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Rachid Santaki (Autre)
EAN : 9782491507053
160 pages
Filatures (23/10/2020)
3.81/5   51 notes
Résumé :
« Automne 2017. Un adolescent filmait le lynchage d’un jeune, torturé, dénudé et jeté dans un canal, les auteurs ont été arrêtés quelques jours plus tard. Le corps a été retrouvé à deux cent kilomètres du lieu du tournage. Nassim, dix-sept ans, n’a pas porté de coup mais a tout filmé, a laissé ses complices tuer pour cinq cent euros… Il a été arrêté et incarcéré.
Un cap a été franchi : le lynchage a été publié sur les réseaux sociaux et très relayé par les je... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
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Roman reçu dans le cadre d'une masse critique Babelio en vue de la rencontre avec l'auteur ce jour même, lundi 26 octobre. Je découvre Rachid Santaki et ce roman documentaire. L'auteur nous accompagne dans une plongée en apnée dans la banlieue, celle dont on entend parler à la télé mais ont on n'a aucune véritable connaissance hormis celles obtenue par le prisme du Karcher de Sarkozy ou des rodomontades de son poulain Darmanin. Santaki comprend et explique sans excuser.
Il décrit avec des mots simples l'engrenage dans lequel se trouvent les personnages de son roman. La loi de la Cité. "Ces jeunes avaient les mêmes codes que les bandes d'Amérique du Sud; Pourtant nous étions en France, le pays des droits de l'homme, un pays où nous étions bien lotis" avance-t-il.
Nous assistons en direct, mais Santaki évite le voyeurisme par son style simple et sans emphase, aux événements qui conduisent trois ados d'une cité du 93 (Damien, Sofiane et Moussa) à commettre l'irréparable (le meurtre de Mathieu) en le faisant savoir car, pour eux, le buzz sur les réseaux sociaux est plus important que le contenu violent ou illégal de la scène qu'ils tournent. le plus important n'est-il pas de vivre "la vraie vie", comme dans ce titre du rappeur de Sevran, Da Uzi, qui chante "la vie est moche comme les toilettes au mitard."
"A la demande d'un bailleur social", Santaki a "mené des ateliers d'écriture" qu'ils jugeait "plutôt prometteurs à Joliot-Curie", un quartier de Saint Denis. Mais il fait part du sentiment de gâchis et d'impuissance qu'il éprouve en quittant l'établissement, face à ces jeunes sans cadre.
Rien pour ces jeunes, hormis les initiatives individuelles, comme celles d'Hamadi, un éducateur qui choisit de rester dans la cité, pour accompagner les jeunes, "pas pour plaire à son chef de service", et se trouve contraint de rejoindre une association car les services sociaux le trouve "trop proche des détenus" et lui reprochent de "ne pas mettre de costume"
Le roman de Santaki pose les questions qui font mal à tous les décideurs depuis un demi siècle en France où, malgré les politiques de la ville menées par les différents gouvernements, rien n'a changé dans la vie des "quartiers" comme on a pris l'habitude de dire !
"Cette jeunesse s'entretuait, elle vivait dans un monde virtuel basé sur l'image et, quand elle en sortait, elle explosait et plongeait dans une violence extrême."
Malgré les succès de ses ateliers d'écriture en prison, la qualité reconnue des liens qu'il tisse avec les détenus, les interrogations ne manquent pas pour Santaki, il interroge ses pratiques, ses origines et ses choix de vie différents de ceux de ses anciens compagnons de la cité. Comme l'éducateur Hamadi, il doute. Il évoque pour eux deux, le "syndrome du conflit de loyauté" et constate simplement qu'ils vieillissent. Les rappeurs politisés de leur époque (IAM, NTM) ne sont plus ceux prisés des jeunes aujourd'hui (Heus, Jul, Lacrim) tournés uniquement vers le divertissement.
L'intérêt de ce roman est de faire cheminer le lecteur au rythme de l'auteur.
Quand Santaki, avec l'aide d'Hamadi, décide de recontacter Kader, celui par qui tout est arrivé, mêmes si il n'est pas directement impliqué dans le meurtre de Mathieu, il ne sait pas comment il va traiter le sujet. C'est lorsqu'il retrouve Sofiane incarcéré à Meyzieu, un centre dans lequel il mène un atelier d'écriture que son projet murira et qu'il le livrera sous la forme du livre qu'il nous est donné de lire aujourd'hui.
Rachid Santaki est un auteur à découvrir. J'ajouterai que ce livre est selon moi un contrepoint interessant de l'ouvrage d'Erwan Duty "Une histoire des banlieues françaises" dans lequel il écrit notamment : "Les banlieues nous aident à comprendre l'ensemble de la société française, car elles en sont un condensé."
Lumineux !

