sur soit n'a rien de bon, sans oublier tout ceux qui n'ont tout simplement pas de chez sol.
Oui le corps médical n'est pas détenteur d'une vérité seule et absolue, et la décision politique doit primer.
Oui un virus ne parle pas, n'est pas porteur d'un message.

Et enfin, et surtout, quel avenir préparons nous si nous sommes prêts à abdiquer le contrat social par un contrat 'vital' ? A délaisser ainsi notre liberté pour une promesse de santé. Pour vivre, mais qu est ce que la vie sans la possibilité d'exercer sa liberté?

Une lecture percutante et passionnante.
Merci Bernard Henri Levy !


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Comme beaucoup, lire un livre de BHL n'était ni dans le « déjà fait » ni dans le « certainement un jour »! L'entendre parfois sur des plateaux TV nous donner de grandes leçons géopolitiques était bien suffisant voire insupportable. Et je ne parlerai pas de ses reportages dans Paris Match visant à soit culpabiliser certains un peu loin de ce qui se
Passe dans le monde, soit à exposer de façon parfois vulgaire les drames trop nombreux de notre
Civilisation.
Alors pourquoi ce revirement me direz vous? Un effet de la COVID 19 qui en plus de tuer des milliers de personnes semble attaquer les neurones de
celles et ceux ayant eu à l'affronter?
Non aucunement cela; tout d'abord une première interview sur radio classique, un matin, porteuse d'une colère dans laquelle je me retrouvais bien. Puis vint un passage à la grande librairie et un débat contradictoire et interpellant, la encore, entre 3 philosophes
Mais il y avait encore un obstacle!!! Si beaucoup de ses propos avaient le mérite de mettre à mal une bien pensance mielleuse, restait un pont entre Holocaust et cette pandémie qui était de trop pour moi!!!
Pourquoi vouloir tout ramener à cela, malgré tout le sérieux et la mémoire que nous devons en garder?

Mais voilà, un après midi ensoleillé, le livre posé négligemment sur la table d'une petite maison de vacances.... et c'était parti!!

Résultat des courses..... je n'ai pas prévu lire prochainement un autre BHL, je tiens à saluer l'auteur pour sa décision de reverser tous
ses droits aux libraires indépendants, certains agacements et cris de colère sont à écouter.... car la est mon point!!
L'écouter parler de cette période permet de nous éviter tout un étalement culturel pesant.
Ce livre mérite la contradiction sur notamment une absence d'agacement vis à vis des médias. Certes BHL nous dit bien que durant des semaines et des semaines plus rien n'existait comme
Information.
Mais c'est un peu court à mon goût!!
N'oublions pas qu'elle le fait vivre.... alors quid de l'indépendance du philosophe?
Donc pas d'avis, à vous de voir.... pour moi les plus et les moins s'équilibrent.
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J'ai acheté ce livre notamment pour soutenir la librairie. En effet, l'intégralité des droits d'auteur est versé à l'Association pour le Développement de la Librairie de Création.
Cet essai donne à lire la vision de Bernard-Henry Lévy au sujet du coronavirus et la situation planétaire. Ecrivain, philosophe et homme de terrain, il fait part de son analyse, décrit ce qu'il a constaté, questionne et dénonce. Il partage sa crainte de voir certains profiter de l'urgence sanitaire et sa colère par rapport au Net qui occasionne un certain repli sur soi.
Aussi, aux moyens de figures intellectuelles et de philosophes à l'image de Jacques Lacan ou Descartes, il met en avant une manière de repenser la vie.
Un texte court, incisif, qui invite à réfléchir.
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Si on m'avait dit qu'un jour je lirai un bouquin de BHL, j'aurais probablement parié ma chemise du contraire et, j'aurais perdu.
Après l'avoir entendu chez Ruquier à propos de son nouveau bouquin, j'ai eu envie d'en savoir plus sur ce qui avait amené un discours qui, s'il ne me convainquait pas sur tous les points notamment sur le plan économique, ne me semblait pas si éloigné de ce que je ressentais par rapport aux délires qu'a pu faire naître le « qu'au vide dit neuf ».
Deuxième livre en trois jours sur le sujet (la légende du crachin breton s'étant révélée exacte depuis trois jours aidant) après l'excellent « La revanche de la nature » d'Aymeric Caron, j'étais motivé.
Premier constat en refermant le bouquin, BHL est très soft (du mal à assumer ?) quand il a un contradicteur en face. du moins sur le plateau d'On n'est pas couchés il y a quinze jours. Que j'aurais aimé qu'il ait Aymeric Caron en face de lui.
Je me pose quand même une question. Qu'est ce que je n'ai pas compris ? Ce qu'il dit pour vendre son livre ou alors son livre ? Les deux ? Peut être…

