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4,07

sur 381 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
De cet auteur je n'avais lu que Dévoreur. Cette lecture avait été suffisante pour me donner envie d'en découvrir plus sur l'univers de l'auteur, sur ce lien entre l'homme et les astres abordé dans sa nouvelle. Manesh s'inscrivant comme le premier tome de la série « le sentier des astres », cela me semblait comme une évidence. Qui plus est, ce roman de Fantasy a reçu le prix des Imaginales 2015, il fallait donc que je le découvre !

Cette lecture m'a enchantée. Je ne m'attendais pas à découvrir en Stefan Platteau un si merveilleux conteur que je place sans hésiter aux côtés de Patrick Rothfuss. Que j'aime ces romans où les personnages se racontent ! Et ici comble du bonheur, nous suivons deux récits qui s'entrecroisent. Nous avons le dit de Fintan Calathynn, le barde embarqué sur une des deux gabarres lancées dans une expédition vers le Grand Nord. Fintan tient un journal de bord que nous découvrons. Et celui de Manesh notre héros, qui au début de ce roman vient d'être repêché alors qu'il était blessé et inconscient, dérivant sur le fleuve glacé, accroché à du bois flotté.

Fintan va soigner Manesh, et dès que celui-ci ira mieux, il aura pour mission de le faire parler. D'où vient-il ? Que lui est-il arrivé ? Où sont ses compagnons ? Car dans ces contrées on ne peut espérer survivre seul. Mais Manesh n'ira jamais droit au but, il va choisir de se raconter, en commençant par le tout début : sa venue au monde de bâtard du dieu Errant, un dieu solaire. Puis son enfance, son adolescence mais aussi sa vie de jeune adulte qui n'aura rien de banal. En bon orateur il saura tenir Fintan en haleine, accro à son récit tout comme Stefan Platteau vis-à-vis de son lecteur.

Deux récits qui cheminent lentement, au fil de l'eau, au même rythme que cette expédition dont le but reste bien mystérieux. On pressent tout juste une volonté guerrière derrière celle-ci, mais elle ne se dévoilera que par petites touches dans les dires de Fintan ou lors des événements qui se dérouleront à la fin du volume, lorsque les deux récits se rejoindront.

Deux récits enchanteurs et hypnotisants qui captivent le lecteur sans jamais le lâcher. Deux récits dont il faut se délecter calmement, sans précipitation. C'est la première fois que je mets autant de temps à lire un livre (15 jours), sans éprouver de l'irritation à ne pas avancer plus vite. Comme si les mots de l'auteur me retenaient à chaque page : sensation nouvelle et délicieuse. L'impression d'être bercée par les mythes et légendes que brassent l'auteur dans son roman. Un mélange de rites chamaniques, de cultes hindous, de mythes celtiques crée un univers à nul autre pareil.

Les mystères et les points d'interrogation s'accumulent pendant plus de 400 pages, on est en immersion complète dans ce monde, bercée comme je le disais, et tout d'un coup, sur les 50 dernières pages les révélations affluent, les réponses pleuvent sur un rythme frénétique pour finir par nous laisser sur un affreux cliffhanger des familles qui ne peut que nous forcer à vouloir découvrir la suite. Suite qui porte comme titre le prénom de la seule femme de l'expédition : Shakti, si on excepte sa fille. Toutes deux sont d'ailleurs bien mystérieuses et enjoignent elles aussi à se précipiter vers cette suite.

Une très belle plume riche et envoûtante que je vous enjoins à découvrir. Un univers mystique unique et des personnages très attachants. Bref Manesh rassemble tous les ingrédients nécessaires pour un gros coup de coeur.

Lien : https://bookenstock.blogspot..
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Ce livres est mon dernier coup de coeur en date !
J'avais rencontré l'auteur aux Imaginales, avec une amie, en Mai dernier et il nous avait bien vendu ce livre, alors je m'étais laissé tenter !

Et je ne regrette pas !
J'ai directement été happée par l'ambiance mystique de ce livre. Des paysages très celtique qui m'ont rappelé aussi bien Tolkien que Robin Hobb dans la Cité des Anciens.

On se laisse porter au fil des pages comme les personnages au fil de l'eau.
On suit deux histoires simultanées, présent et passé, chacune aussi captivante que l'autre. Des personnages très bien menés, avec juste ce qu'il faut de mystère, qui ne sont pas blanc ou noir mais quelque part entre les deux.
L'auteur a aussi dressé toute une mythologie captivante, faite de Dieu géant lunaire et solaire, entre le bien et le mal, on est servi !

