Un peu compliqué au départ mais ensuite je me suis vite fait à l'écriture de l'auteur et j'ai apprécié.
Cet ouvrage débute avec l'explication du pourquoi les français ont voulu incorporer la SS, puis le déroulement de la formation SS et ses difficultés, puis enchaîne avec leur baptême du feu et la perte irréversible des jeunes soldats après quelques jours seulement de guerre...
Massacre sans nom pour ses jeunes idéalistes qui ont voulu tenir coûte que coûte malgré la débâcle de la wermacht.
La guerre reste dévastatrice quelle que soient les raisons, toutes ses souffrances inutiles.
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J'ai lu ce roman, il y a quelques années, comme un ado qui cherche à se frotter à la rudesse de l'histoire. C'est un excellent document mais qui ne s'aborde pas comme un roman historique. Lu sans regret.
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Récit des premiers SS français regroupés dans le premier bataillon de la Brigade Frankreich. Les étapes de la formation militaire sont bien décrites. La difficulté de l'entrainement se sent. La férocité des combats et la vaillance des hommes sont par ailleurs biens rendues. Quant au ton, il me semble un peu glorifiant. En somme, il s'agit d'un récit plutôt partial que d'une analyse critique. La lecture est tout de même intéressante.
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Livre pénible à lire, l'ensemble des personnages présentés est un conglomérat de collaborationistes et de miliciens sans panache. Je n'ai pas fini ce livre tant l'aspect collaboration antisémite me semble amoindri alors que c'était, historiquement, l'adn de la justification de cette brigade intermédiaire entre lvf et division charlemagne. Je n'aurai pas du l'échangé contre celui de la charlemagne justement, qui est beaucoup mieux.
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Le problème de ce livre, c'est qu'on finit par croire que les waffen ss étaient en fait une bande de joyeux boy scouts. Donc pas pour tous et surtout en gardant bien à l'esprit la vérité historique.
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Engagés dans la SS avec un enthousiasme romantique, les survivants découvrent que la guerre ne ressemble pas aux légende. La mitraille et la dysenterie n'ont rien de glorieux.
Les SS français venus mourir à Berlin sont les enfants perdus d une défaite qui les a marqués au fer rouge.Au plus profond de leur cœur, ce souvenir reste aussi indélébile que le tatouage du groupe sanguin ,sous l aisselle de leur bras gauche.
Une blessure de guerre n est qu un handicap, pas un empêchement.
Un homme, un destin: Jean Mabire.