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Citations sur Inch Allah, Tome 2 : Le cri des pierres (97)

Souffrir ne me fait pas peur. En revanche, souffrir pour une cause, une vraie, parce que l’autre vous manque, parce qu’on a mal, tellement on l’aime ; parce que plus il est présent, plus on se sent frustré, parce qu’on le désire plus, encore et toujours plus. Souffrir parce que l’autre est dans la détresse et que l’on n’arrive pas à soulager son chagrin ; souffrir tellement on est heureux. Oui. Cent fois oui. Mais souffrir parce que quelqu’un vous envoie balader dès que quelque chose l’a agacé. Non. Mille fois non.
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L’Histoire ne retient généralement de la vie des grands hommes et des peuples que les heures de gloire ou d’épreuves. Elle omet les petits événements et les circonstances obscures dans lesquelles ont mûri les décisions héroïques ou bien celles qui ont miné le courage et conduit à des attitudes déplorables.
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Quand un homme s’ennuie, il a besoin d’être stimulé. Mais, quand une femme s’ennuie, elle a besoin d’être retenue.
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L’écriture autorise toutes les libertés et les impudeurs.
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Comment deux hérissons font-ils l’amour ?
Réponse : en faisant très, très attention.
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La gaieté – telle qu’on la croise chez nous – n’est pas factice, et les Libanais ne font pas la fête pour oublier leur chagrin.
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« Si ton ami boite du pied droit, boite du gauche, pour que vous demeuriez dans un équilibre harmonieux. » Il en est de même de l’amour. Il ne peut durer qu’à cette condition.
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Ce sont les exigences qui tuent. Les gens amoureux exigent toujours trop l’un de l’autre. En vérité, ils n’aiment que le reflet qu’ils dégagent dans le regard de celui qui leur fait face et, surtout, manquent d’amitié. C’est essentiel, l’amitié.
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Un homme n’est pleinement lui-même qu’au sein de sa nation. La nation est le théâtre, à l’intérieur duquel l’homme joue une pièce qui est sa destinée individuelle. Supprimez le théâtre et il n’y a plus de pièce. Du coup, l’homme s’écroule, dénué de signification.
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Deux femmes qui vivaient dans la même maison se battaient pour la possession d’un nourrisson. Chacune prétendait que l’enfant était le sien. Salomon ordonna alors : « Qu’on tranche l’enfant et qu’on en donne la moitié à l’une et la moitié à l’autre. »
L’une des femmes approuva et s’exclama : « Il ne sera ni à moi ni à toi, partagez ! » L’autre implora le roi : « Monseigneur, qu’on lui donne l’enfant, qu’on ne le tue pas ! »
Alors, Salomon déclara, désignant celle qui venait de s’exprimer : « C’est elle, la mère, qu’on lui donne cet enfant. »
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