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EAN : 9782878271492
80 pages
Rackham (22/09/2012)
4.22/5   628 notes
Résumé :
Lors d’une conférence de presse après ses fiançailles avec Diana, le prince Charles dut répondre à la question : « Êtes-vous amoureux ? » Après une petite hésitation, il répondit : « Oui... Quel que soit le sens du mot “amour” ». Or, en lisant la presse people quelques années plus tard, on constata que de toute évidence Charles et Diana n’attribuaient pas du tout le même sens au mot « amour ».
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Critiques, Analyses et Avis (50) Voir plus Ajouter une critique
4,22

sur 628 notes
De la même autrice, j'avais adoré L'Origine du Monde et détesté le Palais des Miroirs. Celui-là m'a laissé plutôt mitigé.

L'Origine de Monde parlait de l'évolution des connaissances scientifiques sur la gynécologie, la reproduction et tout ça. Je crois que je l'ai aimé parce que c'était une bonne synthèse amusante des savoirs, fondé sur la science.

Le Palais des Miroirs parlait plutôt des de l'évolution des critères de beauté et des carcans que cela impose aux femmes. le sujet est intéressant mais Strömquist, pour mettre de l'avant sa thèse, semble donner un poids disproportionné à des anecdotes sorties de leur contexte et des essais non-scientifiques. C'est plutôt frustrant quand quelqu'un avec qui nous sommes d'accord argumente pauvrement.

Les Sentiments du Prince Charles aborde l'histoire de l'amour, son évolution dans le temps et la culture. Des mariages de raison aux mariages d'amour, et spécialement le rôle du patriarcat et de l'hétéronormativité dans ces conceptions.

Certains chapitres sont des résumés d'études historiques et sociologiques et sont très intéressants. Mais d'autres sont encore purement du Cherry Picking anecdotique. Un chapitre complet sert à faire une comparaison entre la recherche de l'amour et le libre marché capitaliste, où les gens sont des produits et... bref vous voyez où elle veut en venir. Elle théorise elle-même l'amour de la même façon que les pires Pick Up Artists, et se sert ensuite de ses propres fondements théoriques pour les dénoncer.

Il y a dans ce livre un côté très "adolescent rebelle". Oui, on sait, l'amour est une construction sociale. Oui, certains conçoivent l'amour comme un droit de propriété sur l'autre. On sait ça. J'y pensais constamment quand j'avais 15 ans et le coeur brisé.

Mais j'ai l'impression que le livre débouche dans un cul de sac quand on tire la conclusion que toute forme d'amour monogame se compare à de l'esclavage.

Je crois que c'est malsain d'avoir un modèle d'amour mis sur un piédestal alors qu'il n'est pas fait pour tout le monde. Vivement qu'on déboulonne les relations monogames hétérosexuelles comme le Modèle Idéal&#xNaN.

Mais c'est quand même étrange d'en faire un épouvantail qui ne conviendrait à personne.

Je crois qu'une partie de ma réticence à ce livre vient d'une différence générationnelle. La BD s'ouvre en donnant l'exemple des humoristes (aujourd'hui has been) des années 80/90, omniprésents à la télévision, avec leurs mauvaises blagues misogynes. Elle prend cela pour expliquer que la culture a toujours été comme cela.

Et bon, ayant grandi beaucoup plus avec YouTube et Netflix qu'avec la télé câblée, je n'arrive pas à trouver ces référents ni actuel, ni représentatif, ni universels.

Pour preuve, leur actuelle désuétude.
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Avec ce titre intriguant s'il en est – Liv Strömquist a le talent de savoir choisir le nom de ses livres – je poursuis la découverte de l'oeuvre féministe et engagée de cette autrice suédoise de bande-dessinée. Si j'ai été emballée par mes précédentes lectures, si comme d'habitude il y a de nombreuses choses justes et bien vues, cette fois-ci je n'ai pas toujours été convaincue par les histoires de ce volume, dont la principale m'a parue un peu confuse et relevant plus d'un militantisme idéologique que de l'universel.

