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3,5

sur 4870 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Au début j'ai eu beaucoup de mal à accrocher. Je trouvais cela un peu ennuyant ce couple qui se retrouvait pour mieux se perdre ensuite et puis vient la deuxième partie de ce livre, presque une autre histoire où plutôt l'histoire dans l'histoire qui donne une toute autre dimension au livre !
J'ai, finalement, passé un très bon moment à le lire et je ne regrette pas du tout d'avoir persister !
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Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Minou, minou, minou….
Minou Minou Minou ?
Ou cé ti que tu es ?

Crise existentielle aux sons des bites qui vous chassent le routine d'un coup de baise, vous laissant planer dans une solitude qui vous cogne les certitudes à coups de mensonges, muré dans un silence de gêne et de désillusions, d'une vie banale sans éclats passionnels, perdus au fil du bonheur qui s'efface pour laisser place à l'ennui …

Du coup la seule chatte que je caresse, c'est un tigré de Sibérie, elle me colle aux mains ronronnant de ses pattes acérées, tricotant sur mes mains douloureuses… Elle est douce ma chatte, elle prend son shoot quotidien de grattouilles et une fois barrée, son frère prend la relève, un putain de pot de colle, chasseur de mouches à ses heures perdus, chasseur de chaises en simili cuir qui ne sont plus que lambeaux, de canapé, bref deux petits enculés qui préfèrent pioncer le jour, miaulant à la nuit mon sommeil agité de ces derniers temps de famine…

Je suis crevé, bordel j'ai envie de dormir, faire la grasse après midi, me laisser bercer par le silence abyssale, me reposer un peu la vie de tous les jours, reprendre un peu de désir avec sérénité et lubricité, imaginant la nudité féminine à sa juste luxure, oubliant la bienséance d'un romantisme déchu à l'animalité lubrique qui ma bite, dans le respect de cette grâce délicieuse qui attise nos sens dans un consentement mutuel de nos corps mélangés, ruisselants d'appétits enivrants aux coups de plaisirs qui se multiplient, avec fantasme, sans tabou, dans l'euphorie du présent, oubliant femme et enfant , avant l'orgasme enivrant d'une bonne partie de baise…

Oui mais quéquette et disette ont fait connaissance et se sont trouvés quelques affinités on ne peut plus sérieuses pour mettre fin à mes délires d'obsédé en manque de seins, du coup je pars en boucle, laissant vagabonder mes doigts sur la clavier vous racontant tant obscénités dont vous n'avez rien à branler, mais dont je vous soule jusqu'à l'orgasme poétique d'un coït imaginaire sortie tout droit d'une frustration passagère qui se guérit d'une main habile et d'une imagination fertile, d'un bout de sopalin bon marché qui finira comme il se doigte au fond de la poubelle en dessous de l'évier…

Puis je reprendrai une vielle habitude qui a repris son droit de cancer, la clope au bec, je crache mon plaisir à la gueule au vent qui me caresse la calvitie, la lune brille dans le ciel étoilé de nuages gris, m'enveloppant déjà d'une lassitude qui se sommeille dans la nuit, la pluie commence à goutter, la douceur hivernale m'excite la ma chaire qui se poule, frissonnant, je ferme la fenêtre, me dirige tout droit vers la bouteille de cristalline pour me servir un verre d'eau, puis dans un dernier élan de générosité, je laisse ma bite pleurer cette nouvelle journée qui s'achève dans la douleur, la tristesse, les regrets, les fantasmes, puis je secoue et laisse couler jusqu'à plus de larmes, secouant les trois dernières gouttes qui se laissent désirer…Je me redirige vers l'évier me frotte les mains d'un savon doux aux extraits de parfums florales, je m'essuie sur le torchon, pour enfin rejoindre mes songes profonds le calbute à l'air dans la douceur d'une couette chaleureuse et d'un oreiller bien calé…

Et alors là, je me sens lasse, mais serein, je pense à tout et à rien, je me filme une vie de grandeur, pour enfin m'endormir de jolies rêves rose et bleue jusqu'au petit matin chagrin d'une nuit bien méritée…
Tu me manques minou…

