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Commissaire Maigret - Romans et ... tome 92 sur 103
EAN : 9782253142218
186 pages
Le Livre de Poche (30/11/-1)
3.73/5   66 notes
Résumé :
Depuis longtemps Maigret surveillait le vieux Palmari, qu'il soupçonnait de diriger un gang de voleurs de bijoux, et sa maîtresse Aline, son seul contact avec l'extérieur depuis qu'il ait perdu l'usage de ses jambes. Et voilà que Palmari est assassiné. Maigret va s'intéresser au représentant Fernand Barillard, ami de la victime et amant d'Aline, à sa femme Mina et au vieux père sourd-muet de celle-ci, Jef Claes. Quels liens et quels conflits ont pu se nouer entre ce... >Voir plus
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Par une belle journée d'été, Maigret apprend le meurtre d'un nommé Manuel Palmari.

Palmari était un propriétaire de restaurant, ancien souteneur que Maigret soupçonné d'être mêlé à une série de vols dans des bijouteries.
L'homme, victime d'un règlement de compte, était cloué sur une chaise roulante, et vivait reclus dans son appartement avec sa jeune maîtresse Aline Bauche.

Maigret rendait très souvent visite à Palamri qui jouait les informateurs occasionnels, tout en étant bien conscient d'être surveillé par le commissaire.

Le commissaire avait développé une sorte de sympathie pour Palmari, son enquête débute sur les chapeaux de roues, ainsi qu'un jeu du chat et de la souris avec Adeline.

L'intrigue de ce roman est remarquablement bien construite. Les éléments d'un puzzle provenant de deux affaires en apparence sans rapports, le meurtre de Palmari, et les attaques de bijouteries, se mettent en place jusqu'au dénouement.
Un très bon Maigret !

"La patience de Maigret", est la suite logique de "Maigret se défend", mais ces deux titres peuvent être lus indépendamment.
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Bien qu'il ne soit en rien la "suite" de "Maigret Se Defend", "La Patience de Maigret" gagne à être lu immédiatement après car on y retrouve deux personnages qui apparaissaient dans le roman précédent : Manuel Palmari et Aline Bauche, sa maîtresse. le lecteur se rappellera que, dans le volume précédent, Palmari était condamné depuis trois ans au fauteuil roulant parce que, alors qu'il fermait sa boîte de nuit, il avait reçu dans les jambes une méchante dose de mitraille. Mais dans "La Patience ...", le fauteuil en question est désormais vide : dans son appartement où il n'y avait absolument personne à ce moment-là, Manuel, le vieux caïd si malin et qui avait toujours su se tenir à carreau, vient de se faire envoyer définitivement ad patres. Et certainement par un familier car la balle qui l'a tué l'a atteint dans la nuque. Or, on ne navigue pas tant d'années dans les eaux glauques et agitées d'un certain milieu sans avoir appris qu'il ne faut tourner le dos à quelqu'un qu'à bon escient ...

Maigret en arrive vite à cette conclusion dans une affaire qui l'attriste, il faut bien le dire. Bien qu'il sût que le truand paralysé dirigeait depuis des années un redoutable (et prolifique) trafic de bijoux volés sur fond de braquages, bijoux retaillés et ensuite remises sur le marché sans que personne n'y vît autre chose que du bleu, il avait tissé avec lui des liens humains qui, si ambigus qu'ils fussent pour l'un comme pour l'autre des deux hommes, avaient souvent connu d'excellents moments. Maigret et Palmari étaient chacun de l'autre côté d'une même et seule barrière mais ils avaient appris à s'estimer et à s'apprécier. Chacun faisait son boulot, Maigret questionnait et revenait à la charge, Palmari, pour avoir la paix, servait çà et là d'indicateur au commissaire et, dans le fond, tout cela tournait bien rond.

Et puis un jour, sans prévenir Maigret, Palmari tire sa révérence. Ou plutôt, on le contraint à la tirer. Pour notre commissaire à la pipe éternelle, cela devient une affaire personnelle. Et même doublement personnelle.

Abattre Palmari, le chef d'une combine si rentable qu'elle durait depuis près de vingt ans, avec un Maigret perpétuellement sur le sentier de la guerre, ce n'est pas seulement mettre fin à l'étrange relation qui, on a pu le constater déjà dans "Maigret Se Défend", existait entre les deux hommes. C'est aussi décapiter une organisation qui, du coup, est susceptible de s'en aller à la dérive et dont les membres risquent enfin de tomber dans les filets de Maigret.

