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3,73

sur 8343 notes
Les yeux jaunes des crocodiles m'avait plus mais avec cette suite j'avais peur d'être déçue. Il m'a donc fallu du temps pour me lancer dans cette lecture.
Et chose incroyable : j'ai tellement adoré que je peux affirmée que je préfère ce deuxième tome au premier.
On y retrouve l'humour et l'écriture fluide de Katherine Pancol et les personnages sont attachants (J'adore Joséphine et le couple Marcel-Josiane).
Les rebondissements se succèdent et j'étais sans cesse surprise de la tournure que prenait le roman car je ne m'attendais jamais aux événements qui survenaient. Je n'en dirais pas plus pour ne pas dévoiler l'intrigue mais je recommande vraiment ce livre.
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Je viens de poser le livre et je me retrouve toute tourne-boulée. Je ne sais plus.
Au début du livre, je me disais ouais bof, j'ai pas trop envie de continuer. Mais je n'arrivais pas à arrêter de tourner les pages.
Et maintenant, maintenant, j'ai bien aimé. Même si Joséphine me tape sur le système, qu'on a envie de la secouer, de lui mettre un bonne gifle en lui disant que non, elle n'est pas nulle !!!!
Je crois, en fait je suis sûre que le côté polars du livre l'a sauvé à mes yeux.
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En débutant ce commentaire, je ressens le besoin - stupide et vaniteux- de me justifier d'avoir lu et apprécié ce livre, entre les lectures plus exigeantes d'A rebours, de Huysmans, et des Mémoires d'Hadrien, de Yourcenar.
Après avoir revendiqué ce profil de lecteur cultivé s'égarant, le temps de quelques plages et à son corps défendant, sur les dunes aux bikinis affriolants de la chick-lit, j'aurais pu conclure d'un ton condescendant : ah tiens, c'est donc de cela qu'il s'agit ? Oui, finalement ça se laisse lire...
Mais non ! Réflexion faite, il sera plus vendeur sur les plages cet été d'assumer pleinement ma part de féminité, mon profil de mec sensible capable de se glisser -le temps de quelques pages héhé...- dans la peau de Joséphine.
Oui, c'est avec plaisir -le même que j'avais eu lors de mes lectures de Marc Lévy et Anna Gavalda-, et sans trop me poser de questions sur la facilité de signes du destin à la chronologie idéale, que j'ai suivi les péripéties rocambolesques de ces portraits de femmes.
Non, non ! je ne les ai pas trouvés stéréotypés, mais souvent amusants et toujours attachants.
Leurs amours, leurs histoires de famille, m'auraient sans doute lassé, faute d'un érotisme masculin à la Malko Linge allant au delà du mythique baiser de dinde farcie aux pruneaux avec la poignée du four dans le dos -mmmmmmm...- s'il n'y avait eu l'enquête policière pour relancer l'intrigue - admettons le- haletante et bien construite.
Les évocations à la fois caustiques et lucides d'un milieu bourgeois arriviste par Katherine Pancol me semblent pleines d'intelligence. Comme quoi on peut travailler à Paris Match ou dans la mode, répondre aux travers du consommateur, sans perdre son esprit critique.
Bref, je ne lirai sûrement pas la trilogie, mais j'ai passé un bon moment de lecture, en compagnie d'une auteure au style vif et entrainant. Il ne me reste donc plus qu'à lire au moins un des Cinquante nuances de Grey pour m'assurer quelque complicité bienveillante en compagnie féminine légère... réservant en d'autres lieux et moments les dissertations sur Hadrien et Des Esseintes... les deux -la légéreté et la dissertation- n'étant pas incompatibles bien sûr... au masculin comme au féminin...
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Dans cette trilogie qui aurait fait blêmir les réalisateurs de Dallas, Katerine Pancol fait place à une saga familiale digne de ce nom. Les ingrédients de la faste série américaine ont été repris avec brio, du titre, accrocheur et intrigant, aux personnages tous plus clichés les uns que les autres, le grandiose, le luxe et la volupté réunis dans un trois-en-un très réussi ! le lecteur sera séduit par l'écriture simple, les descriptions romantiques et les métaphores faciles. le style, lui, n'en est pas moins séduisant, ménageant un suspens qui va crescendo, changeant de scène à tout va au moment opportun, sautant d'une focalisation à l'autre et donnant aux détails une signification nouvelle en les éclairant d'un nouveau rebondissement.
Pas de la grande littérature, non, malgré le niveau d'études très supérieur de notre auteur ; à mi-chemin entre un Marc Lévy star de l'ésotérisme manichéen et une Anna Gavalda à la tranche de vie franche et joyeuse, La Valse lente des tortues est un morceau charmant d'une trilogie comme on les aime : populaire et, même, populiste par certains côtés, elle plonge Monsieur et, surtout, Madame Tout-le-monde au coeur d'un monde qu'elle ne connaîtra jamais : celui des strass et des paillettes et lui fait savoir avec dédain que, là-haut aussi, la vie est dure… de là à critiquer fiévreusement Katherine Pancol, n'exagérons pas et reconnaissons-lui ce talent immense de savoir s'adresser à nos coeurs en frôlant nos humeurs dans un souffle doux et envoûtant.
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La couverture et le titre du livre sont accrocheurs, cela m'avait attiré.
Malheureusement l'histoire n'a pas répondu à mes attentes, les intrigues ne sont pas passionnantes à mon goût . ne m'a pas plu. et la description est trop superficielle. L'histoire et le style m'ont ennuyé, et j'en suis désolé.