« Ce virus qui rend fou » , c'est le type même de bouquin qui me laisse le cul entre deux chaises.
D'un coté, il y a un constat, des faits, des réserves sur la manière dont la situation a été appréhendée qui font que je ne peux qu'être d'accord avec certains propos. Et puis de l'autre il y a tout ce que je déteste, cet étalage de culture, ces références religieuses, et la Torah par ci et Rabbi truc par là, le peuple Juif, et puis le pape, Jésus, les chrétiens (à noter que s'il déplore la désertification des églises et des synagogues pendant la période de confinement, pas un mot pour les mosquées…mais j'y reviendrai brièvement plus tard sur les musulmans), et puis les philosophes grecs avec bidule qui a dit ça et tel autre encore ça et puis Sartre et puis Giono et puis Claudel, Mauriac, Villon, Genet, De Gaulle… stop, n'en jetez plus !!! Et toi Nanard, sans tes références et tes citations, t'en penses quoi de tout ça ? Ton opinion, celle qui n'est pas dictée par une culture débordante, ton ressenti, quel est-il une fois débarrassé de tout ce tape à l'oeil ?
Oui ce bouquin a tout ce qu'il faut pour que je le « massacre ». Il est puant de mépris (sous couvert d'ouverture à l'autre), il est rempli de contradictions.

Nous sommes tous enclins à interpréter un texte ou un discours selon nos sensibilités politiques, écologiques ou autres et je crois que là BHL s'est lourdement trompé quant au intentions de tous les gens qu'il prend de haut, ceux qui ont pu croire un instant que ces deux mois de confinement seraient peut être l'occasion de se questionner sur nos modes de vie et de pourquoi pas les changer pour un monde meilleur.
BHL voit dans cette démarche stupide un repli sur soi, une glorification du Moi. Parce que probablement, malgré ses reportages aux quatre coins de la misère du monde, ce monde tel qu'il est lui convient. J'en doute alors je ne comprends pas. Réfléchir sur soi, changer des habitudes nuisibles à tous (et encore plus à ceux qu'on ne voit pas en Afrique ou en Asie) c'est penser collectif et non à sa gueule. Il parle de cet état d'esprit en l'opposant à des textes d'auteurs séquestrés comme Kafka, Xavier de Maistre, Genet, Proust, Sade, Villon et beaucoup d'autres en nous demandant si nous pensons qu'ils ont aimé leur « confinement » ? Quel rapport ? Quelle indécence de comparer une remise en question aléatoirement salutaire due à un élément indépendant de notre volonté qui nous a partiellement isolé (pour ce qui est du bien fondé de cette isolation forcée c'est un autre débat) avec une privation totale de liberté.

L'Homme n'est pas un animal pour BHL et il s'amuse de ces gens s'émerveillant de voir une biche sur la plage désertée, de voir un sanglier en centre ville ou tous ces animaux dans des endroits improbables, endroits d'où nous les avons chassé pour bétonner, pour créer entre autre des magasins d'inutile.
Et puis les écolos, les végans les ravis de la crèche, quel mépris pour eux dans ces pages. Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Strasbourg pour les plus grandes villes de France viennent d'élire des maires écolos sans parler de Lille qui à 200 voix près… Oui Paris est écolo ou alors qu'on arrête les procès faits à Hidalgo. Oui Nanard, les écolocrates et les végétocrates, comme vous les appelez ont envie de changer leur vie, de penser Vie.
L'Homme n'est pas un animal, c'est un Homme ? Un chien n'est pas un animal, c'est un chien ? J'ai bon ?
Il ne manque pas non plus de rappeler aux abrutis verts qu'il se déplace en avion pour témoigner de la misère du monde pendant que le reste de l'humanité (enfin nous quoi, les nantis) ne pense qu'à sa petite santé. Alors mesdames et messieurs les verts, vous qui ne savez pas, touchez pas à l'avion.

Je ne vais pas m'étendre sur tout ce qui est références religieuses mais j'avais dit que je reviendrai sur le seul point abordé sur les musulmans.
« le Hezbollah s'est confiné.
Le Hamas, qui déplorait alors huit cas, a déclaré n'avoir plus qu'un but de guerre, obtenir des masques d'Israël : ‘'des masques ! des masques ! notre royaume pour des masques ! nous viendrons, si besoin, couper le souffle à six millions d'Israëliens''.
Daech a déclaré l'Europe zone à risque pour ses combattants qui ont filé se moucher dans des kleenex à l'eucalyptus, au fond de quelque caverne syrienne ou irakienne ».
Chacun en pensera ce qu'il veut…
Il y a bien aussi un petit missile pour le pape mais bon… bref.