Lien : https://camalonga.wordpress...
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J'aime assez le genre du récit-enquête, à mi-chemin du journalisme et de l'essai, dont l'immense Aubenas reste la référence française. Avec Laisse pas traîner ton fils, Rachid Santaki s'y essaye aussi, dans une approche bien différente.

Tout part d'un horrible fait-divers une nuit en Seine-Saint-Denis : pour une histoire mêlant racket, vengeance et appât du – petit – gain, Mathieu va subir une nuit de calvaire, enlevé, battu, torturé et enfin abandonné en rase campagne au petit matin.

Ses agresseurs ? Trois jeunes de son quartier du 93. D. le leader, M. un brin limité et S. passif inconscient, entraîné par l'effet de bande. Un meurtre ? Pas seulement. Car le lynchage a été filmé et immédiatement propagé sur les réseaux sociaux, entraînant la peur des uns et l'envie de revanche des autres.

En partant de ce fait divers survenu dans des quartiers qu'il connaît bien et avec des jeunes qu'il fréquente régulièrement, Rachid Santaki va suivre les suites du drame, de la détention des jeunes à leur procès, de leurs remords à leur mépris, de leur arrogance à leur bassesse. Et il va surtout s'attacher à suivre S., celui qui aurait pu, qui aurait dû mettre fin à tout cela ou à défaut, ne pas s'y mêler.

À travers ses rencontres et ses parloirs et sur fond régulier de références au rap français, Santaki nous redit les limites actuelles qu'offre la société contemporaine à cette génération. Rien de bien nouveau, si ce n'est que la virtualisation de ces existences, exacerbée par les jeux et les réseaux sociaux, pousse chaque jour inexorablement le degré de violence un cran plus loin. Et que les phénomènes de bandes en rajoutent une dose.