Les pages se tournent vraiment toute seule, alors, malgré le pavé que représente ce livre (729 pages dans l'édition J'ai Lu) je ne peux que vous encourager à tenter l'aventure : remonter le cours du Framar et plongé dans un univers de Dieu,de géant, d'homme et autres créatures !
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Je ne sais par où commencer tant j'ai apprécié ma lecture. La première chose qu'il me vient à l'esprit, c'est la plume magnifique de Stefan Platteau. Un vocabulaire riche, un savoir indéniable, un rythme certes lent mais ô combien efficace, de l'émotion et de la poésie. On ne s'étonnera donc pas que Manesh ait reçu le prix des Imaginales 2015.

Le pays est en proie à une guerre phénoménale. Deux camps s'affrontent pour mettre leur tête favorite sur le trône. Désespéré, un groupe d'hommes décide de remonter le fleuve à la recherche du Roi-diseur afin qu'il leur vienne en aide. Mais ce devin d'un autre âge existe-t-il encore ? Lorsque Manesh est repêché hors du fleuve, dans un état critique, le Barde est chargé de l'interroger sur sa présence si loin en amont du cour d'eau. En réponse, le rescapé lui livre l'histoire de sa vie, depuis sa plus tendre enfance. Cherche-t-il à gagner du temps ? A cacher quelque chose ?

Plusieurs lecteurs ont critiqué la lenteur du récit, j'en ai personnellement beaucoup apprécié la saveur. Oui, le déroulement de l'intrigue est plutôt trainarde. Mais il y a une excellente raison à cela : Manesh ne désire pas répondre à la question que ses sauveurs lui posent à chaque réveil. Il retarde l'échéance, non seulement pour une raison obscure qui ne sera dévoilée que dans les derniers chapitres de ce premier tome, mais aussi pour tenter de se faire comprendre, voire apprécier des gens avec lesquels il voyage.

Son récit est donc conté avec beaucoup de détails, un peu à la façon de Robin Hobb. Si on apprécie l'écriture de Robin Hobb, il en ira forcément de même avec Stefan Platteau. L'histoire de Manesh se chevauche avec celle de l'instant présent, sur le fleuve. On en apprend donc autant sur son parcourt que sur les marins et leur but. Si l'histoire semble longue et sinueuse, elle n'est pourtant pas dénuée d'action. Les derniers chapitres tiennent d'ailleurs le lecteur en haleine. Et cette dernière page est un véritable supplice pour nous autres, pauvres âmes en attente du tome 2.

Voguant au gré du fleuve entre croyances, guerres, êtres mythiques et réapparition d'anciennes magies, la poésie du phrasé de Stefan Platteau m'a véritablement conquise. Vivement la suite.

Lien : http://lamagiedesmots.be/les..
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Merci ! C'est le premier mot qui me vient.
Oh! Ça fait tellement de bien de laisser un roman de cet acabit déposer sa marque brasillante dans ma bibliothèque intime, où se trouvent les oeuvres qui m'ont fascinée, transportée et façonnée. @Stefan Platteau est un barde prodigieux. Il nous emporte au long cours d'un récit profond, humaniste et substantiel. Tout ce que recherche en littérature y est, rien ne manque… Un voyage en gabarre sur un fleuve ténébreux qui révèle petit à petit les méandres d'une quête homérique et d'une intrigue complexe, dans monde en transition, un univers crédible basé sur un syncrétisme mythologique solide. Des personnages travaillés, nuancés et attachants ; une élégante écriture poétique, en délicates volutes envoûtantes. Mais quelle écriture ! Les dialogues sonnent justes, les descriptions sont vivantes et immersives, le suspense amené de façon habile et maitrisée, les ingrédients de la fantasy utilisés dans une recette inédite, originale . Bref, le charme du verbe vrai opère, je suis subjuguée !
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J'ai lu « Manesh - Les sentiers des astres » et ça a été une lecture époustouflante (je pense que c'est la première fois que j'utilise ce mot).

Ce roman est incroyable, l'écriture de Stefan Platteau est très poétique, en parfaite harmonie avec l'univers décrit et l'histoire contée.
Sur fond de mythologie, ce premier tome est une vraie pépite.

Alors que les gabares de l'équipage de Kalandûn Rana voguent sur le fleuve du Vyanthryr à la recherche du roi diseur, ils repêchent un homme au bord de la mort, Manesh, qui a l'air de cacher bien des secrets.

Ne sachant s'ils peuvent lui faire confiance, l'équipage charge Fintan le barde de faire parler Manesh, qui se présente comme « le bâtard de Marmach ». Commence alors un long récit envoûtant et onirique, assez lent certes, mais merveilleux.

Entre le monde des hommes et celui des dieux, l'histoire suit son cours, au coeur de la forêt, nous naviguons donc entre passé et présent, entre l'histoire de Manesh, sa poursuite du semeur de feu, un géant, et l'avancée des gabares sur le fleuve.

La magie est parfaitement dosée dans ce roman, qui se fond parfaitement dans le réalisme.

