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EAN : 9782878625837
3 pages
Editions Thélème (11/10/2008)
Édition audio (Voir tous les livres audio)
3.99/5   1559 notes
Résumé :
"Né sous une bonne étoile": à première vue, ce n'est pas le cas de Rémi, enfant trouvé, qui passe son âge tendre chez des parents nourriciers avant d'être vendu à une sorte de vagabond saltimbanque, musicien des rues et montreur de chiens savants.
Sous les ordres de ce patron, le jeune garçon "sans famille" va endurer les rigueurs de la vie itinérante et affronter toutes sortes d'épreuves. Pour autant, il ne se découragera pas : son arme est de posséder cette... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (135) Voir plus Ajouter une critique
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Lorsqu'on lit ce livre durant sa jeunesse, la note de 5/5 est logique.

Ce livre permet une réflexion sur la vie : Un enfant sans famille qui suit un vieillard à travers la France. Que d'aventures ! Toutes les émotions se réveillent. Nous sommes heureux avec Rémi lorsqu'il fait ses spectacles, et nous sommes malheureux lorsqu'il est dans les mines.
La vie des pauvres est magnifiquement peinte.

Tous les thèmes de la vie sont réunis : la vie, la mort, la misère, l'amour, l'amitié, la solidarité. Riche en pédagogie, ce livre nous apprend très vite l'authenticité de la vie.

A mettre dans les mains de tous les adolescents qui veulent vivre un aventure unique.
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Sans Famille ou Rémi sans famille restera toujours pour moi une musique lancinante dans ma tête : « Dans les grandes villes ou les petits villages/ devant nous défilent de jolis paysages/ Ma famille à moi c'est celle que j'ai choisie/ car on a besoin d'affection dans la vie/ Venez avec nous dans nos aventures/ plus on est de fous et moins la vie est dure/ je suis sans famille et je m'appelle Rémi et je ma balade avec tous mes amis… »

Ce générique a marqué mon enfance ainsi que le dessin animé des années quatre-vingt. Il me plaisait beaucoup à tel point que je l'ai vu et revu plusieurs fois, de même que Princesse Sarah, autre adaptation d'un classique de la littérature jeunesse de Frances Hodgson Burnett, sans oublier Les Mystérieuses Cités d'or et Clémentine ou l'histoire d'une petite fille qui se retrouve paralysée à cause d'un accident d'avion mais voyage dans le passé et fait de nombreuses rencontres pour ne plus penser aux souffrances du présent.

Je trouvais le graphisme de Sans famille parfait. J'avais presque l'impression qu'il s'agissait d'un film ou d'une série avec de vrais acteurs. Je me souviens encore, trente ans après, de l'amitié entre Rémi et Mattia, duo fraternel que j'aimais beaucoup, ainsi que de la manière dont chaque épisode était écrit, scénarisé, découpé : de l'aventure, du mystère, du frisson, des émotions fortes, la mort, l'amitié, l'amour avec la petite fille muette Lise, la tragédie des mineurs, de la misère dans les campagnes du XIXe siècle, des enfants abandonnés, exploités, tout un monde inconnu pour moi et de ce fait totalement fascinant.

J'ai retrouvé les mêmes thèmes dans le roman. Il s'inscrit dans la tradition du récit d'enfant abandonné qui recherche ses origines et retrouve au final sa famille. Elle est riche et l'aime.

L'histoire de Rémi est similaire à celle d'Oliver Twist ou David Copperfield de Dickens. Hector Malot est un conteur captivant. Comme chez Dickens, il ne s'agit pas d'un récit mièvre et déconnecté de la réalité. Dickens explore les bas-fonds londoniens et Hector Malot la misère dans les campagnes françaises qui pousse des hommes et des femmes à vendre leur enfant à des saltimbanques tels le signor Vitalis car ils ne peuvent plus le nourrir ni se nourrir eux-mêmes.

Hector Malot m'apparaît comme un humaniste. Il incite le lecteur à garder foi en la bonté humaine et en la possible amélioration de son sort, malgré les rudes épreuves de la vie.

Il a aussi écrit En famille où le personnage principal est une jeune orpheline nommée Perrine qui découvre les conditions de vie des ouvriers dans le Nord de la France.

Je remercie mcd30 qui, par sa critique m'a donné envie de lire enfin le roman d'Hector Malot ainsi que aouatef79 pour nos échanges intéressants durant ma lecture.