La question est, bien sûr : qui avait intérêt à le faire ?

A première vue, pas les principaux intéressés : à savoir Aline, qui devait certainement, depuis son "accident", servir d'exécutante en chef à Manuel ; celle ou celui qui repérait les bijouteries intéressantes ; et, bien sûr, spécimen d'autant plus précieux que l'espèce en compte peu, l'homme qui retaillait les pierres. Sans Palmari pour les diriger, pour manoeuvrer en douceur comme le joueur d'échecs qu'il était dans sa tête, ces gens-là sont, comme qui dirait, orphelins.

Alors, qui ? ...

Maigret, évidemment, flaire dans tous les coins, prend du recul, bavarde à droite et à gauche et, notamment avec, pour une fois, un juge bien sympathique, le juge Ancelin (l'un de ses rares admirateurs dans la magistrature) et, comme Simenon , qui concevait une histoire en imaginant d'abord un lieu, puis en y plaçant un personnage central qui avait retenu son attention, et enfin en lui ajoutant des compagnons et deux ou trois autres éléments de décor, reprend l'immeuble où est mort Palmari (et dont il apprend qu'il est au nom d'Aline), tous ses locataires, un par un, en les replaçant sur l'échiquier (si échiquier il y a, bien entendu) et puis envisage les multiples possibilités de parties à jouer et à la stratégie à suivre dans chaque cas ...

Le résultat se révèle triste, fascinant et paradoxal - ou alors bêtement humain, comme vous voudrez . Maigret lui-même a des doutes. Au début. Et l'on sent bien qu'il a quelques regrets de voir ainsi s'achever l'histoire. Mais les faits sont têtus et les coupables sont bel et bien ceux auxquels il a fini par songer. L'un d'entre eux s'est même mis sur le dos un deuxième assassinat, celui du pauvre tailleur de bijoux que Palmari, peut-être parce qu'il avait lu "La Lettre Volée" d'Edgar Poe, qui sait ? faisait vivre tout simplement depuis des années dans une mansarde, tout au haut de l'immeuble où lui-même habitait.

Un "Maigret" qui va son petit bonhomme de chemin - le titre s'explique par le fait que, depuis vingt ans à peu près que traîne cette affaire de trafic de bijoux, Maigret n'en a pourtant pas décroché - qui débute par une merveilleuse journée de juillet, à Paris, et s'achève dans le bureau, encore tout sonore des clameurs de deux "fauves" humains déchaînés, d'un juge d'instruction admiratif mais touché, lui aussi, semble-t-il, par une sorte de nostalgie - ou de tristesse.

