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« Un héros » de Félicité Herzog évoquant l'aventure du Général Boulanger qui couta le tiers de sa fortune à la duchesse d'Uzés, j'ai hésité à relire La Varende et « Les manants du Roi » , plus précisément le chapitre « Fidélité (1850) » qui narre les malheurs de Mathilde de la Haye abusée par un prétendu héritier du trône de France, et me suis fixé sur Simenon et son « M. Gallet décédé » qui nous ramène vers 1930 au milieu des légitimistes, cercle aussi vulnérable que naïf quand il s'agit de donner de l'argent pour « la bonne cause » …

Savoureux roman, l'un des premiers Simenon, qui ressuscite une France rurale, aux inhumations solennelles et immuables avec un corbillard tiré par des chevaux, une province paisible, ensoleillée, avec des omnibus qui étaient à l'heure.

Merveilleux polar avec une intrigue complexe en apparence mais un dénouement élémentaire.

Un régal à lire et relire.
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J'ai un petit faible pour les enquêtes de Maigret qui se déroulent hors de Paris. Et ça tombe bien (pour moi, moins pour lui), celle-ci va l'emmener entre autres dans le Cher.

Emile Gallet est retrouvé mort dans une chambre d'hôtel à Sancerre sous un nom d'emprunt, ce que sa femme réfute en agitant désespérément la « preuve » sous le nez de Maigret : une carte postale de son mari, oblitérée à Rouen, le jour de son décès. D'après elle, l'homme de Sancerre ne peut donc être son mari.

Mais Emile Gallet ne va pas livrer ses secrets aussi facilement. Et tandis que l'oeil sagace du commissaire décortique sans vergogne la personnalité des protagonistes, il s'agace de plus en plus de sentir la solution lui glisser des mains comme une savonnette mouillée. Plus Il tente de se mettre dans la peau de la victime pour démêler le vrai du faux, plus la liste des suspects augmente, et moins les éléments semblent s'imbriquer comme ils le devraient.

« Quand tous les indices matériels concourent à embrouiller les choses au lieu de les simplifier, c'est qu'ils sont faussés. »

Vous vous doutez bien que notre commissaire n'est pas homme à se laisser duper par les apparences ou les gens. Il a sa manière bien à lui de soulever le lourd tapis. Et il va en trouver des trucs douteux sous le tapis….

Encore un très bon Maigret, peut-être plus désabusé qu'à l'accoutumé, plus axé sur l'intrigue également, mais toujours aussi savoureux avec ses personnages d'une authenticité désarmante. Je suis à chaque fois ébahie par l'épaisseur et le relief que Simenon parvient à leur donner en trois coups de crayons habilement dosés. Très fort.
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M Gallet, décédé, est le troisième roman mettant en scène Maigret, et fut écrit en 1930.

Le personnage du commissaire est encore en cours d'élaboration, mais l'on commence à trouver dans ce récit des caractéristiques qui seront celles qui définiront Maigret, telle que son réel intérêt pour les personnes que son enquête lui font connaitre.

Pour ce qui concerne l'intrigue, elle est assez élaborée, et tourne autour de questions d'identités et d'intérêts financiers.
Quant au crime en lui-même, un élément m'a beaucoup rappelé la nouvelle de Conan Doyle :"Le pont de Thor" ; je me demande si c'est une coïncidence ?

A priori, et pour autant que je sache, Simenon n'avait pas la réputation d'être un plagiaire !
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Emile Gallet est retrouvé assassiné dans une chambre d'hôtel à Sancerre, sous un autre nom, alors que sa femme le croyait à Rouen exerçant son métier de représentant de commerce. Etrange assassinat, au revolver et à l'arme blanche sur un homme discret qui mentait à sa femme depuis des années, vivait plutôt chichement à Saint-Fargeau, mais laisse une assurance vie de 300 000 francs à son épouse et à son fils.

Par une chaleur écrasante, Maigret va tenter de cerner ce personnage maladif, retracer les circonstances de ce crime mystérieux, qui vont l'amener à s'intéresser au châtelain du coin, voisin de l'hôtel, un certain Tiburce de Saint-Hilaire… Et découvrir certaines vérités sur son fils Henry et sa maîtresse.