Ce roman m'attendait depuis environ dix-huit ans sur une étagère de ma bibliothèque. Je me l'étais procuré au moment de l'adaptation en série pour la télévision. Je trouve que les adaptations sont en général peu fidèles au livre, en dehors du dessin animé japonais. En lisant le livre j'ai presque eu l'impression de le revoir. Sans famille sans Mattia, Dolce, Zerbino, les mineurs de fond, les enfants abandonnés qui meurent de faim, ce n'est plus vraiment Sans famille mais une autre histoire, fade et mièvre, qui a perdu la force, l'intensité dramatique de l'original.

Sans famille d'Hector Malot, c'est l'école de la vie et l'histoire d'un petit garçon qui devient précocement un jeune homme courageux, apte à se débrouiller et aider les autres. Il traverse de rudes épreuves mais découvre aussi la liberté grâce au voyage qu'il effectue dans toute la France, d'abord avec Vitalis puis seul et ensuite avec Mattia qu'il considère comme un frère. Un beau et émouvant roman d'apprentissage.
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Ma grand-mère nous a lu Sans famille quand nous étions enfants, ma soeur et moi. Nous étions blotties près d'elle sur un canapé en velours vieux rose. Elle s'arrêtait souvent et faisait une pause pour que nous épongions nos larmes!! Elle nous donnait alors , en guise de réconfort, un bonbon à la cerise dont je retrouve le goût dans ma bouche dès que je relis, dans l'édition "Hetzel" illustrée de gravures, que j'ai conservée, mes pages préférées.

J'y reviens souvent: c'est un de mes talismans d'enfance. Mon premier grand choc littéraire.

J'en ai contracté une passion immodérée pour les chiens, de préférence abandonnés, éclopés, malins et cabochards- à cause de Dolce, Zerbino, et surtout de Capi, mon héros - , une sainte horreur des spectacles de bêtes - mais un grand amour pour les singes, si j'avais eu un Joli-Coeur à câliner, le roi n'aurait pas été mon cousin!-, et une grande tendresse pour l'Italie et les Italiens- à cause du vieux Vitalis.

L'histoire a tout du mélodrame réaliste: Rémi, un enfant de l'assistance, placé chez de braves gens, doit les quitter contre son gré et suivre sur les routes un vieux montreur d'animaux italien, Vitalis, qui l'a acheté à sa nourrice. L'enfant s'attache au saltimbanque et à ses bêtes...Mais la vie sur les routes est sans pitié et il lui faudra s'arracher à cette famille-là une fois encore... Il ira dans les mines , dans l'enfer souterrain des puits de charbon...

Quelques années avant Germinal, Hector Malot abordait déjà le travail dans la mine, et l'exploitation terrible des enfants, si petits qu'on pouvait les faire passer dans les moindres boyaux. Il consacre tout son livre à l'enfance malmenée, en particulier à ces enfants de l'assistance qu'aucun droit ne défendait, qu'on vendait, achetait, et battait en toute impunité.

C'était malgré tout un livre destiné à la jeunesse : il est plein de nobles sentiments, très "pédagogique" mais il s'attache à décrire au plus près la rudesse des temps, impitoyables aux miséreux et aux enfants "sans famille", comme le petit Rémi du livre.

Moral mais démoralisant, mélo mais réaliste, Sans famille est un livre marquant.

Daté, sûrement mais comme on marque d'une pierre noire une époque sauvage et, apparemment, révolue.

Il n'y a pas si longtemps, pourtant...Il n'est que de lire Les enfants du bagne de Marie Rouanet...

L'enfance hélas reste une proie bien tendre, fragile et malléable, la victime désignée des troubles politiques ou des crises économiques.

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Préparer les mouchoirs, c'est un livre que j'ai lu toute jeune et qui m'a fait pleurer pendant des jours. Hector Malot est un excellent écrivain qui transmet très bien les émotions et nous fait nous apitoyer sur le sort de ses personnages. Combien de coups du sort ce pauvre Rémi va-t-il subir avant de connaître une fin heureuse ? Dépressifs ou hypersensibles passez votre route.
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Coup de coeur d'autant plus fort qu'il est inattendu !

En débutant la lecture de "Sans famille" d'Hector Malot, je ne pensais que combler une lacune dans ma connaissance des classiques du XIXème siècle chers à mon coeur ; je m'attendais à un roman jeunesse touchant et assez facile, mais certainement pas à une oeuvre d'une telle profondeur. J'ai été littéralement envoûtée par Rémi, le narrateur, l'enfant trouvé, l'orphelin ; un héritier dont Oliver Twist n'aurait pas eu à rougir, loin de là. D'ailleurs Charles Dickens, ce fabuleux conteur, aurait agréé le roman de son confrère, j'en suis bien persuadée.