Si le propos est intéressant, la forme du livre m'aura rapidement exclu, l'auteur alternant les positionnements factuels (style journalistique) et romancés (réécriture des scènes et dialogues de fait-divers), en y ajoutant ses propres impressions, réflexions et empathies. Un cumul – certes extrêmement sincère – d'angles qui plaira à beaucoup, mais pas à moi.
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J'ai reçu ce livre pas plus tard qu'aujourd'hui, en rentrant du travail il m'attendait. (Merci aux éditions Filature(s) et à Babelio pour ce cadeau et l'occasion de rencontrer l'auteur) je l'ai commencé de suite et j'ai du mal à contenir ma rage, mon dégoût et mon impuissance. Une violence banale et inadmissible : lynchage, humiliation et meurtre sur fond de rap et de réseaux sociaux.
Je ne peux m'empêcher de faire le lien avec l'autre livre que je lis actuellement : Les couilles sur la table de Victoire Tuaillon, tout y est des codes masculinistes, l'hégémonie masculine à l'échelle des cités, ce besoin de montrer qu'on domine et tous les codes qui vont avec : drogue, alcool, rap et même la voiture. Voilà ce que coûte le pratiarcat aux hommes, à la société.
En guise d'illustration parfaite de mes propos, p.32 : "lors de son entretien, il a raconté qu'après avoir balancé le corps il avait retenu ses larmes. (un homme ne montre pas ses émotions) Il faisait partie de la famille de la rue et ne pouvait pas être un fragile. (Force et virilité mises à l'honneur, devoir se dominer, être un guerrier)" plus loin, p.35 "puis il a expliqué qu'en cité il y avait une règle - on porte ses couilles - et qu'il avait été victime de cette règle" encore plus loin, p.43 : "la prison était une sorte de passage obligé. Elle faisait de vous un homme aux yeux des autres" (le patriarcat, broie les hommes aussi, souffrance inutile pour prouver quoi ?)
Le dégoût qui s'intensifie quand je lis que les journalistes pour brouiller les cartes, pour donner aux gens ce qu'ils attendent, pour minimiser l'acte, font passer la victime pour un dealer, sans faits, sans preuves. Histoire de briser les proches un peu plus, histoire de dire aux gens biens pensants que cette violence ne les concerne pas, que ce n'est pas pour eux. Leurs enfants vont biens tant qu'ils ne toucheront pas à la drogue. Histoire de les rassurer : mais non la société n'est pas malade, ce sont ces jeunes, spécifiquement, qui le sont. Je ne suis qu'à la page 26 et j'ai le coeur au bord des lèvres, ça promet.
L'auteur nous fait part de son désarroi et de son impuissance face à ses jeunes qui ne répondent à la violence que par la violence, qui n'ont d'autres horizon que ce bout de quartier dans lequel ils ont grandis et les codes qui vont avec. Il cherche des débuts de solution, des pistes.
Il me faudra lui poser la question de sa conscience de l'influence de la société patriarcale dans cette violence des cités. Je ne suis pas sûre qu'il ait envisagé la situation sous ce prisme, ça se voit dans sa façon d'écrire et d'appréhender les choses : les marches blanches sont, de toute évidence l'apanage des femmes, des mères, douleur de femme de perdre un enfant ? Mais où sont les pères dans toutes ces histoires ?
Chaque milieu social a ses propres codes, dans les cités c'est la prison, la violence, les règlements de compte, le territoire, et l'honneur à défendre. Ne pas paraître "faible" voilà ce qui fait de vous un homme dans ce milieu là. Et non la seconde victime n'a pas été tuée par le quartier elle a été tuée par le patriarcat, par les codes masculinistes. Comparer avec d'autres zones du monde n'a pas de sens. Les codes se retrouvent partout.
Il semble dire que le rap peut engendrer de la violence, je pense qu'il ne fait que renforcer quelque chose de pré-existant, il maintient les codes, les transmet aux générations suivantes. Il est notamment question de Moha la squale, de la fascination de Sofiane pour lui. Ce rappeur qui réussit pour sa mère mais qui viole les autres femmes, tout un exemple. L'auteur souligne que la précarité intellectuelle renforce la fragilité aux réseaux, ils manquent de discernement pour tout.
Dans cette histoire sordide, Mathieu, la victime, était devenu de moindre importance dans la hiérarchie de la cité et pour son ami Kader : il avait choisi l'amour, des codes différents. Il n'était plus le profil d'homme qu'on pouvait respecter.
Vient l'histoire de Souad, la mère de Sofiane, reniée pour avoir aimé, tristement banal. Voilà comment le système brise des vies, encore et encore, ça a des répercussions sur toute la famille, sur les enfants et, sans surprise Sofiane répète le schéma.
Vient l'histoire de Moussa, issu d'un viol, sa mère battue par son beau-père, et lui aussi. Il reproduira également tous les schémas, jusqu'au viol. L'auteur fait alors une réflexion pertinente : l'Etat devrait être sur le banc des accusés, j'irai plus loin encore : toute la société. Cette réflexion m'a fait penser à celle de Karine TUIL dans "Les choses humaines"

L'auteur se prend visiblement la violence en pleine tronche, encore et encore, il en souffre, voudrait que les jeunes sortent de cette spirale mais il a du mal à identifier tous les facteurs, il est lui même le fruits de nombreux préjugés et clichés bien enracinés : chapitre 18, il en comprend pas qu'une femme puisse regretter d'avoir eu son enfant mais il suffit de réfléchir : quel bonheur en a retiré Souad ? Abandonnée par tous ceux qu'elle aimait, trahi par le père de son fils, ce dernier qui devient violent. Croit-on encore vraiment si naïvement aujourd'hui que la maternité est obligatoirement une source de bonheur ? Que rien ne peut l'estomper ?

