Un homme à distance

Ce roman de Katherine Pancol a été publié en 2002. C'est une histoire épistolaire, présentant la relation entre une libraire et son client. Ce qui m'a beaucoup fait penser à 84 Charing Cross Road. C'est aussi une bonne lecture pour qui a aimé Quand souffle le vent du nord ou encore le cercle littéraires des amateurs d'épluchures de patates. Ces romans épistolaires ont d'ailleurs tous l'avantage de se lire très rapidement !

Ainsi Pancol, que j'avais connu avec sa trilogie débutant par Les yeux jaunes des crocodiles nous offre ici un roman beaucoup plus intimiste. On y découvre aussi son amour de la littérature, puisque par la bouche des ses personnages, elle nous parle de livres et d'auteurs, de Madame de Lafayette jusqu'à Stefan Zweig. Et on fini par se reconnaître un peu dans l'affection presque charnel que porte Kay aux romans...

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Pour mon examen de Français du sixième année à l'école secondaire, mon professeur m'a donné le devoir de choisir une livre, la lire et d'écrire un compte rendu, que vous pouviez lire dedans.

J'ai choisi le livre ‘Un homme à distance' parce que la petite texte au verso du livre me semble très intéressant. Et bon, je ne le va pas nier, la longueur du livre est très agréable.

Parce que mon Français n'est pas très bon, c'était un peu difficile parfois de comprendre tout. En général la langue n'était pas très difficile et l'utilisation du forme en lettre (qu'est court la plupart du temps) a aidé beaucoup pour comprendre l'histoire. Je l'ai lu en 7 heures au maximum (qu'est spéciale pour moi avec des livres Françaises !).

Le sujet du livre était très bon. Je suis une jeune fille et bien sûr j'aime les histoires romantiques ! Ajouter un peu de drame et voilà ! Tout est bon.

Je ne veux pas dévoiler trop de l'histoire, mais je dois dire que j'étais un peu étonné par la fin d'histoire. D'abord j'ai eu un peu de problèmes de comprendre parce que je me ne souviens pas qui était ‘David' et je va être honnête je me ne souviens pas encore.

En général je pense que c'était un bon livre et très relaxante.
Sarah B

Un roman épistolaire, à lire d'un coup.Emouvant.Magique. Signature reconnaissable de Pancol.

J'ai aimé cette relation épistolaire et l'échange autour de la lecture, Katherine PANCOL m'a étonnée avec le dénouement

Lu d'une traite. Pris d'affection pour cette libraire, même si l'histoire reste bateau.

C'est fou comme Katherine Pancol avait le physique pour écrire La valse lente des tortues (je croyais que Les yeux jaunes des crocodiles était une heureuse erreur), et comme elle ne l'a pas du tout pour Un homme à distance. La malheureuse erreur était peut-être La valse lente des tortues finalement? Comment ça je juge sur le physique? Bref... J'ai du mal à trouver mes mots. La quatrième de couverture décrit parfaitement l'histoire de toutes façons. Elle raconte que sous les cicatrisations du temps gisent des sentiments équivoques qui se débattent pour trouver une issue, et que cette issue se trouve parfois dans l'affrontement des douleurs passées. Alleluia. J'ai beaucoup aimé (Katherine je vais finir par croire que tu n'as pas la tête de l'emploi).
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Kay est libraire et doit trouver une série de livres pour Jonathan. Elle n'a jamais vu cet homme qui parcourt la France pour écrire un guide touristique. La correspondance dévie peu à peu du professionnel au personnel. Comment Kay va-t-elle se livrer à cet homme? Comment Jonathan va-t-il lui donner suffisamment confiance pour cela ?

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Au début, j'ai vraiment bien accrochée à l'histoire, je me suis vite plongée dedans. Puis au fur et à mesure j'y ai trouvé quelques longueurs, rien de bien méchant, mais j'avoue que parfois je sautais quelques lignes ! Puis sur la fin,...
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