Pour fausser mon jugement, j'avais en tête le dessin animé nippon de mon enfance et le générique qui l'accompagne et j'étais seulement convaincue de vivre un agréable moment en compagnie de joyeux saltimbanques et de chiens savants. J'ai découvert avec plaisir un récit qui va bien au-delà de cet aspect adapté de l'oeuvre. La rencontre entre Rémi et Vitalis, si elle est déterminante dans la narration, n'en est pas la finalité. C'est un véritable roman initiatique, riche et complexe, que nous offre Hector Malot et qui aborde de nombreux thèmes universels comme dans les grands romans sociaux du siècle : l'abandon, le travail et l'exploitation des enfants, la misère paysanne et urbaine, ainsi que les conditions de travail difficiles des ouvriers, notamment celles des mineurs de fond ; un récit qui explore également avec une grande justesse la large palette des sentiments humains : colère, amitié, fraternité, compassion, tristesse, joie, amour, attachement filial, peur, cruauté... ce qui ne manque pas d'ailleurs de faire naître chez le lecteur des émotions fortes, allant du rire aux larmes.

Je vous invite sincèrement à suivre Rémi sur les chemins de France, d'Angleterre et de Suisse, accompagné de Vitalis, Mattia, Joli-Coeur, Capi, Dolce et Zerbino, mais aussi de Lise et d'Arthur, ainsi que de toute une galerie de personnages hauts en couleurs. "Sans famille" se lit à la fois comme un roman d'aventures et comme un conte social ; il laisse une empreinte forte tant au coeur qu'à l'âme, et ce serait vraiment une erreur de limiter son lectorat aux seuls enfants.


