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EAN : 9791097594046
352 pages
Serge Safran éditeur (15/02/2018)
3.5/5   13 notes
Résumé :
Surnommée l’Œil, Jane est directrice de casting à Paris. Un été, un producteur célèbre lui confie la recherche d’une « perle rare » pour le film La Femme de dos de Telo Ruedigger, un artiste dont les œuvres défraient la chronique. Au même moment, Jane est appelée dans le sud de la France au chevet de sa mère dans le coma.
Vingt-huit ans auparavant, Les Vignettes, maison d’enfance de Jane, servait de décor au film Les Innocents d’André Téchiné. Jane découvrait... >Voir plus
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Alice Moine est chef monteuse pour la publicité et le cinéma. Pour son 2e roman, elle a choisi d'installer une intrigue à suspens au coeur de son univers professionnel. Jane, directrice de casting parisienne, doit trouver celle qui sera l'interprète principale du film de Telo Ruedigger, un photographe d'art de renommée mondiale dont personne ne connait le visage. Les oeuvres de l'artiste dégagent un grand pouvoir émotionnel et bouleversent Jane, qui croit reconnaître dans l'un des clichés de ce photographe une photo d'elle-même de dos, prise des années auparavant par son grand amour de jeunesse, disparu subitement. Dès lors commence pour Jane, en même temps que la quête de la jeune fille qui sera le visage du film, un douloureux retour sur son passé, sur ses liens difficiles avec sa mère, sur son enfance et son adolescence solitaires dans la grande villa familiale et sur un mystérieux accident qui la laissera à jamais marquée dans sa chair et dans son âme.
Un roman qui ne restera pas longtemps dans ma mémoire, mais une heureuse découverte néanmoins. Il se lit très vite et il tient ses promesses, à savoir un bon suspens et une progression captivante vers un final à la hauteur.
Harry Québert et sa vérité m'ont injecté moins d'adrénaline littéraire, c'est dire si cet ouvrage reste une bonne petite chose à déguster au coin du feu.
L'ennui vient des personnages, tracés à la grosse louche, et aux relations caricaturales qu'ils entretiennent entre eux. On ne croit pas un instant à la réconciliation mère-fille finale, après des années de banquise et un coma dont on voit mal comment il aurait pu voir se régler un passif aussi lourd juste parce que la fille a la bonne idée de parler à la mère dans son sommeil... Quand au personnage d'Etienne Barthes, on imagine mal comment cet architecte qui fut riche et comblé, dominateur et dissimulateur, craque subitement en public au point de se jeter sur une jeune fille qui le tentait presque 30 ans auparavant... (et qui en a donc 30 de plus elle aussi)...
Mais il ne faut pas bouder son plaisir, et pour quiconque cherche une bonne lecture de vacances... en voici une !
Merci à Babelio et à Masse critique pour cette découverte


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Née à Toulon en 1971, Alice Moine abandonne ses études scientifiques et bifurque vers l'audiovisuel pour le plaisir de raconter des histoires. En 2007, elle suit l'Atelier Scénario de la Femis et participe à un marathon d'écriture au Festival des Scénaristes. Alice Moine vit à Paris avec son mari et ses deux filles. Son premier roman Faits d'hiver, paru en 2015, m'avait tapé dans l'oeil et j'en disais alors le plus grand bien. Son second opus, La Femme de dos, vient de paraître.
« Jane est directrice de casting à Paris quand un producteur célèbre lui confie la recherche d'une « perle rare » pour le film La Femme de dos de Telo Ruedigger, un artiste dont les oeuvres défraient la chronique. Au même moment, Jane est appelée dans le sud de la France au chevet de sa mère dans le coma. Vingt-huit ans auparavant, Les Vignettes, maison d'enfance de Jane, servait de décor au film Les Innocents d'André Téchiné. Jane découvrait le monde du cinéma et l'amour avec Tristan, photographe de plateau, disparu en ne laissant comme trace qu'une photo d'elle marchant de dos sur une digue. La similitude avec le style de Telo Ruedigger la trouble. Lors d'un repérage près de Toulon, elle croit reconnaître en Charline, jeune employée de péage d'autoroute, la « perle rare »… »
J'avais hâte de lire le nouveau roman d'Alice Moine et le début du bouquin confirmait tout le bien que je pensais de ce jeune écrivain. Des références culturelles modernes (cinéma, musique, littérature) ancrent le roman dans le réel auxquelles viennent se greffer de discrètes piques ou réflexions sur la société. L'écriture ne manque pas d'autorité, Alice Moine conduit son récit habilement, maniant l'action et une sorte de sfumato installe lentement une série de mystères (Jane conserve les traces physiques d'un accident ancien dont elle ne garde pas le souvenir ; ses relations avec sa mère sont tendues sans qu'on sache encore pourquoi ; pourquoi Tristan a-t-il disparu ? Et cette fille, prise de dos, sur la photo…)
A ce point de ma lecture, je déplorais bien des longueurs et une tendance à l'excès comme cette propension à vouloir nous faire savoir qu'elle connait bien le monde du cinéma, des castings, de la photo… Défauts habituels chez les jeunes auteurs qui veulent donner de l'épaisseur à leur intrigue. Donc rien de vraiment grave.