Liv Strömquist s'intéresse ici aux sentiments, particulièrement ceux de la gent masculine, impactés par le patriarcat et une société de plus en plus individualiste, qui exige des hommes de se tenir à distance de leurs émotions, « féminines », et de leurs relations intimes. Distance également envisagée comme une manière pour les hommes de garder une position dominante tout en maintenant les femmes dans l'ombre. Paradoxalement, ces hommes férus d'indépendance sont pourtant dépendants de leurs partenaires, qui leur assurent une sécurité affective et qui supportent cet état de fait parce qu'elles sont dans une orientation relationnelle les poussant à oublier leurs besoins au profit de ceux des autres. Ce cercle vicieux a une solution pour Liv Strömquist : aux femmes d'abandonner la recherche auprès de leur compagnon d'une intimité qu'elles ne pourront obtenir qu'avec leurs enfants et/ou leurs amies. Bon. Je ne me suis pas trop retrouvée dans cette observation tranchée des relations amoureuses (il semblerait toutefois que ce soit une bonne nouvelle) mais admettons, puisque la thèse défendue est intéressante : pourquoi les femmes veulent-elles rester à tout prix avec un homme qui les maintient à une telle distance affective ?

Afin de creuser ce premier thème, vient une histoire sur le prix Bobonne attribué à Nancy Reagan. Pour l'autrice, qui reprend les expressions des sociologues Ulrich Beck et Elisabeth Beck-Gernsheim, s'occuper d'un grabataire comme Nancy avec son Ronald est entrer dans une « zone franche de l'amour » car « combler d'affection l'objet de son amour prend alors la dimension d'un acte contre une société sans coeur », « l'amour [étant] comme du communisme dans le capitalisme ». Moralité : la garde-malade s'oublie au profit de l'autre, dans une relation ici encore à sens unique.

Le capitalisme dans l'amour, le mot est lâché et sera donc filé dans les histoires suivantes, qui portent sur la question du droit de propriété dans l'amour et plus particulièrement dans le couple. Pourquoi penser, dans une relation hétérosexuelle (dommage que la réflexion ne soit portée que sur ce versant) que le corps de l'autre nous appartient ? L'autrice nous démontre ainsi que la relation à sens unique va encore dans le même sens, puisque ce sont historiquement les hommes qui s'approprient le corps des femmes (rien de mieux pour poursuivre une lignée qu'une fraîche et jeune vierge). L'occasion de nous parler une nouvelle fois de l'évolution de la perception du mariage, de l'irruption de l'amour dans celui-ci, qui ne réussit pas à abolir sa nature transactionnelle, mais surtout qui fait entrer le droit de propriété sur le corps de son partenaire comme une partie intégrante du couple. L'amour et le droit de propriété sur le corps sont donc rattachés l'un à l'autre. Pour terminer, Liv Strömquist convoque aussi Jürgen Habermas, selon qui vivre dans une société capitaliste nous amène à nous considérer comme des marchandises (et de citer des exemples d'expressions usuelles assez significatifs : être sur le marché, investir dans une relation, « parce que je le vaux bien », ce qui d'ailleurs souligne le profond cynisme de ce slogan...). L'expansion de l'ego (confondu souvent avec « développement personnel ») et le capitalisme font aussi, selon l'autrice, que nous avons tendance à considérer ce que nous aimons comme nos biens.

L'amour romantique est ainsi accusé de tous les maux : il vient enlever sa liberté aux femmes, qui avant son institutionnalisation dans le couple, pouvaient invoquer les déesses de la fertilité, faire des blagues ou folâtrer dans le foin, et qui après, ont entraîné la promotion de la pudibonderie pour les femmes, le patriarcat venant le justifier : si ces dernières veulent s'assurer une sécurité économique, il faut épouser un homme fortuné ; mais à l'inverse, quel intérêt le futur époux aurait-il à l'épouser ? Pour pouvoir être le seul à être autorisé à coucher avec elle.

Là où je deviens (encore) moins convaincue, c'est quand Liv Strömquist démontre que le concept de propriété sur le corps est absurde et relève d'un non-sens, même si cela heurte nos sentiments, pour la raison que les tractations autour du sexe et des relations de couple sont de puissantes génératrices de sentiments. Au début d'une relation on est dans l'incertitude, ce qui crée de l'inconfort. Et c'est cette position d'inconfort qui dramatise les histoires d'amour et génère des sentiments. Et que la menace de rompre génère de la passion, tandis que l'absence de conflits entraîne un lien affectif plus faible… L'amour naîtrait donc de la négociation entre deux personnes libres d'un contrat exclusif et de préférence permanent qui régit le droit de propriété sur le corps de son partenaire… Théorie absolument froide et une nouvelle fois très tranchée, en ce qu'elle fait entrer toutes les relations dans les mêmes cases, et je n'ai pas l'impression que toutes les relations amoureuses doivent être vécues dans le drame pour être passionnées.

