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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Merlin et Prune viennent enfin de trouver leur maison. Leur home sweet home en pleine campagne. Après bien des déboires. Une ancienne ferme bâtie tout en longueur, avec beaucoup de cachet, dixit l'agent immobilier. Et beaucoup de travaux aussi! Mais qu'importe, ils sont certains que c'est celle-ci qui abritera encore de nombreuses années de bonheur. Merlin aura même son atelier de dessin. Un endroit indispensable pour l'auteur et le dessinateur de bandes dessinées, et aquarelliste animalier. Il est d'ailleurs l'auteur de la série à succès (mérité selon Merlin) "Wild Oregon" ayant pour héros un certain Jim Bear Oregon. Ce bon vieux Jim, ce conducteur de convoi stellaire, ce chatouilleux de la gâchette, ce grand joueur de poker et ce buveur de whisky traversant les déserts cosmiques de son univers déjanté, lui a été inspiré par son ancien voisin, devenu meilleur ami, presque un père spirituel, Laurent. Mais, voilà que ce dernier vient de mourir. Tout bêtement sur les marches, devant chez lui, en tenue de pyjama. Merlin, sans pour autant verser une larme, est anéanti. Brisé. Comment va-t-il maintenant faire sans lui? Sans celui qui incarnait ce bon vieux Jim ?
 
Un véritable petit bonheur sucré que ce roman... Marie-Sabine Roger déploie, une nouvelle fois, ses talents de conteuse pour nous offrir un roman absolument divin. Elle nous entraîne dans le monde de la création, plus particulièrement celui du 9ième art, où l'on fait connaissance avec Merlin, presque 68 ans, auteur et dessinateur de bandes dessinées, et de sa compagne pétillante, Prune. Un bonheur malheureusement bientôt entaché par une bien triste nouvelle. L'auteur n'a pas son pareil pour nous dépeindre une galerie de personnages haute en couleur, tellement attachante et pleine de vie, que ce soit Merlin, le dessinateur documentariste enchanteur, la pétulante Prune, le fantaisiste Oncle Robert et l'acariâtre Tante Foune (qui est d'ailleurs la seule à ne pas savoir la signification de son surnom), Genaro et Lolie, les amis sincères, sans oublier Jim Bear Oregon, le cow-boy solitaire ou encore Miss Plum (alias Prune), la tenancière du Blue Rooster. Et bien sûr les chats Chausson et Cirrhose. Un roman tout en finesse, profondément humain et d'une incroyable justesse, qui aborde avec vivacité divers thèmes tels que la mort, l'amour, l'amitié, la création mais aussi les liens qui peuvent exister entre l'auteur, son personnage et le lecteur. L'écriture, quant à elle, est riche, percutante, drôle et sincère. 
Encore un très beau roman...
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Attention, PÉPITE à côté de laquelle il convient de ne pas passer ! Si vous poursuivez votre chemin, on vous aura prévenu(e) (s) …
La lecture de ce livre m'a comblée de bonheur et je n'exagère pas. J'ai tout aimé !
1. Les personnages (les principaux et les secondaires) : Merlin, 57 ans et son amie Prune, huit de moins, viennent enfin de trouver la maison qu'ils ne souhaitaient surtout pas acheter. Loin de tout, tout à refaire. Un coup de coeur comme on dit. Mais Merlin n'est pas bricoleur. Lui, son truc, c'est le dessin, enfin, les dessins : il est dessinateur documentariste « métier en voie de disparition », précise-t-il et travaille pour La Grande Encyclopédie des oiseaux d'Europe. Il copie sans trahir le moindre détail la gorgebleue à miroir, la chouette hulotte, le guêpier : « Il faut que l'oiseau respire, et il faut qu'il s'envole ». Il est aussi l'auteur de la fameuse série de BD, Wild Oregon, sa grande oeuvre. « C'est une utopie maussade, ou une dystopie joyeuse, selon que l'on voit le verre vide ou plein… ». Quant à Prune, elle bricole, achète, revend. Ils font leur nid, tout va bien… jusqu'à ce que…
2. L'histoire (la principale et les secondaires) : c'est simple, on ne lâche pas le livre. D'abord, parce que l'on se demande comment les uns et les autres vont se sortir de leurs misères (ah, les décisions à prendre dans la vie !). Et puis, parce que l'on n'a qu'une hâte : retrouver nos personnages dans des situations irrésistibles qui m'ont fait rire mais RIRE… Et c'est rare que je rie en lisant un livre. Je souris mais je ne ris pas. Là, vraiment… J'ai ri (rigolé comme disent mes élèves !) - pauvre verbe « rire » ! Il n'en a plus pour longtemps celui-là !
3. Et j'ai pleuré aussi, enfin j'exagère, des larmes ont coulé (souvent, j'avoue) parce que ce qui est dit est si juste, si touchant, si exactement ce que je ressens, que ça m'a touchée au coeur- direct ! Bien visé !
4. Et l'invention, comment fait-on pour trouver tout cela ? Ça vient la nuit, en marchant, en faisant du vélo ? C'est ça un artiste, me répondrait Merlin, il doit « réenchanter le monde ». Bravo, Madame Roger, vous avez réussi et je vous en remercie.
5. Et l'écriture… de la prose aux vers, du roman à la pure poésie, des jeux de mots aux créations verbales les plus folles (ah, le « mortissoir à brinches » !). L'écriture m'a prise et m'a emportée. J'ai rempli mes carnets de citations, recopié de longs passages que je relirai quand j'en aurai besoin…
6. J'ai aimé aussi les réflexions de Merlin sur les rapports étroits entre le créateur et ses personnages. « Je vais mal, ils vont mal. Je vais bien, ils vont bien. Et réciproquement. C'est là que ça devient difficile à comprendre. » Les personnages envahissent l'univers de l'auteur qui leur parle, les imagine assis sur un coin du bureau ou allongés sur le lit à jouer avec le chat. Cela me rappelle Giono qui dans noé raconte à quel point il a vécu avec les personnages d'Un roi sans divertissement (à lire absolument !) si bien que, passant à un autre livre, il éprouve encore le besoin de parler d'eux.
7. Vous faites dire, Marie-Sabine, (ça y est, j'ai osé !), vous faites dire à Merlin page 215 : « Mes lecteurs ont des droits. » A-t-on le droit de vous demander, un jour, de nous reparler de Merlin et de Prune ? Parce que je sais qu'ils vont me manquer, je le sens déjà ! Et puis, finalement, Alléluia Mac Cárghtaigh et Jim, ça va l'faire ou pas, comme on dit ici ? Et l'Oncle Albert avec Edmée (il faudra quand même qu'un jour Merlin lui explique la différence entre les poissons de rivière et les poissons de mer, quitte à faire un dessin !)? Cirrhose et Chausson (le pauvre !) s'habitueront-ils l'un à l'autre ? Et surtout, SURTOUT, dites-moi, car cela m'inquiète vraiment, Bombala est-il revenu avec les pièces ou a-t-il oublié de les commander ?
8. Que vont devenir ces personnages que l'on a tant aimés ? Vousnousraconterezhein promisvousnousraconterez !

Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Bravo, je dis bravo ! Et merci ! Merci, Marie-Sabine Roger, pour cette histoire humaine, tendre, hilarante, pleine de complicité avec le lecteur, d'amitié entre les personnages, d'amour et de danse avec la mort. « Nous sommes tombés d'accord sur cette indispensable nécessité qu'il y a à mélanger les genres, faire rire dans le drame, et prendre la tangente en parlant du réel », confie le héros.

Car ici, le héros est un auteur de BD très imaginatif…en panne d'imagination après la mort de son meilleur ami. Celui-ci était non seulement son mentor, son complice pour la vie, mais aussi sa source d'inspiration : Jim, le héros qu'il a créé dans sa suite de BD « Wild Oregon », le représente trait pour trait, physique et mental. Et tous les personnages croisés par Jim, ses amis et ennemis, l'auteur les prend dans sa propre vie, évidemment, à commencer par sa compagne.
Personnages savoureux, bien croqués comme il se doit… « plus vivants et plus vrais que nos propres voisins, nos parents ou nos frères, et qui nous entrainent après eux dans leur monde. Un monde parfois si proche de notre quotidien qu'on n'aurait pas été surpris de les croiser un jour à la boulangerie ».

Marie-Sabine Roger est une auteure qui se renouvelle à chaque roman, pour notre plaisir infini.
C'est une auteure qui connait le lecteur, qui sait ce que celui-ci peut penser et ressentir.
C'est une auteure qui aime la vie.
Une vraie auteure, se servant des lieux – et des gens – communs pour mieux les détourner du code.

J'ai ressenti une véritable joie à la lecture de ce roman, un bonheur mâtiné d'affection et de crises de fou-rire.
Et je vais sans hésitation faire mienne cette phrase du narrateur-héros-auteur de BD, mettant le doigt sur « cette sensation tellement particulière du lecteur, ce doux plaisir mélancolique à refermer le livre si, par bonheur, on l'a aimé ».
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Merlin fait des Bandes Dessinées. Tout lui réussit, ses albums se vendent bien, il vient d'acheter une vieille ferme à retaper avec Prune, son amour. Son ami André est le modèle de son héros de BD, Jim Oregon.
Mais voilà, Laurent meurt soudainement, laissant Merlin en plein désarroi, d'autant que le testament qu'il lui a laissé le met bien dans l'embarras.
Ah ! Marie-Sabine Roger !
Si elle n'existait pas, il faudrait l'inventer.
Quelle sensibilité, quelle imagination, quel humour, quel talent !
A chaque roman de nouveaux personnages plus beaux, sympathiques et émouvants les uns que les autres.

