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EAN : 9782234085961
612 pages
Stock (09/05/2018)
4/5   22 notes
Résumé :
Orpheline de père, délaissée par sa mère, Nicole est une petite fille vive et solitaire. En devenant femme, elle découvre son pouvoir sur les hommes. Sa beauté et son tempérament font tourner les têtes. Mais son mari, Georges, se révèle vite irascible, alcoolique, violent. Nicole doit fuir. Jacques, un riche entrepreneur, lui tend les bras. Il veut l’aider et la protéger – elle commet l’erreur de le croire.
Un jour, à bout, elle plaque tout. Direction le Sud,... >Voir plus
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Une femme. Nicole.

Son petit fils, Lucas décide d'écrire un livre pour la raconter.
Il va ainsi se lancer dans l'écriture d'un roman sur celle qui deviendra Juliette de Saint-Tropez.

Je me suis régalé avec ce livre. Valentin Spitz intrigue et offre un portrait de femme magnifique. En décidant de nommer son héros, Lucas, il nous fait douter de manière fort judicieuse. Lucas est-il Valentin?

Ce qui fait la force de ce livre, c'est sa construction. L'auteur alterne le récit chronologique de l'existence haute en couleurs de sa grand-mère (fictive ou réelle) et nous livre en parallèle , dans de courts chapitres captivants, la genèse de l'ouvrage.

Car si on peut penser que cette lecture sera une simple biographie, il s'agit aussi d'une fine analyse des conséquences de l'écriture lorqu'on raconte le réel. Les réactions de l'entourage. de cette drôle de famille. Les secrets dévoilés et qui vont bouleverser les liens qui unissent chaque membre.

Un livre d'amour pour cette extraordinaire grand-mère. Un cri d'amour pour toutes les femmes.
Ici, les hommes ne sont pas héroïques. Ils passent sans laisser de véritable trace, sans avoir trouvé leur place.

Je vous conseille vivement cette lecture un peu moins légère que ce que l'on peut croire au premier abord. Cela m'a parfois fait penser à Delphine de Vigan dans ce récit du bouleversement que peut amener un livre au sein d'une famille.

Bref, vous pouvez y aller les yeux fermés. Pour preuve, je me suis procuré le premier livre de Valentin Spitz afin de retrouver sa belle écriture!
Lien : https://labibliothequedejuju..
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Dans la vraie vie, on les appelle des femmes d'exception, dans la littérature elles deviennent des héroïnes et se logent pour longtemps dans un coin de notre mémoire.
Dans mon panthéon littéraire auprès d'Emma Bovary, de Cécile chère à Françoise Sagan ou de Rebecca, je viens d'ajouter Juliette.

Mais patience, car de Juliette il n'est pas question dans la première partie du magnifique roman de Valentin Spitz.
C'est une enfant que nous découvrons tout d'abord, Nicole qui grandit comme elle peut après la mort d'un père qu'elle adorait, oubliée par une mère, perdue dans son chagrin.
Partie très tôt du foyer familial, Nicole épouse Georges, beau parleur, follement séduisant.
Quelques années plus tard alors que l'infidélité et la violence ont remplacé les mots d'amour, Nicole trouve un travail, ce qui n'est pas très bien vu dans les années d'après-guerre où la place d'une femme est à la maison.
Passant outre les médisances, elle fonce, elle ose franchir le pas et forte de son rôle de femme qui s'assume financièrement elle demande le divorce et emmène ses trois enfants.
Comme pour fuir définitivement ces parts sombres de son existence, Nicole décide de devenir Juliette et du même coup adopte la nouvelle teinte de cheveux, qu'elle admire sur quelques stars de l'époque comme Brigitte Bardot dont les photos tapissent ses murs.

L'histoire de cette femme libre, audacieuse, courageuse nous est contée par Lucas, son petit-fils écrivain qui voit en sa grand-mère l'étoffe d'une héroïne.

« Juliette de Saint-Tropez » est un livre magnifique mettant en lumière une femme qui n'a peur de rien ni de personne faisant de sa vie un tourbillon de liberté et d'émancipation.
L'auteur prend le parti des chapitres alternés pour nous parler de Nicole/Juliette et nous donner le point de vue de Lucas.
Ce mode de narration donne d'autant plus de force au récit qu'il en brise la linéarité.

Juliette mérite amplement que l'on consacre quelques heures à la découvrir, en échange, elle vous procurera un immense plaisir littéraire.
Pour ma part, c'est un coup de coeur.