Une dernière chose car il va finir par être beaucoup trop long ce billet, j'ai bien aimé cette hallucinante contre vérité d'une bêtise et d'un mépris de compétition :
« Et, quant au projet d'appuyer sur le bouton pause pour permettre à la planète de souffler, quant à cette coupure de courant de la mondialisation que, selon des écologistes à l'âme d'autruche, la nouvelle fée électricité, avec ses énergies ioniques et renouvelables, allait enfin opérer, quant à cette mise entre parenthèse, cette suspension, cette épochè, des lois du monde d'avant dont on nous entretenait partout et dont le Covid devait être le disjoncteur, bravo ! c'était en train de marcher ! mais pas comme on nous l'avait dit… pas dans le sens d'une plus grande égalité… car ce sont les damnés dont on était en train de se séparer et ce sont eux qui allaient payer au prix fort notre générosité radicale ».
Sauf que toute cette misère qu'il côtoie à longueur de voyages est due en grande partie à la mondialisation qui entretient ce que la colonisation avait commencé il y a bien des siècles. Ceux qui payent au prix le plus fort depuis toujours, ce sont les habitants des pays que BHL « visite » et ils ne payent pas autre chose que nos inconsciences. Parler de « générosité radicale », ça en devient obscène.

Voilà quelques points parmi d'autres qui m'ont donnés quelques rougeurs et si j'aurais bien remis quelques citations hautaines, je n'ai pas eu le courage de rouvrir ce bouquin.

Vous l'aurez peut être compris, si je conseille un livre sur le confinement, ce sera sans aucune hésitation celui d'Aymeric Caron.
Sinon, cette fois je suis prêt à parier mon pantalon que c'était ma première et dernière lecture de BHL.

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Citoyen du monde, défenseur des peuples oubliés ou massacrés dans les parties les plus reculées de la planète, Bernard-Henri Levy ne pouvait pas voir d'un bon oeil les mesures de restriction des libertés mises en place par un grand nombre de pays pour contenir la propagation du virus SARS-COV-2. Il clame haut et fort sa "colère" dans ce petit livre et dans plusieurs interviews qu'il a données à l'occasion de sa parution.

Logiquement, il devrait alors se ranger derrière les gouvernements qui ont refusé le confinement : Boris Johnson (jusqu'à ce qu'il change d'avis), Donald Trump, Bolsonaro et le gouvernement suédois, notamment. Mais de ceux-là, il n'est absolument pas question dans cet essai. Pas plus que du nombre des morts provoqués ou évités par les différentes politiques de lutte contre le virus. Alors, il nous parle d'économie, de chômage, du creusement de la dette ? Pas plus. du sacrifice des agents hospitaliers ? Pas davantage.

En réalité, les faits n'intéressent pas BHL. Il jette seulement un bref coup d'oeil à cette pandémie et en tire deux ou trois considérations tellement générales, tellement péremptoires que, même si elles ont une part de vérité, on a peu envie d'en débattre avec lui.

Les médecins et les scientifiques ont pris une place excessive dans le débat public, nous dit-il. Ils ont selon lui "pris le pouvoir". Je dirais que, pour le cas de la France (BHL, lui, reste toujours dans les généralisations et ne regarde aucun cas particulier), on a surtout vu beaucoup de controverses et , pour ma part, j'ai eu le sentiment que c'était bien les politiques qui prenaient les décisions et en assumaient la responsabilité. Par exemple, pour la date et le rythme du déconfinement.

Mais là où je suis près de perdre mon calme, c'est quand BHL du haut de sa grande sagesse, nous traite quasiment de collabo pour avoir si facilement accepté de nous confiner. A l'en croire, nous serions, nous les humains, (encore une fois, il ne fait pas de différence) des personnes qui aiment se replier sur soi, en fait, nous avons vraiment aimé nous confineer dans "notre terrier" car nous détestons nous occuper de notre prochain. La Preuve (avec un P majuscule) de ce vice terrible que BHL pointe d'un doigt accusateur : les Ouighours, les Bengalis, les Somaliens, les Syriens avaient disparus de nos écrans de télévision, nous leur tournions le dos pour ne nous occuper que nos petits éternuements. Et si c'étaient pour nous occuper de nos vieux, encore ! Mais non, là aussi nous leur avons tourné le dos, les laissant mourir seuls...

Cette sagesse, je lui la laisse bien volontiers. Je la trouve totalement hors sol, déconnectée des véritables situations qu'ont vécu et vivent encore des millions d'humains, déconnectée des risques encourus (et notamment par les personnes âgées), déconnectée des véritables chiffres de la pandémie, qui est toujours en cours, déconnectées des décisions réellement prises par les dirigeants.

Un petit livre (le mot d'essai serait excessif) vite torché entre deux avions, entre deux interviews. de la fast-pensée, comme il y a des fast-food.

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