Cette théorie de l'amour libéré a été traité par la suite dans « La rose la plus rouge », que j'ai lu avant celui-ci, et que j'avais trouvé plus percutant. J'ai eu une sensation de redite sur l'histoire du mariage et de l'irruption dans celui-ci de l'amour, ainsi que la critique d'un individualisme forcené empêchant toute velléité de relation intime durable, provoquant chez moi une sensation de redite assez ennuyeuse. Pourtant, c'est toujours aussi documenté (et pas les mêmes sources entre les deux ouvrages), mais cette fois, cette vision unilatérale des choses a plus tenu pour moi de la démonstration au forceps que de la nuance. Peut-être aurais-je dû lire ce tome d'abord…
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Liv Strömquist est une jeune dessinatrice et animatrice radio suédoise, engagée politiquement dans les questions féministes.
A la question « Etes-vous amoureux ? » posée lors d'une interview peu après ses fiançailles avec Diana, le prince Charles a répondu : « Oui... Quel que soit le sens du mot amour... ». Partant de cette déclaration plutôt sobre et ambiguë, Liv Strömquist s'attache à brosser le portrait amer des amoureux célèbres de ces dernières décennies : Withney Houston et Bobby, Nancy et Ronald Reagan et bien sûr Charles et Diana. C'est aussi l'occasion de disséquer les relations homme/femme des séries américaines, comme Mon oncle Charlie, dont le héros se fait un devoir de dénigrer sa mère ou encore Sex and the City. Parfois, au contraire, l'auteur fait ressurgir de l'ombre une femme qui a fait preuve d'une abnégation totale pour un mari misogyne et écrasant quand il n'était pas volage, telle l'épouse d'Einstein ou celle de Picasso. Ou bien encore, elle évoque des situations de la vie quotidienne qui parlent à chacune de nous.
Contrairement à ce que pourrait laisser supposer le titre, il ne s'agit pas d'une bande dessinée humoristique mettant en scène les membres de la famille royale britannique. Une fois ce premier point admis, on se laisse facilement emporter par cette lecture fluide et agréable, les pages se tournent toutes seules. le dessin évoque Marjane Satrapi Persépolis, Broderies, Poulet aux prunes – par son trait noir, précis, souvent volontairement caricatural et sans fioritures. C'est un album qui fait la part belle aux représentations artistiques, comme la Pietà de Michel-Ange, le baiser de Klimt ou The Love Embrace of the Universe, the Earth de Frida Kahlo, toutes revisitées bien sûr sous l'angle du féminisme ! Ces oeuvres, représentées sur une page voire une double page, brisent le rythme et crée un certain dynamisme. A travers le prisme de l'ironie et du point de vue féminin, Liv Strömquist nous propose une petite histoire illustrée du sentiment amoureux très intéressant. L'ensemble est parfois un peu théorique - les séquences narratives sont régulièrement entrecoupées de vignettes récapitulatives faisant le point sur la thèse présentée, puisée dans des études sociologiques - mais convaincant, quand bien même le constat est fort pessimiste. Je ne suis pas une grande lectrice de bande dessinée (si ce n'est Tintin dans mon jeune âge!), mais j'apprécie celles qui, comme Les sentiments du Prince Charles, associent dérision et documentation sur un sujet d'actualité.
Je remercie à Babelio et les éditions Rackham pour cette découverte !
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Après avoir lu et encensé L'origine du monde de Liv Strömquist, je me devais de poursuivre ma découverte de l'oeuvre de la jeune dessinatrice Suédoise. J'ai donc emprunté à la bibli Les sentiments du prince Charles et je me suis une nouvelle fois régalée.

L'auteur s'attaque au couple hétérosexuel et au sentiment amoureux dans cette BD aussi instructive qu'hilarante. L'humour de Liv Strömquist est noir, corrosif et féministe et ça me plait énormément.
Certes le propos est parfois violent envers ces messieurs mais force est d'admettre qu'il fait réfléchir sur les relations hommes/femmes et sur la représentation des dites relations au ciné, à la télé, dans la presse...

Je mets cette BD sur ma liste des cadeaux à offrir pour Noël, j'en connais à qui cette lecture fera du bien ;-)
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En décryptant les constructions sociales de la féminité et de la masculinité dans les familles hétéroparentales, l'autrice réfléchit aux relations de couple et de famille et plus largement aux relations sociales des représentants de chaque sexe. Elle dénonce les schémas qui se transmettent depuis des siècles et que les générations reproduisent sans les remettre en question. Elle dénonce surtout la place donnée/imposée à la femme par le patriarcat et les institutions. « Historiquement, la femme n'a pas bénéficié du même droit de propriété sur le corps de l'homme. » Par ailleurs, elle enjoint les femmes à ne pas s'enfermer dans cette place, à ne pas accepter les reproches incessants et à prendre en main leur corps et leur sexualité. « C'est ma faute s'il n'est pas sympa avec moi ! Si seulement je n'avais pas été aussi ennuyeuse / chamailleuse / petite-bourgeoise / rabâcheuse / paresseuse / lunatique / talentueuse / prétentieuse / susceptible / potelée / rougeaude / gourmande / insomniaque /flemmarde et nulle en bricolage... il ne m'aurait pas traitée comme ça ! » Enfin, sans angélisme ni mièvrerie, elle appelle à l'amour et au respect.