L'ineffable tristesse distillée par ce qui a été, bon et mauvais à la fois, et qui, un jour, n'est plus là, dissous dans l'air comme par quelque enchantement terrible et sans avoir d'ailleurs réussi à choisir en définitive entre le blanc et le noir. ;o)
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Un Maigret à l'intrigue apparemment banale : Manuel Palmari, le chef présumé d'une bande de voleurs de bijoux, invalide suite à un règlement de comptes, est assassiné chez lui. Un homme que Maigret connaissait bien – Palmieri lui servait à l'occasion d'indicateur – et avec qui il avait établi « des liens subtils, difficiles à définir ». L'enquête sera rapide – deux jours – et mettra un terme à la longue traque par la PJ du gang dévalisant les bijouteries, déjà évoquée dans Maigret se défend, soit l'unique exemple à ma connaissance d'une histoire développée sur deux romans consécutifs de la série.
L'intérêt de la patience de Maigret est surtout dans l'illustration de la « méthode Maigret ».
Le travail de proximité. L'action se déroule en grande partie dans l'immeuble de la rue des Acacias, dans le quartier des Ternes, où le crime a eu lieu et dans lequel le commissaire a l'impression de parcourir « une sorte de Paris condensé » : une Américaine excentrique, un barman, des rentiers, deux représentants de commerce, une pédicure, un moniteur de gymnastique, des gens modestes et des bonnes dans les chambres du dernier étage, sans oublier la victime, une figure du milieu sur le retour… Fidèle à ses habitudes plus qu'à une méthode dont il ne veut pas entendre parler, il interroge, monte les étages (« Je ferai du porte-à-porte, comme un marchand d'aspirateur »), flaire, prend position dans un bistrot ou dans une loge de concierge, s'imprègne de l'atmosphère…
La chansonnette. Bien qu'elle n'ait pas lieu dans le cadre formel des locaux du quai des Orfèvres, la « conversation » de Maigret avec le maître d'hôtel du Clou Doré, un restaurant appartenant à Palmieri, entre dans le cadre de ce type d'interrogatoire « bon enfant, cordial, avec l'air de n'attacher aucune importance aux questions posées » que le commissaire affectionne.
L'instinct. C'est ce qui amène Maigret, lors de la confrontation avec Barillard, à ne pas l'assommer de preuves mais à « éveiller l'inquiétude du représentant de commerce, à le mettre volontairement sur ses gardes ». Un élément de la méthode qui a le don d'irriter les juges d'instruction, Cornéliau en particulier.
La patience de Maigret est placé sous le signe des souvenirs, voire d'une certaine nostalgie : « La journée avait commencé comme un souvenir d'enfance, éblouissante et savoureuse. » En effet, la traque des voleurs de bijoux occupe la police judiciaire depuis de très longues années, vingt ans en fait, et amène le commissaire à se remémorer des épisodes de sa vie professionnelle, ses débuts dans la police par exemple, comme secrétaire du commissaire du quartier Saint-Georges (La première enquête de Maigret), l'enquête sur la bande des Polonais (qui revient dans plusieurs romans et nouvelles) ou ses relations conflictuelles avec le juge Corneliau… L'occasion aussi de se souvenir de ses premières années à Paris et la relation intime qui le lie depuis à la ville : « Les premiers temps de son arrivée à Paris, il pouvait rester un après-midi entier à une terrasse des Grands Boulevards, ou du boulevard Saint-Michel, suivant des yeux la foule mouvante, observant les visages, s'efforçant de deviner les préoccupations de chacun. »
C'est aussi un roman sur les relations conflictuelles entre les êtres, en particulier entre Manuel Palmieri, le vieux caïd qui ne voit pas arriver les jeunes truand plus audacieux et plus violents, et sa protégée et maîtresse Aline, que le temps et la différence d'âge vont contribuer détruire. Et aussi la relation charnelle, bestiale – Simenon accumule les termes mâle, femelle, combat de fauves, hyène – entre Aline et Barillard, qui finira en « déchaînement de haine », en « explosion d'animalité ».
Loin de cette grisaille du quotidien et des relations qui s'effilochent, le roman est aussi l'occasion d'évoquer la beauté de Paris sous le soleil – l'enquête se déroule en juillet – dès que Maigret prend son petit-déjeuner par exemple : « Les fenêtres de l'appartement étaient larges ouvertes, laissant pénétrer les odeurs du dehors, les bruits familiers du boulevard Richard Lenoir, et l'air, déjà chaud, frémissait ; une fine buée, qui filtrait les rayons du soleil, les rendait presque palpables. » ou quand Simenon livre un tableau impressionniste que ponctuent quelques bruits familiers du Paris d'alors : « En fin de matinée, les avenues, les rues de Paris étaient un véritable feu d'artifice dans la chaleur de juillet et on voyait partout des éclaboussures de lumières ; il en jaillissait des toits d'ardoises et des tuiles roses, des vitres des fenêtres où chantait le rouge d'un géranium ; il en ruisselait des carrosseries multicolores des autos, du bleu, du vert, du jaune, des klaxons, des voix, des grincements de freins, des sonneries, du sifflet strident d'un agent. »

Lien : http://maigret-paris.fr/2019..
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Ecrit en 1965
Maigret fait surveiller Palmari, un ancien truand devenu infirme. Il le soupçonne d'être le cerveau d'une bande de cambrioleurs à l'origine de nombreux vols de bijoux au cours de ces dernières années. Mais, malgré une surveillance policière permanente, Palmari est assassiné. Maigret est persuadé que les deux affaires sont liées.
Maigret parvient à démasquer les criminels
• Aline Bauche, maîtresse de Palmari, ancienne prostituée, 22 ans.
• Fernand Barillard, représentant de commerce, amant d'Aline, environ 40 ans.
Qui, d'Aline ou de Fernand, est le plus responsable ? C'est au juge d'en décider. Pour Maigret, l'enquête est terminée.
L'enquête se déroule presque entièrement dans un seul immeuble de la rue des Acacias où Maigret a pourtant l'impression de parcourir « une sorte de Paris condensé ».
L'atmosphère de Simenon est bien restituée. Comme toujours un Maigret tout en finesse.
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Pourquoi la patience ? Parce que ce roman vient clore des années d'enquête sur des braquages. Enfin, un meurtre va venir aider à démanteler le réseau...
Une bonne enquête parisienne de Maigret, bien content de lui !
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Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
[...] ... A la base se trouvait la peur. Il en avait souvent discuté, en état de veille, avec le docteur Pardon qui avait, lui aussi, l'expérience des hommes et qui n'était pas loin de partager ses conclusions.