Enfants des fées, horde de créatures, divinité solaires et lunaires, ce roman est peuplé d'êtres extraordinaires.
Cet univers est si riche, si beau et passionnant, cette saga s'annonce pleine de surprises.

L'audio de ce roman est d'ailleurs exceptionnel, je vous conseille de le tenter, le narrateur est incroyable.

J'ai eu un beau coup de coeur pour cet univers et la plume de son créateur.
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Une magnifique découverte, et un vrai coup de coeur !

Je ne saurais pas vraiment décrire ce qui m'a touchée dans ce roman, que j'ai découvert au format audio : la lente remontée du fleuve qui accompagne la découverte d'un monde ancien et profond, les personnages que l'on apprend à connaître au fil de l'eau, cette atmosphère unique où se distillent les légendes d'un autre temps, la plume si élégante et pourtant si limpide...

Si le format audio m'a peut-être empêchée de m'arrêter sur une description ou une tournure de phrase particulièrement belle, je l'ai trouvé par contre idéal pour ce roman : la narration est très orale, et j'étais vraiment en présence du Barde, qui me contait son voyage et celui du Bâtard, avec eux sur la gabarre, voguant lentement, toujours plus au nord...

Je lirai la suite avec grand plaisir, et je vous conseille chaleureusement ce premier tome, notamment si vous êtes à la recherche d'une fantasy qui change. Mille mercis, Stefan Platteau, pour ce sublime coup de coeur !
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Un roman qui me redonne le goût de la fantasy comme je l'aime, une histoire qui vibre de légendes et nous transporte vraiment dans un univers aux multiples facettes, peuplé de créatures intrigantes et d'humains attachants. Même si, dans ce premier opus, on ne peut pas dire que la quête soit pour l'instant très originale, il n'en reste pas moins que l'univers, l'écriture, l'organisation et les rebondissements de cette histoire laissent un souvenir marquant, au point d'en faire un véritable coup de coeur !

Habituellement attirée par des récits plus toniques, j'ai été ici complétement séduite par l'inverse ! et cette langueur dans l'avancée de l'histoire a un charme hypnotique ; je suis restée collée sur ce livre comme une bernique sur son rocher, dégustant et savourant chaque moment, et je ne vous parle pas de l'écriture envoûtante, parfois crûe, mais toujours scandée de poésie et qui m'a donné suffisamment de matière pour imaginer les décors et les rives de ce fleuve et me faire frissonner la plupart du temps ...

L'histoire évolue dans la forêt mystérieuse du Vyanthryr, une expédition guerrière remonte le fleuve Framar pour rencontrer le roi-diseur, un oracle difficile à trouver et qui pourrait détenir des clefs pour mettre fin au conflit qui gronde. On suit avec intérêt ces guerriers frondeurs regroupés derrière un capitaine taciturne, on sent leur loyauté, leur motivation, même si chacun semble avoir sa part d'ombre et ses propres secrets. Leur quête les entraine souvent dans des espaces concentrés et confinés : la gabarre, la grotte, des campements de fortunes, ces huis-clos étouffant de réalisme nous immergent à leurs côtés, et je me suis souvent sentie "de la partie", retenant mon souffle par l'émotion d'une situation, et ça, c'est un grand plaisir de lectrice !

Un des personnages phares dans ce premier tome est Fintan, le barde, c'est aussi le second du capitaine Rana, il nous abreuve de son récit, il raconte en temps réel le voyage sur les gabarres, et nous berce aussi du récit de de vie de Manesh, le Bâtard de Marmach, un bougre récupéré au fil de l'eau qui dérivait vers une mort certaine. Ce dernier sera la deuxième source d'inspiration de l'auteur et notre barde ne cessera de l'interroger pour savoir ce qu'il faisait à dériver sur un tas de bois dans un territoire hostile. Son histoire est étonnante, pleine de suspens, et la nature de cet homme-solaire va bientôt déclencher de nombreuses questions et des animosités au sein de la compagnie. Qui est il vraiment ? Dans quel camp est-il ?
Le concept du récit alterne le passé et le présent, et lorsque l'un finit par rattraper l'autre, l'intrigue et les énigmes prennent une nouvelle tournure tout aussi palpitante. Les coutumes de ce monde recréé, ses multiples croyances, ses créatures fantastiques, tout cela prend corps et évoluent à travers des rebondissements et des aventures passionnantes, donnant l'impression d'une multitudes de petites histoires dans l'histoire. On n'est jamais perdu, souvent ramené sur le bon chemin, par notre barde conteur !

A ce propos, il faut signaler que l'auteur anime son récit comme un véritable conteur lui-même, il sait évoquer des ambiances, maintenir un suspens et nous faire rêver avec des légendes fabuleuses. Même si on ressent toute la complexité de cet univers chiadé où cohabitent des êtres mythologiques et des esprits torturés comme le semeur de Feu, le pâtre noir et sa horde ... L'équilibre entre la magie et le réalisme est subtil et finement maitrisé ! ça coule tout seul et ça sonne "presque" vrai !

