La narratrice est une jeune femme d'origine cubaine élevée à Miami par son grand-père. Après avoir vainement cherché le mystère de son origine, elle recevra un paquet de photographies et de lettres écrites par sa mère qui n'avait jamais quitté Cuba. Il s'avère que celle-ci avait eu une liaison passionnée – réelle ou fantasmée ? - avec
Che Guevara.
Si le portrait de la société cubaine des années 60 offre un certain intérêt, les parties de jambe en l'air avec le Che sont d'un ennui profond. Et il ne peut en être autrement : que l'on soit un grand révolutionnaire ou vulgum pecus, on s'y prend toujours de la même façon. Un livre décevant.