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une tranche de vie, écriture légère, personnages graves, loufoques, une histoire en "mouvements".
Mais le livre de K.Pancol que j'ai préféré, c'est : Et monter lentement dans un immense amour
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ah la la quel bonheur ça a été de tous les retrouver…. qui ? les personnages des yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol ! elle et ses titres complètement improbables et attirants pour moi !! lol ce coup ci c'est la valse lente des tortues…  C'est Jo, Joséphine que j'ai eu bien évidemment le plus de plaisir à retrouver…. elle et ses qualités dont elle ignore tout, elle et ses manques, ses faiblesses, ses hésitations, sa vie si chaotique et si belle à la fois, son chemin de vie qui va vers un éveil….
ce que j'aime dans les écrits de Katherine Pancol, c'est que cela parait tout simple, la vie…. mais qu'il y a énormément de bon sens dans ce qu'elle dit, honnêtement moi je m'y retrouve pratiquement tout le temps…. il y a aussi énormément d'humour ! un humour simple, fin, délicieux…. et puis ses personnages sont attachants (enfin presque tous lol)
et puis l'air de rien…. y a du suspens !! oui oui !
et là l'amateur de thriller que je suis, en a eu aussi un peu pour son compte !! délicieuse surprise.
en plus, les aventures de ses personnages se passe en partie à Londres que je connais depuis peu, mais dont je suis tombée follement amoureuse ! alors forcément, ça me plait…
bref que dire ? j'aime, j'aime, j'aime, j'adore !!!
et à peine terminé celui-ci que j'ai enchainé avec la suite « Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi ». Un titre pareil est fait pour moi…. mdr ceux qui me connaissent ne peuvent que le comprendre !!! lol
et …. et bien me revoilà partie pour de belles aventures…. je suis triste, moi, à l'idée que ce volume est le dernier de la saga… mais bon, pour l'instant j'ai quelques heures de lecture plaisir devant moi et ça me va !!
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Ce que j'aime vraiment dans ce livre c'est la description des personnages qui est tres profonde. On connait leur emotions, leur ressenti et avec le point de vue de chacun, on ne reste pas focalise a travers ce que voit un unique personnage. Cela permet de mieux comprendre leur reactions et de ne pas les juger trop vite. Je trouve que l'enquete sur les differents meutres amene un peu de piment qui fait du bien !
Seul petit bemol, comme le premier tome, il est trop long a mon gout et parfois l'auteur imagine des choses peut etre un peu trop "surnaturel".
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La valse lente des tortues de Katherine Pancol, Albin Michel
Où l'on retrouve ceux qu'on avait laissés face aux Yeux jaunes de crocodiles. Joséphine qui vit désormais dans les beaux quartiers et dont la relation avec Luca se délite. Hortense, à Londres, avec Gary, Josiane et Marcel en heureux parents maraboutés, la belle Iris qui n'est plus rien, et puis Philippe... Ah Philippe!!! Et puis il y a les nouveaux... et cette série de meurtres horribles qui vient bouleverser la vie de tous les personnages.
On m'avait dit, fais attention, le second tome est moins bien que le premier, et pourtant tous les matins, je partais avec mon gros pavé évitant les collègues dans le RER pour pouvoir lire ma dose quotidienne.
Parce que valser avec les tortues, ça fait rêver. Je suis tombée amoureuse de Philippe avec Joséphine (un baiser à l'armagnac, j'en rêve, alors que l'armagnac j'aime pas!), je suis tombée amoureuse de Gary et aurait découpé en petits morceaux les photos du "vieux pou", j'ai même aimé Marcel Junior dont l'histoire était tout de même débile! Parce que valser avec les tortues, ça fait palpiter. J'ai eu peur De Luca dont j'avais percé le secret avec l'aide de la Bassonière, j'ai eu peur des RV, et j'ai pleuré pour Iris. Même les personnages honnis dans le tome précédent m'ont bouleversée, surtout Hortense.
Dernière page refermée, je garde encore un peu dans mon coeur ces personnages et me bouscule pour enchaîner sur un autre livre!
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Qu'un crocodile aux yeux jaunes ait ou non dévoré son mari Antoine, disparu au Kenya, Joséphine s'en moque désormais. Elle a quitté Courbevoie pour un immeuble huppé de Passy, grâce à l'argent de son best seller, celui que sa soeur Iris avait tenté de s'attribuer, payant cruellement son imposture dans une clinique pour dépressifs. Libre, toujours timide et insatisfaite, attentive cependant à la comédie cocasse, étrange et parfois hostile que lui offrent ses nouveaux voisins, Joséphine semble à la recherche de ce grand amour qui ne vient pas. Elle veille sur sa fille Zoé, adolescente attachante et tourmentée et observe les succès de son ambitieuse aînée Hortense, qui se lance à Londres dans une carrière de styliste à la mode.
Joséphine ignore tout de la violence du monde, jusqu'au jour où une série de meurtres vient détruire la sérénité bourgeoise de son quartier. Elle-même, prise pour une autre sans doute, échappe de peu à une agression. La présence de Philippe, son beau-frère, qui l'aime et la désire, peut lui faire oublier ces horreurs. Impossible d'oublier ce baiser, le soir du réveillon de Noël, qui l'a chavirée. le bonheur est en vue, à condition d'éliminer l'inquiétant Lefloc-Pinel, son voisin d'immeuble, un élégant banquier dont le charme cache bien trop de turpitudes.
Autour de l'irrésistible et discrète Joséphine, gravite une fois encore tout un monde de séducteurs, de salauds, de tricheurs et autant d'êtres bons et généreux. Comme dans la vie.
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