On se demande où elle va les chercher, comment elle peut les rendre à chaque fois si différents, si vivants, si véridiques
Dans Les prairies étoilées, les 325 pages défilent à une vitesse vertigineuse. Outre des personnages fabuleux, la manière de penser de Merlin, traduisant des événements du quotidien en images de BD est désopilante. On rit tout en étant ému.
325 pages de bonheur pur.
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Dites, ça vous prend souvent de relire des passages, tout haut, en y mettant les intonations, les changements de voix selon les personnages, de les relire une troisième fois à votre mari ou femme, avec les gestes et tout ? Non mais, je ne suis pas encore devenu fou, me direz-vous.
Je comprends.

Et bien la folie m'a gagnée...

Vous savez que j'adore cette auteure et pas un de ses livres ne m'a jamais déçu. Avec Dans les prairies étoilées, Marie-Sabine Roger s'est vraiment lâchée !!
Beaucoup d'humour, toujours.
Des personnages très attachants, toujours.
Derrière une histoire simple, quelque chose de très réfléchi. Oui, toujours aussi.
Je ne m'en lasse pas.
Je ne voudrais pas trop dévoiler. Alors je dirai simplement que nous plongeons ici dans le monde de la BD, de la création , mais surtout au coeur de l 'esprit du créateur de héros de bande dessinée.
J'ai trouvé ça divin, très fort, très fou.

A la fin du livre, il est de bon ton de remercier sa famille, son éditeur,.. Mais Marie-Sabine Roger remercie... tous les personnages créés durant sa carrière d'écrivaine, sans lesquels sa vie serait trop calme et son bureau trop bien rangé. Quoi ? Ben si ! ils ont dû être contents, avoir un peu de gratitude. Sans eux, pas de livres. Et ils existent bel et bien puisque je les voie et les entend.
La folie, je vous dis...

Quant à moi, je remercie Madame Roger et ses livres sans qui ma vie serait plus morne et ma bibliothèque plus tristounette.
A lire, surtout en ce moment.
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une découverte absolue! Non pas de l'auteure, que j'ai toujours beaucoup appréciée, pour ses oeuvres adultes et jeunesse, mais de l'univers de la BD, genre que j'ai toujours délaissé et que je commence tout juste à aborder. le roman de Marie-Sabine Roger m'a emportée dans un monde d'imagination et d'images. C'est aussi une belle histoire d'amour: Merlin et Prune forment un couple magnifique, et tout en humour, Une histoire d'amitié, L'ami Laurent est celui qu'on aimerait avoir, éternellement ( hélas!). Mais aussi des personnages caricaturés: L'Oncle Albert, la Tante Foune, le plombier dont je tairai le surnom mais qui m'a beaucoup fait rire. Un livre qui fait du bien, un livre haut en couleurs, comme sa couverture d'ailleurs, qui est magnifique. Un très beau cadeau.
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« Avant d'aller dormir, j'ai pris le temps de me remettre le Nobel de la BD. Je ne l'avais pas reçu depuis au moins six mois. C'est un exercice très utile, au niveau de l'estime de soi. »
Dans les prairies étoilées il y a l'univers décliné en déjà plus d'une dizaine de tomes par Merlin, auteur de BD en vue. L'univers qu'il dépeint tient tout à la fois du western et de la SF, traversé par à peu près tous les autres genres, d'ailleurs. Mais attention ! « Créer une fiction, cela ne veut pas dire faire n'importe quoi. La liberté se paye au prix de l'exigence et de la cohérence. La folie doit être plausible, et le délire vraisemblable. La vie se permet bien plus de fantaisies, d'outrances et de bizarreries que ne pourra jamais se permettre un auteur, aussi cinglé soit-il. C'est ainsi et il faut l'admettre. Tout a été créé et tout a été dit. » Dans les prairies étoilées il y a aussi la vraie vie de Merlin, sa soixantaine qui approche, la fermette délabrée qu'il vient d'acheter avec son amoureuse et la mort de son plus vieil ami. Laurent est mort et il était le modèle du héros de la BD, ça déstabilise à plus d'un titre. D'autant qu'il laisse en testament des exigences sur la suite de son double de fiction…
Plus je lis Marie-Sabine Roger et plus j'apprécie sa plume et sa malice.
« Les lecteurs… Mettez une apostrophe, on entend « l'électeur ».
Ce n'est pas un simple jeu de langue, une pirouette. On est lu parce qu'on est élu. C'est le lecteur qui fait l'auteur, et pas uniquement l'inverse. »
C'est un roman qui est bâti sur cette collaboration et qui propose donc une double lecture. le ton est léger et l'humour partout, c'est joli et parfois même trop, il y a un petit risque de s'agacer. Mais c'est aussi loin d'être lisse et on peut choisir de s'attarder sur les pistes de réflexion soulevées.
Difficile de résister au sortilège, de toute façon. Lire Marie-Sabine Roger fait du bien !
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Prune et Merlin se sont éloignés de la ville pour s'installer en campagne dans une vieille maison à retaper du Sud-Ouest, mal fichue mais pleines de promesses lorsqu'ils auront pu enfin y faire tous les travaux nécessaires. C'est exactement la maison qu'ils ne voulaient justement pas acheter.
En attendant, Merlin installe son atelier, un endroit indispensable pour le dessinateur, auteur et aquarelliste animalier de talent qu'il est. Il a en particulier écrit et illustré une série de BD à succès, Wild Oregon et en est déjà au XIIIe tome.
Le couple coule des jours heureux mais la vie sait particulièrement être cruelle. Voilà que Laurent, son meilleur ami meurt subitement.
Le monde de Merlin s'écroule. Au-delà du chagrin, il ne sait pas comment se remettre à écrire car Laurent lui a inspiré le personnage de Jim Oregon, le héros de sa BD. Un personnage bien présent, donc, sorte d'ours solitaire mais très attachant, dont le seul défaut est d'être un peu porté sur la bouteille.
L'inspiration s'envole et Merlin ne sait plus comment faire vivre son héros, s'il doit poursuivre sa série ou tout arrêter...
Mais Laurent qui connaissait bien Merlin, lui a laissé un testament dans lequel il lui demande de faire en sorte que son personnage (Jim Oregon, donc) vive une intense histoire d'amour avant de disparaître...