A plus les copains
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Un roman plutôt agréable à découvrir. Mais je ne crois pas vraiment à l'histoire et il n'y a pas eu l'émotion nécessaire pour en faire un livre inoubliable. Un bon texte pour se divertir.
Lien : http://araucaria20six.fr/
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A l'adolescence, Susan et Philip s'étaient jurés de s'aimer pour toujours mais la vie en a décidé autrement. Susan est partie travailler au Honduras pour aider la population suite aux ouragans qui dévastent régulièrement le pays. Philip et elle s'écrivent assez fréquemment et se retrouvent à l'aéroport, entre deux correspondances, une fois par an, parfois moins. Au fil du temps, Philip est de plus en plus frustré par cette distance qui ne cesse de grandir entre eux, il ne comprend plus forcément le choix de Susan de rester au Honduras. La jeune femme lui conseille de vivre sa vie sans elle. Il rencontre une jeune journaliste, Mary, avec qui il va fonder une famille. Un jour, on sonne à la porte : Lisa, la fille de 9 ans de Susan dont il ignorait l'existence, lui est confiée suite à la disparition de sa mère. Mais l'arrivée de la petite fille va provoquer des bouleversements dans la famille.

J'ai retrouvé ce roman de Marc Levy dans ma bibliothèque et n'étant pas sûre de l'avoir lu à l'époque où je lisais beaucoup de livres de cet auteur, je l'ai repris. Si le début du livre quand Susan et Philip se retrouvent à l'aéroport m'était familier, la fin en revanche ne me disait absolument rien.
Ce roman est assez facile à lire et rapide, par contre par rapport à certains livres de cet auteur, je l'ai moins apprécié, notamment parce que j'ai eu du mal à comprendre la choix de Susan par rapport à sa fille. Ce choix est vraiment étonnant de la part d'une mère, voire choquant à la limite. D'ailleurs, je trouve Susan assez froide même au début par rapport à Philip, peu démonstrative dans ses sentiments, je me suis peu attachée à elle.
Par ailleurs, j'ai trouvé certaines longueurs dans ce livre notamment par rapport aux catastrophes naturelles au Honduras, certains passages m'ont semblé longuets à lire.
Je suis en revanche étonnée que ce roman aborde le thème de l'humanitaire, ce n'est pas très fréquent dans la littérature, me semble-t-il.
Pour conclure, ce n'est pas le meilleur livre de Marc Levy que j'ai lu.
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A la fermeture de ce livre le bilan est plutôt mitigé en ce qui me concerne.

Je n'ai pas réussi à m'impliquer dans cette lecture et j'ai eu l'impression de survoler les évènements plutôt que de les vivre avec les personnages.
Il faut préciser que les thématiques ne m'inspiraient pas plus que ça (l'humanitaire, la maternité). Toutefois l'auteur n'a pas réussi à m'y intéresser, alors que d'autres romans là-dessus ont pu me passionner.

J'ai trouvé ce récit inégal : des passages intéressants sont noyés dans des séquences trop longues.
Les revirements de situations sont mal amenés, si bien qu'il m'a fallu à chaque fois du temps pour retrouver mes repères et reprendre plaisir à la lecture. Même si j'avoue qu'une certaine "logique" se met finalement en place.

Ce n'est toutefois pas un désastre, il y a des points positifs (si, si !)
C'est une lecture divertissante et légère, malgré le thème de l'humanitaire.
L'auteur creuse le thème du triangle amoureux et nous interroge sur la façon de surmonter les fantômes du passé.
De plus il nous apporte des éléments intéressants notamment sur les ouragans, la vie des populations pauvres...
Enfin, j'ai apprécié les clins d'oeil à ses autres romans glissés ça et là !
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Une relecture qui me laisse une fois de plus perplexe…

Je m'explique, l'héroïne est tout sauf sympathique et même si elle s'est retrouvée orpheline très jeune, ça n'explique ni son caractère de chien ni son égoïsme ni sa méchanceté ! le héros est nettement plus humain, il éprouve des sentiments et est fidèle même après la fuite de trop même après la lâcheté suprême de son amour de jeunesse. Et la vraie histoire d'amour de ce roman peut alors commencer car l'amour n'est pas la passion ni les rêves d'adolescents mais un sentiment qui grandit jour après jour en construisant un projet commun et apparaît alors dans le roman celle qui pour moi est la vraie héroïne :-)

Pour la forme, ce n'est pas mal écrit mais ce n'est pas non plus de la grande littérature. Les événements qui jalonnent le récit sont tirés de l'Histoire et lui donne du corps mais l'ensemble manque de fantaisie et d'humour.