La fin de l'ouvrage m'a un peu plus gênée, l'auteur parle beaucoup de lui, de son ressenti, je m'attendais à un autre but, il n'y a qu'à la toute fin en deux ou trois paragraphes qu'on comprend qu'il veut accuser le numérique, l'image, de rendre tout ça possible, c'est un peu flou. La violence n'était-elle pas là avant ? Pourquoi la mettre en lumière et ne rien proposer de concret ? Il me tarde de rencontrer l'auteur, j'ai beaucoup de questions :)
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J'ai été très perturbée par la lecture de cette histoire( témoignage) dont tous les acteurs sont issus des "quartiers" et je remercie vivement Babelio pour cette découverte inoubliable.
Rachid Santaki vit en plein coeur de cette violence dans laquelle il nous immerge. A partir d'un fait-divers dont la monstruosité nous pousserait à rendre une justice barbare (le coup pour coup) ,il tire les fils de l'immense toile dans laquelle chacun des protagonistes a été pris. Tout comme il l'écrit ,on finit par avoir :"de l'empathie pour l'indéfendable" .
Il a pris le parti de ne pas choisir de camp ,ni celui des victimes ,ni celui des bourreaux, mais de faire un intense travail de prospection au coeur de la société actuelle qui, par le biais de certains réseaux sociaux ,pousse les êtres perdus , fragiles ,invisibles, à exister par l'image même si celle -ci est horrible.
L'auteur tente par le biais de l'écriture de redonner un sens à la vie de certains de ces êtres perdus. C'est une oeuvre courageuse et altruiste dont il peut être fier. Très très bon livre.
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Ce livre témoignage est romancé comme le dit à plusieurs reprises l'auteur.
Pourtant, il n'en reste pas moins détaillé et suivi à la façon d'un reportage.
D'abord on entre dans l'horreur d'un lynchage.
Trois garçons ont séquestré un jeune homme de 17 ans.
Sous le regard acéré de la caméra du portable du plus jeune, il est battu encore et encore.
Son calvaire n'en finit pas et c'est le réseau social Snapchat qui s'en délecte.
Comment en vient-on à une telle horreur, un tel manque d'humanité et une telle perte d'ancrage dans la réalité ?
C'est là la mission de l'auteur : comprendre l'incompréhensible !
Les premières pages ont été particulièrement douloureuses pour moi.
Je me transfert souvent dans le roman pour mieux le vivre et l'apprécier.
Dans l'histoire de Sofiane et Mathieu, j'ai lu une des pires craintes de tout parent.
J'ai lu ce que le manque de repères, de conscience peuvent engendré de pire.
J'ai lu la crise sociétale, le malaise des banlieues, le manque de perspectives et le calvaire de milliers de jeunes.
J'ai lu comme il est facile pour un être fragile, ou fragilisé, de sombrer dans un monde parallèle où la vie, la mort, l'amour et le désespoir n'ont pas la même signification.
J'ai lu le manque de moyens et d'espoir.
« ESPOIR »
Un mot qui pour beaucoup n'as pas de résonnance.
Et puis à un moment j'ai cru lire la résilience.
Peut-être une autre conclusion était possible pour toutes celles et ceux qui sont embourbés dans ce monde ?
J'ai lu aussi l'ambivalence et parfois même la manipulation.
A trop vivre dans la fosse on peut devenir la lie de la société.

Dans ma banlieue « favorisé » on ne rencontre pas les mêmes manques.
Nous avons la chance d'avoir accès à l'éducation encadré par des moyens humains et matériel de qualité, la culture est à portée de main pour tous ceux qui le souhaite et l'espoir n'est pas un vain mot.
Les mots de l'auteur m'ont donné à réfléchir sur ma chance et me l'on fait apprécier d'autant plus que j'espère un avenir, si ce n'est glorieux, au moins sain et apaisé à mes enfants.
Les mots de Rachid Santaki m'ont conforté dans l'idée que je ne laisserai pas mes enfants sans surveillance car même dans ces conditions nous ne sommes pas à l'abri de voir nos enfants prendre un chemin sombre et tortueux.
J'ai hâte de rencontrer l'auteur pour en savoir plus sur ce quotidien que l'on ne voit que 2 à 5 minutes au journal télévisé.

Merci aux Editions Filature(s) et à Babelio pour cette découverte.
Sans eux je serai passé à côté d'un texte puissant.
Merci à Rachid Santaki pour son implication auprès des jeunes et son roman/témoignage

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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Regarde les embrouilles, ça met tout le tralala sur les réseaux sociaux, ça fait des descentes, des tirs, du boucan pour un truc sur Facebook ou Snapchat ? Non, c'est pas sérieux. Tu tues pas pour ça.
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Cette jeunesse s’entretuait, elle vivait dans un monde virtuel, basé sur l’image et, quand elle en sortait, elle explosait et plongeait dans une violence extrême.
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Madame, je vous le dis depuis tout à l'heure, c'était un grand. Dans la cité quand on a des grands, on veut leur respect, j'ai pas eu de père mais j'ai eu ces mecs, à chaque fois, c'est eux qui me donnaient la force. Je pensais que j'étais prêt à tout pour ma cité, à tout. Mais en fait, je réalise on est plus cons qu'autre chose.
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C'est dans ces moments-là que je réalise que l'écrit, la prise de parole, sont des outils indispensable pour avancer dans la société. Je voyais les gens en situation d'illettrisme comme des personnes en situation de handicap et j'avais le plaisir de les voir estomper cette invalidité grâce aux mots.
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Malgré les drames, la violence ne s'arrête pas et je me rends à une nouvelle manifestation en mémoire de Mathieu.
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