Manesh est le premier tome de cette trilogie, et sans doute pas le dernier pour moi, la suite étant prévue très prochainement. J'ai hâte de retrouver cette galerie de personnages dont je n'ai pas beaucoup parlé mais qui vaut son pesant d'or, et dont les dialogues riches ronronnent déjà comme une douce musique à mon oreille. Je vous laisse les découvrir !
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Un bien merveilleux périple que voilà.
C'est dense, touffu, comme les gigantesques forêts boréales au nord du Vyanthryr. Ça serpente, sinue et coule comme les eaux du fleuve que les gabarres remontent.
La narration se fait lente, en récits imbriqués à deux voix, s'attardant sur les paysages sauvages, l'atmosphère magique, la mythologie et mystique qui règnent encore à certains endroits sur cette terre, comme pour mieux nous envoûter.
L'univers mélange inspirations nordiques, hindoues, européennes de manière harmonieuse et originale, dépaysante et en même temps un brin familière.
Les personnages, en tout cas concernant les principaux, s'avèrent emplis de mystères et de secrets, peu à peu dévoilés pour Manesh, bien gardés mine de rien pour le Barde alors que la narration est à la première personne, ou pour Shakti et sa fille dont on se doute qu'elles prendront de l'importance par la suite. J'ai donc hâte de lire le second tome où on devrait en apprendre plus. J'aurais même aimé en découvrir plus sur certains personnages secondaires, tant ils sont esquissés de façon intéressante.
La quatrième de couverture évoque Robin Hobb, et il y a du vrai dedans, dans le passé de Manesh. Robert Holdstock est également cité, et là encore il y a du vrai, dans la magie, les mythes et créatures que recèlent des pans de forêts. On retrouve également un véritable côté naturaliste et contemplatif, avec ces descriptions magnifiques de paysages souvent parcourus par d'autres que les hommes, ou sauvages ou à l'abandon. La nature domine, est prépondérante.
L'écriture travaillée mais fluide se fait sensuelle/sensorielle, fait appel à tous les sens, et souvent d'une grande poésie. le récit s'avère immersif, prenant, et réserve son lot de scènes proprement saisissantes.

A croire que, comme son Barde, Stefan Platteau maîtrise la magie du Vrai-Dire. Un Envoûtement.

P.S : Les Moutons ont encore sorti un très bon livre, servi en un bel objet, mais contenant de nombreuses coquilles typographiques, qui ne gênent certes pas la lecture mais c'est dommage qu'avec une telle lecture l'ensemble ne soit pas parfait jusqu'au bout.
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Le charme a opéré... La belle plume de Stefan Platteau m'a entraîné dans les méandres inquiétants du fleuve de la sombre forêt du Vyanthryr à bord des grande et petite gabares et en compagnie d'une bande de lascars en quête d'un mystérieux roi diseur capable de les aider à mettre fin à la guerre civile qui gangrène l'Héritage. le récit suit leur dangereuse remontée du fleuve et l'histoire de leur passager miraculé repêché des eaux : Manesh.
Un premier tome remarquable, mêlant légendes et mysticisme avec brio sans jamais perdre le lecteur et en lui distillant la richesse d'un monde petit à petit au fil de l'histoire nous mettant clairement en appétit. J'ai adoré ! Les personnages contrastés, charismatiques et souvent mystérieux, l'histoire faussement paisible et réellement fascinante, le rythme lancinant, tout concourt à la réussite de ce tome d'ouverture. Je ne peux que vous recommander cette lecture, laissez vous emporter par le talent de conteur de Stefan Platteau vous ne le regretterez pas !
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Le narrateur de ce livre est un barde, et curieusement en le lisant, il nous semble écouter nous même un barde tant le récit a dans manière d'être écrite aussi bien que dans l'intrigue, les consonances que l'on pourrait attendre d'un Haut Chant.

La légère conséquence que l'on pourrait appeler un défait qu'il en découle est ce qu'on pourrait appeler une certaine froideur des émotions. On nous tisse une splendide tapisserie et si on frissonne au son des émotions, elle ne deviennent jamais notre.


Mais sinon un très grande poésie et délicatesse dans ce récit plein de lenteur sans être trainant, plein de surprise sans être décousus, plein de mystères sans être opaque.

Ce livre c'est un voyage dans un grand Nord qui n'a jamais existé mais qui pourtant évoque un connu, au milieu de légendes insaisissables, tour à tour passé et avenir.

La fin de ce livre... et bien je vous laisse découvrir, mais prévoyez quelques sous pour l'achat du second tome dans la foulée. ^^
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