Et puis… je ne sais pas ce qui s'est passé, ni à quel moment exactement du récit c'est arrivé mais le récit a dérivé. Nous étions partis pour lire un livre élégant, jouant sur l'esthétique et le flou intelligent, je me suis retrouvé à lire une lamentable histoire sentimentale, simplette et pimentée de sordide. de la Chick Lit ! Si Alice Moine cherche à se faire remarquer des producteurs de téléfilms du samedi soir pour France3, elle a toutes les chances de voir son bouquin adapté pour la télé. J'admets que ce ne soit pas un déshonneur, juste une question de choix de carrière…
Grosse déception mais il est encore temps de redresser la barre dans un prochain livre, car honnêtement je pense qu'elle a le potentiel pour faire mieux. A suivre ?
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Directrice de casting, Jane est habituée à capter d'un seul regard l'intimité que peut entretenir un visage inconnu avec le rôle d'un personnage. Lorsqu'un producteur lui demande de trouver l'interprète principale de "La Femme de dos", le film que s'apprête à réaliser Telo Ruedigger, photographe d'art, elle relève le défi sans se douter que sa recherche va remuer sa mémoire amputée. de retour à Toulon pour être près de sa mère dans le coma, les souvenirs affluent en puzzle que Jane ne parvient pas à rassembler. En juin 1987, le tournage du film "Les Innocents" par Téchiné est venu bouleverser sa vie d'adolescente délaissée. Elle n'a jamais pu oublier son seul amour, Tristan, le photographe de plateau, disparu à la fin du tournage. Comme les visages qu'elle a l'habitude de scruter, les lieux, les objets, les êtres, les évènements du présent semblent se superposer à ceux du passé. Il suffit de gratter un peu pour que rejaillissent les images cachées. Mais cela ne va pas sans douleur, ni culpabilité...
Agréable à lire, plein de rebondissements et de suspense, le roman d'Alice Moine aurait peut-être gagné, me semble-t-il, à être davantage resserré autour de ce qui, pour moi, est son point nodal : le regard et le découpage que celui-ci opère dans la réalité.
Victime d'un accident lors de ce fameux été 1987, Jane avance dans sa vie en claudiquant alors que, comme pour compenser, ses yeux ont acquis une exceptionnelle acuité. Pourtant ce regard habitué à voir au-delà des apparences, ne parvient pas à percer l'opacité de sa propre histoire. Sauf peut-être à la voir à travers le filtre d'un objectif photographique ou d'une caméra ? Qu'est-ce que les images révèlent de nous, que l'on soit photographe ou modèle, spectateur ou acteur ? Qu'est-ce qui se joue, se noue et se dénoue entre notre regard et le reflet que les photographies et les films nous livrent ? J'aurais aimé que le roman puise davantage et plus nettement dans ces interrogations, plutôt que de risquer de s'égarer dans des péripéties à la frontière du polar. Une lecture plaisante, donc, mais que j'aurais souhaitée plus stimulante.
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Jane, alias l'Oeil, alias Mademoiselle H, qui a une démarche légèrement claudiquante, ne vit que pour son métier de casteuse. le casting sauvage, c'est son art, comme un chasseur, elle affûte à la sortie du métro, dans la rue, partout où il y a des passants. « Transparente dans la cohue et le vacarme, elle dévisageait les inconnus ». Elle ne vit que pour son agence qu'elle tient à bout de bras, je devrais plutôt dire à bout d'oeil, avec l'aide de Nicolas, grosse fashion victim. D'ailleurs, elle habite un loft juste au-dessus de ses bureaux. La lutte est rude avec les agences étrangères qui proposent leur catalogue à des prix au rabais.
Lorsqu'un producteur lui propose de trouver la perle rare qui serait la vedette du film « La femme de dos », film de Telo Ruedigger, photographe d'art de renommée mondiale Ce ne doit pas être quelqu'un de connu. Une grosse commande.
Sonnerie du portable Souad Chad, la personne qui vit et s'occupe de sa mère « AVC, réanimation, coma… C'est très grave. Ils peuvent pas encore se prononcer. Magda est en soins intensifs… Tu dois venir, ils veulent parler à un proche. » Voici Jane de retour dans le sud, le sud de son enfance, son adolescence, la maison familiale où je sens un lourd contentieux entre la fille et la mère.