Tout le monde a peur. On s'ingénie à dissiper la peur des tout-petits avec des contes de fées, et presque aussitôt, dès l'école, l'enfant craint de montrer à ses parents un livret scolaire qui comporte de mauvaises notes.

La peur de l'eau. La peur du feu. La peur des animaux. La peur de l'obscurité.

Peur, à quinze ou à seize ans, de mal choisir son destin, de rater sa vie.

Dans sa demi-conscience, toutes ces peurs devenaient comme les notes d'une symphonie sourde et tragique : les peurs latentes qu'on traîne jusqu'au bout derrière soi, les peurs aiguës qui font crier, les peurs dont on se moque après coup, la peur de l'accident, de la maladie, de l'agent de police, la peur des gens, de ce qu'ils disent, de ce qu'ils pensent, des regards qu'ils posent sur vous au passage.

Tout à l'heure, en fixant le billet tentateur entre les doigts du commissaire, le valet de chambre maladif de l'Hôtel Bussière était partagé entre la peur d'être renvoyé et la tentation. Ensuite, à l'apparition de chaque billet, le même mécanisme avait joué.

N'avait-il pas encore peur à présent, peur que Maigret ne parle, qu'il ne le mêle à une affaire qu'il devinait grave et qui l'entraînerait dans Dieu sait quelles complications ?

C'est par peur aussi que Pernelle, le tout récent propriétaire du Clou Doré, était venu glisser à l'oreille du commissaire l'adresse de la rue de l'Etoile. Peur d'être dorénavant harcelé par la police, peur de la fermeture de son établissement au nom de quelque règlement obscur.

M. Louis n'avait-il pas peur aussi ? Jusqu'ici, il s'était tenu dans l'ombre, sans aucun lien apparent avec Manuel et Aline. Or voilà qu'il avait à son tour la P. J. aux talons, et on ne vit pas à Montmartre jusqu'à son âge sans savoir ce que cela signifie. ... [...]
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[...] ... - "Excusez-moi, messieurs ..."

Un grand jeune homme au profil chevalin entrait en coup de vent, serrait les mains, questionnait :

- "Où est le cadavre ?

- Dans la pièce d'à-côté.

- On tient une piste ?

- J'étais en train de raconter au commissaire Maigret ce que je sais. Aline, la jeune personne qui vivait avec Palmari, prétend être sortie de l'immeuble vers neuf heures, sans chapeau, un filet à provisions à la main."

Un des inspecteurs de garde l'avait sûrement suivie.

- "Elle s'est rendue chez divers commerçants du quartier. Je n'ai pas encore pris sa déposition par écrit, car je n'ai obtenu d'elle que des phrases hachées.

- C'est pendant son absence que ...

- Elle le prétend, bien entendu ... Elle serait rentrée vers dix heures moins cinq."

Maigret remarda sa montre qui marquait onze heures dix.

- "Elle aurait trouvé, dans la pièce voisine, Palmari qui avait glissé de son fauteuil d'infirme sur le tapis. Il était mort après avoir perdu beaucoup de sang comme vous allez vous en rendre compte.

- A quelle heure a-t-elle téléphoné ? Car c'est elle, m'a-t-on dit, qui a téléphoné au commissariat ?

- Oui. Il était dix heures et quart." ... [...]
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Son intelligence était celle d’un enfant de dix ans et, devant une situation imprévue, son regard devenait flou, presque suppliant, comme celui d’un écolier que l’instituteur questionne sur un sujet qu’il n’a pas appris.
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ourné qu’il était vers le visage paisible de la Seine. Il cherchait, sur les berges, une silhouette familière, celle d’un pêcheur à la ligne. Il l’appelait « son » pêcheur, depuis des années, bien que, sans doute, ce ne fût pas toujours le même. Ce qui importait, c’est qu’il y eût toujours un homme pour pêcher près du pont Saint-Michel.
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Les premiers temps de son arrivée à Paris, il pouvait rester un après-midi entier à une terrasse des Grands Boulevards, ou du boulevard Saint-Michel, suivant des yeux la foule mouvante, observant les visages, s'efforçant de deviner les préoccupations de chacun.
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