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sur 4128 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
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Au fil des pages avec Margaux ...
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Ce n'est pas le meilleur roman d'Eric Emmanuel Schmitt mais on y trouve beaucoup de fraîcheur et de bons sentiments..On y prône la tolérance et la joie de vivre !!
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Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran est le second opus du Cycle de l'Invisible d'Eric-Emmanuel Schmitt. Moïse, un jeune garçon juif délaissé par son père, va se lier d'amitié puis de parenté avec Monsieur Ibrahim, « l'Arabe » du coin. Cet épicier va alors prendre soin de Momo et tout deux finissent par quitter Paris pour une pérégrination en Orient, terre du vieil homme.

Texte simple et court qui parle lui aussi de la religion. Monsieur Ibrahim possède sa propre vision de l'Islam et du Coran, des idées qu'il va alors partager avec Momo, sans prosélytisme, simplement pour que ce dernier s'épanouisse à la vie. L'auteur nous montre ici que la spiritualité peut avoir de nombreux effets positifs à partir du moment où l'on sait également s'en détacher. J'ai justement eu du mal à accrocher à ce récit de vie, peut-être trop simpliste, mais qui reste tout de même un bel appel à la tolérance.
Lien : http://150mots.blogspot.fr/2..
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Moïse habite rue bleue à Paris dans les années 60. Comme sa mère est partie depuis longtemps, c'est lui qui fait les courses à l'épicerie arabe du quartier tenue par Monsieur Ibrahim. Ces deux-là ont des choses à se raconter…mais ils vont prendre des chemins de traverses pour apprendre à se connaître.

Le parcours initiatique de Moïse dit Momo est ensoleillé par la bienveillance et la sagesse de Monsieur Ibrahim.

Le vieil homme et l'enfant, le juif et l'arabe, la quête d'un père et de repères, ce petit conte philosophique plein de tendresse est cousu de fil blanc mais se lit avec plaisir. Et il fait du bien.
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Moïse a onze ans lorsqu'il fait vraiment connaissance avec Monsieur Ibrahim, l'épicier du coin. Il trouve en lui un ami, mais surtout une présence, lui que ses parents on abandonné...

Que Brigitte Bardot se rassure : je n'ai pas prévu de fouetter un chat après cette lecture. le fond est intéressant, avec cette démonstration que l'amitié peut aller au-delà des clivages religieux, mais la forme laisse à désirer, Schmitt a fait mieux, notamment avec La Part de l'autre (certes c'est du point de vue d'un gamin, mais quand même !). Je n'ai pas reconnu dans le texte le lyrisme du titre.
J'ai trouvé l'histoire sympa, sans plus. Touchante, sans plus.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Une nouvelle courte, attachante... A découvrir absolument...
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L'histoire d'une amitié et d'une complicité qui naît entre un jeune garçon délaissé par son père et un épicier d'une petite rue de Paris n'est pas sans rappeler une histoire très similaire déjà contée par Romain Gary.
Pour autant, on ne s'ennuie nullement à la lecture de ce court récit et le talent d'Éric-Emmanuel Schmitt permet de ne pas tomber dans l'étalage et la mièvrerie. Cependant, les bons sentiments sont une belle chose et il ne faudrait pas, par conformisme intellectuel, rejeter en bloc une histoire qui, finalement, fait un peu ressortir la bonté, même si la vraie vie est souvent moins angélique.
En tout cas, je n'ai nullement regretté la lecture de ce roman, même si ça n'est pas mon Schmitt préféré.
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En décembre 1999, Eric-Emmanuel Schmitt a mis sa plume au service de Bruno Abraham-Kremer, qui a crée, mis en scène et interprété une pièce de théâtre au nom de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran. le succès fut immédiat. de ce monologue est né un petit et passionnant roman racontant la vie de Momo à Paris.

Le livre débute ainsi "A onze ans, j'ai cassé mon cochon et je suis allé voir les putes". On est directement dans l'histoire, dans la vie de Moïse dit Momo. Il est élevé par son père, qui ne l'aime guère et qui n'arrête pas de dire que son grand frère Popol, valait mieux que lui. Il le néglige complètement. Sa mère est partie, soit disant avec son grand frère, il ne l'a connaît pas.
Son père, chaque jour, lui laisse de l'argent sur la table pour qu'il achète de quoi faire à manger le soir. Il l'accuse de voler la monnaie. Puisque c'est ainsi, il a décidé d'économiser de l'argent, surtout pour revoir les prostitués de la rue du paradis et pour cela, il va voler. Mais pas n'importe qui, l'arabe en bas de la rue, de la rue Bleue. "Après tout, ce n'est qu'un Arabe!" se dit-il. Monsieur Ibrahim le voyait bien et s'est prie de sympathie pour ce petit. Chaque jour, ils se sont mis à échanger des mots.
"Arabe, Momo, ça veut dire "ouvert de huit heures du matin jusqu'à minuit et même le dimanche" dans l'épicerie". C'est à partir de cette phrase que Momo voulu découvrir M. Ibrahim. Il lui parla de sa religion, le soufisme de son coran et de la valoir des choix que l'on fait. Chaque soir, lorsque son père va se coucher il descend discuter de la vie avec son ami l'épicier. Même lorsque son père l'abandonne, il va donner le change, jusqu'au passage de la police.

"Momo,
Excuse-moi, je suis parti. Je n'ai rien en moi pour faire un père. "

Monsieur Ibrahim va adopter Momo et lui faire découvrir ces racines. "On fera des voyages, Momo. Et cet été, on ira ensemble dans le Croissant d'Or, je te montrerai la mer, la mer unique, la mer d'où je viens." Ce voyage va lui apprendre à s'ouvrir au monde, à pardonner et à se connaître. Il va renouer avec sa mère aussi, une partie de ces racines.
Il va devenir un homme, car son père spirituel l'avait emancipé et avec son apprentissage, il va découvrir l'amour et le vrai sens de la famille. L'ensemble de l'histoire se lit avec plaisir non dissimulé, car un léger ne m'a pas quitter au fur et à mesure de ma lecture. J'ai apprécié l'échange avec une vielle dame autour de la pièce qu'elle avait adoré, elle ne savait pas qu'il existait en livre, elle va l'acheter pour son petit fils. Sans jugement, sans apriori avec une grande douceur et innocence, on s'attache à tous les personnages. Un vrai hymne à l'amour et à la tolérance.

Avec un certain émoi et un grand sourire, j'ai lu ce livre qui se complète avec le très bon souvenir de la pièce, vu il y a fort longtemps. Depuis, je ne passe plus devant l'arabe à côté de chez moi avec un grand sourire et me disant que peut-être monsieur Ibrahim est assis sur son tabouret.
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L'histoire de momo et monsieur Ibrahim... Vraiment j'ai adoré ce livre. J'ai découvert se livre en cours de français. Ce fut mon premier livre audio ( et le seul jusque maintenant) Je trouve que ca change beaucoup d'écouté à la place de lire. On s'attarde sur d'autre chose que lorsqu'on le lis nous même. En tout cas ce livre donne vraiment une belle leçon de vie.
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