L'Oeil va devoir gérer les deux choses de front, chacune ayant son urgence, l'une plus primordiale que l'autre pour Jane, surtout lorsqu'elle aperçoit Charline qui, pour elle, EST La femme de dos. Elle fera tout pour entrer en contact. Elles feront connaissance, Jane voudrait tellement qu'elle accepter le tournage, mais bon, le frère n'est absolument pas d'accord car il a besoin de sa soeur pour son petit trafic.
.
Les souvenirs sont de retour à la villa « Les Vignettes » demeure familiale, où un film de Téchiné fut tourné et où, à seize ans, elle connut l'amour. Les souvenirs, car elle fouille son ancienne chambre, raconte à sa mère, sur la demande des soignants. Tous ces souvenirs la perturbent, des bribes lui reviennent dont son histoire d'amour avec le photographe de plateau, Tristan, qui a disparu du jour au lendemain. Pourquoi n'y aurait-il pas un lien entre Tristan et Ruedigger… Ne peuvent-ils être la seule et même personne ? Cela expliquerait la disparition de Tristan.
Son séjour à Toulon auprès de sa mère sera un instant de recherches. Recherches pour l'incarnation du personnage du film, recherches pour retrouver un passé qui lui échappe. Parler à sa mère dans le coma de ce passé, permettra t-il à mettre un terme à leurs contentieux très profond ?
Une multitude de personnages s'entrecroisent. Alice Moine m'a tenu en curiosité de la suite, même si certains personnages sont un peu trop caricaturaux, mais nous sommes à Toulon !
J'aurais peut-être aimé que le roman se resserre sur les trois femmes de la villa « Les Vignettes », la mère, la fille et Souad, la présence souvent silencieuse… Mais c'eût été un autre livre, une autre histoire.
Une lecture divertissante, agréable, entre romance et énigmes. Alice Moine a su me perdre avec de fausses pistes, me surprendre par des pirouettes avec son écriture efficace, maîtrisée, très visuelle aux dialogues fort bien ficelés.

Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Jane, une parisienne casteuse à l'oeil aiguisé doit mettre entre parenthèses
une recherche qui la passionne : trouver une actrice pour une sorte de JR de la photo qui va réaliser un film dont personne ne sait rien, elle a pour presque seul élément une photo d'une jeune femme de dos... un cliché ressemblant beaucoup aux trois clichés que son premier amant, le photographe de plateau sur le film tourné dans la maison familiale à Toulon, avait pris d'elle alors qu'elle avait 16 ans, avant qu'elle ne soit victime d'un accident que sa mère nie, avant qu'elle ne quitte sa ville pour ne plus y revenir.
Mais sa mère, une créature froide à qui elle n'a jamais pu se confier, est hospitalisée, inconsciente, Jane doit être présente et elle revient dans la maison de son enfance. Mais pas question de renoncer à sa quête de la perle rare, un visage nouveau et différent qu'elle croit avoir trouvé lorsque le hasard lui fait rencontrer Charline, une employée de péage autoroutier au caractère bien trempé mais un ange qui protège sa mère brisée par son patron.
Voilà pour la mise en place de l'histoire, celle qui m'a le plus intéressée, le fait que l'auteure soit une professionnelle du cinéma apporte une crédibilité aux détails du travail d'une directrice de casting ou du photographe sur un plateau. Mais au fur et à mesure de ma lecture, je trouvais que les choses se dispersaient, que l'histoire avait de moins en moins de force. Je n'arrivais vraiment pas à m'intéresser à l'histoire ancienne l'héroïne qui se dévoile petit à petit, au lien qu'elle croit exister entre cette parenthèse amoureuse vécue ado et le projet du mystérieux photographe. Je ne sais pas à quoi attribuer cette sensation : à l'écriture qui agréable mais qui n'a rien de marquant, à la narration qui perd un peu son intérêt, à mon sens, ou simplement à moi sans vraiment de raison...