Troisième roman de la série du célèbre commissaire, on est servi et déjà bien dans l'ambiance. Usurpation d'identité, chantage, liaison cachée, même si le scénario n'est pas complètement convainquant, on se laisse prendre par ce drame intime et l'analyse de caractères humains empêtrés dans la médiocrité de leurs vies mensongères au fond de leurs petites villes de province. Qui tissent eux-mêmes les toiles de la tragédie qui leur sera fatale.
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Le roi d'Espagne est à Paris. Tout le monde est occupé. le commissaire Maigret doit donc se charger de l'assassinat d'un voyageur de commerce, Emile Gallet, retrouvé dans une chambre d'hôtel à Sancerre alors qu'il était censé se trouver à Rouen.
D'emblée, Maigret est gêné par cette affaire. le mort, maigre comme un clou qui fait régime, son épouse grande bourgeoise vivant dans un petit pavillon sans relief qui dissimule son chagrin, le fils indifférent.
Il se rend à Sancerre, prend une chambre et fouille pour démêler cette drôle d'énigme truffée d'éléments bizarres : une balle dans le visage, un coup de couteau dans le coeur, escroquerie autour du légitimisme, chantage et extorsions de fonds, vieilles histoires d'Indochine. Plus on en apprend, moins on comprend.
Dans une chaleur accablante Maigret triera le vrai du faux, et des faux-semblants, il y a en a un paquet.
Dans ce 3ème opus, la carrure de Maigret semble encore prendre de l'envergure. Sa compréhension des faiblesses humaines, de l'acharnement des hommes à défendre leurs intérêts quoiqu'il en coûte, se dessine peu à peu.
Le style, d'une grande fluidité, rend bien agréable cette plongée dans la France de l'entre-guerre.
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Monsieur Gallet décédé, roman écrit en 1931, dans lequel Maigret n'est pas encore le commissaire devenu célèbre au fil du temps, avec sa pipe, son embonpoint, son air matois, sa façon d'aborder les choses et les gens avec une fausse distance, ses problèmes de poids, de cholestérol et de diabète, sa réticence à écouter les conseils de son ami le docteur Pardon qui essaye désespérément de le mettre à la diète.
Un Maigret qui n'a pas encore été phagocyté par Bruno Cremer qui lui a donné, c'est peu de le dire, une certain « épaisseur »
L'histoire se passe à Sancerre. Un homme a été assassiné dans la chambre de l'hôtel dans lequel il a coutume de séjourner.
Gallet, connu sous le nom de Clément à Sancerre est originaire de Saint-Fargeau dans l'Yonne. Sa femme est persuadé qu'il est à Rouen à faire sa tournée de vendeur pour une maison spécialisée dans l'orfèvrerie pour cadeaux.
Maigret découvre qu'il n'exerce plus depuis dix-huit ans et qu'en fait il mène une double vie dédié à se constituer un trésor de guerre en utilisant les réseaux légitimistes travaillant au retour d'un roi (Un Bourbon de préférence) sur le trône de France.
Son escroquerie est découverte et, soumis à un chantage qui le ruinera bientôt, il décide de maquiller son suicide en meurtre.
Maigret va de surprise en surprise. Gallet usurpe en fait deux identités et se retrouve au coeur d'un imbroglio invraisemblable d'échanges d'identités qui est de moins en moins soutenable.
On retrouve dans ce roman les mécanismes sociaux chers à Simenon qui conduisent les personnages à des impasses dans lesquelles seule le mort ou le crime peut les en tirer.
Maigret agit avec compassion, cherchant la vérité, mais cherchant avant tout à comprendre. Dans cette enquête c'est un Maigret actif, chapeau melon sur la tête, moins buveur et mangeur, plus actif, sautant pas dessus des clôtures, sortant par la fenêtre de sa chambre, n'hésitant pas à « mouiller le maillot » ce qu'il fera de moins en moins pour donner la partie belle à l'observation et à la compréhension avant l'action.
Un roman fondateur de ce que deviendra Maigret par la suite.

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Un des tout premiers Maigret, où le corbillard est encore tracté par des chevaux. Plus qu'une enquête, c'est une atmosphère, une analyse de moeurs de province ou d'ailleurs à laquelle nous convie Simenon. Et il nous amène là où il veut, quitte à utiliser ce qui relève davantage de la prestidigitation que de l'art de la déduction. Qu'importe. J'ai été emportée d'un bout à l'autre. Sans discontinuer. Cela faisait longtemps.
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ISBN : 978-2258073401

L'une des réussites de Simenon : un véritable tour de passe-passe criminel où, contrairement à ce qu'il se passe sur les scènes où s'exhibent les prestidigitateurs, le mécanisme du numéro est impeccablement démonté et expliqué au lecteur qui trépigne à l'idée de savoir enfin la vérité. Car, comme le disait Eustrabirbéonne en d'autres termes, "M. Gallet, Décédé", repose sur la négation de l'une des règles-clefs du roman policier. Inutile de nous appliquer les poucettes : nous ne vous révèlerons pas la nature de cette règle. Tout simplement parce que, du coup, vous perdriez tout intérêt pour l'intrigue en apprenant dès cette fiche le fin mot de l'histoire.