Petite question qui résume le bouquin : peut-on bousiller des vies pour vivre pleinement son choix de vie tout en réalisant que ce choix est une fuite en avant pour éviter de s'investir dans une relation durable ? Pas très cool pour une romance :-p
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bien et étrange à la fois!
Ceci est mon second Marc levy, et pour être honnête je m'attendais à mieux par rapport au premier que j'avais lu (la prochaine fois).
Les deux protagonistes principaux sont amis depuis l'enfance, amant de temps à autres et ne se sont jamais oubliés.
Mais un jour, Susan le quitte, elle part travailler au Honduras en mission humanitaire. Philip lui continue sa vie en travaillant en tant que publicitaire à Manhattan.
Ils ne s'oublient pas, s'écrivent, et à chaque fois que Susan rentre a N.Y, ils se retrouvent au bar de l'aéroport, à la même table, avec la m^me glace.
Et un jour, quelqu'un sonne chez Philipp qui est à présent marié et père de famille.
Là une petite fille le regarde et lui dit, "maman est morte".
La fille de Susan âgée de huit ans annonce à Philip ce décès.
Susan avais souhaité que si il lui arrive quelque chose, sa fille soit confié à la seule personne qu'elle a véritablement aimé.
mais cette intrusion déplaît à Marie , la femme de Phillip.
peut on aimé une personne, un enfant qui n'est pas le notre? peut-on vivre dans le souvenir de l'horreur et être un jour heureux? les morts restent ils morts pour toujours?
Une histoire d'amour, de douleur, et d'espoir.
Lien : http://passion-lecture31.sky..
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Je vais commencer par les côtés négatifs, ou du moins ceux que je n'ai pas aimés :
* Une large moitié constitue un roman épistolaire, genre que je n'aime pas, mais surtout cette partie ne sert pas à grand-chose pour la suite.
* Pour la suite, j'avais sans cesse en tête le film « Un indien dans la ville », revu et corrigé : pas très original !
* J'ai trouvé, comme dans Guillaume Musso, des passages que j'appelle « remplissage copiés collés de guides touristiques » Un court exemple : « (…) elle s'engagea sur Virginia Gardens, tourna à droite sur Flagami West Miami, et de nouveau à gauche dans la 117°Avenue. » Ben, cela ne me dit rien, et ça permet à l'auteur de remplir du papier, quand c'est répété.
* La fin est totalement invraisemblable, et pourtant je l'attendais, grand comme une maison !

Le point positif, c'est que malgré tout j'ai été pris par cette histoire, et je comprends les fans inconditionnelles, et je ne voudrais pas faire tomber la moyenne !


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Un de ces livres que j'aime lire comme ça, sur un coup de tête, pour voir des personnages différents de moi, voir une vie différente de la mienne. Et comme à chaque Marc Levy que je lis, il prend tout son sens à la fin. Après avoir été surprise, déçue, émue, je me retrouve avec une histoire en tête, peut-être pas parfaite, mais où il y a de l'espoir au bout du tunnel ! Et c'est ça que j'aime !
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Définitivement le roman le moins bon de Levy que j'ai lu jusqu'à maintenant. C'était extraordinairement long. J'aime pourtant les histoires où il n'y a pas beaucoup d'actions, mais ici il ne se passait rien du tout. Pas d'émotion, pas d'intrigue, pas de fil rouge à suivre.

Je ne comprends vraiment pas pourquoi Levy a écrit cette histoire. J'avais déjà deviné le "punch" de la fin, qui est malheureusement sans intérêt. Les personnages étaient assez simples, sans grande personnalité. Je me demande vraiment pourquoi je l'ai terminé!
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Où es-tu ? Marc Lévy, test !

Par quel moyen Susan et Philip restent-ils en contact durant des années alors même qu'ils ne vivent pas dans le même pays ?

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