Je remercie NetGalley et les Editions Stock pour cette magnifique lecture.
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Autre ouvrage reçu via net galley par les éditions Stock : Juliette de Saint-Tropez de Valentin Spitz .
Orpheline de père, délaissée par sa mère, Nicole est une petite fille vive et solitaire. En devenant femme, elle découvre son pouvoir sur les hommes. Sa beauté et son tempérament font tourner les têtes.
Mais son mari, Georges, se révèle vite irascible, alcoolique, violent. Nicole doit fuir. Jacques, un riche entrepreneur, lui tend les bras. Il veut l'aider et la protéger – elle commet l'erreur de le croire.
Un jour, à bout, elle plaque tout. Direction le Sud, Saint-Tropez. C'est la métamorphose. Nicole se rêve en Brigitte Bardot, elle collectionne les amants, les chiens, les Ferrari rouges et décide de se faire appeler Juliette. C'est une nouvelle vie qui commence...
Un jour, elle disparait mystérieusement...
Lucas, le petit-fils, débute alors l'enquête, et avec elle le désir de percer les secrets d'une famille où les hommes n'ont jamais eu leur place. le temps est venu de rompre la malédiction...
Juliette de Saint-Tropez est un roman que j'ai pris plaisir à lire, mais que j'avais (je l'avoue) zappé de chroniquer !
De l'année 1939 aux années 2000, Lucas Lamour nous fait découvrir le parcours de Nicole, sa grand-mère, qui deviendra à partir d'une certaine période de sa vie Juliette.
C'est un bel hommage de l'auteur à sa propre grand-mère ; et j'ai trouvé cet ouvrage très très réussi.
Nicole est une femme fascinante, que l'on prend plaisir à découvrir. La femme a parfois eu du mal à trouver sa place, comme on s'en rend compte en lisant l'histoire de cette femme. Un jour elle plaque tout, devient Juliette, mais cela ne sera pas plus évident pour autant.
Ce livre m'a remué, je l'ai trouvé très bien écrit, très touchant et j'ai eu un coup de coeur pour Juliette de Saint-Tropez. Je relirais Valentin Spitz avec plaisir, et c'est tout naturellement que je mets cinq étoiles :)
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Si toute vie porte en elle les germes d'un potentiel roman, force est de constater que certaines sont plus inspirantes que d'autres... Il suffit d'un coup d'oeil à la couverture de ce livre pour avoir envie d'en savoir plus sur cette femme radieuse au sourire mi-carnassier, mi-enjôleur. Mais attention... L'aventure n'est pas de tout repos. Car la dame a de la ressource, suffisamment pour bousculer les codes d'une époque où les femmes n'en étaient qu'aux prémices d'un long parcours vers l'émancipation et, un jour peut-être, la prise de pouvoir.

Valentin Spitz est le petit-fils de Juliette, et le membre d'une famille qu'elle a contribué à modeler à sa suite, dans laquelle ses enfants et petits-enfants se sont construits contre ou avec elle. Il s'est donc inspiré de nombreuses heures d'entretien avec sa grand-mère avant de tout oublier et se sentir enfin capable d'écrire le roman qui ne soit pas une simple biographie romancée, mais l'évocation d'une page d'histoire qui touche toutes les femmes et qui continue à s'écrire. L'important dans ce roman, c'est le souffle qui porte Juliette, l'inspiration, l'instinct qui la guident là où tout est à inventer. Ce qui ne va pas sans dégâts ni dommages collatéraux.

Le destin de Juliette est d'abord marqué par la perte de son père adoré et admiré, pendant la seconde guerre mondiale alors qu'elle n'est encore qu'une enfant. Plus tard, elle fera l'apprentissage des hommes, bien loin de la figure paternelle. Sa première déclaration de guerre, elle la fait à son prénom : Nicole la brunette disparaît au profit de Juliette, bientôt blonde. Son personnage se construit au gré de ses expérimentations ; à chaque étape, elle apprend. Elle aura cinq enfants, avec deux maris différents. Elle deviendra une redoutable femme d'affaires, un modèle d'ascension autodidacte. En s'appuyant sur son charme, son flair, son pouvoir sur les hommes. Et surtout sur une formidable envie de profiter à fond de la vie. Personnage à multiples facettes, à la fois fascinante et inquiétante dans la légèreté qu'elle affiche envers certains principes, éducatifs notamment. Peut-être fallait-il en passer par là pour se libérer des chaînes...