Vous l'aurez compris, une facette du roman concerne le problème de la création artistique...et l'ingérence de la fiction dans la réalité. L'auteur s'amuse à nous faire passer d'un monde à l'autre et lorsque le personnage de la BD prend le pas sur la réalité, le roman bascule dans le loufoque...
Comme vous l'avez deviné aussi, Merlin est un enchanteur et un vrai. Il est si humain et terriblement attachant ! Sa façon de transformer sa vie en planche de BD est absolument unique.

C'est un roman drôle et tendre, dans lequel on entre comme si on rendait visite à des amis. Il n'a pourtant rien de superficiel. On y trouve de vraies réflexions sur la vie, la mort, le temps qui passe, l'amour et le couple, et l'importance de l'amitié.
On y retrouve aussi l'humanité et la bienveillance chères à l'auteur.
Lien : http://www.bulledemanou.com/..
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Marie-Sabine Roger a l'écriture qui fait mouche à chaque fois ( enfin pour moi ), tout comme dans "vivement l'avenir", "les encombrants" ou " bon rétablissement" que j'avais déjà beaucoup aimés. Elle a l'art de rendre ses personnages attachants, ils sont traités avec finesse et humanité.
Nous voici là entraînés dans le monde de la création littéraire et artistique à travers un auteur de BD qui navigue en permanence entre sa vie réelle et ses personnages fictifs, les deux mondes se mélangeant et se nourrissant mutuellement. C'est très réussi.
L'écriture est fluide, juste, sensible et créative (voir les néologismes de Prune), au vocabulaire assez riche.
Beaucoup de réflexions très pertinentes sur l'amitié, l'amour, le deuil ...
Une belle lecture, savoureuse, qui se lit d'une traite.
J'ai vraiment été charmée. En prime, la couverture est superbe !
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C'est un livre qui enchante, qui nous emporte, qui nous touche, qui nous fait rire et qui pourtant l'histoire semble simple.
Mais l'écriture est sublime, très poétique. Douce et imagée. Les émotions sont très présents, ils transparaissent, nous touchent. Sans jamais en faire trop. Mais toujours avec justesse. L'émotion nous pousse entre tristesse et joie, larme et rire. Car oui la narration est drôle. L'auteur de bandes dessinées qui parlent à ces personnages avec un second degré.
Tout comme une part de chaque personnage. Qui sont nombreux et variés avec des parcours de vie différents et pas toujours faciles. Ils sont drôles et touchants. Très attachants. Qu'on comprend et qui nous montre des bouts de vie, des regards différents.

J'ai adoré navigué avec eux. Et je replongerai avec plaisir dans un autre roman de Marie-Sabine Roger que je ne connaissais pas.
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