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Citations et extraits (71) Voir plus Ajouter une citation
Tu as le coeur gros, continua Vitalis, je comprends cela et ne t'en veux pas. Tu peux pleurer librement si tu en as envie. Seulement tâche de sentir que ce n'est pas pour ton malheur que je t'emmène. Que serais-tu devenu? Tu aurais été très probablement à l'hospice. Les gens qui t'ont élevé ne sont pas tes père et mère. Ta maman, comme tu dis, a été bonne pour toi et tu l'aimes, tu es désolé de la quitter, tout cela est bien ; mais fais réflexion qu'elle n'aurait pas pu te garder malgré son mari. Ce mari, de son côté, n'est peut-être pas aussi dur que tu crois. Il n'a pas de quoi vivre ; il est estropié ; il ne peut plus travailler, et il calcule qu'il ne peut pas se laisser mourir de faim pour te nourrir. Comprends aujourd'hui, mon garçon, que la vie est trop souvent une bataille dans laquelle on ne fait pas ce qu'on veut.
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Causant ainsi, je m'enhardis à lui dire que ce qui m'avait le plus étonné dans cette répétition, ç'avait été l'inaltérable patience dont il avait fait preuve aussi bien avec Joli-Coeur et les chiens, qu'avec moi. Il se mit alors à sourire doucement :
- On voit bien, me dit-il, que tu n'as vécu jusqu'à ce jour qu'avec des paysans durs aux bêtes et qui croient qu'on doit conduire celles-ci le bâton toujours levé. C'est là une erreur fâcheuse : on obtient peu de choses par la brutalité, tandis qu'on obtient beaucoup pour ne pas dire tout par la douceur. Pour moi, c'est en ne me fâchant jamais contre mes bêtes que j'ai fait d'elles ce qu'elles sont. Si je les avais battues, elles seraient craintives, et la crainte paralyse l'intelligence. Au reste en me laissant aller à la colère avec elles, je ne serais pas moi-même ce que je suis, et je n'aurais pas acquis cette patience à toute épreuve qui m'a gagné ta confiance. C'est que qui instruit les autres, s'instruit soi-même. Mes chiens m'ont donné autant de leçons qu'ils en ont reçues de moi. J'ai développé leur intelligence, ils m'ont formé le caractère.
Ce que j'entendais me parut si étrange, que je me mis à rire.
- Tu trouves cela bien bizarre, n'est-ce pas, qu'un chien puisse donner des leçons à un homme? Et cependant rien n'est plus vrai. Réfléchis un peu. Admets-tu qu'un chien subisse l'influence de son maître?
- Oh! Bien sûr.
- Alors tu vas comprendre que le maître est obligé de veiller sur lui-même quand il entreprend l'éducation d'un chien. Ainsi suppose un moment qu'en instruisant Capi je me sois abandonné à l'emportement et à la colère. Qu'aura fait Capi? Il aura pris l'habitude de la colère et de l'emportement. C'est-à-dire qu'en se modelant sur mon exemple, il se sera corrompu. Le chien est presque toujours le miroir de son maître ; et qui voit l'un, voit l'autre. Montre-moi ton chien ; je te dirai qui tu es. Le brigand a pour chien, un gredin ; le voleur, un voleur ; le paysan sans intelligence, un chien grossier ; l'homme poli et affable un chien aimable.
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Le silence s'était fait dans la mine; aucun bruit ne parvenait plus jusqu'à nous; à nos pieds l'eau était immobile, sans une ride ou un murmure. La mine était pleine, comme l'avait dit le magister, et l'eau, après avoir envahi toutes les galeries depuis le plancher jusqu'au toit, nous murait dans notre prison plus solidement, plus hermétiquement qu'un mur de pierre. Ce silence lourd, impénétrable, ce silence de mort était plus effrayant , plus stupéfiant que ne l'avait été l'effroyable vacarme que nous avions entendu au moment de l'irruption des eaux; nous étions au tombeau, enterrés vifs, et trente ou quarante mètres de terre pesaient sur nos cœurs.
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Tandis que la mère Barberin battait la pâte pour nos crêpes et que Mattia cassait la bourrée, je mettais les assiettes, les fourchettes, les verres sur la table, et j'allais à la fontaine emplir la cruche d'eau.
Quand je revins, la terrine était pleine d'une belle bouillie jaunâtre, et mère Barberin frottait avec un bouchon de foin vigoureusement la poêle à frire ; dans la cheminée flambait un beau feu clair que Mattia entretenait en y mettant des branches brin à brin.
(...)
Mère Barberin mit la poêle au feu, et ayant pris un morceau de beurre au bout de son couteau, elle le fit glisser dans la poêle, où il fondit aussitôt.
"Ça sent bon, s'écria Mattia, qui se tenait le nez au-dessus du feu sans avoir peur de se brûler."
Le beurre commença à grésiller.
"Il chante, cria Mattia, oh ! il faut que je l'accompagne !"
Pour Mattia tout devait se faire en musique ; il pris son violon et doucement, en sourdine, il se mit à plaquer des accords sur la chanson de la poêle, ce qui fit rire mère Barberin aux éclats.
Mais le moment est trop solennel pour s'abandonner à une gaieté intempestive ; avec la cuiller à pot, mère Barberin a plongé dans la terrine d'où elle retire la pâte qui coule en longs fils blancs ; elle verse la pâte dans la poêle, et le beurre qui se retire devant cette blanche inondation la frange d'un cercle roux.
A mon tour je me penche en avant ; mère Barberin donne une tape sur la queue de la poêle, puis, d'un coup de main, elle fait sauter la crêpe, au grand effroi de Mattia ; mais il n'y a rien à craindre ; après avoir été faire une courte promenade en l'air dans la cheminée, la crêpe retombe dans la poêle sens-dessus-dessous, montrant sa face rissolée.
Je n'ai que le temps de prendre une assiette, et la crêpe glisse dedans.
Elle est pour Mattia, qui se brûle les doigts, les lèvres, la langue et le gosier, mais qu'importe ! Il ne pense pas à sa brûlure.
"Ah! que c'est bon !" dit-il la bouche pleine.
C'est à mon tour de tendre mon assiette et de me brûler ; mais pas plus que Mattia je ne pense à la brûlure.
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- Tu trouves cela bien bizarre, n’est-ce pas, qu’un chien puisse donner des leçons à un homme ? Et cependant rien n’est plus vrai. Réfléchis un peu. Admets-tu qu’un chien subisse l’influence de son maître.
- Oh ! bien sûr.
- Alors tu vas comprendre que le maître est obligé de veiller sur lui-même quand il entreprend l’éducation d’un chien. Ainsi suppose un moment qu’en instruisant Capi je me sois abandonné à l’emportement et à la colère. Qu’aura fait Capi ? il aura pris l’habitude de la colère et de l’emportement. C’est-à-dire qu’en se modelant sur mon exemple, il se sera corrompu. Le chien est presque toujours le miroir de son maître ; et qui voit l’un, voit l’autre. Montre-moi ton chien ; je dirai qui tu es. Le brigand a pour chien, un gredin ; le voleur, un voleur ; le paysan sans intelligence, un chien grossier ; l’homme poli et affable un chien aimable.
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Recueilli à sa naissance par Monsieur Barberin, le petit Rémi est élevé dans l'amour par sa mère adoptive jusqu'à ses 8 ans quand, pressé par des dettes, Barberin décide de le louer à Vitalis. Cet artiste ambulant devient son tuteur, et les (més)aventures peuvent commencer, de Paris à Londres en passant par les forêts pleines de neige ...
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