Ce que vous pouvez et devez savoir, c'est que Maigret n'avait pas besoin de l'Affaire Gallet. En effet, le roi d'Espagne s'apprêtait à passer par Paris et, nombre de collègues du commissaire étant soit en vacances, soit déjà pris par d'autres crimes, notre limier au chapeau melon et à la pipe se voit accablé de responsabilités. Mais il n'y a personne pour traiter la mort de ce Joseph Gallet, une mort étrange dont on a du mal à distinguer s'il s'agit d'un assassinat (on a tiré sur la victime à sept mètres de distance) ou d'un suicide (Gallet semble avoir retourné contre lui le couteau qu'il tenait). Songer qu'il puisse s'agir des deux est évidemment encore plus absurde, nul ne nous contredira sur ce point ...

Comme à son habitude - et un peu à celle de l'Inspecteur Columbo, bien plus tard et en d'autres paysages - Maigret pense d'abord à la victime et comme elle aurait pu penser. Au début, ce M. Gallet, qu'affligeaient une femme dédaigneuse, un fils unique et revêche, une belle-famille méprisante et enfin une maladie hépatique le contraignant au régime, ne l'inspire guère. Son entourage, déjà énuméré, ne fait pas mieux : les membres en sont trop petit-bourgeois, trop raidis dans leurs a prioris et aussi dans leurs faux-semblants. Un à un, le commissaire débusque les mensonges de Gallet mais aussi ceux dont on l'a gavé. Ainsi, pendant dix-huit ans, M. Gallet s'est évertué à faire croire à toute sa famille qu'il continuait à travailler pour Niel, une maison ayant depuis belle lurette pignon sur rue et vendant argenteries diverses et autres brimborions du même type. En réalité, il s'était fait une petite spécialité de "taper" les aristocrates légitimistes de province afin que ceux-ci participassent financièrement à tel ou tel projet en faveur de l'un des leurs tombés dans le besoin, voire d'une restauration des Bourbons sur le trône.

Thomas Gallet, lui - je ne sais pas si vous avez remarqué avec notre actualité du XXIème siècle, mais le prénom "Thomas" recouvre souvent des imposteurs qui oublient de déclarer leurs impôts, font des séries-rap vantant le sexe, la drogue et l'alcool ou encore se créent des ardoises énormes dans les casinos ou en achetant des appartements à Paris tandis que Papa s'évertue à payer tout ça et à faire disparaître les raisons de poursuites pénales - Thomas Gallet, donc, déjà gagné semble-t-il, au tout début des années trente, par la malédiction qui semble poursuivre le prénom reçu à son baptême , a trouvé un emploi dans une grande banque parisienne où son tempérament froid et bilieux fait merveille. Mais, avec la complicité de sa maîtresse, Eléonore Boursang, une blonde assez bien roulée, un peu plus âgée que lui et épouvantablement calculatrice, il fait en parallèle chanter son père dont il a découvert le secret. Chaque mois, le pauvre défunt se défaisait ainsi d'une somme bien confortable, au bénéfice un certain "M. Jacob", qu'il ne connaissait que par la voie épistolaire et qui n'était autre que son fils unique, aiguillonné par Eléonore à l'arrière-plan.

Ca, ce n'est rien que pour la famille. ;o)

Passons maintenant au lieu où Gallet a trouvé la mort. Une petite auberge paisible, où il avait bien demandé qu'on lui réserve une chambre "donnant sur la cour" et où il descendait, depuis des lustres, sous le nom de "M. Laurent." L'aubergiste et son personnel ne comprennent rien à ce décès étrange qui risque surtout de compromettre la renommée de l'établissement. Non plus que Tiburce de Saint-Hilaire, le châtelain du coin et voisin immédiat de l'auberge. Certes, il finit par confesser à que les activités "légitimistes" de Gallet avait amené ce dernier bien souvent en son manoir mais pour le reste, il n'en sait pas plus que les autres. Il ne savait même pas que "M. Laurent" s'appelait en réalité "Gallet."

Et là, nous arrêtons parce que, en conscience, nous ne pouvons pas aller plus loin. C'est tordu et pourtant des plus rectilignes, bourré d'ornières en tous genres mais guidé par une volonté solidement déterminée, à la fois très complexe et ... très simple. Si simple que, que ce soit aux yeux de Maigret ou à ceux du lecteur, fût-il chevronné, la vérité tarde à se faire voir. Peut-être aussi parce que notre esprit cartésien ne peut qu'être pris en défaut.

Une chose demeure cependant : "M. Gallet, Décédé" est l'un des meilleurs opus de Simenon. Et c'est aussi l'un des "Maigret" où l'analyse psychologique poussée reprend tous ses droits. Il y a, dans ce livre, malgré le cadavre, les coups de revolver, les promenades nocturnes et les bassesses des uns et des autres, plus de cogitation que d'action. Pour la petite histoire, sachez également que c'est ici qu'apparaît pour la première fois Moërs, le spécialiste de la Technique Judiciaire que l'on retrouvera fréquemment au gré des enquêtes de Maigret.