On comprend néanmoins que Lucas (le narrateur), double romancé de l'auteur ait besoin d'éclaircir un certain nombre de points qui alimentent les névroses de la famille. La façon dont les hommes en sont exclus au maximum, le silence qui entoure le premier mari de Juliette... Alors on se laisse raconter l'histoire de Juliette, on remonte la piste avec Lucas, on compatit à ses déboires (mais comment se construire dans une telle famille ?), on sourit aux détails de sa relation avec son éditrice (qui s'appelle Caroline, mais... toute ressemblance...) et on se dit que quand même, cette Juliette, c'est une sacrée nana !

Pour le lecteur, une fois le livre refermé, l'impression que Juliette est passée tel un coup de vent, le temps d'un vrombissement de moteur de sa Ferrari, ses chiens sur la banquette arrière. Pour ceux qui l'ont côtoyée à sa grande époque, l'effet a dû se rapporter à celui d'un ouragan dont les impacts sont encore visibles. Comme après tout cataclysme, le progrès naît de la reconstruction. L'impression que ce livre en est l'un des éléments.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Si un jour j'ai un petit-fils, j'aimerais qu'il soit Valentin Spitz ! Quel hommage sublime à celle qui fut autant admirée que critiquée ! En la racontant, l'auteur délivre sa famille.

Lisez Juliette à Saint-Tropez, maintenant ou cet été, c'est un grand coup de coeur.

Juliette s'appelle Nicole. Elle a changé de mari, de ville et de couleur de cheveux. Juliette a créé des entreprises, eu cinq enfants, deux époux, conduisait une Ferrari, se levait avant l'aube pour promener ses chiens puis dirigeait le monde.

Juliette était une femme superbe, Juliette vivait comme un homme car elle n'avait pas le choix.

C'est son petit-fils Lucas, sorte double de l'auteur, qui la raconte dans un récit mêlant les années 50 aux années 2000. D'une plume moderne et sincère, il entreprend de résoudre l'énigme familiale, l'absence d'hommes et de communication dans la famille.

« Je ne sais pas si cette femme-là a été heureuse. Moi, cette femme-là, je ne l'ai pas connue. Je n'ai connu qu'elle. »
A travers une série de rencontres, il enregistre et questionne sa grand-mère. Mais mamie, mon grand-père Georges, qu'est-il devenu ? Oh, aucun intérêt celui-ci, balaie-t-elle. le narrateur commence alors une enquête parallèle, retrouver l'homme disparu, la figure masculine, pour peut-être conjurer le sort. Se mêle à cette enquête des récits sur sa propre vie d'écrivain ainsi que des témoignages de sa mère et de ses tantes. Pour comprendre, mais déjà pour savoir.

En fait, c'est toute la relation de Nicole avec les hommes qui était catastrophique, entre son propre père décédé d'une attaque lorsqu'elle était petite, ses deux maris violents ou pervers, les petits amis de sa fille qu'elle prend pour amants… sans parler de son petit dernier, le divin enfant, l'enfant-roi, adoré et couvé.

En refermant le livre, on ne sait plus quoi penser : soit les hommes sont tous les mêmes, soit Nicole les a choisis pour leurs névroses, soit elles les a rendus fous !

Ce récit livre une réflexion très intéressante sur l'écriture : quelles sont les difficultés d'écrire sur soi, sur la famille ? Qu'est-ce qu'être un écrivain aujourd'hui ? Quel avenir pour la littérature française ? Pour en parler, le narrateur dresse le portrait d'une éditrice féroce mais aimante, gourou et maternelle à la fois, une sorte de double caricatural de Nicole dans sa façon de gouverner et ses chiwawas étant à chaque fois plus nombreux, comme les enfants que Nicole a eus, sorte de contre-transfert du psychanalyste-écrivain vers son éditrice… Sans doute une façon de la remercier !!

Cependant le narrateur tient avant tout la place du poète.

Tout se passe comme si le petit-fils spectateur relatait docilement les faits racontés par sa grand-mère jusqu'à ce que celle-ci disparaisse : alors l'écrivain arrache la plume du petit-fils et part en vrille, libéré, mêlant fiction futuriste à l'autofiction initiale, semant le trouble chez le lecteur. Dans la dernière partie du roman, j'ai retrouvé l'ambiance névrotique de son premier roman « Et toujours ce sera l'été » absente jusqu'à alors.

De fait, l'écrivain ne veut pas lâcher sa grand-mère disparue, il ne peut mettre le point final à son récit : ce serait abandonner sa famille et son enquête. Il ne veut pas renoncer et il a sans doute raison, car Juliette est éternelle.

Sublime portrait d'une époque exaltante mais compliquée pour les femmes. N'était pas Bardot qui voulait, et pour revendiquer son féminisme et obtenir un compte courant à la banque, il fallait non seulement être belle mais rusée.