Tout cela peut sembler bien facile, bien mignon, bien culcul, mais ça ne l'est pas. Je ne suis pas friande des graphismes de Liv Strömquist, mais je suis enthousiasmée par ses démonstrations. Chaque chapitre présente les sujets clairement, avec une ironie bien sentie et nécessaire, en se fondant sur des exemples concrets, des personnalités que tout le monde connaît. Et si le titre met en avant un homme, c'est pour mieux évoquer les sentiments de son épouse. Cet essai graphique est excellent et pertinent dans un monde où la parole des femmes se libère. Dans le même genre, je vous conseille les écrits de Mona Chollet, notamment Beauté fatale.
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critiques presse (3)
BDGest
23 mai 2016
Pavé de science humaine, les sentiments du Prince Charles est un magnifique roman graphique dont les illustrations valent à elles seules le détour.
Lire la critique sur le site : BDGest
NonFiction
30 septembre 2013
Dans Les sentiments du Prince Charles, Liv Strömquist nous présente à la fois une analyse sociologique et historique des relations genrées et une tentative de repenser le féminisme au XXIe siècle au-delà du combat politique pour l’"égalité légale" entre hommes et femmes.
Lire la critique sur le site : NonFiction
BoDoi
23 novembre 2012
Si [l'auteur] manie volontiers l’humour, sur un ton agréable et accrocheur, elle suinte légèrement le désespoir.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
Et bien que « Mon oncle Charlie » ne soit pas de la science-fiction, il s’y produit fréquemment le phénomène surnaturel suivant : des tops modèles de 20 ans cherchent à nouer une relation monogamique pour la vie avec Charlie Sheen.
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Ces hommes mariés qui enseignent à leur épouse force facéties obscènes, acrobaties indécentes, et positions, contorsions et tours nouveaux qui font que les feux qu'elles portent dans leur corps s'allument par centaines et qu'elles deviennent comme des filles de joie. Une fois entraînées dans ces manières, plus rien ne les retient de s'enfuir de chez leur mari à la recherche d'autres cavaliers. Un tel état des choses désespère les maris et les pousse à tuer leur épouse ce qui est très mal.

Brantôme, historien français 1540 - 1614
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Et bien que "Mon Oncle Charlie" ne soit pas de la science-fiction, il s'y produit fréquemment le phénomène surnaturel suivant : des tops-models de 20 ans cherchent à nouer une relation monogamique pour la vie avec Charlie Sheen.
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Selon Layton, le modèle comportemental où un couple reste ensemble alors que la femme n'obtient jamais l'intimité qu'elle recherche et l'homme essaie systématiquement de se soustraire à cette exigence d'intimité serait l'expression de stratégie visant à échapper aux sentiments de perte et de déception ressentis aussi bien par les femmes que par les hommes. Au lieu de leur permettre de s'épanouir en tant qu'êtres humains, notre société les emprisonneraient dans un modèle "masculin" ou "féminin.
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Un homme raisonnable aimera sa femme modérément et sans passion, il maîtrisera ses désirs et s'interdira tout excès dans ses rapports sexuels avec elle.

Sénèque, philosophe romain - environ 4 av JC
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1,2,3 BD ! Chez les libraires ! vous présente les BD coups de coeurs d' Aurélien et la librairie le Bidibul à Troyes. Également un petit focus sur le festival le crayon vert et la venue à la librairie de David Snug pour la lutte pas très classe éd. Nada ! - le Petit théâtre des opérations, Toujours Prêtes ! de Virginie Augustin et Julien Hervieux chez Fluide - Astrologie de Liv Strömquist chez rackham - Poltron Minet de Madd - Mayen - Éditions Dupuis 1,2,3 BD c'est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture. #GALERIE #BD #POPCULTURE #BANDEDESSINEE #COMICBOOKS #9EMEART Retrouvez 1,2,3 BD ! Chez les libraires! sur : https://www.youtube.com/TraitpourtraitBD https://www.facebook.com/TraitpourTraitBD https://www.instagram.com/traitpourtraitbd/ https://twitter.com/TPTBD
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