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
« Quelle poisse » pensa Jane, elle était tombée sur la seule midinette qui ne rêvait pas de gloire alors que la plupart du temps, elle devait ruser pour se dépêtrer des assaillants. C’en était parfois risible, ce pouvoir soudain dont l’a ublaient les candidats au succès. Lors d’une avant-première, une fille coiffée d’un Stetson l’avait si longuement accaparée que n’y tenant plus, Jane avait poussé la porte des toilettes pendant que la fille continuait d’égrainer son CV à travers la cloison. Dans ces moments-là, Jane adorait leur audace. Ce harcèlement, c’était du désir à l’état pur, un mélange de passion et de naïveté, quelque chose d’aussi magique que les rêves d’enfant. Car il en fallait du désir pour se démarquer du lot et se faire un nom. Combien étaient-ils à s’y essayer ? Dix mille peut-être, mais peu d’élus. Les autres vivoteraient, leurs difficultés ne feraient que croître avec le temps. Un soir sur le trottoir, on croise un type au teint gris et on se retourne sur son passage.Est-ce bien lui, n’a-t-on pas rêvé ? Il se retourne et nous salue. Oui c’est bien lui, ce comédien sur lequel on avait tant parié. À l’époque, c’était le nouvel espoir et puis un beau jour, plus rien, on est passé à autre chose sans même remarquer son absence. Il nous parle de sa reconversion, de ses rénovations d’appartements, à propos il a refait le penthouse d’un producteur le mois dernier. Il va bien, oui merci, malgré un divorce fracassant et des mômes qu’il ne voit pas souvent. On se promet de se revoir en amis, les rêves de planches non merci, c’est fini pour lui. Dans la rue on culpabilise. Où est-ce qu’on a merdé ? Est-ce qu’on aurait dû s’accrocher, bassiner les réalisateurs ou la production quand il était encore temps ? Et la scène nous revient, cette occasion ratée qui s’est jouée en sa défaveur. À la dernière minute, ils ont misé sur un autre qui depuis a fait bonne route, mais à quoi bon se faire du mal puisque avec un autre casting, le même film n’aurait peut-être pas fait autant d’entrées et le type voûté qu’on venait de croiser aurait la même mine picolette. On n’y pouvait rien si ce beau métier était injuste. On aurait beau passer des nuits à consulter la base de données, jamais on n’arriverait à réparer ce préjudice.
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Jane sentit tout son corps se raidir d’un bloc. D’ordinaire, elle savait contenir ses foutues émotions sans rien laisser paraître, ni sourire, ni tristesse, rien qu’un visage neutre qu’aucune expression ne trahissait mais cette fois-ci, le sang a ua sur ses joues dans une vague de chaleur. Par chance, Brice abrégea la conversation d’un « On se reparle plus tard » et raccrocha. Jane resta là sans bouger. Ce que Jane avait sous les yeux l’empêchait d’agir. Le temps s’écoula ainsi jusqu’à ce qu’elle s’empare de son portefeuille pour en extraire la photo dont elle ne se séparait jamais. Ses yeux vacillèrent, parcourant la courte distance de l’écran au cliché, aller puis retour, jusqu’à ce que prise de panique elle sorte au grand air. Elle courut jusqu’à la rambarde au bout du jardin, gravit les marches de la gloriette et là, face à la mer, prit une profonde respiration.
Se calmer.
Sur le tirage aux coins abîmés qu’elle tenait dans sa main, la ligne d’horizon disparaissait dans la brume qui ne s’était pas levée ce jour-là. Parcourant la digue de béton, Jane avançait, tête baissée, nue sous sa tunique pourpre qui ottait dans la brise marine. La vibration du portable la ramena au présent.
Désormais, Jane savait que ce souvenir porterait un nom : lafemmededos.pdf
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Les visuels se répondaient les uns aux autres, la découverte du suivant éclairant le précédent d’un jour nouveau. Une construction de juxtapositions fortes de leur pouvoir d’alliance narrative dans les plus pures règles du montage cinématographique où le lecteur cheminait au gré de sa propre interprétation. Toujours est-il que Jane fut d’emblée subjuguée par le pouvoir hypnotique de ces images. C’était en elles que résidait toute la force de Telo Ruedigger. Sa patte rendait son œuvre unique, et son récit, bien que perdu dans la cacophonie de millions d’autres, résonnait en chacun comme un souvenir personnel.
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Nicolas n’avait jamais mis les pieds dans la ville où se trouvait Jane. Comme beaucoup de ses relations, il ne s’aventurait en région PACA que pour certains événements culturels comme le festival de Cannes, la mode à Hyères ou Arles pour la photo. Par deux fois, il y avait embarqué pour la Corse mais ne gardait de Toulon qu’un souvenir de zones portuaires et de bateaux militaires.
En attendant, il se prépara un thé et observa par la fenêtre les embouteillages du carrefour. Un bip l’attira. Sur l’écran s’afficha une image rafistolée comme un puzzle. Malgré la laideur de son déguisement, la fille entourée d’un trait de marqueur rouge semblait intéressante mais qu’est-ce que Jane pouvait bien espérer de ce collage malmené ? C’était ça sa trouvaille ? On aurait plutôt dit l’œuvre d’un fou.
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