Voilà, vous savez tout - ou presque. Si vous voulez le morceau final du puzzle, lisez "M. Gallet, Décédé." ;o)
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Monsieur Gallet décédé, roman écrit en 1931, dans lequel Maigret n'est pas encore le commissaire devenu célèbre au fil du temps, avec sa pipe, son embonpoint, son air matois, sa façon d'aborder les choses et les gens avec une fausse distance, ses problèmes de poids, de cholestérol et de diabète, sa réticence à écouter les conseils de son ami le docteur Pardon qui essaye désespérément de le mettre à la diète.
Un Maigret qui n'a pas encore été phagocyté par Bruno Cremer qui lui a donné, c'est peu de le dire, une certaine « épaisseur »
L'histoire se passe à Sancerre. Un homme a été assassiné dans la chambre de l'hôtel dans lequel il a coutume de séjourner.
Gallet, connu sous le nom de Clément à Sancerre est originaire de Saint-Fargeau dans l'Yonne. Sa femme est persuadé qu'il est à Rouen à faire sa tournée de vendeur pour une maison spécialisée dans l'orfèvrerie pour cadeaux.
Maigret découvre qu'il n'exerce plus depuis dix-huit ans et qu'en fait il mène une double vie dédiée à se constituer un trésor de guerre en utilisant les réseaux légitimistes travaillant au retour d'un roi (Un Bourbon de préférence) sur le trône de France.
Son escroquerie est découverte et, soumis à un chantage qui le ruinera bientôt, il décide de maquiller son suicide en meurtre.
Maigret va de surprise en surprise. Gallet usurpe en fait deux identités et se retrouve au coeur d'un imbroglio invraisemblable d'échanges d'identités qui est de moins en moins soutenable.
On retrouve dans ce roman les mécanismes sociaux chers à Simenon qui conduisent les personnages à des impasses dans lesquelles seule la mort, ou le crime peut les en tirer.
Maigret agit avec compassion, cherchant la vérité, mais cherchant avant tout à comprendre. Dans cette enquête c'est un Maigret actif, chapeau melon sur la tête, moins buveur et mangeur, plus actif, sautant par dessus des clôtures, sortant par la fenêtre de sa chambre, n'hésitant pas à « mouiller le maillot » ce qu'il fera de moins en moins pour donner la part belle à l'observation et à la compréhension avant l'action.
Un roman fondateur de ce que deviendra Maigret par la suite.

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Retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel, Gallet a reçu dans la face une balle tirée à sept mètres. Mais c'est un coup de couteau porté au même moment qui le blesse mortellement au coeur. Personne n'a rien vu. Il y a des suspects: son fils et sa maîtresse, le châtelain voisin. Nouveaux coups de feu alors que l'adjoint de Maigret enquête dans la chambre du crime: il est atteint à l'oreille. Mais là d'où on aurait pu tirer, on n'a vu personne, vraiment personne. Et aucun des suspects ne pouvait matériellement s'y trouver. Épais mystère que je vous laisse le soin d'éclaircir avec ce roman qui voit apparaître le nom de Georges Simenon en librairie. À l'origine le titre était 'La chasse à l'ombre''.

Maigret casse sa pipe dans cette enquête. Si vous en doutez, on lit pourtant chapitre 11: ''Le tuyau de la pipe que Maigret avait aux dents se brisa net, parce que, en cessant de parler, il avait soudain serré les mâchoires''. Costaud mais quand même...

A propos de dent dure, ayons-la un peu: si l'idée très originale est bien amenée, j'ai personnellement été gêné par son aboutissement qui m'a paru tourner longuement au coeur de l'énigme (le but est d'attiser la curiosité du lecteur) autour de ce chemin des orties, son mur et sa grille. Je pense que ma difficulté à visualiser l'endroit en est la cause. Qu'il s'agisse d'une carence de l'auteur dans sa description ou d'une forme d'inattention à la lecture (je n'aime pas revenir en arrière dans un roman policier, ce serait comme descendre d'un train en marche), on remarque que cette enquête n'a pas eu de version cinématographique. Pas assez visuelle ? Lis-je un Maigret comme un film ?
Je tiens à rester critique avec ces oeuvres que je (re)découvre avec bonheur, sans quoi on risque de me taxer de favoritisme liégeois ! Mon coeur reste certainement bien attaché à ces histoires qui vieillissent bien.

(suite infos ''nostalgie'' Maigret/Simenon sur mon blog)

Lu sur Sony PRS-T1

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