Lien : https://agathethebook.com/20..
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
« Ah non je n’avais pas du tout envie d’y aller mais j’avais fait un effort. C’était loin à la campagne, tu étais encore tout petit et si mignon. Elle n’en avait rien à faire qu’on soit là. Et puis son chien, son sale chien, son gros chien.
Elle les a toujours pris pour ses enfants, ses chiens ; elle les aime plus que nous, elle les appelle « ma fille », « mon fils », tu te rends compte ?
Bon, bref, le chien t’avait agressé. En arrivant, il t’a sauté dessus, la porte s’est refermée et tu as hurlé de douleur.
Elle s’en fichait totalement, tu sais !
J’ai dû aller à la pharmacie toute seule dans le froid, il neigeait. »
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D’elle on m’a tout dit. Qu’elle était nymphomane, folle, égoïste. Qu’elle avait eu mille amants. Qu’elle avait dirigé des entreprises. Qu’elle avait été extraordinaire. Qu’elle avait été monstrueuse. Qu’elle les avait écrasés. Qu’elle les avait sauvés. Qu’elle avait été la plus belle femme du monde. Qu’elle avait eu Paris et les hommes à ses pieds. Les femmes aussi. Qu’elle avait eu des chiens et des grosses voitures. Qu’elle s’était appelée Nicole. Puis Juliette. Qu’elle avait fait le tour du monde. Qu’elle avait préféré son garçon à toutes ses filles. Qu’elle avait aimé. Follement. Qu’elle avait tout sacrifié. Pour eux.
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Elle comprend que diriger est aussi communiquer.
Qu'elle est un personnage.
Les hommes se mettent à la vénérer, les femmes à la détester. Juliette se découvre un talent extrême pour le relationnel et elle a souvent cette étrange impression : celle d'avoir fait cela toute sa vie.
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– Sais-tu ce que Philippe Solers dit à propos de l'écriture ?
– Non, ai-je avoué en réalisant que je n'avais jamais lu Solers.
– Il dit que, pour savoir écrire, il faut savoir lire et que, pour savoir lire, il faut savoir vivre. Alors maintenant tu vas arrêter de te morfondre. Tu vas vivre. Vivre, cela veut dire accepter de ne pas tout réussir, vivre cela veut dire accepter de souffrir ; vivre cela veut dire chercher et ne pas trouver. Vivre, cela veut dire que tu vas appeler tes amis, que tu vas sortir, que tu vas bien manger, que tu vas boire, que tu vas fumer, que tu vas faire du sport, que tu vas baiser, que tu vas retrouver un travail ; et peu importe le temps que ça prendra. C'est ensuite que tu écriras. Comme jamais tu n'as écrit.
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Elle m’appelait toutes les semaines. Je lui mentais, prétendais que j’avançais. C’était faux. Mentir est quelque chose que je ferais souvent dans les années suivantes. Les mois ont passé. « Je suis pris par d’autres projets, mamie, mais je vais m’y remettre. »
Ma peur la plus forte était qu’elle meure avant que j’aie publié « son roman ».
Je savais qu’elle en attendait beaucoup. Et comme souvent je ne me sentais pas à la hauteur. Pas à la hauteur de ses attentes. Pas à la hauteur de la vie tout court qui m’était donnée de vivre. En fuite toujours.
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Vidéo de Valentin Spitz
« Hier encore, un père m'appelle, désemparé, faisant état de la “gravité” de la situation avec son fils… Bien souvent, cependant, je remarque qu'une simple discussion suffit à calmer ce qui a motivé l'appel : l'angoisse et la culpabilité de ne pas être les parents qu'il “faudrait” être. Ils souhaiteraient que je le leur dise quoi faire pour être de “bons” parents, voire des parents parfaits, c'est-à-dire : bienveillants, à l'écoute, drôles, toujours calmes… Ce qui ne correspond en rien aux êtres humains que nous sommes, avec des hauts et des bas. Il ne s'agit pas ici d'affirmer que nos enfants ne doivent plus aller voir de psy, je sais combien ce peut être utile. Mais plutôt de souligner que, dans bien des situations, la meilleure manière de ne pas avoir à les y emmener, c'est de chercher dans sa famille les ressources nécessaires pour s'en sortir et, bien entendu, de s'écouter et de savoir s'occuper de soi. Alors, on essaie ? » Pour le psychothérapeute Valentin Spitz, l'essentiel est donc de remettre les parents au centre du jeu : les spécialistes les plus avisés de leur enfant, ce sont eux-mêmes. Ce livre, fondé sur dix cas réels, offre ainsi, en dix épisodes, des ficelles pour dédramatiser, et avancer.
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